Agrippine est furieuse contre elle-même parce quelle na pas vu son fils devenir un homme, et un homme si dur. Elle comprend maintenant trop tard que ce nest pas elle qui dirige la maison et que son fils, ce fils chéri qui lui a permis de rester la femme dAugustus, est désormais lhomme de la maison et si semblable à son père.
En allant vers sa chambre, elle passe devant les appartements des esclaves et elle trouve une Reza couchée par terre, qui essaie de recouvrir son corps avec la robe déchirée. Agrippine lui assène un coup de pied dans les côtes.
— Aïe !
La jeune nubienne crie, mais Agrippine la soulève par les cheveux et elle se met à la gifler en linsultant :
— Sale négresse ! Traînée !
Reza pleure dabord en silence, mais, comme les coups pleuvent de plus en plus, elle se met à crier et à hurler. Craignant de réveiller son fils, Agrippine arrête la correction et elle sonne pour que Lydia, la chef des esclaves et lancienne maîtresse dAugustus, ouvre la porte des appartements des esclaves féminins.
Au contraire dAgrippine, Lydia est blonde, très grande ( 1m79 ) alors que sa maîtresse ne dépasse pas 1m65 et est brune, comme son fils Paulus. Contrairement aux autres esclaves, Lydia est née romaine et elle est devenue esclave pour payer les dettes colossales de son père. Bien quAgrippine fût officiellement la maîtresse de maison, Lydie na jamais obéi à ses ordres, du moins tant que Augustus était vivant. Bien au contraire, cest Agrippine qui a dû se plier aux caprices de cette esclave romaine et elle aurait même perdu son rang de femme mariée si elle navait pas donné un garçon à Augustus, qui était tombé amoureux de Lydia.
Quel homme aurait pu lui résister dailleurs, elle était naturellement blonde, ce que désiraient tant de femmes, et elle avait une plastique parfaite. Une poitrine généreuse, une bouche pulpeuse qui était une invite à la fellation. Tous les hommes se retournaient à son passage, avant quelle devienne esclave, elle était reconnue comme la plus belle femme de Rome.
Augustus avait essayé den faire sa maîtresse sans succès. Frustré, il avait racheté les dettes colossales du père de Lydia. Pour sauver lhonneur de la famille, celui-ci consentit quelle fût vendue à Augustus.
Agrippine se souvient de ce jour où Lydia était entrée dans la maison Ramus. Augustus, qui ne cachait pas ses infidélités avec les esclaves féminines, était impatient davoir celle-ci. Il narrêtait pas de bouger en attendant son arrivée, et, chose quil ne faisait pas avant, il nhésitait pas à peloter les jeunes esclaves devant sa femme, qui faisait semblant de rien voir.
Hautaine, Lydia entra dans la maison avec toute une suite desclaves à elle, portant sa garde robe, ce qui déplut fortement à Augustus qui sempressa dindiquer à cette encombrante suite les appartements réservés à Lydia. Après avoir renvoyé tout le monde, il conduisit Lydia dans les appartements dAgrippine et, sans un regard pour sa femme, la mère de son fils Paulus, il prit possession de Lydia dans cette chambre conjugale, en présence même de sa femme, qui subit là lune des pires humiliations.
Augustus sapprocha de Lydia avec le collier symbolique des esclaves et le lui passa au cou, malgré quelle affichât sa fierté dun air hautain.
— Tu es totalement à moi pour les vingt prochaines années, Lydia. Aucune femme ne me résiste. Tu aurais dû accepter mes avances avant. Même si ça ma coûté plus cher, je préfère que les choses se soient passées ainsi, tu es mienne maintenant, comme peut lêtre une chaise.
Lydia sentêta à lui rétorquer :
— Je ne suis pas une chose et tu ne me possèderas jamais !
Augustus lui fila une paire de claques tandis quelle se mit à crier au viol.
— Ha ha ha ha… Tu peux crier autant que tu veux, personne ne viendra aider une esclave.
