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Albert – Chapitre 6




Albert est content de sa soirée. Non seulement, elles sont revenues mais en plus elles ont fait des progrès. Il regarde le string . C’est le deuxième, un string de chaque côté de la ,glace, cela fait assez joli. Après un lavage de dent au vin blanc, il est fin prêt. En partant, il croise Henri celui-ci dit:

— Dis donc, elles font du bruit les vieilles que tu te tapes

— T’inquiètes, elles font du bruit mais elles ont un cul, je ne te raconte pas et en plus, elles aiment la bite et ne sont pas si vieilles que ça.

— Putain, tu en as de la chance

— J’ai pas de la chance, j’ai une queue mon gars, et je sais m’en servir

Sur ces paroles, il part, s’installe. Quelques habitués le salut, lui laissent une pièce. Il bruine aujourd’hui, ce devrait être une journée maussade mais Albert s’en fout. Il ne fait que penser à ses deux culs et ses chattes accueillantes, il manque plus qu’elles continuent à faire des progrès et ce seront de parfaites amantes. Il va vers le restaurant. Il marche en titubant un peu et en se grattant les couilles. Quand il s’installe sur le trottoir auprès de la porte de la cuisine, il aperçoit les trois bourges qui avancent. Elles ne l’ont pas vu, elles rentrent dans le restaurant. Le chef apporte lassiette. C’est du lapin à la crème avec des giroles, un gratin de pomme de terre et fondue de poireau. La cantine est vraiment bonne pense-t-il. Le chef dit :

— Tu commences à puer, Albert, vivement qu’il pleuve vraiment.

— Oui, mais mon parfum attire les femmes. Alors, je ne suis pas prêt d’en changer.

— Ben voyons, c’est bien connu, les femmes aiment les hommes qui puent, dit le cuisinier en rigolant.

Il repart à la cuisine. Albert mange, dit merci à une passante qui lui laisse une pièce. Une serveuse du restaurant vient vers lui. Elle est vêtue de l’uniforme du restaurant qui est très seyant et laisse voir ses formes. Elle a une poitrine magnifique, grosse, tout ce qu’il aime et un petit cul rebondi. Rien qu’en la regardant, Albert commence à bander. La serveuse se baisse, dépose un plateau avec un café et des mignardises.

— Voilà votre café gourmand offert par trois dames qui sont au restaurant monsieur. Que souhaitez-vous comme digestif? Il est offert aussi.

— Un bon calva hors d’âge.

Il sourit. La serveuse s’est reculée, gênée par l’odeur. Elle revient avec le calva, le dépose et repart sans demander quoi que ce soit. Ainsi, elles l’ont vu et on trouvait un moyen de lui faire savoir. Il savoure le dessert, il boit le calva qui est très bon. Une fois fini, il se lève et se dirige vers le square. La pluie a arrêté, son banc est disponible. Il s’allonge dessus pour faire une sieste. Il s’endort rapidement, le calva l’a secoué. Il ouvre les yeux, il n’a aucune idée de l’heure qu’il peut être. Le soleil brille et lui chauffe sa vieille carcasse. Il s’assied, sort sa bouteille de rouge, boit une gorgée, rote, s’étire, passe sa main dans les cheveux, voilà, il est réveillé. En regardant le square, il les aperçoit, elles sont assises sur le banc d’en face. Elles le regardent.

— Dites, les bourges, pour ce faire bronzer, il faut se foutre à poil.

Elles ne disent rien, se lèvent et s’approchent. Il les regarde rigolard. Celle qui n’est jamais venue dans son antre se met à genoux devant lui, ouvre sa braguette. Cela le fait aussitôt bander, il jette un il aux alentours, il ne voudrait pas se faire prendre pour exhibitionniste. Il n’y a qu’un couple d’amoureux plus loin, et ils sont bien trop occupés à se faire les yeux doux pour voir ce qui se passe.

— Allez montre nous, Claire dit Évelyne

Évelyne et Marie-France se sont mises de chaque côté de Claire de façon à ce que l’on ne puisse pas la voir.

