Histoires de sexe mobiles Histoires de sexe travesti

De l'initiation à la finalité – Chapitre 19




Didier

Cela faisait maintenant un peu plus d?un an que j?étais rentré en France, je venais de passer mon examen et je l?avais réussi.

Il fallait que je trouve un travail car mon matelas d?argent s?amenuisait.

Ce matin là je me présentais à une embauche comme technicien bureautique.

Je fus accueilli par une femme qui était la DRH de l?entreprise et au bout de quelques instants nous tombâmes d?accord pour mon embauche.

J?étais affecté à une équipe de techniciens en charge de la remasterisation des postes de travail de l?entreprise, c?était un vrai coup de chance de décrocher ce boulôt qui avait en plus l?avantage d?être à cinq minutes à pied de chez moi, j?étais engagé à compter du début de mois prochain, qui était dans une semaine, et j?étais payé 6.000 Francs par mois.

Quand je sortis de l?entreprise, je me dis que c?était mon jour de chance que je n?avais plus qu?à me trouver un mec pour me faire une bonne baise torride comme mon cul le réclamait.

Ce soir là j?allais prendre quelques verres dans un bar du Marais.

Ne trouvant rien qui me convenait, je sortis de l?établissement et décidai de rentrer chez moi à pied.

?a ne faisait pas trois minutes que je marchais quand une RENAULT 21 s’arrêta, elle était conduite par un homme métissé bon chic bon genre d’une quarantaine d’années, il me dit ’je

    peux vous accompagner ? ’.

J?examinai le conducteur, il arborait un grand sourire et j?eus comme un flash, je lui répondis ’Volontiers, j?habite dans le

    10ème arrondissement’.

Je montai dans la voiture et l?homme me dit ’Je me présente, je

    m’appelle Didier. Et vous ?

– Damien’.

Au bout de quelques instant Didier me dit ’Peut-on se tutoyer ?

– Pourquoi pas.

– Tu es un habitué de ce bar ?’.

Comment avais-je fait pour ne pas voir ce type, moi qui cherchais quelqu?un à mettre dans mon lit et j?avais failli laisser passer une telle occasion, mais quel con !!

Je lui répondis ’Non je ne suis pas un habitué.

– Je le sais car c?est la première fois que je te vois là bas.

– Pourquoi toi tu es un habitué ?

– Oui.

– Et c?est bien ?, je n?ai pas trouvé une très bonne ambiance ce soir.

– Tout dépend ce que tu cherchais, si c?était pour discuter en prenant un verre et c?est tout par contre..

– Par contre quoi ?

– Si tu cherchais autre chose, il est un peu trop tôt.

– Que veux-tu dire par autre chose ?

– Allons pas de faux-semblants, on va dans ce genre de bars pour deux choses, soit retrouver des copains pour boire un verre et ça c?est quand on est un habitué, soit on vient pour draguer et là c?est trop tôt, et sincèrement je pense que tu es venu pour draguer.

– Qu?est-ce qui te fais dire ça ?

– Tout simplement la manière dont tu matais tous les mecs qui étaient présents ou qui entraient.

- ?a se vouait tant que ça.

– Allons, il ne faut pas me prendre pour un naïf, tu avais les yeux qui traînaient par tout.

– Mais toi je ne t?ai pas vu.

– Normal, je n?étais pas dans le bar.

– Mais où étais-tu ?

– Dans la voiture, je t?avais repéré en arrivant et d?où j?étais stationné je t?observais, soit tu ressortais avec quelqu?un soit seul et dans ce cas je tentais ma chance.

– ça alors !!

– Et oui

– Et pourquoi moi ?

– Parce que, tu me plais, j’aimerai bien passer une nuit avec

    toi.

– Et je suis censé dire quoi ?

– je ne sais pas oui par exemple

– AH AH AH !!

– Avant tu peux me dire de quel bord tu es

– C?est à dire ?

– Actif ou passif.

– Totalement passif

– Alors c?est oui ?

– D’accord, tu verras tu ne seras pas déçu.

– J?y compte bien.

– Je suis généralement une gourmande et là en plus je suis en

    manque.

– Super, on va chez moi ?

– Pourquoi pas mais passons chez moi d?abord que je prenne du

    rechange, je n?aime pas remettre des dessous sales.

– Je te comprends’.

