Une fois entré dans le chalet, je m’allonge sur le lit. Et après avoir somnolé un moment, je finis par m’endormir pour de bon.
Quand je me réveille, je jette un coup d’il à la petite horloge : il est presque 15 h ! J’aurais donc dormi près de deux heures ! Un instant, je me demande si on n’aurait pas ajouté quelque chose au café pour Mais je chasse bien vite cette idée, et je me lève. Par la fenêtre, je ne vois personne. J’entrouvre la porte : personne de ce côté non plus. Les filles sont sûrement dans la maison ; la chaleur est assez forte dehors. Sans doute préfèrent-elles attendre encore avant de sortir au jardin.
Je me dirige donc vers la maison. Au passage, sur un fil d’étendage, je remarque les deux minirobes qu’Eva avait demandé à laver. J’entre avec précaution. Elles ne sont pas dans la cuisine, mais j’entends des bruits venant du salon. Je me place dans un angle de la porte d’entrée du salon. Des gémissements, ceux d’Eva, ne laissent aucun doute sur leur activité !
Eva est assise dans le fauteuil, une jambe posée sur chaque accoudoir. Entre ses cuisses, largement écartées, je peux deviner la tête de Daniela. Elle est en train d’offrir à ma chérie, un cunnilingus d’enfer : il n’est que de voir sa langue en train de laper, en cadence, le minou d’Eva. Un spectacle qui me fait vite bander. C’est alors que Daniela remarque ma présence, et s’interrompt, relevant légèrement la tête :
« Pourquoi tu t’arrêtes ? » dit Eva, visiblement contrariée.
« Bob est là » chuchote Daniela.
« Mais vous pouvez continuer vous deux ! Je ne suis pas jaloux ! Je dirais même que ça m’excite terriblement de vous voir faire ça ! » Eva, qui n’attendait que ça, lance à Daniela :
« Reprends ça ! J’adore ! Et que Bob regarde, c’est encore plus excitant ! »
Daniela se remet à lécher, et, très vite, les gémissements reprennent. Eva, totalement ouverte ses cuisses sont écartées de manière obscène- se laisse emporter par le plaisir fou que lui procure cette langue agile sur son minou et sur son bouton d’amour. Daniela se révèle experte en la matière. Daniela, à genoux sur le tapis, la tête enfouie entre les cuisses d’Eva. Je trique comme un âne.
Je suis tout près d’elles, maintenant. Je regarde le visage d’Eva ces yeux mi-clos, cette respiration saccadée, entrecoupée de gémissements, de propos confus :
« Humm ! C’est bon ! Que c’est bon ! Encore ! Encore ! Oui ! Oui ! »
Je m’agenouille sur le côté ; je commence à lui caresser les seins avec ma main droite et à rouler ses tétons entre mes doigts. Elle réagit, mollement, étant déjà très excitée :
« Oh oui, Bob ! C’est bon ! Mes seins mon minou vous allez me rendre folle vous deux ! » Elle râle plus qu’elle ne parle, submergée par le plaisir.
Elle soulève son bassin, comme pour mieux offrir son sexe à la caresse buccale de Daniela. A ce moment-là je me lève et demande discrètement à Daniela d’échanger nos places. Je reprends alors le léchage de sa chatte. J’ai le nez sur sa vulve et son petit trou son petit trou.
Tout en continuant le léchage, je commence à titiller les bords de son cratère anal, avant d’enfoncer un bout de mon index à l’intérieur. Elle se raidit un peu et c’est là qu’elle se rend compte du changement en voyant Daniela lui caresser les seins et sucer les tétons.
Promener ma langue sur sa toison intime, laper son clitoris, doigter son anus, me procure un plaisir salace. Sans cesser de lécher le minou, j’enfonce avec délice deux doigts dans sa chatte, avant de commencer à la ramoner. Eva réagit par des gémissements amplifiés. Elle soulève à nouveau son bassin, cherchant à mieux accueillir mes doigts.
