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Jeux de rôle chez le proctologue – Chapitre 2




Anne-Marie alla ouvrir pendant que Noël sasseyait derrière son bureau et me disait de me placer à ses côtés.

La porte souvrit sur un couple entra suivi dAnne-Marie qui referma la porte, Noël se leva salua les arrivants et me présenta à eux en précisant que jétais un jeune homme intéressé par sa profession et que je laidais tout en minstruisant dès que cela était possible, lhomme me regarda et eut un ptit sourire que je trouvais un peu salace, sa femme ne dit rien et sassied sur la chaise que lui présentait Anne-Marie. Les deux personnes devaient avoir dans les 65 ou 70 ans, la femme avait un air revêche et mal aimable quand à lhomme, après lavoir observé discrètement, il me fit limpression dun vieux pervers, surtout quand je surpris le regard quil posait sur mes jambes nues, la blouse quAnne-Marie mavait prêté arrivant juste au ras de mes fesses. Noël pris la parole et regardant son écran dordinateur dit « alors, visite de contrôle, Étienne, 68 ans, pas de problème spécifique, bon mon jeune assistant va vous aider à vous déshabiller puis il vous aidera à vous mettre dans le fauteuil dauscultation », je compris que je devais intervenir, je pris le gilet que lhomme me tendit et le posait sur une chaise libre alors que Noël me disait « tu ouvres la chemise pour que je puisse écouter le cur pendant lexamen et tu aides monsieur à enlever le bas, tu laisses juste les chaussettes et tu enlèves tout le reste », je commençais par la chemise que je déboutonnais doucement, alors quAnne-Marie se positionnait derrière la femme et que Noël, sappuyait à son bureau.

Une fois les boutons défaient, jécartais les pans de la chemise qui souvrait sur un torse recouvert dune toison blanche abondante, je vis que les tétons de lhomme étaient dressés et comme il tournait le dos à tout le monde et que personne ne me voyait, je posais mes mains sur sa poitrine pour écarter complètement les pans de la chemise tout en caressant au passage ses tétons qui effectivement étaient bien durs, lhomme ferma les yeux mais ne dit rien.

Je maccroupis retirais les mocassins dans lesquels il était nu pieds, puis commençais à défaire la ceinture de son pantalon, jouvrais ce dernier en déboutonnant le bouton de la ceinture et ceux de la braguette, un slip blanc immaculé apparu, je baissais le pantalon jusquau chevilles, ses jambes recouvertes de poils jusquà ses pieds sur lesquels des touffes de poils étaient implantées, et lhomme sappuyant sur mes épaules leva ses jambes lune après lautre pour que je prenne le pantalon, je me relevais, le pliais et le posais sur la chaise où était déjà placé le gilet, puis maccroupissant à nouveau, jallais enlever son slip, mon string était déjà bien tendu par lérection qui lhabitait depuis que javais commencé cette séance deffeuillage.

Lhomme nayant pas changé de position, je me retrouvais avec la figure à hauteur de sa taille et la bouche à hauteur du très léger renflement, que faisait son sexe, dans son slip, je saisis lélastique du slip de chaque côté des hanches et commençais à le faire descendre très doucement, la respiration de lhomme saccéléra et passant ma tête sur le côté, je vis que les mains dAnne-Marie étaient plongées dans le décolleté de la femme et quelle massait la poitrine de cette dernière. Quand le slip fut enlevé, je me retrouvais en face dun pubis recouvert de poils blancs, une vraie forêt vierge, le sexe de lhomme était replié sur lui-même et seul son gland dépassait de cette forêt de poils. Alors que jallais me relever, Noël mapostropha et dit « passes tes bras par derrière et écartes les fesses, sil te plaît, il me semble que tu vas avoir un ptit travaille de rasage à faire, je fis ce quil me demandait et me penchait un peu plus en avant pour passer mes bras autour de la taille, de ce fait javais devant la figure presque collée au pubis dÉtienne.

Cétait un peu comme me mettre un morceau de chocolat devant la bouche dun enfant en lui disant « pas touche », évidemment, la position dans laquelle je me trouvais était très excitante, pour Étienne aussi dailleurs, alors que jécartais ces fesses, il donna un petit coup de reins et son gland tapa ma joue, je tournais la tête pour faire face à son bas-ventre et alors que jouvrais la bouche, il donna un second coup de reins qui dirigea son gland directement dedans, je commençais par lécher le gland très doucement, ce qui lui fit pousser un petit gémissement, Noël croyant que je tirais trop fort sur les fesses dit « doucement, tu ne dois jamais faire de mal et cest pour cela que tu vas raser Étienne, car lanuscope ne rentrera pas sans arracher des poils, puis il se mis sur le côté et compris ce qui avait tiré un gémissement à Étienne.

