Le domaine des relations amoureuses n’est pas un long fleuve tranquille et peut prendre des tournants inattendus.
J’ai 25 ans, une situation professionnelle établie comme cadre dans une entreprise de produits pharmaceutiques. Laquelle m’apporte de confortables revenus. Côté cur, je vis depuis quelques mois une histoire d’amour avec Nathalie. Belle jeune femme de 22 ans. Elle mesure 1m75, blonde, avec de grands yeux bleus. C’est une fille magnifique, nous nous entendons bien et je suis très fier de m’afficher avec elle dans la rue main dans la main. Tout le monde nous voit d’ailleurs comme un joli couple. Nous ne vivons pas encore ensemble mais nous y pensons sérieusement.
L’été dernier pourtant, un événement aurait pu mettre fin définitivement à cette aventure. Je ne suis pas d’une nature jalouse et ne m’étais pas méfié même si j’avais déjà remarqué à quel point elle attire le regard des hommes.
C’était une soirée d’été. Climat agréable, atmosphère détendue, oisiveté et apéros à gogos… Je suis passé la prendre chez elle. Nous avions rendez-vous avec des amis dans un resto de plein air qui faisait également minigolf.
Comme il faisait chaud elle s’était habillée très court. Petite jupe plissée kilt, haut sexy mettant bien en valeur ses formes et laissant apparaître les bretelles de son soutien-gorge. Plutôt grande, elle portait en plus des petites chaussures ouvertes à talons ce qui lui affinait encore plus la silhouette. Ses longs cheveux blonds et fins maintenus par une barrette et un maquillage léger achevaient de la rendre irrésistible. Je ne l’avais jamais vue si en beauté.
D’apparence plutôt plate même limite maigre, elle était ce soir-là terriblement désirable. Je suis parti au quart de tour et lui ait quasiment sauté dessus. Elle m’a alors repoussé en me disant que ce n’était pas le moment que nous étions en retard et qu’il fallait y aller. J’ai donc repris mes esprits ravalé ma déception et nous avons rejoints nous amis. J’étais alors convaincu que mon heure viendrait et de ce n’était qu’une partie remise.
Arrivés sur place elle a évidemment fait un effet buf à tous les mecs présents. Cela ne me déplaisait pas et je me pavanais très fier de montrer que cette créature de rêve était avec moi. Puis nous avons retrouvés nos amis. Un groupe de garçons et filles de notre âge avec qui nous sortions d’habitude et plusieurs personnes relations de nos relations que nous ne connaissions pas encore.
Parmi eux nous avons fait la connaissance de Souleymane. Un grand black baraqué, malien je crois, d’environ 25 ans. Une caisse d’un bon mètre 90, ouvrier du bâtiment fraîchement débarqué ici. Mâchoire carrée, regard ténébreux. Il était habillé en pantalon cargo et portait un tee-shirt Marcel qui faisait ressortir ses épaules et ses pectoraux. A lui aussi ma copine lui faisait un petit effet.
Mais j’ai tout de suite vu que ça allait encore plus loin que ça. Cela n’augurait rien de bon.
Nous avons alors commencé à jouer au minigolf. Pour rendre la partie plus attractive nous avons formé des équipes de deux par tirage au sort. Comme un fait exprès, Nathalie et Souleymane se sont retrouvés ensemble. La configuration des lieux faisait que nous devions jouer les uns après les autres. Étant assez nombreux les premiers groupes ont vite été séparés des derniers. C’est ainsi que Souleymane et Nathalie m’ont distancé peu à peu les tours passant.
Mes craintes commençaient à se vérifier. En effet, j’avais beau surveiller Nathalie du coin de l’il, à chaque fois que je l’apercevais je voyais Souleymane la serrer de plus en plus près. Il commence par la toucher par le bras, puis lui attrape les hanches, il la prend par la taille, il passe derrière elle pour l’aider à manipuler le club. Je commençais à bouillir. Ses mains baladeuses naviguaient beaucoup autour du postérieur de ma bien-aimée. Le pire est que Nathalie semblait y prendre plaisir. Elle riait et je l’aie même vue à un moment d’arrêt du jeu s’asseoir sur les genoux du black alors qu’il était assis sur un banc. Cette situation ne me plaisait pas du tout.
