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Une colocation bien particulière – Chapitre 1




Salut c’est votre folle de lycra

Manifestement le thème de la colocation entre filles vous a bien plu. Aujourd’hui nous allons partir avec Coralie et Delphine étudiantes en biologie toujours à la fac dans la vallée de Chevreuse. Toutes les deux louent une chambre chacune chez un particulier dans une simple et grande maison. Bien évidemment les chambres se trouvent à l’étage, étage où se trouve aussi la fille du propriétaire cette dernière se prénommant Marie. Franck, le propriétaire est séparé et il loue des chambres pour essayer de se faire un peu d’argent pour pouvoir payer taxe foncière et taxe d’habitation ; qui sont assez chères dans la région. Les deux ravissantes petites jeunes viennent du lycée Saint-Joseph de Toulouse où elles ont fait une bonne partie de leur scolarité ensemble. Les deux Toulousaines se sont lancées dans des études en biologie et se sont retrouvées obligées de se délocaliser. Ce qui leur plaisait en étant logées chez l’habitant c’est quelles restaient ensemble et qu’il y avait aussi un petit côté familial.

Elles ont rapidement apprécié la maison où elles avaient pour ainsi dire le premier étage que pour elles. En fait elles sont arrivées mi-août sur zone pour pouvoir aller un peu traîner dans Paris et découvrir les environs tranquillement avant d’attaquer les études. Les deux étudiantes savaient qu’elles avaient un penchant l’une pour l’autre et elles s’étaient déjà laissées aller durant leurs années de lycée. Jusqu’à présent, elles jouaient à touche-pipi quand l’une était chez l’autre et vice-versa, à trois reprises elles étaient parties camper et en avaient profité pour entrer plus dans les détails. Lors de ces occasions elles avaient découvert leur corps et surtout les parties sensibles de ce dernier. Elles découvrirent surtout lors de ces bivouacs improvisés combien une langue pouvait faire frissonner et donner du plaisir. Bref cette année-là elles avaient eu leur bac avec mention mais surtout elles connaissaient le corps de l’autre parfaitement au niveau de la douceur, au niveau de son odeur, au niveau du goût.

En peu de temps Coralie et Delphine étaient devenues des épicuriennes du corps féminin, du coup quand elles se sont retrouvées seules au premier étage de ce pavillon et se sont retrouvées en amoureuses. Dans chaque chambre il y avait un grand lit confortable deux places et ces dernières étaient spacieuses, ce qui fît que rapidement elles se sont interrogées sur le fait de ne prendre qu’une chambre pour elles deux. Elles étaient heureuses, et amoureuses l’une de l’autre du coup dès que l’occasion se présentait elles se bécotaient, se caressaient, se faisaient du bien à l’abri de tous les regards. Quand elles descendaient au rez-de-chaussée, plus rien ne se voyait, elles quittaient leur jardin secret que personne ne devait découvrir. Voilà déjà dix jours qu’elles étaient arrivées dans cette vallée verdoyante et elles avaient pris leurs habitudes secrètes inavouables. Depuis le début elles dormaient ensemble et je peux vous garantir que le matin ça sentait bon le minou sous les draps.

Elles faisaient toujours attention à ce que les deux lits soient défaits le matin quand elles partaient, le plus mignon c’est qu’elles avaient installé un système de telle façon à ce que l’une porte les culottes de l’autre une journée. Le soir quand elles rentraient, elles se sentaient le minou et ça les excitait pour toute la soirée. Sachant qu’elles étaient toutes seules, elles regardaient la télé et préparaient la cuisine toujours en petite culotte. Compte tenu de leur beauté, si Franck avait su ça et qu’il était tombé sur elles dans leurs tenues légères ; je ne sais pas sil aurait pu se contenir. Début septembre un grain de sable est venu se glisser dans le rouage de leur petite vie amoureuse, Marie la fille du propriétaire rentrait de vacances et réintégrait sa chambre qui se trouvait elle aussi à l’étage. Les deux amoureuses ont dû modifier leur façon de vivre et surtout intégrer dans leur vie de tous les jours, la présence de Marie. Du coup maintenant qu’il y avait trois chambres occupées sur quatre disponibles, heureusement Marie était une grande teufeuse. Le soir, elle rentrait souvent très tard, ce qui permettait aux deux amoureuses de pouvoir s’aimer tranquillement une bonne partie de la soirée en toute intimité.

Le matin s’est vite révélé problématique car il y avait trois gonzesses qui voulaient se laver en même temps. Jusqu’à maintenant ce n’était pas grave car très souvent les deux coquines prenaient leur douche ensemble, elles se savonnaient et en profitaient très souvent pour se prodiguer des attouchements très agréables avant de se rincer. Coralie et Delphine ont continué à se laver ensemble sans que Marie ne trouve quelque chose à redire. Depuis le retour de la fille du proprio les deux amoureuses étaient obligées de regarder la télé le soir avec une longue robe toute douce en guise de chemise de nuit. Vous vous doutez bien qu’elles étaient collées l’une à l’autre et quaucune d’entre elles ne portait de culotte. Marie de son côté était une très jolie fille, elle aussi, et par moment elle arrivait à constater que les deux locataires la regardaient d’un il bizarre. Le petit moment devant la télé était l’instant de décontraction après les cours et le travail personnel en rentrant. Il était fréquent que les trois filles soient assises sur le canapé et qu’elles mangent la même chose.