Après être passés chez moi, nous prîmes la direction du domicile de Didier.

Il habitait un pavillon à Pontoise nous entrâmes, l’intérieur était coquet et très propre, me prenant par le coude il me guida vers le salon et me dit ’Je vis ici tout seul depuis mon divorce.

– Ah tu étais marié.

– Oui mais le jour où ma femme a découvert que je m’intéressais aux garçons le divorce fut aussitôt demandé pour ne pas faire de scandale nous avons réglé ça à l’amiable. Ici je suis tranquille, les voisins sont assez loin ce qui fait que je peux recevoir mes conquêtes sans problème.

– C’est sur.

– Veux-tu boire quelque chose ?

– Oui je veux bien.

– Un petit whisky ?

– OK’.

Il nous servit et nous bûmes en silence, après avoir fini nos verres, Didier se leva et me dit ’Viens je vais te montrer la

    salle de bains’.

Le contact avec l’eau chaude me fit du bien, une fois propre et séché, Didier me dit ’Tiens prends cette nuisette ainsi que

    cette petite culotte et couvre-toi. Au fait la seule chose que je ne t’ai pas dit, c’est que quand je couche avec un homme, j’aime qu’il soit habillé en femme, je ne pense pas que ça te gène.

– Pas du tout car si on regarde les choses en face, qu’est-ce que je fais dans un lit, c’est bien la femme, alors être vêtu en femme me parait à la limite logique.

– C’est parfait, bon je vais t’abandonner quelques minutes, je vais me doucher, reprends un verre si tu veux.

– D’accord, à tout de suite.

– A tout de suite ma puce’.

Un quart d’heure après Didier réapparut, il était vêtu d’une robe de chambre bleue nuit, il s’assit à mes côtés après s’être servi un verre et me dit ’Alors comment vois-tu cette nuit ?

– Je ne sais pas, on va faire l’amour c’est sur, mais à part ça, je ne sais quoi te dire.

– AH AH !!, eh bien moi je vais te dire le programme, c’est vrai qu’on va faire l’amour mais nous allons aussi aller au restaurant et danser ce soir. Alors que dis-tu de ça ?

– Génial.

– Au fait et toi dans la vie que fais-tu et vis-tu avec

    quelqu’un ?

– Pour ce qui est de ta première question, je viens de trouver un poste d?employé de bureau et je commence la semaine prochaine, pour la deuxième je vis seul depuis que j?ai arrêté de faire la pute dans une maison d?abattage.

– C’est vrai !!, mais quel genre de clients avais-tu ?

– En général des travailleurs noirs mais aussi quelques arabes

– Pfuitt !!!, j’espère que tu ne compte pas me demander de te payer.

– T’inquiète, je ne suis pas venu avec toi pour de l’argent, j’en avais envie c’est tout, d?ailleurs si j?ai cherché et pris ce boulot, c?est tout simplement parce que j?en ai assez de cette vie, maintenant je veux me faire tirer pour mon plaisir et on ne sait jamais si je peux trouver un homme avec qui je pourrais vivre.

– Donc tu préférerais une vie tranquille avec un homme à tes côtés ?

– J’aimerais bien mais je n’ai pas trouvé encore ce qu’il me faut.

– Et si moi je te le propose ?

– Je te répondrais ni oui ni non, mais simplement qu’on ne se connaît pas assez pour envisager la vie commune, par

    exemple on a pas encore couché ensemble.

– C’est vrai, mais suppose qu’on s’entende bien au lit ?

– Le sexe est important mais ce n’est pas tout dans la vie, il faut pouvoir se supporter tous les jours et pour ça il faut se connaître bien, en plus un mec n’est pas une femme si il fait l’amour une nuit, le lendemain il ne peut pas aller travailler car on a du mal à marcher après une bonne baise, ce qui veut dire que dans ce cas celui qui fait la femme ne doit plus bosser.

– Mais tu sais ce que tu viens de dire est très juste et c’est d’ailleurs comme ça que je vois les choses, moi ma femme reste à la maison.

– Eh bien, apprenons à nous connaître et on verra.

– Mais même un essai tu ne voudrais pas ?

– Non, si tu veux fréquentons-nous quelque temps, essayons de passer quelques week-end ensemble, essayons de nous voir

    assez souvent et pas simplement pour baiser mais pour faire tout genre de choses que peut faire un couple.