À la fin de la partie, nous nous sommes retrouvés à table. Nathalie près de moi et Souleymane de l’autre côté. Pendant le repas, le manège a continué. Nathalie ne regardant que Souleymane visiblement séduite par l’assurance et le physique très avantageux de l’africain. Lui encouragé par mon silence a carrément entrepris de la peloter sous la table. Elle s’est laissé caresser les cuisses pendant tout le dîner.
Ces manigances avaient finies de me mettre de fort mauvaise humeur. J’aurais pu être soulagé par la fin du repas mais, nous avons tous convenus de nous retrouver à l’appart de Mickaël, un des invités, pour finir la soirée.
Sur le chemin, de nouveau seul avec Nathalie j’ai bien tenté de la sermonner, de lui dire que je voyais ce qu’elle faisait. Mais elle m’a traité de rabat-joie me soutenant qu’elle n’avait rien fait de grave, que j’étais tout simplement jaloux. Ma mauvaise humeur ne me rendait pas très sympathique et je l’ai sentie irritée par mon attitude. Du coup elle n’a pas hésité à me provoquer en me disant qu’elle trouvait ce beau black très appétissant.
Chez Mickaël, nous avons bu quelques verres puis le groupe à commencer à se disperser. En me saluant pour me dire au revoir un de mes copains m’a conseillé de mieux surveiller Nathalie. A ce moment je me suis rendu compte que les petites manuvres entre ma copine et Souleymane n’étaient pas passées inaperçues. Un sentiment de honte m’a alors envahit.
Soudain, alors que nous étions chez lui, Mickaël a pris ses affaires et s’est préparé à son tour pour partir. Quand je lui aie demandé pourquoi, Il m’a dit que Souleymane et lui ont échangés leurs apparts pour ce soir.
Voyant mon air surpris, il me dit alors sans détour que Souleymane lui a demandé ça parce qu’il a flashé sur Nathalie et qu’il espère se la faire dès ce soir. Lui aussi avait remarqué les approches de Souleymane sur Nathalie. Il ajoute que cela ne l’étonne pas, que c’est un sacré queutard, qu’il arrive toujours à ses taper les filles qu’il veut et qu’aucune ne lui résiste.
Sans vouloir te décourager me dit-il, il est vraiment balaise, il ne vaut mieux pas que tu tentes de l’en empêcher. Laisses tomber et viens avec moi.
Abasourdi par cette révélation plutôt brutale, je réponds que je n’y crois pas que je ne suis pas d’accord et que je reste avec ma copine. Il n’a pas insisté et s’en est allé.
Comme tu voudras !
Très inquiet après ce que m’avait dit Mickaël, je décidais de retrouver Nathalie pour partir à notre tour. C’est alors que je vis que les choses sérieuses avaient déjà commencé. Dans la cuisine, Nathalie était en train d’embrasser goulûment Souleymane et ce devant les derniers invités en train de partir. J’étais tétanisé. Je sentais le sourire moqueur des garçons et celui envieux des filles. J’étais comme fou. Elle avait pris le visage du black entre ses mains pendant que lui, lui tenait par les hanches. Ils ont mis plusieurs secondes à se rendre compte que j’étais là.
Je me suis mis à hurler et me dirigea vers Nathalie pour la dégager de Souleymane convaincu que celui-ci abusait d’elle. Il se tourna alors vers moi, me pris par le bras en me demandant de me calmer, de m’asseoir bien sagement sur le canapé du salon et de ne plus bouger. Je n’étais pas du tout décidé à me laisser faire alors il m’a attrapé et fait une clé de bras pour me forcer à m’agenouiller. Je n’ai rien pu faire il était vraiment très fort. Paniqué, fauché par la douleur j’ai cédé.