Ainsi, tout en continuant à lui laper le clitoris, je lui fouille le vagin à deux doigts, un troisième doigt étant occupé à explorer son petit trou. Je me rends compte, en même temps que Daniela joue avec gourmandise avec les seins d’Eva, les palpant, suçant les tétons.
Les halètements d’Eva s’amplifient, m’incitant à accélérer le mouvement des doigts dans sa chatte et dans son anus, augmentant, par contrecoup son excitation, jusqu’à ce qu’elle devienne incontrôlable. Elle émet une sorte de plainte rauque, puis un couinement. Un petit jet de cyprine me mouille le menton, inondant sa chatte et coulant sur ses cuisses. Eva vient de jouir. Je relève la tête :
« Cela t’a plu, ma chérie, n’est-ce-pas ? Rien qu’à voir comment tu es mouillée Et qu’on te tripote les nichons en même temps, c’était un plus ! »
Puis, voyant la cyprine dégouliner entre ses cuisses et risquer de tacher le fauteuil, je me mets à lécher avec gourmandise, ce nectar, fruit de son excitation :
« J’ai eu un orgasme c’est si bon de sentir ces doigts, ces langues, sur ma vulve, sur mes seins ! » Eva se redresse péniblement.
« Je suppose que Daniela veut connaitre la même chose ! » dis-je, en la regardant droit dans les yeux. Elle ne détourne pas le regard, mais lance :
« Il serait préférable qu’on aille dans le chalet du jardin si quelqu’un arrive, il va d’abord venir ici ! C’est plus prudent »
Nous acceptons et c’est en file indienne que nous quittons la maison pour le chalet. Dès la porte refermée, je fais assoir Daniela sur un des deux tabourets :
« Dommage qu’il n’y ait pas de fauteuil Alors, assieds-toi un peu sur le bord et écartes bien tes cuisses ! » Et me tournant vers Eva :
« Tu vas brouter le minou de ton amie et tu vas la faire bien jouir avec ta langue ! Et même avec tes doigts, si tu en as envie ! »
Eva se met d’abord à genoux, puis, voyant qu’il lui faut se pencher en avant, elle s’assoit alors sur le tapis, et glisse ses jambes entre les pieds du tabouret. Ainsi, son visage se trouve juste en face de la chatte velue de Daniela. Puis, posant ses mains sur les cuisses de Daniela, elle commence un léchage en règle. Il faut attendre un moment avant que la respiration de Daniela ne devienne plus rapide. Et quand Eva lui titille le clitoris, elle émet une sorte de miaulement de plaisir. Devant ce spectacle, je l’encourage :
« Vas- y ! Lèches lui bien son abricot ! Excites-là ! » Passant derrière Eva, je lui caresse les cheveux et le cou, pendant qu’elle astique le clitoris de Daniela. Puis, incapable de me retenir, je commence aussi à lui tripoter les seins :
« Tu as de beaux nichons je les adore, tes nichons ! C’est excitant de les prendre dans les mains, de les palper, de les soupeser. Et tu as un beau cul aussi ; j’adore toucher ces fesses rondes ; et cette belle raie qui sépare ces deux jolis melons fermes Cette belle raie avec un puits caché bien au fond ! »
Pendant que je monologue, Eva continue de lécher la vulve et d’astiquer le clitoris de Daniela, qui gémit de plus en plus fort. Gémissements qui deviennent des râles de plaisir. Puis, Daniela sent une excitation irrésistible lui envahir son bas ventre, et la jouissance explose. Elle glousse, un frisson de plaisir la parcours. Elle jouit, sa vulve est trempée. Elle semble un peu étonnée quand Eva se met à lécher la mouille de sa vulve, lui procurant du même coup d’excitantes sensations.