Une fois le sexe d’Albert sorti, Claire se met à le sucer. Une vraie fellation, une longue fellation. Albert se dit qu’il n’ a jamais été sucé comme cela. Elle ne s’arrête pas, cette bourge, elle veut tout. Albert râle, lâche sa semence. Claire avale, se relève calmement, sort un mouchoir brodé, s’essuie la bouche, sourit.

— J’espère que cela vous a convenu, dit elle

— Putain, qu’est-ce que tu es une bonne suceuse, la vache, t’es la meilleure suceuse que je connaisse, mieux que Simone qui a l’avantage de ne plus avoir de dent. Tu es la bourge suceuse,

— Merci. A ce soir. Vous verrez, je ne suis pas qu’une bonne suceuse.

Albert n’en revient pas. Il s’est fait sucer en plein après midi par une bourge et elles sont reparties Elles lui ont laissé une bouteille et quelques billets. Il a vraiment tiré le gros lot.

L’après-midi s’écoule, Albert fait la manche machinalement sans trop faire attention. Quand il rentre, le boulanger l’interpelle pour qu’il prenne des croissants. Une fois arrivé sur les quais, il regarde les strings, il sifflote. Il s’assoit, le dos contre la pile de pont. C’est son endroit préféré. Ainsi, il peut voir les bateaux passés, voir les lumières de la ville se mirer dans l’eau, laisser son esprit vagabonder. Il entend des bruits de talon, les bourges arrivent. Il se met à bander, on dirait qu’il a un reflex de Pavlov. Elles ont l’air très gaies, elles sont là toutes les trois, avec leur tailleur qui est de marque vue la coupe.

— Voilà les bourges, vous venez chercher votre récompense. La méritez-vous?

— On rentre d’un vernissage. Elles ont sucé mon mari dans les toilettes pour parfaire leur entrainement. D’ailleurs, celui-ci leurs a prodiguées quelques conseils et après, il m’a baisée dans les toilettes. Mais, je tiens à gouter à votre queue, monsieur Albert

Albert la regarde, se lève, la pousse dans son antre. Elle se retrouve à quatre-patte, elle ne porte ni culotte, ni string. Albert la baise sans préliminaire. Il ne connaît pas les préliminaires. Claire ne tarde pas à bouger son cul, Albert la ramone, enfonce sa queue. Claire jouit rapidement. Les deux autres se sont approchées pour regarder leur copine. Albert continue à la pilonner. Évelyne se met sur le pilier, le cul sorti, string enlevé. Albert laisse Claire et s’approche, il encule Évelyne. Albert n’a pas envie de jouir, il veut profiter des trois bourges. Évelyne se caresse mais n’arrive pas à jouir, il lui manque quelque chose. Albert lui donne une grande claque sur le cul.

— Alors, la bourge, c’est bon de se faire enculer par Albert. Tu es vraiment une salope et en plus tu amènes tes copines.

Ces simples paroles déclenchent un orgasme à Évelyne. Albert sort du cul d’Évelyne, se trouve devant la bouche de Claire qui est toujours à quatre pattes. Il se fait sucer au passage et dit à Marie-France de se coucher, jambes relevées, qu’il puisse la baiser. Marie-France ne se fait pas prier, se met dans la position demandée. Albert s’approche, se met à genoux et rentre dans chatte baveuse de Marie-France. Il la besogne, Marie-France commence à couiner, Albert continue son va-et-vient. Marie-France gueule de plus en plus fort et se met à crier. Marie-France est en train de jouir. Albert bande toujours, d’avoir joui cet après-midi l’aide à tenir. Il décide de se finir dans la chatte d’ Évelyne. Elle est restée au niveau du pilier. Il s’approche, lui donne une claque sur le cul.

— Tends ton cul, salope, que je te baise.

Évelyne s’exécute. Albert la pénètre puissamment, la traite de trainée, de vide couille, de salope. Ses paroles font de l’effet à Évelyne et elle jouit en même temps qu’Albert se vide en elle. Une fois qu’Albert a fini de jouir, il va s’assoir, sort un vieux mégot

— Allez, dehors, laissez-moi tranquille les bourges.

Elles remettent de l’ordre dans leurs vêtements. Évelyne laisse son string comme à chaque fois. Elles partent sans rien dire. Albert tire une taffe, écrase son mégot et se couche. Il s’endort aussitôt.

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