Mon troisième réveil est plus soudain. Une vive douleur au niveau du gland me sort me ma torpeur. J’ouvre les yeux et c’est le visage de Malika qui me sourit. Je ne le lui rends pas mais je grimace. Je sens des mains s’affairer sur mon sexe.
— Putain, ça fait mal… Ai-je la force de dire.
— Chut, chérie, Domi en a presque fini.
— Mais que… Que me fait-elle ?
— Appuie-toi sur moi et regarde.
J’essaye de me relever. Je vois la grosse Dominique agenouillée entre mes cuisses en train de passer un anneau doré dans mon méat. Je retombe en arrière.
— Je suis chez une bande de tarés…
— Ordre d’Émile. Me dit Domi.
Malika, compatissante, m’embrasse. Ce baiser et la seule chose dont je me souvienne avant de tomber une nouvelle fois dans les vapes.
Les bisous sur mon front et les caresses me sortent une nouvelle fois de mon état comateux. Je lui souris et m’appuie sur mes avant-bras.
— Me voilà beau…
— Belle, ma chérie, belle…
Il est vrai que ma poitrine est parfaite, pour un peu je l’embrasserai si j’avais pu. Malika m’aide à me lever et me place face aux miroirs. Incroyable, je ne me reconnais pas. Une beauté fatale, mi-homme, mi-femme. Une femme avec une bite ou un homme avec une poitrine généreuse. Malika est magnifique également. Sa poitrine fait la même taille que la mienne. Je lui caresse les fesses, les reins puis les seins. Elle grimace.
— C’est encore sensible et le chirurgien revient dans une semaine pour nous enlever les fils.
C’est vrai que je n’avais pas pensé à ça. Je m’approche de la glace et je peux voir une petite cicatrice en dessous de chaque mamelon. Excellent travail, pensais-je. C’est dingue comment un tel volume est passé par une si petite incision.
— Alors, Vanness, enfin debout ? Me dit Dominique en revenant de je ne sais où.
Elle me prend la queue sans vergogne et me décalotte.
— Tu es magnifique avec ce "Prince Albert".
Je baisse les yeux et vois l’anneau doré entrant par mon méat et ressortant juste à côté de mon frein, au niveau de mon prépuce. Heureusement que j’étais encore à moitié endormie. Je te remercie Domi. Un gargouillis se fait entendre. C’est Malika. On se regarde et on part dans un fou rire. Il est vrai que cela fait plus de deux jours que l’on n’a rien avalé. Domi, en bonne infirmière, nous a préparé une bonne salade Caesar et servit dans le patio, à l’ombre des cocotiers.
— Bon, je vous laisse, j’ai mon compte-rendu à faire à Monsieur.
Je n’ai pas tout mangé, trop copieux. Le chirurgien nous a laissé une liste de recommandations.
"1- pas de massage violent, juste des caresses en évitant les cicatrices (Je reviens la semaine prochaine pour vous enlever les fils)
2- pas de baignade. Enfin pas vos poitrines.
3- Douches rapides avec séchage immédiat.
4- Vous êtes toutes les deux très belles."
On se regarde et on rigole.
— Je sens que l’on va ramasser mercredi prochain… Hihihi.
— Euh, comment ramasser ?
— Bin ma chatte et nos p’tits culs.
— Comment ça, NOS p’tis culs ?
Elle éclate de rire, se lève et part en direction de la villa en vociférant.
— Domi, Domi, il est vierge, il est vierge…
Là, je ne rigole plus. Me faire mettre. Me faire prendre. Il est vrai que dans les films pornos, ils, elles se faisaient enculer. Encore un truc de nouveau. J’ai soudain une impression de mettre fait couillonner. J’entends les filles revenir en rigolant à plein poumon.
— Comme cela on a une petite pucelle à déniaiser, viens avec moi. Me demande Domi.
Malika est partie dans sa chambre en sautillant comme un cabri.