Elle reste ainsi un instant, immobile, attendant qu’Eva achève de lui nettoyer le minou, tandis qu’elle me voit en train de malaxer les seins d’Eva.
« Chéri, laisses-moi me lever ! » me lance Eva, sans chercher toutefois à se libérer de mes caresses :
« Tu es une sacrée coquine, et c’est comme ça que je t’aime ! » lui dis-je, tout en l’embrassant dans le cou. De plus, étant maintenant debout, elle sent ma queue dure qui touche ses fesses :
« Calmes-toi, voyons ! Attends au moins que je récupère ! » Elle me dit cela sur un ton badin, mais sans s’écarter pour autant de moi.
« Et puis, j’ai soif ! » dit-elle à l’adresse de Daniela, debout elle aussi.
« Attendez-moi ! » je vais chercher ce qu’il faut à la cuisine ! » Et elle sort.
Un instant plus tard, elle est de retour avec une grande bouteille thermo et trois verres :
« Elle contient un litre, et ainsi la limonade restera fraîche ! » commente- t-elle en remplissant les verres. Quant à moi, je suis toujours dans le dos d’Eva, presque collé à elle.
Je me mets à lui picorer son cou de baisers tendres et chauds, tout en lui murmurant :
« C’est ça l’amour joli, n’est-ce-pas ? » Elle a une réaction très tendre :
« Bob ! J’adore quand tu es comme cela ! Et tu m’as fait jouir comme une folle ! »
« J’aime entendre tes cris, tes gémissements ça me donne toujours plus envie de faire l’amour avec toi ! »
« Tu permets, Bob, ce n’est pas facile de boire comme ça » Je la laisse se détacher de moi. Elle boit tranquillement son verre, puis se retourne vers moi :
« C’est pour moi que tu bandes comme ça ? » elle s’amuse de voir ma queue turgescente, le gland décalotté. Puis, ayant reposé le verre vide sur la table de l’entrée, elle avance sa main droite et effleure ma queue de ses doigts :
« Hum ! Ta grosse queue pour moi tu veux me prendre comment ? » Elle cherche, par jeu, à me provoquer, à m’exciter.
« Si tu continues comme ça, je risque d’être brutal et je ne sais pas si »
« Quand j’ai été prise les deux fois, « ils » ne se sont pas vraiment montré tendres, non ? Et j’ai bien eu l’impression que ça t’excitait de me voir sautée de cette manière. Alors, tu veux essayer toi-même ? »
« Oh, oui ! Et tout de suite ! » Je saisi Eva aux hanches puis la fait retourner. Elle se retrouve penchée en avant, se tenant par les mains à la table, tandis que ses jambes, bien écartées sont posées au sol.
« Je n’ai pas de préservatif j’espère pouvoir me retirer à temps ou changer de trou ! »
« Tu es déjà mouillée, chérie ! Avoues que ça t’excite aussi ! » Ma queue s’enfonce dans son vagin, comme dans du beurre un étui chaud et humide à souhait.
« Petite cochonne ! Tu vas voir ce que tu vas prendre ! » Je la saisis de nouveau, à pleines mains aux hanches et commence à la ramoner doucement. Puis insensiblement j’accélère. Les gémissements plaintifs d’Eva reprennent.
« Tu aimes ma grosse queue comme tu dis, hein ? Si ça ne tenait qu’à moi, je me viderais dans ton vagin Mais je vais être sage ! » dis-je en me retirant doucement de sa vulve.
« Donnes-moi ton petit trou ! » J’écarte ses fesses à deux mains et je me penche pour voir son orifice anal. Daniela, qui se trouve à côté d’Eva, voit son visage se crisper un peu quand j’enfonce mon index dans son petit trou. Je fais deux ou trois passages, avant de le retirer. Puis je pose le gland sur son illet. Ma bite s’enfonce par à-coups dans son fondement. Daniela voir Eva se mordre les lèvres. Cependant ma bite ayant baigné dans la mouille d’Eva, elle finit par coulisser sans trop de problème.