– Pari tenu, je suis sur qu’on s’entendra.

– On verra bien. Mais maintenant que tu sais tout de moi, vas tu me dire ce que tu fais et comment tu vis ?

– Bien sur, c’est très simple je suis directeur de banque et je vis seul depuis trois ans, je n’ai pas d’enfants voilà.

– Et comment as tu su que tu aimais les hommes comment est-ce arrivé ?

- ?a faisait deux ans que j’étais marié quand je dus partir en déplacement à Lille, j’étais avec un collègue, le soir pas moyen de trouver deux chambres d’hôtel, on en trouva qu’une avec un lit de deux places, voyant que c’était la seule solution on la prit, après avoir dîné, nous allâmes nous coucher.

    Dans la nuit je me réveillai, le collègue était couché contre moi les fesses contre mon ventre, en dormant cela m’avait provoqué une érection phénoménale, un peu gêné je m’écartai de lui mais il revint se coller à moi, je me levai et fumai une cigarette tentant de faire disparaître mon excitation, une fois calmé je me recouchai, aussitôt l’autre se remit contre moi, comme nous nous connaissions

    bien je me résolus à le réveiller, après que je lui eus dit de quoi il retournai, il éclata de rire et me dit que si j’avais envie j’avais qu’à aller jusqu’au bout que pour lui pas de problème il était homo depuis un bon bout de temps.

    Au début je refusai mais lui taquin posa sa main sur mon sexe tendu, comme dans un état second je baissai son slip et découvris son cul musclé, pendant ce temps il avait glissé sa main dans mon slip et me branlait doucement, il repoussa les couvertures et ôta mon sous-vêtement puis se mit à me pomper le gland.

    Au bout d’un moment il arrêta, j’étais dans un tel état que j’aurai violé la première personne présente, il se mit à quatre pattes le cul tendu et me dit que si je voulais je n’avais qu’à l’enculer, j’étais troublé par ces fesses offertes au milieu desquelles je voyais pendre une belle paire de couilles.

    J’étais tellement excité que je n’hésitais pas longtemps je me ruais sur son cul et l’enfilai d’un seul coup de reins, il hurla quand je le pris, je pris peur et voulus me retirer mais il me dit de rester et de le limer, ce que je fis, quand j’éjaculai je ressentis un plaisir beaucoup intense qu’avec ma femme.

    Nous continuâmes à nous voir avec ce collègue quelques temps mais un jour il fut muté loin d’ici et la belle aventure prit fin, pendant plusieurs moi je gardais la nostalgie de ce cul superbe et un jour je me dis que si j’enculais ma femme ce serait pareil, ce ne fut pas facile de la convaincre de se laisser prendre par le trou de balle mais à force de persuasion j’arrivai à mes fin, seulement

    ce fut une déception, il n’y avait aucune comparaison alors je me mis en quête d’un remplaçant à celui qui était parti et un jour je le trouvai, c’était un coursier, nous passâmes 2 ans superbes jusqu’au jour où ma femme rentrant à l’improviste dans mon bureau me trouva en train de sodomiser le jeune homme, voilà mon histoire.

– Mais qu’est devenu le coursier ?

– Il prit peur démissionna et partit en province, depuis je vis d’aventures passagères. – Qui apparemment ne te satisfont pas ?

– Oui, je préférerais avoir quelqu’un toujours avec moi, je gagne suffisamment d’argent pour faire vivre quelqu’un.

– Et c’est pour ça que tout à l’heure tu me l’as proposé ?

– Oui.

– Comme tu dois le proposer à tous ceux que tu rencontres ?

– C’est là où tu te trompes, la seule personne avant toi a été le coursier, je ne suis pas fou tout de même.

– Excuse-moi.

– Ce n’est pas grave, viens je vais te montrer la chambre d’amis où sont toutes les affaires de femme car pour aller au restaurant et au dancing, tu devras t’habiller en femme.

– Allons-y’.

Nous entrâmes dans la pièce tout y était, du maquillage, des perruques, des bas, des sous-vêtements, des robes, des jupes, des corsages, des chaussures, des sacs à main, des vestes ainsi que des manteaux ’J’ai de quoi faire mais il faudra que tu

    m’accordes une heure pour que je me prépare.

