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Des cours (très) particuliers – Chapitre 8




Le pire cauchemar

Léa tenait un micro. Une salle comble. Uniquement des jeunes femmes.

— Grande nouvelle, les filles !!! Ce soir notre prof de maths est venu avec nous ! Non pas pour nous donner un cours de maths… nooon. Mais pour notre plaisir ! Tout simplement…

Applaudissements.

— C’est un grand maso, un vrai loser ! Il aime perdre, se soumettre, ramper… il doit aimer un tas d’autres choses aussi, ce soir on va essayer de le découvrir.

Cris et rires. Thomas pâlit.

— Pour commencer, je vais vous passer nos meilleures vidéos. Mais évidemment, nous allons en faire d’autres.

Rires, puis applaudissements.

— Mais avant, nous allons le faire venir. On lui a bandé les yeux, il ne peut donc pas vous reconnaitre. Je vous demande de me laisser faire les vidéos et les photos. S’il vous plait éteignez vos portables. Maintenant.

Cri de déception.

— Je sais, mais c’est nécessaire. Pour votre sécurité d’abord, vous ne devez pas être reconnues. Pour la sienne aussi, car tant que rien ne filtrera en public, il continuera de nous obéir comme un bon toutou. Nous avons le contrôle, voulons-nous le garder ?

Cris de joie. Des hourras.

— Pour commencer, les vrais acteurs vont vous jouer la première saynète, intitulée "3 heures de colle".

Applaudissements.

Emma poussa alors le prof devant elle, et ils pénétrèrent dans "l’arène" d’une salle des sports. Les étudiantes firent le silence, puis il y eut un grand éclat de rire. Le contraste entre son beau costume-cravate et ses yeux bandés/mains liées faisait indubitablement ressortir le comique de la situation.

Thomas sentit deux mains sur ses bras de chaque côté de lui.

— Monsieur, Monsieur ! Pourquoi vous m’avez mis 3 heures de colle ce matin ? s’amusait Souhila.

— Heu… parce que tu… vous les avez méritées

— Monsieur ! monsieur ! Vous pouvez pas les lui enlever ces 3 heures de colle ? intervenait Tiphaine à son tour.

Léa s’approcha de lui et lui souffla à l’oreille:

— si tu m’obéis et si tu joues de rôle, je t’éviterai le pire. Sinon… gare ! tu as compris ?

— Oui… Mademoiselle ! susurra-t-il, docile.

L’assistance était attentive, soudain.

— Je ne peux pas faire ça ! Je vais perdre toute… mon… autorité! fit-il. Amer.

— Monsieur, Monsieur ! Vous préférez que je diffuse cette vidéo où vous faites des choses ? faisait Souhila.

— Monsieur, Monsieur ! Vous voulez vraiment qu’elle publie cette vidéo ? renchérissait Tiphaine.

— Non, non… ne faites pas ça !

— Monsieur, Monsieur ! Alors vous faites quoi pour ces 3 heures de colle ?

— Oui… Monsieur, Monsieur ? Vous faites quoi ?

— C’est d’accord, je retire les 3 heures de colle ! conclut Thomas fidèlement à ce qui s’était passé.

Un déluge d’applaudissement ponctua la fin de l’improvisation.

A haute voix, Léa reprit:

— Veuillez vous présenter, Monsieur !

— Th… Thomas Herbert, prof de maths à Verdier… fit-il-il d’une voix émue. Deux enfants, divorcé…

Un silence passa sur la salle.

— Et un GRAND loser… très bon lécheur de chattes ! Lança Léa, ce qui eut pour effet de déclencher l’hilarité générale.

Thomas se sentit à nouveau proche de craquer. Léa le sentit et se rapprocha de lui. Elle posa la main bien en évidence sur son entrejambe.

— Monsieur Herbert ! Est-il vrai que vous aimez lécher la chatte de vos élèves en cours particuliers ? fit-elle, tout en lui massant la verge à travers le pantalon.

Des rires fusèrent. Thomas sentit des ondes de plaisir lui vibrer dans les reins. Il était déshonoré et pourtant se retrouvait de nouveau l’objet d’une puissante érection.

— Alors ? Est-ce vrai ?

-… Aucun son ne sortit de sa gorge nouée… il se sentait complètement coincé.

Léa sentit qu’il allait nier et détourna l’attention.

— Pour répondre à cette question: Il est temps de voir notre première vidéo !