« Tu vas jouir du cul, comme tu sais si bien le faire, hein, ma puce ? » Je reprends les aller -retour, tout en la tenant aux hanches. Puis, insensiblement, j’accélère la cadence. Les gémissements d’Eva, d’une autre teneur, reprennent. Ma queue s’enfonce totalement dans son fondement, mes couilles butant contre ses fesses.
« Mmmmm ! Salope ! Tu aimes te faire enculer ! » Maintenant je lui ramone l’anus avec frénésie. A chaque butée, son corps est secoué de spasmes. Daniela voit le visage d’Eva exprimer une certaine félicité. En plus, ses yeux mi-clos, et ses gémissements interminables
Daniela n’en peut plus. Sa main droite se pose sur sa vulve et elle commence gentiment à se masturber, puis, allant plus loin, elle s’introduit deux doigts dans sa chatte afin de se ramoner le vagin.
« Hmmm ! J’adore te prendre par- là ! Et puis ça t’excite comme une folle, hein ? » Eva n’arrête pas de geindre et de râler de plaisir. Je me mets à la pistonner presque sauvagement. Son corps est secoué de tremblements à chaque fois que mes couilles cognent contre ses fesses. Ses mamelles laiteuses se balancent en cadence. La table grince aussi. Ce qui m’excite encore un peu plus, c’est de voir Daniela se donner du plaisir avec ses doigts, devant le spectacle que nous lui offrons.
« Ma belle cochonne ! J’en peux plus ! » Je sens mon foutre se répandre dans l’anus d’Eva, qui émet des gémissements plaintifs et saccadés, amplifiés par ses halètements. Je reste une bonne minute comme cela, avant de me retirer. En même temps, Eva se redresse, péniblement et voit, à son tour, Daniela, se fouillant le vagin avec ses doigts.
« Tu vois, ton amie mouille rien que d’entendre tes gémissements de plaisir, rien que de te voir enculer elle se ramone le vagin ! Tu n’as pas envie de l’aider à ? »
Presque indifférente à mon propos, Daniela continue de plus belle. Emoustillée, Eva s’approche d’elle, et se met à lui caresser les fesses avant de glisser un doigt dans la raie.
« Elle veut te doigter le cul ! » lançai-je à Daniela, visiblement gênée par cette initiative.
« Laisses-la faire ! » Cette fois, Daniela panique un peu quand Eva se place derrière elle.
« Voyons, hier tu as bien léché le cul d’Eva ! Bon Radu t’a bousculée un peu pour que tu décides à le faire tu ne veux pas qu’Eva te lèche le cul ? » Daniela devient cramoisie, tandis que, derrière elle, Eva s’agenouille et lui écarte les fesses. Puis elle sent la pointe de la langue sur son petit trou. La honte l’envahit quand les passages successifs de la langue d’Eva finissent par provoquer chez elle un trouble très excitant Elle se surprend à onduler des fesses sous cette caresse osée.
« Tu aimes ça, on dirait te faire lécher le cul » Je suis volontairement provocant. Maintenant, Eva essaie d’enfoncer le bout de sa langue, dans le petit trou, provoquant un frémissement chez Daniela, qui commence à être déstabilisée par ce genre de caresse crue. Au point de ne plus parvenir à se masturber. Je m’approche d’elle :
« Je peux t’aider ? » Sans attendre sa réponse, je lui enfonce deux doigts dans sa vulve. Elle a un petit sursaut. La voilà debout, nue, en train de se faire fouiller le minou par deux doigts masculins, tandis qu’une langue féminine lui titille l’entrée de son petit trou ! Elle ne se tient plus, et se tortille de plaisir sans retenue. Ce genre de caresses devrait la révulser et voilà que ça l’excite ! Elle gémit doucement, tandis que, derrière elle, Eva retire sa langue afin de violer l’anus de Daniela avec son index.