– Pas de problème, tu sais j’ai envie de toi.

– Moi j’ai très envie que tu me prennes.

– Viens dans la chambre’.

Je le suivis, à peine entré il se jeta sur moi et écrasant mes lèvres me roula une pelle magistrale qui me laissa pantelant quand il m’abandonna, j’ouvris sa robe de chambre et me trouvai face à un sexe dressé, il était certes moins long que ce que j?avais pu voir mais il mesurait au moins 22 centimètres de long et était bien gros, à mon avis 5 centimètre de diamètre terminé par un gland violacé et très évasé.

Devant la verge triomphante et très appétissante je poussai un petit cri et passai ma langue sur mes lèvres, je tombai à genoux et prenant le phallus à deux mains, j’entrepris de lécher le gland énorme à petits coups de langue rapides, Didier posa ses mains sur ma tête et me caressa les cheveux tout en se cambrant vers ma bouche gourmande, je ne pouvais pas faire pénétrer le pénis dans ma bouche tellement le bout durci était gros, je posai mes lèvres autour de la tête de ce merveilleux priape et du bout de la langue excitait le méat, j’entendis la respiration de mon amant s’accélérer sous cette caresse.

Il me laissa faire un long moment puis me prenant sous les aisselles me releva, il me prit dans ses bras, me déposa sur le lit puis il s’allongea sur moi tête bêche et nous entamâmes un 69 effréné, sa langue pointue m’ouvrit le sphincter puis ses doigts experts me travaillèrent le cul me faisant fondre, je haletais sous ses attouchements lingués et manuels, mes fesses étaient en feu et je me mis à ronronner en envoyant mon bassin à la rencontre de mon amant, il continua à me titiller le fondement tout en me massant légèrement la croupe jusqu’à ce que je supplie de me pénétrer.

Longtemps il continua à m’astiquer jusqu’à ce qu’un orgasme puissant me traverse le corps, j’avais la raie pleine de salive et mon trou criait famine, alors se mettant debout au pied du lit il releva mes jambes me tenant par les chevilles jusqu’à ce que mes genoux touchent presque ma poitrine, dans cette position mon antre béante ressortait, prenant mes jambes d’une seule main il guida sa superbe bite contre mon oeillet, j’avais beau être très ouvert je sursautai quand le formidable gland se posta à l’orée de ma corolle, mon amant resta quelques temps sans bouger me laissant m’habituer à ses dimensions puis il commença à peser sur ma pastille, à peine le bout de sa tête écarta mes chairs que je poussai un cri de douleur Didier suspendit son action, l’intromission du gland fut très longue, chaque fois que j’avais mal il arrêtai le temps que la douleur se dilue, quand enfin son fabuleux bout durci fut en moi j’avais les larmes aux yeux, j’avais l’impression que mon cul allait se déchirer tant j’étais écartelé, petit à petit mon amant m’enfila jusqu’à la garde, une fois totalement en moi, il s’immobilisa me laissant m’habituer à son calibre, au bout de quelques instants je sentis mon anus céder, la douleur faisant place à une douce langueur, je lui dis ’Vas-y, défonce-moi’.

Il se mit à me posséder lentement m’arrachant à chaque passage de petits cris qui peu à peu, au fur et à mesure que ma corolle se décontractait, se muèrent en profonds gémissements, mon homme me ramonait le postérieur de toute la longueur de son pénis le sortant presque entièrement de moi et le replongeant complètement au tréfonds de mon tunnel, la tête rejetée en arrière je savourais le plaisir qui prenait possession de mon être par vagues successives, partant de mon bas-ventre et remontant vers mon visage, j’avais le cul dilaté au maximum sous les assauts répétés que ce puissant priape m’assenait, le corps tétanisé je me tordais comme un damné sous les coups de boutoir qui à chaque fois m’ouvraient un peu plus le sphincter, la bouche grande ouverte je griffais les draps sous l’inexorable montée du bonheur qui me faisait sombrer de plus en plus.