Sur l’écran derrière elle apparut une vidéo tournée dans la chambre d’Emma. Léa avait flouté le visage de sa sur, ainsi que les posters sur les murs. On le voyait nettement faire jouir la jeune femme, à genoux face à elle. On entendait distinctement les bruits de succion et les gémissements d’aise qu’il lui soutirait.

Un rire général suivit la stupeur du premier instant. Souhila et Tiphaine faisaient à côté des grimaces suggestives pour faire monter l’ambiance d’un cran.

Ensuite il y eut un montage de deux autres vidéos, toujours floutées, mais entremêlées, ce qui donnait l’impression qu’il prodiguait des dizaines de cunnilingus.

— Monsieur Herbert, est-ce que vous reconnaissez que cette vidéo est authentique ? insista Léa. Sûre d’elle.

— oui… (voix faible)

— Nous n’avons pas bien entendu… pouvez-vous parler plus fort ?

— OUI !

— Oui, qui ????

— Oui… Mademoiselle ?

— Bien. Je crois que je peux vous tutoyer, vous ne croyez pas ?

— Oui… Ma… demoiselle…

Rires.

— Thomas ! Je peux t’appeler Thomas, ça te gêne pas ?

Enorme rire tout autour.

— Non, Mademoiselle. Une vague chaude envahissait son visage. Il continuait à bander très fort.

— Je trouve que tu es bien excité Thomas ! Pas vous ? fit Léa en empoignant sa verge à travers le pantalon.

Rires et sifflets.

— Est-ce qu’on t’a forcé à lécher ma sur ?

-… N… non Mademoiselle

— C’est donc toi qui es un gros porc, on est d’accord ?

— Oui… Mademoiselle, souffla le prof subjugué par son désir que les doigts exacerbaient habilement.

Il lui semblait que son sexe était devenu le centre de sa réflexion, plus aucune pensée cohérente n’arrivait à se former ailleurs.

— As-tu envie de lécher… d’autres chattes ce soir, Toto ?

— Comme vous voudrez Mademoiselle…

— Ca veut dire oui ?

— Oui… Mademoiselle !

Rire et applaudissements.

Une série de 3 photos apparut alors à l’écran, on y voyait les fesses du prof, avec écrit "gros" et "con" sur chaque lobe. Elles tournaient en boucle. L’assistance était suspendue aux lèvres de Léa.

— Toto ? Heu… Ca ne te dérange pas que je t’appelle Toto ? N’est-ce pas ?

— Non… Mademoiselle

— Toto, ce sont bien tes fesses qu’on voit là?

— Je suppose, Mademoiselle…

— Peux-tu nous dire ce qui est écrit dessus, et QUI l’a écrit ?

— Il y a écrit "gros con" et c’est moi qui l’ai écrit…

Rires et fous rires.

— Pourquoi as-tu fait une chose pareille, Toto ?

— Parce que vous me l’avez demandé, mademoiselle…

— Excellente réponse. Et pourquoi fais-tu tout ce que je te demande ?

— Parce que vous détenez des vidéos pour me… contraindre, Mademoiselle ! Il avait failli dire "chanter" mais s’était abstenu de la provoquer en public.

— De quoi as-tu peur, mon Toto chéri ?

— J’ai peur de perdre mon travail, Mademoiselle.

— Qui suis-je dorénavant pour toi, Toto ?

— Vous êtes… ma Maîtresse…

— A genoux mon bon chien, viens embrasser mes pieds !

Et il s’exécuta sous les applaudissements et les rires d’une assemblée de filles surexcitées. Elle venait de le briser moralement devant un parterre d’étudiantes qu’il avait formées en majorité. Léa et Souhila les avaient choisies parmi celles qui avaient eu maille à partir avec lui et qui avaient gardé un compte à régler. Il rampa à quatre pattes et déposa des baisers sur les chaussures de Léa. Personne n’était là pour le plaindre, et son excitation visible ne pouvait qu’augmenter la cruauté de toutes ces femmes.

Soudain Thomas ouvrit les yeux ! Il venait de se réveiller. Il était seul… dans son lit, en sueur…

Alors, ce n’était qu’un rêve ? Non… Un cauchemar plutôt.

C’était son pire cauchemar: voir sa vie professionnelle détruite. Enfin… c’était ce qu’il croyait, car ce qui allait se passer en réalité n’était pas du tout ce qu’il anticipait !

(A suivre)

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