Je vois Daniela se mordre les lèvres en sentant un doigt s’enfoncer doucement dans son anus. De son côté, Eva, ayant entré entièrement son doigt se met à le tourner dans le cul de Daniela. En même temps, je lui fouille la chatte avec deux doigts. Incapable de se contrôler, elle se met à gémir, à haleter.
« Tu veux que je t’encule ? J’ai pris le cul d’Eva, mais tu m’excites tellement, que je me sens près à déflorer ton petit trou avec ma pine ! » Je sens le regard de Daniela sur ma queue qui se redresse.
« Tu veux essayer ? Tu veux ma bite dans ton cul ? Tu veux te faire enculer ? » J’insiste En attendant, Eva continue de lui forer son cul avec son index tout en s’offrant du plaisir en se masturbant avec sa main gauche. Eva se lâche, ce n’est plus l’amour joli, mais l’amour cochon.
Daniela a un sursaut quand j’essaie de lui entrer quatre doigts dans sa vulve.
« Ecartes bien tes jambes ! » D’abord surprise, elle se ressaisit en écartant ses jambes, tandis que mes quatre doigts unis franchissent les lèvres de sa vulve. Sa respiration devient saccadée. Puis mes quatre doigts font des va et vient dans son vagin. Elle mouille et ça fait des bruits de succion. Quant à Eva, elle entend lui enfoncer, en plus, le majeur dans son cul.
Daniela grimace un peu quand les deux doigts d’Eva tentent de s’introduire dans son anus. Eva qui force le passage Daniela qui pousse un petit cri quand les deux doigts violent son petit trou. Ses deux orifices du bas pris d’assaut, elle a chaud, elle transpire, mais en même temps une onde de plaisir la submerge. Ces doigts qui fouillent sans douceur ses orifices intimes, maintenant elle les accepte, mieux, elle les désire elle les veut !
« Tu as envie que je t’encule ? Regardes Eva qui s’est fait enculer déjà six fois, depuis qu’elle est ici Daniela gémit sous nos doigts mais je vois bien, par moment, son regard sur ma bite, désormais toute raide.
« Dis que ça te fait envie que tu as envie de la sentir dans ton cul ! »
Elle semble toujours hésiter. Quant à moi, je suis de plus en plus excité, ma bite est tendue à fond. Je retire mes doigts de sa chatte, doigts gluant de sa mouille :
« Allons, viens ! » Je la saisis par le poignet et l’entraîne vers la fenêtre, l’arrachant du même coup au forage anal d’Eva.
« Poses tes mains sur le rebord de la fenêtre et penche toi bien en avant ! » Je la bouscule un peu ; je sens bien qu’elle est attirée par la chose, mais juste hésitante. Sûr qu’une fois le pas franchi, elle en redemandera ! Alors autant forcer un peu le destin !
Daniela se retrouve face à la fenêtre, penchée en avant, bien campée sur ses jambes écartées. Puis Eva revient à nouveau jouer de ses doigts dans son petit trou.
« Tu te demandes pourquoi elle agit comme ça ? Eva est devenue une bonne complice de sexe. Elle baise avec d’autres que moi devant moi, et je baise avec d’autres qu’elles devant elle J’ai même baisé sa sur devant elle Je ne sais pas trop pourquoi je te raconte ça : je vois bien qu’il y a une complicité entre vous deux aussi, n’est-ce-pas ? »
Eva s’écarte, tandis que je me place derrière Daniela, qui n’a pas bronché devant mes propos. Elle a un petit frémissement quand elle sent le gland décalotté se poser sur son orifice anal :
« Détends- toi ! Sinon ça sera dur ! » Je commence à pousser doucement. Daniela ne peut s’empêcher de pousser un petit cri quand j’engage le gland dans l’orifice. En même temps je remarque qu’Eva a repris sa masturbation, s’introduisant même deux doigts dans sa chatte. Le spectacle doit l’exciter ! Mais il y a aussi une autre explication, quand je la vois passer ses doigts mouillés sur ma bite et sur les bords de l’anus de Daniela, pour une séance de lubrification.