Je ne savais plus depuis combien de temps mon mec était en moi mais je voulais qu’il y reste indéfiniment tant le plaisir qu’il me procurait était grand, mon prose était en feu, j’avais atteint la plénitude rectale, je planais littéralement sous ses poussées de plus en plus violentes qui m’éclataient le fondement, mon bassin venait à la rencontre des assauts pour offrir encore plus mon rectum et mes hanches se levaient et ondulaient chaque fois que l’imposante biroute se fichait au tréfonds de mon antre béante, Didier me pilonnait le derrière avec une régularité de métronome me faisant basculer totalement dans le plaisir, je ne vivais plus que pour et par l’énorme verge qui me forait les reins, Didier me tringlait avec des ’HAN’ de bûcheron me décollant du lit chaque fois qu’il me plantait sa hampe turgescente au fond de mon canal tuméfié, le ventre musclé de mon amant claquait contre mes fesses enflammées me rendant fou de désir, il y avait longtemps que je n’avais subi une telle enculade, celui qui me montait me pinait merveilleusement, j’avais l’impression que de la lave en fusion coulait dans mon trou à vif, je voulais que ce priape crache sa semence pour éteindre le brasier qui me consumait mais je lui hurlai qu’il me démolisse encore plus le fion tant le fade que je prenais était immense, lâchant mes jambes qui allèrent reposer sur ses épaules il se mit à se ruer à une vitesse folle dans ma croupe me tenant fermement par les cuisses, je me mordais les lèvres pour ne pas hurler mais le traitement que mon amant m’affligeait était si bon que la bouche ouverte je me mis à bramer sans discontinuer, la tête ballottant de droite à gauche tant étaient violents les grands coups de boutoir que mon doux tourmenteur m’assenait, j’avais atteint le point de non-retour et je me mis à délirer.

C’est à cet instant que, s’enfonçant au plus profond de mon puits d’amour, Didier éjacula en feulant, ses abondants jets de sperme crémeux m’inondèrent l’anus me provoquant un orgasme dévastateur, mon corps s’arqua je tendis ma croupe vers le fabuleux membre pour accentuer la pénétration et un hurlement strident pulsa de ma gorge puis je retombai lourdement sur la couche, les yeux clos, savourant le merveilleux moment qui venait de se passer.

Quand je repris conscience de la réalité, je m’aperçus que mon mec était encore fiché entre mes fesses, je lui souris et lui demandai ’?a tu as plu ?

– Super, jamais je n’ai vu un homme comme toi.

– Il faut dire que tu y es pour quelque chose, j’ai pris un

    pied magnifique.

– Je m’en suis aperçu, pendant un moment j’ai cru que

    j’enculai une gonzesse ce qui est super avec toi, c’est

    qu’on prend un plaisir fou mais qu’en plus on a des

    réactions de ta part qui sont celles d’une femelle.

– Je sais, c’est pour ça que tous ceux avec qui j’ai

    baisé ont toujours voulu me revoir, mais crois-moi il y

    avait longtemps que je n’avais pas joui de la sorte, tu

    as une bite extraordinaire et tu sais bien t’en servir.

– Je te remercie.

– D’ailleurs je vois que tu n’as pas encore débandé.

– Non mais je vais arrêter là et me réserver pour cette nuit

    qui d’après ce que je viens de voir va être mémorable.

– Mais si tu veux, tu peux encore tirer un coup.

– Non, nous attendrons après le restaurant.

– D’accord, comme tu veux.

– Bon allons prendre une douche’.

Didier me décula et partit en direction de la salle de bains où je le rejoignis un peu plus tard.

Après nous être lavés, nous allâmes au salon où nous parlâmes de choses et d’autres jusque vers 7 heures où je partis me transformer en femme en prévision de la soirée.

Vers 8 heures je sortis de la pièce, j’avais choisi une perruque blonde mi-longue qui faisait ressortir ma peau halée et mes yeux marron foncé que j’avais fardés et sur lesquels j’avais posé des faux cils très longs, la bouche bien dessinée, les lèvres peintes d’un rouge carmin ainsi que du fond de teint sur les joues et des longs faux ongles vernis rouge complétaient mon maquillage, sur mon torse j’avais mis deux faux seins tenant à l’aide de ventouses.

Vêtu de sous-vêtements de dentelle blanche et de bas résilles, j’avais opté pour une minijupe rouge qui me moulait faisant ressortir ma croupe rebondie et un corsage blanc ainsi que des hauts talons, une veste blanche et petit sac à main terminaient ma mise.

