J’essayais de lécher le mieux que je pouvais sans vomir, je regardais à travers les parois de la douche mon homme, celui que j’aimais et à qui je devais obéir maintenant. Il finit sa douche, s’essuya et fit le tour de moi pour regarder mon travail.
– Tu as très bien travaillé, il n’en reste aucune goutte, tu auras le droit à une jolie récompense, crois-moi.
Il me tira par la laisse et m’emmena dans notre chambre. Là il m’installa sur le lit, m’attacha les poignets en haut du lit avec les menottes que je lui ai offert, ensuite il chercha dans mon tiroir après deux petits foulards pour m’attacher les pieds. De ce fait j’étais complètement bloquée et ouverte devant lui. Il partit et il revint avec le plumeau et un appareil photo. Il savait que je ne voulais pas qu’il me prenne nue et là il se fit plaisir en prenant ma poitrine de près et tout mes orifices de très près parfois. Il prit le plumeau en main et m’effleura avec tout le corps, je me mise à rire car je suis très chatouilleuse. Là une claque vient de tomber sur ma chatte je me suis mise à crier.
– Je ne t’ai pas demandé de parler ni de rire rien du tout je ne veux plus entendre aucun bruit.
– Oui maître.
Là il reprit son jeu avec le plumeau puis il sortit de la chambre. J’étais attachée en chaleur et il me laissa là seule. Pendant ce temps j’imaginais plein de sévices qu’il pouvait me faire lorsque j’entendis la sonnette, je sursautais "Qui était-ce ?". J’allais bientôt le savoir pour mon plus grand étonnement. C’était en fait son meilleur ami, j’avais reconnu sa voix, mais pourquoi il était ici ? Il va se demander pourquoi je ne suis pas là pour l’anniversaire de Nicolas. J’entendis des pas qui s’approchaient de la chambre, non il n’allait pas le faire entrer ici, je ne veux pas qu’il me voit dans cette position, c’est trop gênant. La porte s’ouvrit, ce qui eut pour effet de me sortir de mes pensées. Il était seul, ce qui me calma un peu, il mit l’appareil photo sur son pied et vint vers moi.
– Ne t’inquiète pas mon petit cur, tu vas avoir du plaisir mais pas par moi ce soir, Lucas a toujours voulu te sauter et je l’ai appelé pour lui faire ce plaisir pendant que je prendrais des photos et peut-être je viendrais me joindre à vous.
De là, il appela son ami qui entra avec un sourire sadique aux lèvres.
– Depuis le temps que j’en rêvais, tu me fais un sacré cadeau là mon poto.
– T’inquiète pas si elle crie c’est qu’elle prend son pied !
De là, je l’ai vu se déshabiller, il avait déjà la verge bien tendue et il me la met dans la bouche directement et bien profond. Elle était longue et plus grosse que celle de mon Nicolas.
– Suce Salope, la belle grosse sucette que je te montre.
Je m’efforçais de le sucer comme je pouvais et du mieux que je pouvais malgré ma position pas très pratique pour ce genre de plaisir. Je vis un flash mon ami prit des photos de très près de cette verge dans ma bouche, je vis que cela l’excitait vu qu’il avait une belle bosse au niveau de son sexe. Lucas sortit son sexe de ma bouche et le posa entre mes seins.
– Je me doutais qu’elle avait une belle poitrine mais pas aussi douce.
– Ça j’en prends soin se sont mes doudous, en plus elle adore qu’on joue avec ces tétons, ça la fait mouiller grave cette salope.
– On va s’amuser un petit peu, elle t’a offert un fouet, c’est qu’elle veut qu’on s’en serve, rapporte le moi
Cela ne prit que quelques secondes, Lucas était toujours assis sur moi. Quand il entendit la porte, il se leva et il prit le fouet. Sans que je puisse penser a quelque chose, le fouet retentit sur mes seins et je me suis mise à crier.
– Tais toi salope, tu aimes ça, regarde comment tu mouilles alors crie de plaisir et non pas de douleur.
De là, il reprit son fouettage de plus belle. Je me forçais à crier de plaisir et non pas de douleur mais cela me faisait très mal. D’un coup, cela s’arrêta et je ne vis plus rien on venait de me mettre un cache sur les yeux.
— Comme ça tu ne verras plus rien et tu ne sauras pas qui te fait quoi et surtout qui te prendra, c’était la voix de Nicolas.
Là je sentis une main me caresser les seins comme pour apaiser mes blessures et cette mains descendit doucement vers mon antre. J’entendis les clics de la prise de photo et d’un coup deux doigts entrèrent en moi sans aucun ménagement, on me fouillait l’entre-jambes… Puis un troisième je me suis mise à couiner comme une chienne.
– C’est qu’elle aime ça, elle fait des bruits de petit chien, ça me donne une idée si tu es d’accord Nicolas.
– Tout dépend ce que tu prévois !
– Ben je ne suis pas venu seul tu sais !
– Ramène-le avec un sucre, on verra ce qui va se passer.
Il avait un ton joyeux mais moi je redoutais qui il allait ramener . Déjà son meilleur ami, ça fait beaucoup je n’aurais jamais cru qu’il en vienne jusque là. J’entendis la porte se refermer et je sentis un souffle sur mes cuisses. Et on me mit un sucre dans la chatte sans prévenir cela me fis mal. Mon homme s’approcha de moi et me chuchota dans l’oreille
– Ne t’inquiète pas, il va te lécher comme un sadique jusqu’à ce qu’il ait son susucre.
– Quoi un chien !
– Et oui tu es une chienne, ne l’oublie pas ma petit pute !
Il me quitta et le chien se jeta sur ma chatte, il me lécha divinement et je me suis mise à mouiller fortement et il continua de plus belle.
– Tu sais j’ai vu Catherine se prendre le chien elle avait l’air d’aimer ça la coquine !
– Tu ne lui conviens plus, qu’elle se prend ton chien ?
Ils discutaient pendant que le chien me léchait au bout d’un moment il voulu me prendre ma – Pourquoi elle crie celle là !
– Putain ton chien a tellement l’habitude de ta femme qu’il se prend la mienne.
– Laisse-le, tu m’as bien dit que si elle criait, c’est qu’elle aimait ça. Attends je vais m’occuper d’elle pour qu’elle ne crie plus.
Lucas se mit sur moi et me mit sa bite dans ma bouche ;
– Suce ma petite chienne et avale tout bien comme il faut.
Et pendant je ne sais combien de temps je me suis fait prendre par un chien et j’ai du sucer Lucas et mon homme, j’étais poisseuse de sperme et le sperme du chien dégouliner de ma chatte.
– Comme tu es sale ma petite chienne on va te laver pour nettoyer tout cela.
Il me détacha et je pensais qu’il allait m’emmener dans la salle de bain, mais j’allais à l’opposé vers le jardin… Je ne voyais toujours rien, vu que j’avais toujours ma vue cachée.