Le passage est assez dur, mais, en dépit des cris de Daniela, je progresse lentement ; il faut dire qu’Eva est là pour assurer, régulièrement la lubrification. Je finis par arriver à mes fins, en parvenant presque à introduire la totalité de mon sexe dans l’anus de Daniela. Ce qui lui arrache des gémissements plaintifs :
« Bob c’est gros ça fait un peu mal je » Quand j’essaie de la pistonner un peu, j’ai droit à une série de petits cris :
« Masturbes-toi ! Ce sera mieux pour toi ! » Je lui lance ce conseil, mais je vois vite qu’elle ne se sent pas en mesure de le faire. C’est alors qu’Eva intervient à nouveau. Elle se place sur le côté droit de Daniela, face à moi. Je la vois avancer sa main entre les cuisses de Daniela. Il ne faut pas plus d’une minute pour que les premiers gémissements de celle-ci se fassent entendre ! Eva est devenue une précieuse aide qui fait tout pour que je baise bien celle qui est notre amie commune ! En plus, pour mon régal personnel, elle s’introduit de nouveau deux doigts de sa main gauche dans sa chatte qu’elle fouille avec délectation.
En même temps j’ai repris mes va- et vient dans l’anus de Daniela, dont les gémissements s’apparentent de moins en moins à la douleur et de plus en plus à l’excitation. D’autant plus qu’elle sent les doigts d’Eva qui s’activent sur son clitoris et au fond de sa vulve.
Le cul de Daniela est serré et cela rend l’excitation si forte que je ne peux guère tenir très longtemps dans ses conditions. Et, en plus la vue de ma chérie qui se fouille la chatte à pleins doigts
Daniela gémit continuellement. Cramponné à ses hanches je lui ramone l’anus :
« Toi aussi tu es une belle salope J’en peux plus je vais jouir dans ton cul ! »
Je sens Daniela qui me parait chercher à échapper à cela. Je me cramponne encore plus fort à ses hanches : « Oh ouiii ! Jouir dans ton cul jouir dans ton cul » Je sens mes couilles se vider une bonne giclée je reste plusieurs secondes sans bouger, avant de me retirer. Quand Daniela, se redresse, elle a l’air contrariée :
« Je ne pensais pas que tu allais faire ça te vider dedans ! Je fais comment, moi, maintenant ? »
« Tu sais Eva, je lui gicle tout le temps dedans ! De toute façon, il ne doit pas y avoir grand-chose, puisque j’avais enculé Eva avant toi Alors tu te laves bien et ce qui reste tu finiras par l’éliminer naturellement ! »
« Bon eh bien, j’y vais de ce pas, alors ! Je vous rejoindrai dans un moment, à moins que » Daniela parait hésiter, avant de lancer :
« vous ne veniez avec moi » Le souvenir du trio dans la salle de bain l’aurait-elle tant marquée ?
Ni Eva, ni moi, n’hésitons un instant : « De toute façon, nous en avons besoin aussi ! » Et quelques minutes plus tard, nous nous retrouvons dans la salle de bain.
Daniela entre la première dans la cabine et s’asperge abondamment, avant de se savonner. Une fois bien rincée, Eva lui prend la pomme de douche des mains.
« Tu voulais bien te nettoyer, non ? Alors penches-toi et laisses toi faire ! » Aussitôt dit, elle dirige le jet sur l’anus, et, comme celui-ci s’est refermé, elle n’hésite pas à y introduire un doigt. Elle ramone un moment le trou, avant d’y diriger à nouveau le jet. Mêlées à l’eau, quelques coulures de sperme s’échappent de l’anus.
« Voilà, tu es toute propre maintenant ! » dit-elle à Daniela, qui sort de la cabine. A notre tour, nous nous offrons cette petite douche bienfaisante. Daniela, toujours restée avec nous semble toujours fascinée par la poitrine d’Eva :
« Ses nichons t’attirent, n’est-ce-pas ? Tu sais Daniela, si tu es bi, aucune honte à le dire ! Je vois bien qu’Eva te plait, que tu as envie d’elle elle te doigte l’anus, elle te masturbe, elle te fouille la vulve, et toi, il est visible que tu aimes ça »
Daniela devient cramoisie. Aurais-je visé juste ? J’ajoute :
« Si vous voulez être seules toutes les deux un moment, pas de problème ! Je vais vous attendre dehors » Et, comme elles me paraissent d’accord, je quitte aussitôt la salle de bain. En passant par la cuisine, je consulte l’horloge : presque 17 h
Comme la chaleur commence à décliner, je décide de rester dans le jardin. Je m’installe à l’ombre d’un saule, le seul arbre du jardin, en fait. Nu, cela va de soi et l’herbe, courte, forme un tapis bien agréable. Une fois allongé, je somnole plus ou moins, mon esprit envahi par toutes sortes de fantasmes où se mêlent Eva, Jana, Daniela Le temps file, j’en perds la notion.
Je sens quelque chose effleurer ma cuisse. Quelque chose qui ressemble à des baisers. Je me soulève sur les coudes : Eva est là, à plat ventre, se tenant sur les coudes. Elle dépose des petits baisers sur ma cuisse, en remontant vers mon sexe. L’érection me gagne à nouveau :
« Je suis venue pour la grosse queue de mon chéri ! » me dit-elle avec un air coquin, alors que mon regard croise le sien.
« C’était bien avec Daniela ? » mon air faussement naïf, ne la trompe pas.
« Je te raconterai cela plus tard, car tu sais bien qu’il n’y a pas de secret de ce genre entre nous ! En attendant, elle repasse mes deux robes que tu as vues sur le fil ! » poursuit – elle, me signifiant ainsi qu’on devrait passer à autre chose
Maintenant elle dépose ses baisers directement sur ma bite. Il n’y a pas deux heures que j’ai juté je rebande aussi sec.
« Coquine ! Tu aimes me faire bander ! Je ne sais pas ce que vous avez fait Daniela et toi, mais tu as envie que je te baise maintenant, c’est ça ? Tu es insatiable ! »
« Non, chéri, juste un petit jeu érotique ! » dit-elle en se mettant à quatre pattes. Je vois ses seins laiteux se balancer légèrement.
« Approches-toi, ma petite chienne ! » Toujours à quatre pattes, elle s’avance et s’arrange pour se placer au- dessus de mon visage, les genoux d’un côté, et ses mains de l’autre. Ainsi, j’ai une vue complète sur ses seins et son ventre, tandis que je devine son sexe, entre ses cuisses :
« J’adore tes nichons et ton minou aussi ! » dis-je, alors que je caresse ses seins avec ma main gauche, tandis que la droite s’aventure entre ses cuisses sur les poils de sa chatte. Je sens Eva frissonner, de plaisir sûrement, quand les doigts de ma main droite s’aventurent sur les lèvres de sa vulve, cherchant à pénétrer à l’intérieur :
« Calmes-toi, chéri ! Je veux juste un petit jeu érotique je ».Mes doigts s’enfoncent dans sa vulve. Je la sens essayer de résister à cette intrusion coquine :
« Arrêtes, Bob ! » Mais je la sens mollir. Puis, toujours au- dessus de moi, elle fait un quart de tour, et finit par s’allonger sur moi, en un mignon soixante -neuf. Maintenant j’ai sa chatte sur mon visage, tandis que je sens ses lèvres sur ma bite à nouveau dressée :
« Tu aimes mon minou et j’aime ta grosse queue ! » puis je sens ses lèvres mouillées qui commencent à me sucer le gland. Elle rehausse légèrement son ventre pour me permettre de lui lécher sa vulve, ce que je fais avec entrain. Nos deux sexes ont été bien sollicités cet après- midi, mais cette connivence sexuelle qui nous unit, nous permet de retrouver, une fois de plus, le chemin de l’excitation.