Quand j’entrai dans le salon, Didier me regarda stupéfait ’Ahurissant, vraiment je n’en crois pas mes yeux, si je ne

    savais pas que c’est toi, je crois que je te demanderais

    qui tu es.

- ?a va, ça te plaît ?

– Super, tu es choutte à croquer.

– Si je te plais alors je suis content.

– Oh oui tu me plais, allez allons-y, il est l’heure d’aller

    manger’.

Nous allâmes dans un beau restaurant sur les bords de l’Oise, mon entrée d’une démarche chaloupée fit sensation, les regards des mâles présents se posèrent sur moi, Didier s’en aperçut et me glissa à l’oreille ’tu fais un sacré effet’.

Le dîner fur exquis, vers 10 heures nous partîmes dans une boite de nuit située à Eragny-Neuville où nous dansâmes jusqu’à 3 heures du matin, pendant une longue série de slow où nous étions tendrement enlacés, je sentis contre mon bas-ventre la grosse verge de mon ami, en l’embrassant dans le cou je lui susurrais ’Oh là là, on dirait que tu es en forme.

– Oh oui, tu vas voir tout à l’heure je vais bien te faire

    jouir.

– Mais j’y compte bien’ répondis-je en glissant ma jambe dans son entre jambes pour lui caresser le sexe de ma cuisse, profitant de la pénombre autour de nous Didier posa ses paumes sur mes fesses et les pressa me faisant gémir.

Vers 3 heures et demie, nous étions de retour à la maison, mon amant me prit par la main et m’emmena jusqu’au pas de la porte de la chambre qu’il me fit passer en me portant dans ses bras, il me déposa au pied du lit et m’enlaçant tendrement posa ses lèvres sur les miennes, j’ouvris la bouche nos langues se nouèrent et nous échangeâmes un baiser passionné.

Quand il se détacha de moi, j’avais le souffle court et les joues empourprées.

Lentement mon ami dégrafa mon corsage tout en me couvrant le

visage de baisers, je me collai à lui et sentis sa bite tendue comme un arc contre mon ventre, mon homme m’embrassa dans le cou, la tête rejetée en arrière et les yeux mi-clos, je savourai les chaudes bouffées de désir langoureux qui montaient en moi sous les légers attouchements buccaux.

La bouche avide de mon amant me suçotait le torse alors que ses mains expertes massaient ma croupe enfiévrée me faisant frémir, au bout de quelques instants il me fit asseoir sur le lit et s’agenouillant ôta mes chaussures puis m’allongeant à plat ventre il entreprit de me masser la nuque, après plusieurs minutes de ce doux traitement, je me décontractai complètement, les doigts habiles de mon homme courraient le long de ma colonne vertébrale m’arrachant de lourds gémissements.

Me laissant frémissant, il m’enleva ma jupe et fit glisser ma petite culotte le long de mes cuisses, sa langue râpeuse se posa sur la chair tétanisée de mon dos et descendit jusqu’à la naissance du sillon de mes fesses brûlantes puis de ses mains il écarta mes deux lobes charnus et vint titiller mon oeillet, électrisé par ce baiser lingué qu’il échangeait avec mon anus je me cambrais pour m’offrir plus encore à cette tendre caresse, sous ses agiles coups de langue mon anneau ne fut pas long à s’ouvrir m’expirant un profond soupir de bonheur.

Longtemps mon amant continua à m’explorer tout le corps, aucune parcelle n’était oubliée, j’avais la peau si sensible que le moindre contact me faisait frétiller.

Tout mon être était tétanisé, ayant les cuisses écartées au maximum je voulais que son pénis me pénètre, qu’il crache en moi sa liqueur qui elle seule pouvait éteindre le brasier qui me ravageait, je le suppliai pour qu’il me prenne mais sourd à mes paroles il continuait à pratiquer sur moi ses délicieux sévices qui annonçaient un plaisir somptueux.

Je ne savais plus depuis combien de temps ses mains expertes et sa bouche avide m’effeuillaient, c’est alors qu’un spasme foudroyant explosa en moi, mon corps s’arqua et un ’aaaaaahhhh

    aaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh’ de plaisir s’échappa de ma gorge et je retombai lourdement sur le matelas flottant dans une demi inconscience.

Quand je rouvris les yeux, Didier assis à mes côtés me demanda ’?a tu as plu ?

– Oh oui, mais je suis en feu, je veux que tu me prennes.

