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Ce n'était qu'une simple soirée – Chapitre 2




Sans un mot, Vanessa prend ma main. Nous nous dirigeons vers l’immeuble, mais juste avant de sortir du parc, elle bifurque à droite et m’entraine derrière une serre. Nous descendons trois marches pour en atteindre l’entrée. Coincé entre la serre et une haute haie, chapeauté par une épaisse branche de sapin, l’endroit est on ne peut plus discret. Vanessa se jette à mon cou et m’embrasse à nouveau. Je reprends vite mon exploration sous sa robe. Je dois remonter tout en haut des fesses pour trouver trace d’un string qui n’est qu’une ficelle. A bout de souffle, elle cesse de m’embrasser.

J’entreprends de déboutonner lentement son manteau. Appuyée sur le muret, elle ne dit rien, regarde ma main qui ouvre les pans de sa veste et respire plus vite. Je pose les mains sur ses hanches puis remonte jusqu’à ses gigantesques seins. Elle halète toujours autant. Je constate avec ravissement que sa robe n’est fermée qu’à l’aide d’une boucle en double D. Je peux l’ouvrir en tirant simplement dessus. Je l’embrasse à nouveau, insistant sur ses seins puis ma main gauche glisse entre les pans de sa robe et se pose sur sa cuisse nue juste au dessus de son bas.

— J’ai adoré apercevoir la dentelle de tes bas quand tu étais assise à table.

— Je Oui ? C’est la première fois que j’en mets.

J’écarte les deux pans au bas de la robe. Ses jambes son découvertes, tout comme son entrejambe. Je m’y agenouille, embrasse l’intérieur des cuisses de Vanessa et remonte jusqu’à son string noir que j’embrasse et lèche. Elle ne dit rien, respire fort et vite. J’écarte le string et me délecte de son abricot odorant, couvert d’une fine couche de poils compacte et bien taillée. Il ne faut que quelques secondes à Vanessa pour jouir. Puis, inquiète, elle me repousse, ferme sa robe.

— Je ne dois Il ne faut pas.

Je recule et lui souris. Elle dit :

— Il faut que j’y aille.

Elle vient m’embrasser. Je lui dis :

— J’ai quand même très envie de tirer sur cette boucle.

Elle sourit en regardant le double D. J’ajoute :

— Et je défais ma ceinture. Donnant-donnant !

Elle éclate de rire, ne répond pas. Nouveau baiser. Je commence à ouvrir ma ceinture, puis mon jeans. Vanessa recule et observe. Je descends mon boxer et sors ma queue tendue comme arc. Je l’invite à revenir m’embrasser. Elle n’ose pas s’appuyer contre moi. Je prends sa main et la pose sur ma hampe. Vanessa tremble. Je monte et descends sa main le long de mon sexe avant de la lâcher. Elle poursuit lentement et j’attrape la boucle de sa robe. J’attends. Nos regards se croisent. Je tire sur la boucle.

La robe s’ouvre. Je ne vois plus que ses seins. Ou plutôt, on ne voit que ça. Deux énormes mamelles retenues dans un soutien-gorge noir. Je les embrasse l’une après l’autre. Dessus. Vanessa sourit.

— Tu es incroyablement belle et attirante, Vanessa.

Je l’attire contre moi, la forçant à lâcher mon sexe. Je plie les genoux afin d’avoir ma verge contre son string. Nous nous embrassons goulûment. Je passe les mains sous sa robe, sur ses fesses et maintiens ses hanches contre les miennes. Je fais de petits mouvements de haut en bas. Elle me regarde droit dans les yeux. Je lui dis :

— Écarte ton string

Elle fait non de la tête mais sa main fait l’inverse. Vanessa souffle :

— Pas dedans.

Ma bite glisse désormais contre sa vulve et entre ses lèvres humides. Je suis surexcité :

— J’ai terriblement envie de faire l’amour avec toi, Vanessa. J’aimerais que nous passions la nuit ensemble.

Vanessa esquisse un sourire dans son excitation. Elle jouit soudain de cette masturbation improvisée. Elle recule, baisse les yeux sur mon sexe puis se penche dessus. Elle le prend timidement dans la bouche, peu à peu, les lèvres pincées. Elle se redresse juste après m’avoir mieux pris en bouche. Elle sourit :

— Là, il faut vraiment que j’y aille.

Elle se rhabille, ferme son manteau. Je fais de même. Elle me donne son numéro de téléphone :

— J’ai mémorisé le tien tout à l’heure.

Je ris. Un dernier baiser. Elle monte les escaliers.

— Vanessa ?

Elle se tourne.

— Soulève ta robe.

Elle rit, attrape sa manteau et sa robe et soulève. Son gros cul et sa culotte de cheval me font fondre. Je lui lance un baiser et elle s’en va.

Je reprends le chemin à l’envers et me dépêche d’aller à la boulangerie. Jessica n’y est pas. Je prends un croissant en l’attendant. Mon téléphone sonne. C’est elle :

— Je viens de ressortir de la boite. J’arrive.