Tandis que ma langue fouille l’intérieur de la vulve de ma chérie, celle-ci se met à sucer ma bite avec entrain. Oubliant du coup que nous baisons, nus, dans le jardin ! Au terme d’une longue série de succions, de léchages, Eva parvient à me faire jouir encore un fois. De mon côté, mes frénétiques coups de langue sur et dans sa chatte, ont provoqué chez elle des gémissements en chaîne, sans parvenir à la faire jouir. Quand nous nous relevons, elle me sent frustré :
« Ce n’est pas grave, chéri, tu m’as déjà fait jouir tant de fois, que je te pardonne volontiers ! » dit-elle en accompagnant ce propos d’un baiser appuyé sur ma bouche. Puis elle s’allonge sur l’herbe, en prenant bien soin d’écarter ses jambes :
« Tu aimes me voir toute nue, n’est-ce-pas ? » dit-elle, voyant mon regard parcourir les trésors de son corps.
« Peut-être que tu vas me demander si je peux voyager toute nue demain ? » En me questionnant ainsi, elle cherche sans doute à connaître mon opinion.
« Je ne demanderais pas mieux, mais tu sais bien que c’est impossible ! Par contre tu peux très bien mettre juste une minirobe ou un t-shirt sans rien dessous ! »
« Je sais que ça te plait que je m’exhibe et si tu veux savoir, j’y prends goût aussi ! Peut-être se passera- t-il quelque chose demain » conclue – t-elle, avec un petit sourire mystérieux.
Quelques minutes plus tard, Daniela apparait sur le pas de la porte. Elle a revêtu une robe :
« Alors, les amoureux ! Il est presque 19h Il serait plus sage de vous rhabiller. Je suis en train de préparer quelque chose pour le dîner Eva, tes robes sont repassées, tu peux venir les chercher ! »
Nous nous levons. Après quoi, Eva décide d’aller chercher ses robes, avant de retourner au chalet.
« Voilà, les deux robes orange et verte sont propres et repassées Demain, pour le voyage, je voudrais essayer le cadeau de Mirek tu sais le maxi t-shirt bleu roi. Il est dans le paquet que tu as laissé dans le coffre de la voiture ! »
« Eh bien je vais te l’apporter, chérie ! » dis-je en enfilant un short et un débardeur. Je sors et reviens quelques minutes après avec le maxi t-shirt, qui ne semble pas si maxi que ça
« Tu veux l’essayer tout de suite ? » Elle est restée nue en m’attendant. Elle l’enfile aussitôt par la tête.
« On dirait de l’acrylique, c’est léger en tout cas comment tu le trouves ? Peut-être un peu court, non ? » Le t-shirt semble couvrir à peine plus que les fesses et de plus, il est pourvu d’une échancrure à la base de chaque côté.
« J’ai intérêt à ne pas me pencher, si tu vois ce que je veux dire ! Remarque que l’acrylique c’est extensible ! » dit-elle en tirant dessus.
« Je le trouve très joli en tout cas ! Cela va très bien avec ton léger bronzage ! »
« Bon, je verrais ça demain Pour ce soir, je vais remettre la robe bleue, elle est encore acceptable bon, on y va ? Daniela doit nous attendre ! »
Nous sortons pour rejoindre Daniela. Alors que nous achevons le dîner, ses parents sont de retour. Il s’ensuit une conversation où ils nous racontent leur journée, avant de s’enquérir de notre voyage du lendemain. Peu après 22 heures, nous prenons congé, désirant nous coucher un peu plus tôt.
A suivre