Je vais vous passer l’introduction d’eau tiède à l’aide de la canule, opération répétée trois fois et la mise d’un gel lubrifiant grâce à une poire.
— Viens, on va rejoindre Malika, elle nous attend…
Effectivement, Malika nous attend dans son salon. Équipée d’un gode ceinture qu’elle masturbe lentement. Elle sourit, jubile. Domi dirige les opérations, si je puis dire. Elle m’installe à quatre pattes sur la table basse en teck.
— Détends-toi, ça va aller, me dit-elle.
— Euh, je crois déjà avoir entendu ça.
Elle passe ses mains sur mes fesses, tout en s’agenouillant. Je ne peux plus la voir, sauf son reflet dans la télé. Elle darde sa langue entre mes fesses et me titille la rondelle. Une onde électrique me parcourt l’échine. Je sens ses doigts me violer mon illet. Malika, quant à elle, me présente son sexe factice devant la bouche et c’est mécaniquement que je le prends. Elle pose ses mains sur ma nuque et commence lentement à me baiser la bouche. À mon grand étonnement, j’éprouve une sensation nouvelle. J’aime leur sexe et leur langue qui s’immiscent dans mon intimité. Autant Dominique est agile avec sa langue que Malika sait y faire avec son sexe de silicone. Elles me baisent le cul et la bouche avec délectation. Je me surprends à aimer ce traitement en forçant Malika à me prendre plus violemment. Elle me sourit en enfonçant son gode plus loin dans ma bouche. Je bave et j’ai des relents mais elle force, me force de plus en plus, de plus en plus loin, de plus en plus en plus vite. Je sens les doigts de la grosse Domi fouiller mon fondement. J’essaie de tousser mais Malika ne se retire pas. Elle est en transe. Dommage pour moi. Elle ralentit le rythme et demande à son vis-à-vis si mon trou est prêt. Elles changent de position, Domi se penche devant mon nez en prenant appuie sut le mur, m’offrant sa chatte luisante et son gros cul. Je plonge dans les effluves enivrants de la grosse pendant que Malika positionne son gland factice sur ma rosette. Elle pousse.
— Hum, oui… Trop bon.
Cette phrase ne vient pas de Malika, mais de moi. Me savoir remplie par ma princesse black décuple les sensations. Je cherche du plaisir et de la jouissance. Elle me prend comme un mec le ferait, violemment, et j’aime cela. J’ai le nez planté dans la chatte de Domi et le cul sodomisé par ma reine africaine. L’extase. Je jouis, du cul et des flagrances de Domi. Je m’effondre de plaisir. Je reprends mes esprits, mais déjà le gourdin de Malika se présente à ma bouche. Je le suce avec avidité. Domi s’est équipé du même ceinturon que son amie, mais en plus gros, plus long et sans attendre elle me pénètre. J’ai envie de gueuler, mais la queue de Malika m’en empêche. Je bave, je pleure, je renifle. Je suis prise des deux côtés.
— Alors Vanessa, tu aimes nos bites ? M’interroge Domi.
Je ne peux répondre, Malika se déchaine dans ma bouche, mon sophage. Mon nez vient buter sur son pubis et je m’enivre de ses odeurs. Elle me tire par la nuque, me défonçant la glotte. Domi n’est pas en reste. Elle me pénètre jusqu’à la garde en me tenant fortement par les hanches. On transpire, nos jus corporels se mélangent. Les corps claquent. Elles se déchainent. La première à abdiquer, c’est Domi. Elle sort de mon cul dans un bruit de sussions immonde et quand Malika me libère la bouche, je m’étale sur la table. Elles partent dans un fou rire. Je reprends mes esprits. Malika me tend une bière.
— Te voilà déniaisée, ma chérie. Me dit Malika en m’embrassant.
— Putain, vous n’avez pas été de main morte.
Elles rigolent tout en sirotant leur canette. Je me suis levé(e) et assis(e) au comptoir entre mes deux initiatrices.