— Prends un taxi.

— Je n’ai pas d’argent.

— Je le paierai. Que veux-tu manger ?

— Un pain au chocolat et un croissant.

Cinq minutes plus tard, je m’engouffre dans la voiture. Qui repart aussitôt. Je dis :

— Où va-t-on ?

— Chez moi si ça te va. Mes parents sont absents pour le week-end.

Jessica mange les viennoiseries dans la voiture sous lil mauvais du conducteur. Il ne faut qu’une dizaine de minutes pour atteindre une zone résidentielle. La maison est la dernière au bout d’une allée.

Il fait nuit mais la distance entre le portail et la maison me laisse pantois. Nous entrons. Jessica allume et j’hallucine. C’est le grand luxe. Des tableaux, des statues, des dorures, c’est clairement "too much", mais ça fait son effet. Jessica lit dans mes pensées :

— Oui, je sais, ça en jette. Mais c’est moche. Tu peux le dire.

Sur un pas, elle retire ses talons puis sa veste tombe par terre. Elle se tourne vers moi et m’embrasse. Je bande illico. Jessica me prend la main et nous empruntons un escalier pour descendre au sous-sol. Dans la pénombre, nous traversons un vaste pièce puis un couloir et pénétrons dans une chambre. Elle n’allume pas, préférant tamiser une fine lueur. Suffisant pour se voir, suffisant pour découvrir un lit immense face à une baie vitrée qui ne l’est pas moins. Un bureau encombré, une bibliothèque contenant autant de classeurs que de livres, des tas de vêtements éparpillés, la chambre semble être le QG de la jeune fille.

Je n’ai même pas eu le temps de finir mon "tour d’horizon". Déjà, Jessica est agenouillée devant moi et me suce avec un entrain et une fougue remarquables. Je pose la main sur sa tête, elle me regarde sans ralentir le rythme de sa caresse. Quand elle la cesse, c’est pour descendre mon jeans jusqu’à mes pieds, me forçant à le retirer. Elle s’est assise sur le lit, jambes croisées, tout sourire.

— J’adore regarder un homme se déshabiller.

Je ris et poursuis mon strip-tease en retirant ma chemise. Je n’ai plus que mon boxer. Elle dit :

— C’est le moment que je préfère

Lentement, je descends mon sous-vêtement. Mon sexe est tendu dans sa direction. Elle se mordille les lèvres :

— Tu es bien foutu. Sacrément bien foutu. Viens.

Je la rejoins sur le lit. Elle écarte les jambes : elle ne porte rien sous son collant. Je m’allonge sur elle et l’embrasse. Mes baisers, mes caresses, mon corps sur le sien, tout cela l’excite rapidement. Elle dit :

— Pénètre-moi ! J’ai trop envie !

J’enfile une capote et m’apprête à ôter son collant. Elle proteste :

— Déchire-le ! Je ne peux plus attendre !

J’arrache le nylon humide et mets à nu un pubis juvénile et glabre, certainement le plus appétissant qu’il m’ait été donné de voir de toute ma vie. En glissant mon sexe à l’intérieur, je regrette de ne pas pouvoir y goûter immédiatement. Je pistonne la jeune femme qui gémit bruyamment. Elle jouit et c’est adorable. Je lui dis :

— J’ai envie de te voir nue moi aussi.

Je me retire, Jessica enlève son collant avant de se mettre à genoux pour retirer sa robe. Mince et très svelte, elle a pour seules formes celles de ses hanches. Elle sourit, me repousse dans le lit avant de passer une jambe au-dessus de mes hanches afin de s’empaler sur ma verge. Je la laisse faire. Sensuelle et lascive, elle se balance en douceur et mon plaisir est immense. Elle jouit une nouvelle fois et s’allonge sur mon torse.

— Te regarder aller et venir sur moi était un spectacle somptueux.

Elle rit et me remercie. Puis ajoute :

— Tu n’as pas encore fini ?

— Non.

— Ça me change de l’éjaculateur précoce avec qui je sortais !

Je souris et l’embrasse :

— Je crois que j’adorerai que tu te mettes à quatre pattes.

— Je crois que moi aussi.

J’observe Jessica qui se redresse et se met en position. Dos à moi. Pour que j’aie son entrejambe devant les yeux, mais juste trop loin pour que je puisse la toucher. Ses cuisses fines, son tout petit cul, son abricot ouvert, son anus saillant, je n’avais jamais vu une telle beauté pornographique que sur des sites spécialisés aux photos retouchées. Je dois me pincer. Je m’agenouille derrière elle et sans dire un mot, je la pénètre doucement. Jessica apprécie manifestement que je sois lent et doux dans les premiers instants. Elle comprend vite que je suis à son écoute et me fait monter à son rythme. J’éjacule en douceur. Jessica est aux anges.

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