– Bien sur que je vais te prendre, mais avant c’est toi qui

    va me déshabiller’.

Je me mis à genoux et en un tour de main, je dévêtis l’homme à qui je désirai donner mon corps tremblant de bonheur, son formidable phallus pointait vers moi, son énorme gland vermillon brillant de sève, je me penchai vers la fabuleuse tête et prenant ses testicules gonflés de semence dans les paumes de mes mains je me mis à porter de rapides coups de langue sur le priape qui sous l’effet de cette caresse se redressa et se tendit encore.

Mon mec me prit dans ses bras et me renversa sur la couche, sa bouche gourmande écrasa la mienne et sa main partit entre mes cuisses où deux de ses doigts me déflorèrent le sphincter et se mirent à aller et venir me faisant frissonner, bientôt un troisième puis un quatrième doigt inquisiteur rejoignirent les deux premiers, pendant ce temps Didier continuait à butiner ma bouche offerte.

Le désir quelque peu calmé se ranima et envahit mon corps enflammé, sous l’effet des assauts des ses doigts qui me foraient les reins je me mis à onduler du cul me soulevant chaque fois qu’il les enfonçait au plus profond de mon être, mais ce que je voulais fiché au fond de mon rectum c’était cette fabuleuse verge qui palpitait contre ma hanche.

Voyant à mes réactions que le prélude avait assez duré, mon amant me retourna et plia mes jambes sous mon corps de telle sorte que je me retrouvai à genoux reposant sur les avant bras, il s’agenouilla derrière mon fessier en l’air et posa son fabuleux membre contre ma corolle offerte, les gouttes de semence translucide perlant de son méat lubrifièrent l’entrée de mon orifice affamé, me prenant aux hanches mon homme commença à peser sur mon fondement, quand son magnifique gland écarta mes chairs frémissantes, je ne pus m’empêcher de pousser un timide cri de douleur, mon ami s’arrêta me laissant m’habituer au calibre de sa virilité puis peu à peu centimètre par centimètre il m’enfessa totalement.

Quand il fut entièrement en moi, j’avais les larmes aux yeux tant ce pénis roide m’écartelait.

Pendant plusieurs minutes mon amant resta immobile et petit à petit je sentis mon anneau se décontracter et enfin céder complètement.

Alors lentement, Didier commença à me sodomiser m’arrachant à chaque passage des petits cris qui peu à peu se muèrent en profonds gémissements.

Sous les coups de boutoir répétés de mon homme mon tunnel se dilata et je me mis à ronronner mon bassin allant à la rencontre de sa merveilleuse hampe qui m’ouvrait un peu plus la pastille chaque fois qu’elle plongeait en moi jusqu’à la garde.

Mon plaisir était total je planais littéralement sous les coups de bite que mon ami m’assenait, il me possédait maintenant de toute la longueur de sa biroute la sortant de mon presque entièrement et la replongeant au fond de mon canal après m’avoir assoupli un peu plus la rondelle de son impressionnant gland.

Le plaisir explosait en moi par multitude partant de mon bas-ventre et montant par vagues successives vers mon visage me rendant fou de désir, je commençai à râler tout en roulant des hanches en cadence.

Le bonheur que me donnait ce pénis était tel que je devais mordre les draps pour ne pas hurler, seul comptait pour moi ce fabuleux sexe qui me pilonnait le derrière.

Mon mec les mains crispées sur ma taille me besognait de plus en plus vigoureusement m’éclatant totalement l’anus, j’avais atteint la plénitude rectale, je ne vivais plus que pour et par la pine qui me ramonait le prose me faisant sombrer un peu plus chaque fois que celle-ci se fichait entre mes fesses bouillantes.

Je ne savais plus depuis combien de temps il me travaillait l’arrière-train mais le plaisir qu’il me donnait était si grandiose que je voulais qu’il reste dans ma grotte indéfiniment.

La tête rejetée en arrière je bramais sous les assauts redoublés que mon amant me portait, je n’étais plus que jouissance, tout en moi appelait le mâle, je voulais qu’il se déverse en moi mais en même temps je voulais qu’il continue à me tringler jusqu’à ce qu’il me casse le cul totalement.

Didier me défonçait à une allure folle avec des ’HAN’ de bûcheron, je me disais que si il continuait comme ça il allait me déchirer mais c’était si bon que je ne voulais pas qu’il arrête.