Augustus lui arracha sa belle robe et, sous le choc, Lydia demeura quelques minutes sans réaction au fur et à mesure quelle se rendait compte de sa situation.
Augustus la mit à genoux devant lui. Pour la première fois, Agrippine, qui était restée dans la chambre, vit le sexe de son mari, qui lavait tant fait jouir, entrer dans la bouche dune Romaine et en forcer les lèvres. Elle vit Lydia, dabord réticente, avaler et administrer cette caresse que toute bonne Romaine refusait à son mari. Le sexe trapu et court qui faisait le bonheur dAgrippine fut avalé totalement par une Lydia qui semblait finalement se faire à sa nouvelle situation.
Agrippine entendit son mari, gémir de plaisir et dire des mots doux à cette femme, des mots que son mari avait cessé de lui dire depuis la naissance de Paulus, dix ans auparavant.
Les larmes dans les yeux, alors quAgrippine voyait pour la première fois son mari baiser une autre femme, Augustus était au septième ciel quant à lui.
Il voyait son sexe entrer et sortir de cette bouche somptueuse, ses lèvres tant convoitées lui étaient à présent livrées et cette salope de Lydia semblait bien sy connaître en fellation. Elle avalait et léchait son gland, elle titillait et caressait ses bourses. Ny tenant plus, il saisit la tête blonde de Lydia et il entreprit de réaliser un des ses plus grands fantasmes.
Il baisa furieusement la bouche de cette salope, il se projeta sans pitié au fond de la gorge, ne pensant quà son plaisir, il oublia les gémissements de douleur étouffés et surpris de Lydia, ainsi que les couinements et les pleurs de cette idiote dAgrippine dans son dos.
Lydia, qui croyait maîtriser la situation et faire plaisir à cet homme rondouillard quelle méprisait, sentit soudain ses mains agripper sa tête et coller sa bouche au sexe court mais trapu dAugustus. Elle comprit soudain quelle avait affaire à un homme dur et déterminé lorsque le phallus se mit à entrer et sortir de sa bouche à une cadence effrayante.
Aucun homme navait essayé de lui faire subir cet affront et aucun ne lui avait fait sentir comme en ce moment quelle nétait quun instrument de plaisir. Cétait elle qui avait lhabitude dutiliser les hommes, mais, cette fois-ci, elle était lobjet. Et elle sentait ce sexe, qui la pilonne, qui lui baise la bouche comme une chatte, qui létouffe. Elle était coincée, totalement livrée, et cela lexcitait plus que tout autre chose. Elle sentit ses cuisses mouillées pas la cyprine au moment où Augustus éjaculait dans sa bouche et quil lobligeait à avaler, comme une vulgaire putain desclave, le sperme du mâle dominant qui était désormais son maître.
Tout excitée et surprise de son émoi, elle avala tout. Elle vit avec plaisir Augustus seffondrer sur le lit conjugal de plaisir, mais elle laissa sa bouche sur le phallus trapu qui venait de ravager sa bouche et de déverser sa semence en elle. Elle resta là, à genoux, en attendant quAugustus reprenne ses esprits et quil lattire vers lui pour la tenir dans ses bras.
Ils sembrasèrent fougueusement et ils se rendirent compte à ce moment de la présence dAgrippine. Augustus se leva et il la mit à la porte comme une servante quon chasse des appartements des maîtres. Sauf que cétait elle, Agrippine, la maîtresse, qui était honteusement chassée de ses propres appartements par cette nouvelle esclave romaine le premier jour de son arrivée.
Cette situation dura un mois, quAgrippine passa dans les appartements réservées à Lydia, avant dêtre réintégré dans ses appartements et avant quelle pût voir Lydia, vêtue de la robe traditionnelle des esclaves, rejoindre les propres appartements des servantes.
Agrippine se souvenait de tous ces moments au moment où elle frappait sur cette porte et sa colère nen était que décuplée tandis quelle attendait que Lydia, lesclave en chef, vînt lui ouvrir la porte.