Jétais entrain davaler sa bite, je la sentais qui durcissait mais elle ne grandissait pas beaucoup, je me régalais, je mâchouillais la verge encore un peu molle tout en léchant le méat et le gland, alors quavec mes mains, après avoir écarté ses fesses, je commençais dun doigt à lui titiller lanus, cette caresse lui fit donner un coup de reins qui fit rentrer tout entier sa verge dans ma bouche, oh pas de problème, vu la taille, elle y rentrait entièrement. Je commençais de doux va et vient sur cette verge qui à ma grande surprise grossissait mais ne sallongeais pas, Noël posa sa main sur mon épaule et dit « assez joué, il est temps que tu bosses un peu, tu va raser les fesses dÉtienne », la femme qui gémissait sous les caresses dAnne-Marie dit entre deux soupirs « peux-tu lui demander de raser son pubis et son sexe aussi sil te plaît, ça fait longtemps que ça na pas été fait ? ».

Je lâchais, à regret la bite que je suçais et me relevais pour constater quen fait lhomme était aussi velu du dos que du reste de son corps, même ses fesses étaient recouvertes de poils blancs, Noël tapota le fauteuil dexamen et lui dit « appuis toi la dessus en te penchant bien pour que ce jeune homme puisse te préparer correctement », lhomme appuya ses mains sur la fauteuil et écarta ses jambes le plus quil pu, Noël approcha une petite table à roulette sur laquelle il y avait une petite bassine pleine deau, une paire de ciseau, un rasoir et un petit bol de savon à raser avec un blaireau de poils souples, Noël me dit « tu vois dans notre métier il faut aussi faire attention de ne pas provoquer de douleur, or, là, si je mets lanuscope, je vais provoquer larrachage des poils alors avant il faut raser, tu dégages bien la raie et lanus ».

Je pris les ciseaux et commençais à couper les poils dépassants de la raie dÉtienne, une fois fait, je trempais une de mes main dans leau et de lautre, écartant ses fesses je les humidifiais pour pouvoir ensuite passer le blaireau et les enduire de mousse, jinsistais avec mon majeur sur lanus et Étienne gémit, « excusez moi, je vous ai fait mal », « petit salaud, non, bien au contraire, jadore ce que tu es entrain de faire », puis prenant le blaireau je le trempais dans la bassine puis le faisais tourner dans le bol de savon, écartant à nouveau les fesses dune main, je passais consciencieusement le blaireau sur toute la raie et insistais sur lanus, nouveau gémissement dÉtienne. Puis prenant le rasoir je mappliquais à mettre à nue sa raie culière.

En quelques minutes le cul dÉtienne était rasé et dans la position où il était, cela néchappa à personne, puisque tourné vers le bureau où sa femme était entrain de se faire gougnotter par Anne-Marie qui, à genoux, dévorait allègrement sa fente.

Noël me dit « il faudrait vérifier si il ne reste aucun poil qui dépasse », je me tournais vers lui et vit un grand sourire barrer son visage, je compris ce quil voulait que je fasse, je maccroupis derrière Étienne et écartant ses fesses à deux mains, je sortais ma langue et la passais sur toute sa raie dans une lente caresse, sans oublier de marrêter quelques secondes pour titiller lanus dÉtienne. Celui-ci gémit et dit « alors là, tu vérifies quand tu veux, à condition que ce soit de cette manière », je titillais à nouveau son ptit trou puis me relevais lui faisant pousser un cri de frustration « non, pourquoi arrêtes tu ? », je lui répondis quil lui fallait maintenant sinstaller sur la table de consultation pour que je puisse moccuper de son pubis comme me lavait demandé sa femme. Étienne se redressa et debout je pus constater que son ventre retombait lourdement sur son pubis et que vu la taille de son sexe au repos, heureusement quil savait où il était car il ne pouvait pas le voir.

Étienne sallongea sinstalla sur la table, je réglais les étriers pour que ses pieds se calent bien dessus et à laide des boutons, je réglais le bas de la table pour la lever de manière à ce que son entrejambe arrive à la hauteur de mes yeux, je souris, écarteler, sa raie apparaissait glabre alors quau-dessus cétait une vrai forêt. Je mouillais mes mains et commençais à mouiller les poils de son pubis, quand je descendis mes mains plus bas, une surprise mattendait, il y avait des poils, oui, mais pas autant que je ne le croyais, par contre Étienne disposait dune paire de testicules surprenante pour la taille de son sexe, je les enrobais de mes mains et sans en avoir lair, jen profitais pour juger de la taille, cétait impressionnant, et si cétait plein, il devait y avoir là-dedans de quoi arroser copieusement celui ou celle quil visait, sous mes caresses furtives, Étienne gémit, derrière nous sa femme gémissait de plus en plus fort sous les coups de langue dAnne-Marie. Pressé maintenant de voir les bourses dÉtienne sans poils, jappliquais la mousse à raser sur son pubis puis ses testicules, non sans glisser un doigt fureteur sur sa raie et de titiller son ptit trou.

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