Avec le temps les trois corps ne rechignaient plus à s’effleurer et allaient même maintenant jusqu’à se coller sans trop de problèmes mais en même temps Marie n’était pas souvent là le soir. Ces trois jeunes et belles femmes avaient le même âge étaient de la même année. Marie était étudiante à Paris et du coup elle se levait un peu plus tôt que les deux autres pour se rendre en train à son école, il leur arrivait maintenant de se rendre au cinéma toutes les trois. Au bout d’un mois, une certaine complicité commençait à naître dans ce trio féminin. En tant que jeunes filles voulant garder la ligne, elles ont même décidé de se mettre à courir le dimanche matin toutes les trois pendant 1h30 dans les bois à proximité. C’est à la mi-octobre que tout naturellement Marie a fini par se montrer nue devant ces deux amies au moment de prendre la douche après la course à pied. À vrai dire pour Marie c’était un peu plus dur, car souvent le samedi soir, elle faisait la foire mais elle tenait à courir avec ses nouvelles amies.

Naturellement quand elles se sont retrouvées toutes les trois nues dans la grande salle de bain, elles se sont regardées sous toutes les coutures et ont pu constater que leur toison nétait pas entretenue de la même façon. En fait ce jour-là Marie a avoué à ses deux amies qu’elle aimait bien la façon dont leurs minous étaient taillés. Bien évidemment les deux amoureuses se sont proposé de lui faire la même taille sur-le-champ, à leur grande surprise Marie a accepté la proposition. Dix minutes après, les trois filles étaient dans la chambre de Coralie, une grande serviette avait été étendue sur le lit et Marie était allongée des jambes écartées et ses deux amies allaient se charger de lui faire une taille similaire à la leur. Bien évidemment vous vous doutez bien que cela a dégénéré à ce moment-là et les deux femmes qui devaient se charger de la taille se sont aussi chargées de donner du plaisir à leur patiente. Cela s’est fait tout en douceur, tout naturellement, et Marie n’as rien vu venir, les deux comparses s’occupaient de la fille du proprio d’une façon très attentionnée.

Marie était complètement offerte, à tel point qu’elle avait fermé les yeux et pendant ce temps, ses deux amies se chargeaient de lui faire une taille au ciseau pour la longueur et au rasoir avec de la mousse pour le motif. Elle n’était vêtue que d’un t-shirt mais on pouvait deviner en dessous, la pointe de ses seins érigée, qui manifestement, désiraient bien plus qu’une taille de minou. De leur côté Coralie et Delphine veillaient à poser leurs mains là où le corps de leur victime consentante était le plus sensible. Marie commençait à respirer de plus en plus profondément avec une cadence de plus en plus rapprochée, bref elle était en train de commencer à prendre du plaisir. Coralie a constaté que Marie était toujours aussi offerte, elle a pris l’initiative de lui caresser la pointe des seins à travers le t-shirt. Une fois de plus la patiente s’est laissé faire et par-dessus ça, elle commençait à montrer qu’elle prenait de plus en plus de plaisir. Il n’était pas utile de lui caresser le minou pour la faire partir dans les nuages, des caresses sur ses zones érogènes suffisaient largement et je peux vous garantir qu’il y en avait.

Au bout d’une bonne demi-heure d’un travail de barbier, mais surtout de caresses bien précises et efficaces ; la fille du proprio s’est mise à pousser des petits cris qui devenaient de plus en plus forts. La jouissance était en train d’arriver en elle et ses deux amies se sont regardées avec un sourire complice en se disant qu’elles avaient réussi leur coup. Quelques instants plus tard Marie a commencé à crier très fort et c’est Delphine qui a pris l’initiative de l’embrasser pour la faire taire. Au grand étonnement des deux amoureuses Marie a saisi Delphine dans ses bras pour échanger un long baiser. Heureusement que le papa Franck n’était pas là, car il aurait tout entendu et peut-être ce serait inquiété pour l’état de santé d’une des filles en haut. Pendant que son amie l’embrassait, Coralie a continué à caresser le corps de Marie dans ses recoins les plus sensibles, ce qui fit que l’orgasme ne redescendait pas. Quand le plaisir généré par les caresses a commencé à devenir insoutenable, Coralie a décidé d’y donner fin. Marie avait l’air entre deux eaux, on ne pouvait plus toucher son corps tant il était sensible, on avait l’impression qu’elle ne désirait qu’une seule chose maintenant, c’était dormir.

Quand les deux amoureuses ont vu dans quel état était la fille du proprio, elles ont préféré la laisser dormir en la recouvrant au préalable d’une douce couverture. De leur côté elles sont parties regarder la télé ; quelque part, elles étaient assez fières de ce qu’elles venaient de faire. Coralie s’est allongée dans le canapé en écartant ses jambes et Delphine est venue s’allonger, elle aussi entre les jambes de son amie, toutes les deux avec le pied droit par terre. Voir ces deux femmes aux cheveux longs, juste vêtues d’une longue et douce robe était vraiment un plaisir pour les yeux. La finesse de leurs tissus laissait imaginer sans problème la beauté de leur corps. Elles sont restées ainsi une heure devant le petit écran avant que Marie ne vienne les rejoindre, en fait elle est arrivée nue puis elle est repartie chercher la couverture. Là elle est venue s’allonger entre les jambes de Delphine ainsi ces trois ravissantes demoiselles étaient collées les unes aux autres à regarder la télé. Ce soir-là quelque chose venait de changer dans la relation entre ces trois jeunes femmes.

Une fois la fille du proprio bien installée entre les jambes de Delphine, cette dernière s’est mise à lui caresser le cou ainsi que le dos ; il y avait de la tendresse dans ses gestes. Le plus mignon c’est que Marie a récupéré la jambe droite de Delphine qui traînait par terre pour venir la positionner entre ses jambes. Cela faisait tout drôle pour Marie de sentir le pied de son amie entre ses jambes et pour Delphine, cela lui faisait tout drôle de sentir les poils pubiens de sa nouvelle amie sur ses pieds. Nous étions vendredi soir et elles sont restées très tard à regarder plusieurs épisodes de NCIS. Vu qu’elles n’avaient rien à faire le lendemain c’est le dernier épisode qui les a envoyées au lit. La chose la plus importante qui venait de se produire ce soir-là, c’est que les trois minettes allaient s’endormir dormir dans le même lit. Pour Marie c’était la première fois mais c’est venu tout naturellement et ses deux amies n’ont même pas eu besoin de l’y accompagner.

Marie elle s’est retrouvée au milieu de ses deux amies sous les draps et c’est ainsi qu’elles se sont endormies. Il n’y avait pas que la fatigue qui avait poussé cette jeune demoiselle dans les bras de ses deux amies, il devait y avoir aussi une part de sentiments naissants, ce sentiment était nouveau aux yeux de Marie mais manifestement cela ne la dérangeait pas. Il devait être une heure et demie du matin quand elles se sont endormies, de la façon la plus sage mais aussi la plus belle, en toute simplicité. Par contre au petit matin, c’est la nature qui les a réveillées ou plutôt leur physiologie…, en fait c’était la première fois pour Marie qu’elle se réveillait entre deux femmes et ça lui a fait tout drôle. Delphine et Coralie avaient le même parfum, par contre, leur invitée au lit, en avait un indifférent tout aussi suave et entêtant. J’aurais personnellement bien apprécié de me retrouver sous les draps, ce matin-là, avec ces odeurs de parfum mélangées aux odeurs de minous.

Ce matin-là Marie était en formation avec ses deux amies, elles étaient nues entre elles deux toujours vêtues de leur longue et douce robe. Elle était dénudée et n’arrivait pas à cacher son excitation naissante dévoilée par la pointe de ses tétons érigés. Quand Coralie a commencé à lui exciter ses extrémités mammaires, Marie a fermé les yeux de plaisir, elle était en train de se dire que c’était vraiment très agréable que d’être réveillée ainsi. Le soleil commençait à poindre à travers les volets roulants qui nétaient pas complètement baissés, ce qui permettait à ce que l’on ne soit pas dans le noir dans la chambre de Coralie. Le soleil qui voilà encore quelques instants était en train d’éclairer la tête du lit, était maintenant en train de descendre vers le visage de cette innocente demoiselle hétéro qui découvrait les plaisirs entre femmes. De temps à autre Coralie lui pinçait les tétons et Marie se mordait les lèvres pour ne pas crier de plaisir. Quand Delphine s’est mise à son tour à s’occuper du corps de leur invitée, cette dernière se tortillait dans tous les sens de plaisir.

En même temps cela s’expliquait car cette deuxième intervenante s’était mise à caresser le minou de Marie. Au début cette main entreprenante était juste venue découvrir cette Toison fraîchement débroussaillée, puis elle y a glissé un doigt pour aller ensuite le porter à sa bouche pour découvrir le goût intime de l’invitée. À chaque fois que le doigt de Delphine se glissait dans le vagin de Marie, cette dernière était à deux doigts de crier de plaisir, il n’y a pas à dire, ce qu’elle avait vécu pour la première fois hier soir, elle en voulait encore. Avec un tel traitement, elle n’a pas été bien longue à prendre de nouveau son pied mais ce coup-ci, c’est Coralie qui s’est chargée de l’embrasser avec passion pour neutraliser le bruit de ses cris. Comme la fois précédente Marie a enlacé sa partenaire qui l’embrassait ; désormais le baiser était passionné mais aussi gourmand. Avant de se rendormir une petite demi-heure, Marie a trouvé le temps de dire comme quoi:

— Faire ça entre femmes était un parfait complément à une relation hétéro.

Marie était désormais à voile et à vapeur.

En espérant que ce premier chapitre vous ait plu.

Gros bisous à vous

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