Puis Il est allé refermer la porte de l’appart après le départ des dernières personnes. J’étais humilié. Terrassé ainsi devant Nathalie qui ne bronchait pas. Cette vision semblait même l’exciter. Il m’a ensuite relevé et assis sur une chaise. Il m’a noué les mains derrière le dos et sur le dossier de la chaise avec une lanière de je ne sais quoi qui traînai là.
Je suis désolé mais c’est pour t’empêcher de faire des bêtises me dit-il.
Nathalie lui pris alors la main et sans un regard pour moi l’entraîna vers la chambre juste à côté.
L’alcool aidant j’accusais le coup attaché sur la chaise. Je vis leurs langues s’entremêler de manière très sensuelle. Nathalie n’en pouvait plus, elle était survoltée et devait certainement avoir l’entrejambes très humide. Je compris avec horreur qu’elle était parfaitement consentante. Souleymane glissa alors ses grosses mains noires calleuses le long de ses longues jambes fines jusque sous sa jupe. Il attrapa alors sa petite culotte et lui arracha violemment d’un geste sur et sec. Elle poussa un petit cri de surprise puis se mit à rire en voyant ce qu’il restait de son slip sur le sol. À son tour, elle lui retira son tee-shirt et commença à caresser et à embrasser son torse d’ébène si musclé, du haut vers le bas, de ses larges épaules vers ses pectoraux bien saillants en descendant sur les abdos. Arrivée à la ceinture qu’elle retira doucement, elle ouvrit son pantalon laissant apparaître un caleçon bien gonflé sur l’avant pendant qu’il faisait voler son petit haut si sexy de l’autre côté de la pièce.
J’étais aux premières loges, ils se tenaient dans l’entrebâillement de la porte. Merde ! Ce négro va sauter ma copine sous mes yeux. J’étais totalement humilié mais bizarrement, ma colère et ma frustration s’estompaient devant ce spectacle qui commençait à m’exciter moi aussi.
Nathalie a alors baissé le caleçon de Souleymane laissant se dresser une bitte d’une taille impressionnante. Elle lui a tout de suite fait remarquer en ajoutant qu’elle n’en avait jamais vu d’aussi grosses. Puis l’a attrapé et l’a enfournée dans sa bouche. La taille du braquemart était vraiment ahurissante et lui posait quelques difficultés. Elle faisait ce qu’elle pouvait pompant le plus loin possible cet énorme pénis.
Quand je pense qu’elle a toujours refusé de me sucer sous prétexte qu’elle trouvait ça sale et qu’à la première vue de cette énorme bitte black elle n’a pas hésité une seule seconde. J’étais complètement détruit, la suppliais d’arrêter mais en même temps mon excitation montait encore d’un cran devant cette scène incroyable.
Après plusieurs minutes de ce traitement, Souleymane ne s’est pas retenu plus longtemps et a lâché son épaisse purée sur le visage d’ange de Nathalie. Elle a bien sûr avalé avec gourmandise. Un peu de sperme lui dégoulinait de la bouche sur le menton.
Elle s’essuya avec les doigts s’y prenant en plusieurs fois puis les a léchés pour ne pas en perdre une goûte. La sensualité du moment m’avait rendu muet. De toute façon ils restaient sourds à mes cris. Une tempête venait de se déclencher dans mon caleçon. Ma propre copine suçait la bitte d’un autre devant mes yeux et ça me faisait bander.
Comme elle se relevait, il lui retira le soutien-gorge d’un seul geste puis sa jupe avec laquelle il s’essuya la fleur. Toujours sans un regard pour moi, ils retirèrent leurs chaussures et se dirigèrent entièrement nus vers le lit.
À ce moment, caché par la cloison je ne voyais plus rien mais j’entendais tout ! Nathalie gémissait comme je ne l’avais jamais entendue. Elle hurlait à la fois de douleur et de bonheur d’être pénétrée si profondément par cette énorme queue black. À peine couverts par les grincements du vieux plumard de Mickaël, Nathalie le suppliait tantôt de continuer encore plus fort, tantôt d’arrêter tellement la douleur était vive. Il lui criait des insanités :
Salope ! Chienne ! Petite pute blanche !
Les fenêtres étaient grandes ouvertes et j’imagine que tout le quartier a dû profiter de leurs ébats.
Ils ont fait l’amour toute la nuit. Je pense que Nathalie a eu droit à la totale : plusieurs pénétrations, levrette, 69 et même sodomie. Lui l’insultait et je l’entendais lui frapper les fesses. Ce porc prenant vraiment son pied. Ça a duré des heures et à chaque fois elle atteignait l’orgasme. J’étais à la fois déshonoré mais toujours très excité. J’avoue avoir eu de l’admiration pour le talent de cet africain si doué qui donnait tant de plaisir à ma dulcinée aussi facilement.
Plus tard dans la nuit, il s’est levé boire un verre. Pour la première fois il m’adressa la parole.
Je te détache à condition que tu restes tranquille. Je t’autorise à te branler sur le canapé mais je t’interdis de t’approcher de la chambre !
J’acceptais docilement. Puis il me dit que ma copine était super bonne et que j’avais beaucoup de chance. On croit rêver !
Après quoi il me confie son histoire surprenante, comme quoi lui et ses frères de couleur adorent se taper des pétasses blondes comme Nathalie.
Elles ne sont bonnes qu’à ça !
Ils ont même entamé une sorte de concours ou ils se prouvent leurs exploits grâce aux trophées qu’ils ramènent, à savoir des sous-vêtements des femmes qu’ils tronchent. Pour son compte, Nathalie sera la numéro 9. Demain matin il s’en ira et nous laissera tranquille. Après quoi il reposa le verre et retourna dans la chambre baiser Nathalie encore une fois. A le voir comme ça : nu, son énorme sexe bandé, son parfait corps d’athlète et son cul galbé comme une statue grecque, je me rendais bien compte que je ne pouvais pas tenir la comparaison.
J’ai eu une pensée émue pour le père de Nathalie. Un type pas très sympa et notoirement raciste et me suis demandé ce qu’il penserait de voir sa petite fille chérie se faire ravager ainsi par un black.
Au matin, après avoir pris une douche ensemble qui dura un certain temps, ils se sont rhabillés, et Souleymane enfin rassasié a voulu partir. Il garda le soutien-gorge de Nathalie en lui disant que si elle voulait le récupérer il faudrait qu’elle vienne le chercher. Elle lui a répondu que cela ne lui posait aucun problème ignorante qu’elle trônerait ainsi dans son tableau de chasse.
Elle était totalement conquise et je reconnais que l’autre l’avait réellement comblée.
Elle le complimenta sur sa virilité et sa performance de la nuit, lui donna son numéro de téléphone en indiquant qu’elle était prête à recommencer n’importe quand et de je n’y verrait pas d’objection. Enfin ils se sont longuement embrassés une dernière fois.
Sans un mot, j’ai raccompagné Nathalie chez elle juste vêtue de son petit haut chiffonné et de sa mini-jupe couverte de taches blanches.
Anéanti par cette soirée, je revoyais sans cesse ma belle Nathalie superbe blonde aux yeux bleus se faire remplir par ce puissant black. Cela n’arrêtait pas de me poursuivre. Pourtant, convaincu de l’avoir perdue, elle m’a rappelé deux jours plus tard. Elle voulait sortir, elle voulait me voir. Elle agissait comme si de rien n’était. J’avais dans la tête l’image de Souleymane et elle faisant l’amour mais j’étais toujours amoureux d’elle j’ai évidemment dit oui.