Je hurlai maintenant sans discontinuer sous les puissants coups de queue que mon amant m’affligeait, j’avais perdu toute notion de la réalité.

Soudain mon amant me décula et me mit sur le dos, il s’allongea sur moi et m’encula d’un violent coup de reins me faisant gémir, je nouai mes jambes dans son dos et posai mes mains sur ses épaules.

Prenant appui sur les coudes il commença à me besogner à une vitesse folle me faisant décoller de sur le lit chaque fois qu’il me bourrait l’intimité.

Son ventre musclé claquait contre mes fesses en fusion à me faire mal, c’était si bon que sans aucune retenue je lui labourais les épaules de mes ongles.

Je me tordais comme un damné sous celui qui me montait, ma tête ballottant de droite à gauche j’étais au septième ciel.

Sous ses virils coups de phallus j’avais atteint le point de non-retour et me mit à délirer hurlant toutes les phases du plaisir par lesquelles je passai.

A cet instant, s’enfonçant au plus profond de mes entrailles, Didier déchargea en râlant.

Ses puissants jets de semence crémeux fusants le long de mes parois intimes surchauffées me déclenchèrent un orgasme dévastateur, mon corps s’arqua je tendis ma croupe vers mon amant pour accentuer la pénétration, mes ongles se plantèrent dans les épaules de celui qui me chevauchait, mes jambes battirent l’air, un hurlement pulsa de ma gorge, je retombai lourdement sur la couche bras et cuisses écartés et je perdis connaissance.

Je ne sais combien de temps je restais inconscient, et quand je rouvris les yeux Didier était étendu à côté de moi fumant une cigarette, une main posée sur ma cuisse me souriant il me demanda ’?a va ?

– Oh oui, il y a bien longtemps que je ne m?étais pas fait

    enculer pour le plaisir, j’ai joui superbement.

– Je m’en suis aperçu, regarde mes épaules, tu m’as arraché

    la peau.

– Je suis désolé, mais tu m’as vraiment rendu fou de plaisir.

– Ce n’est rien, ça prouve qu’au moins sur un point nous nous

    entendons bien au lit.

- ?a tu peux le dire.

– Alors ne crois-tu pas que nous deux on pourrait essayer ?

– Non, l’amour physique est une chose mais ce n’est pas tout

    dans la vie.

– Tu as raison j’avais le droit d’espérer.

– Bien sur, mais ce n’est pas un ’NON’ définitif, sois

    patient peut-être.

– Oui j’attendrai. As-tu soif ?

– S’il te plaît, attends je vais y aller.

- ?a m’étonnerait que tu puisses marcher normalement, en ce

    moment tu dois avoir le trou en choux-fleurs.

– C’est vrai, il faut dire que tu as un drôle de calibre.

    Combien mesure-t-il ?

– 22,5 centimètres de long et 5,5 de diamètre.

– Effectivement, sans compter les dimensions du gland.

– Oui il est assez costaud.

– C’est le moins qu’on puisse dire, crois-moi au début

    dur dur !!

– AH AH AH !! bon j’y vais que veux-tu ?

– Un jus d’orange.

– Il arrive ma choutte’.

Le temps qu’il revienne, je me levai pour aller uriner, j’eus du mal à marcher, j’étais obligé de garder les jambes écartées, quand mon homme revint j’étais de nouveau sur le lit en train de fumer.

Nous bûmes en silence puis mon amant se leva et partit prendre une douche, quand il ressortit de la salle de bains un quart d’heure après, il s’allongea près de moi et se remit à me caresser.

Nous fîmes encore l’amour longuement et une fois de plus sous ses fabuleux coups de pine, je pris un fade somptueux, vers 6 heures nous nous endormîmes, j’étais rompu de fatigue et mon anus quoique complètement éclaté était comblé.

Je me réveillai vers 1 heure de l’après-midi, Didier me porta mon déjeuner au lit, plus tard je me levai et vers 3 heures je partis chez moi, nous devions nous revoir le mercredi soir pour dîner ensemble.

fkroun

[email protected]

Related posts

je ne connaissais pas de garçon – Chapitre 1

historiesexe

Un gros paquet – Chapitre 1

historiesexe

Baby-sitting – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .