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Les actrices – Chapitre 2




Chloé, Nicole et moi sommes restés allongés plusieurs minutes côte à côte, sans bouger, à récupérer de nos exploits. Mes deux partenaires souriaient, visiblement totalement comblées. J’avoue qu’à cet instant pas mal de questions me taraudaient l’esprit. Certes, je n’ai jamais été un mauvais amant, mais je suis parfaitement conscient de ne pas non plus être un coup exceptionnel. Alors comment avais-je pu faire jouir ainsi deux professionnelles du sexe, dont les journées consistaient justement à faire l’amour avec divers partenaires. Je ne boudais pas mon plaisir et ma virilité s’en trouvait renforcée, mais je ne pouvais m’empêcher de me questionner.

C’est Chloé qui réagit la première, en se levant pour aller se doucher, suivie par Nicole. L’étage comportant deux salles de bain, chacune se dirigea vers une des salles d’eau. Quelques instants plus tard, je me levai à mon tour, récupérant mes vêtements dans la chambre, ainsi que les deux maillots de bain que leur propriétaire respective avait laissé sur le sol de la chambre. Je sortis discrètement de la pièce (j’étais toujours nu), et déposa son maillot à Chloé, puis me dirigea vers la deuxième douche pour déposer le sien à Nicole.

En entrant dans la pièce, je vis Nicole déjà sous le jet d’eau, étalant le savon sur son magnifique corps d’ébène. Ses gestes étaient lents et sensuels, et la sensation de bien-être qu’elle devait éprouver à cet instant était palpable. Je restai quelques instants à l’observer puis, n’y tenant plus et sentant l’excitation remonter en moi, je déposai les vêtements sur un meuble et je la rejoignis sous la douche. J’entrepris alors d’étaler lentement et méthodiquement, par le biais de caresses délicates, tout le savon qui s’accumulait sur son dos. Ce traitement la fit frissonner de plaisir, ce qui eut pour effet de provoquer chez moi une bonne érection qu’elle remarqua instantanément.

Nullement déstabilisée par la situation, Nicole tendis le bras pour attraper mon sexe, et commença à me branler doucement. Mes caresses se firent alors plus entreprenantes, et après le dos, je lui caressais la nuque, les seins, le ventre, les cuisses, Ma partenaires ondulait de bonheur. Arrivé près de l’endroit stratégique, j’introduisis un puis deux doigts dans sa grotte d’amour, et nous commençâmes à nous donner du plaisir mutuellement. Cette alchimie se prolongea un bon moment, car ayant déjà éjaculé deux fois très récemment, je fus bien plus endurant. Nicole par contre fini par avoir un nouvel orgasme, qu’elle manifesta par un long soupir de satisfaction. Elle tourna alors la tête et me gratifia d’un sourire des plus expressif.

Comme elle avait toujours ma bite en main, elle la dirigea vers son minou et me demanda de retirer mes doigts. En modifiant légèrement sa position, elle parvint sans difficulté à positionner mon gland contre son clitoris, de sorte que je n’eus plus qu’à m’avancer un peu pour la pénétrer. Afin de savourer chaque instant, je pris bien mon temps avant d’arriver au fond, au plus grand bonheur de Nicole si j’en juge par la longue expiration qui accompagna ce mouvement. Je commençai alors à la limer comme à mon habitude, lentement tout d’abord puis de plus en plus vite. Je finis par trouver un bon rythme, et je fis ainsi l’amour à Nicole, en levrette debout sous la douche, pendant près de dix minutes. Nicole enchainait les orgasmes, m’encourageant à continuer et à y aller plus profond, tout en faisant des efforts pour ne pas que ses jambes flageolent sous l’intensité de la jouissance.

Au bout d’une dizaine de minutes donc, me sentant sur le point de venir, je sortis du minou de Nicole, la retournai face à moi et lui demandai de placer ses jambes autour de mes hanches. Dans cette position, je parvins à me libérer une main, je guidai ma bite de nouveau vers le vagin de Nicole puis, une fois à l’intérieur, je plaquai ma partenaire contre le mur tout en la soutenant au niveau des fesses, avant de reprendre mes aller-retours de plus belle. Fermement accrochée à mes épaules et à mes hanches, Nicole m’encouragea cette fois-ci à y aller plus fort, ce que je fis sans me faire prier. Mes coup de boutoir se firent alors plus percutants, avec pour conséquence de décupler les sensations de ma partenaire, mais aussi de me faire venir plus vite que prévu. Quelques minutes plus tard, j’éjaculais sur le ventre de Nicole, non sans lui avoir permis d’obtenir auparavant une ultime jouissance, particulièrement intense selon elle. Elle s’appuya de tout son long sur le mur de la douche, le jet d’eau toujours allumé et ses jambes la soutenant à peine. Elle avait l’air bien épuisé mais le sourire béat sur son visage en disait long sur l’intensité du moment qu’elle venait de vivre.

Afin de lui laisser suffisamment de place, je sortis de la douche pour me retrouver nez à nez avec Chloé, vêtue d’une simple brassière et d’une mini-jupe trapèze, tout sourire, qui devait nous avoir observés depuis un bon moment. Devant mon air surpris, elle rigola doucement, avant de se mettre accroupi devant moi et de me sucer le gland afin de le nettoyer. L’appétit sexuel de Chloé me semblait particulièrement grand, ce qui me fut confirmé très peu de temps après.

  – Je te laisse ma chérie, je suis attendu pour les essais sons et lumières, dit-elle à Nicole, ma bite toujours en mains.

Elle se redressa alors, sortit de la salle de bain et se dirigea vers l’escalier.

— Les essais? Quels essais? demandai-je

— Tu vas comprendre. Aide-moi à me redresser et à me sécher, tu m’as cassé les pattes, me répondit Nicole avec un grand sourire.

Je l’aidai à se relever, lui tendis une serviette de bain et une autre pour ses cheveux, tandis que je prenais rapidement sa place sous la douche. Nous nous sommes ensuite rhabillés. Je venais à peine d’enfiler un T-shirt lorsque j’entendis au rez-de-chaussée les hurlements caractéristiques d’une scène de film X.

— Ben dis donc, il ne traine pas le réalisateur, déjà en action.

— Oh, c’est bien Seb qui est à l’origine de tout ceci, dit-elle en rigolant, mais ce n’est pas vraiment un tournage. Tu devrais aller voir. Et ça ne m’étonnerait pas que Julien et Nico, les cameramen, et Fred le preneur de son soient aussi de la fête.

Piqué par la curiosité, je me dirigeai vers le haut de l’escalier et je regardai discrètement en bas. J’oublierai difficilement la scène que je vis à ce moment-là. Chloé était vautrée à plat ventre sur la table du salon, pointe des pieds au sol, seins nus et jupe relevée sur les hanches, en train de se faire littéralement pilonner la chatte par Nico le cameraman, solidement accroché à ses cuisses. Les autres actrices ne semblaient pas se préoccuper de la scène, seule l’équipe technique s’y intéressait. Les cris que poussais Chloé étaient tellement forcés et tellement à l’opposé de ce que j’avais connu d’elle une heure auparavant que ça en devenait écurant.

Soudain, Seb cria "Coupez" et les deux partenaires cessèrent instantanément tout mouvement. Seb donna quelques instructions, que Julien et Fred mirent en pratique en modifiant la position d’un micro ou d’une caméra. Pendant ce temps, le sexe de Nico resta au fond du vagin de Chloé quasiment sans bouger. Puis un "Moteur" retentit, et l’action reprit de plus belle là où elle s’était arrêtée. Je restai là quelques instants avant de rejoindre Nicole qui finissait de se coiffer.

— Alors, ces essais sons et lumières? me demanda-t-elle avec un grand sourire

— Je crois que j’ai compris. Mais s’il veut tourner demain matin, la lumière ne sera plus la même, les réglages de ce soir ne lui serviront plus.

— Et bien ils referont des essais et Chloé sera encore là, fidèle au poste.

— Pourquoi elle, particulièrement?

— Parce qu’elle aime vraiment ça. Ce qu’elle apprécie plus que tout, c’est sentir une bonne queue dans un de ses trous. A ma connaissance, c’est la seule actrice qui soit entrée dans ce milieu dans le seul but de se faire baiser toute la journée.

— Ah d’accord. Et si ce n’est pas indiscret, pourquoi es-tu devenue actrice porno?

— Simple et classique : 18 ans, plus de domicile, pas de diplôme ni d’expérience et bien foutue. J’ai commencé pute de luxe, histoire d’accumuler de l’argent pour notamment me faire refaire les seins, actrice X n’est que la suite logique. Mais j’aurais pu tomber plus mal, Seb se préoccupe toujours de la reconversion de ses actrices. C’est rare dans ce milieu.

Je ne sus pas quoi répondre, me contentant d’un haussement de sourcils, ce qui eut pour effet de la faire rire. Je pris alors congé discrètement afin de rentrer chez moi, via l’escalier de secours de l’étage. Avant de partir, Nicole m’indiqua quelle actrice dormait dans chaque chambre. De retour chez moi, j’eus encore quelques difficultés à réaliser ce qui venait de se passer, malgré le fait que je venais de passer au total plus d’une heure à faire l’amour à deux créatures de rêve. Je passais ainsi le reste de l’après-midi et le début de soirée, avant de revenir vers le gîte vers 21H30, afin de profiter pour la première fois de la deuxième partie de mon accord.

J’entrai dans le bâtiment par le même escalier par lequel j’étais sorti, et je frappai à la porte de Mélanie. C’est elle que j’avais choisi pour ma première nuit. Elle m’invita à entrer, et je la trouvai assise sur son lit dos calé par des oreillers et jambes légèrement repliées, très bien avancée dans sa lecture, et vêtue d’un débardeur un peu trop petit pour ses énormes seins et d’un petit short d’été en toile. Ce soir-là, ses cheveux flottaient librement sur ses épaules, tandis qu’elle portait une paire de lunettes, ce qui ajoutait encore à son charme déjà ravageur.

– Bonsoir. Je suis venu te confirmer que je ne suis effectivement pas un psychopathe.

Pour toute réponse, j’eus droit à un grand sourire. Elle se leva, déposa son roman sur une table, ses lunettes par dessus, et s’approcha calmement. Arrivée devant moi, elle passa ses bras autour de mes épaules et m’embrassa de la façon la plus romantique qu’il m’ait été donné de connaitre. Je l’enlaçai à mon tour et nous sommes restés ainsi quelques instants. Puis elle s’éloigna, prit un vêtement dans sa valise, et revint vers moi

– Je te laisse te mettre à l’aise sous les draps, je vais me préparer, me dit-elle avant de sortir de la chambre.

Je ne me suis pas encore décrit. Je mesure 1m75 pour 70kg, et mon activité professionnelle m’oblige à pas mal me dépenser. De plus, depuis mon retour, je me suis remis au football que j’affectionnais dans ma jeunesse. Tout ceci m’a permis de remodeler mon corps, et sans être un athlète, je n’ai pas à rougir de ma silhouette. Je me suis donc entièrement déshabillé, et je me suis glissé partiellement sous les draps, seul le bas de mon corps était masqué. Auparavant, j’avais pris la précaution de glisser le lubrifiant de Mélanie dans la table de nuit.

Quelques instants plus tard, Mélanie revint cheveux attachés, et vêtue d’une nuisette en satin grise ultra sexy. Elle prit un peu la pose, avant de se diriger très sensuelle vers le bout du lit, pour y grimper à quatre pattes, féline en diable. Elle avança ainsi jusqu’à pourvoir attraper le drap et le retirer, dégageant ainsi ma bite en érection. Elle admira un court instant l’engin puis reprit sa progression, jusqu’à parvenir au-dessus de moi. Elle commença alors à m’embrasser le visage, le torse, le cou, tandis que je lui embrassai le haut de ses seins et que je lui caressai le dos, les épaules et les cuisses, tantôt au travers de la nuisette, tantôt en dessous.

Nous sommes restés ainsi quelques minutes à nous caresser et nous embrasser, faisant monter l’excitation. Puis je repris l’initiative, et profitant de lui caresser les cuisses, j’introduisis un puis deux doigts dans sa chatte, et je commençai alors à la masturber, jusqu’à ce qu’elle soit suffisamment mouillée. Je retirai alors mes doigts que je remplaçai par ma bite, que Mélanie accueilli par un profond soupir. Elle commença tout de suite quelques allers-retours mais très vite je l’invitai à se redresser afin que je puisse m’assoir et ainsi profiter de ses seins. Elle plaça alors ses jambes autour de ma taille et, fermement accrochée à mes épaules, pris le contrôle des va-et-vient, imposant un rythme soutenu. Pendant ce temps, j’abaissai les bretelles de sa nuisette, et je pus profiter à pleines mains et à pleine bouche de cette formidable poitrine qui, bien que refaite, lui donnait une silhouette absolument divine.

Nous avons gardé cette position de longues minutes, Mélanie se cambrant pour profiter pleinement de la pénétration. J’en profitai pleinement pour embrasser et mordiller ses seins, augmentant encore son excitation. La nuisette ne fit pas long feu et je la fis voler à travers la pièce. Ayant joui plusieurs fois dans l’après-midi, mon endurance s’en est trouvé augmentée, et ce fut un puis deux puis trois orgasmes pour Mélanie. La voyant se fatiguer, je la fis basculer sur le dos, et, me retrouvant entre ses cuisses, je lui demandai de tendre ses jambes vers le ciel, j’attrapai ses chevilles et je pris le relai. Cela dura de nouveau un bon moment, et ce fut deux nouveaux orgasmes pour Mélanie, qui commençait vraiment à se fatiguer.

Cela faisait plus de 20 minutes sans arrêt que nous faisions l’amour lorsque Mélanie, au bord du malaise, me demanda de faire une pause. Je me retirai donc et me couchai près d’elle afin de la laisser reprendre son souffle. Il peut paraître surprenant qu’une actrice X s’épuise au bout de 20-25 minutes, mais il faut savoir, comme je l’ai appris plus tard, que lors d’un tournage, les acteurs ne gardent la même position que le temps de deux-trois minutes d’antenne, c’est-à-dire sans tenir compte des pauses en pleines actions pour corriger un éclairage, une caméra, 20 minutes non-stop est donc beaucoup, même pour une actrice porno.

Mélanie reprenais son souffle en silence tout en me souriant, visiblement complètement épuisée mais au comble de l’extase. Nous sommes restés quelques instants ainsi, juste à nous regarder, à nous embrasser tendrement et à nous caresser délicatement. Puis Mélanie pris ma bite qui commençait à mollir dans sa main, et entreprit de lui redonner toute sa vigueur. Lorsque l’engin fut de nouveau au garde-à-vous, elle me prodigua une fellation aussi divine que celle de Chloé, à croire que les actrices X suivent des cours pour sucer aussi bien. Afin de ne pas la laisser en reste, je lui demandai de se rapprocher de mon visage, et nous voilà partis pour un bon 69. Le clitoris de Mélanie étant encore assez sensible, elle ne fut pas bien longue à avoir un nouvel orgasme, qu’elle manifesta par un long gémissement. Décidément, cette partie de jambe en l’air était absolument mémorable. Et ce n’était pas fini.

Pendant tout le temps du cunni, je me suis employé à lui préparer son joli postérieur. Bien entendu, le but de la manuvre ne lui a pas échappé et elle plaça sa croupe de manière à me faciliter l’opération. Lorsque ce fut prêt, j’invitai Mélanie à se placer sur le côté en cuillère, j’attrapai le tube de lubrifiant, et après en avoir appliqué, je présentai mon gland contre sa rosette, qui s’ouvrit sans difficulté sous la poussée. J’ai alors poursuivi le mouvement, assez lentement afin de ne pas provoquer de douleur et afin de décupler le plaisir de la pénétration. A en croire le long râle de plaisir qu’elle a poussé je pus conclure que l’opération avait été concluante.

Bien calé à l’intérieur, j’entamai des allers-retours à un rythme modéré, profitant de la position pour lui caresser les seins et les cuisses. Au bout de quelques instants, j’abandonnai mes caresses pour venir lui titiller le clitoris, pour son plus grand bonheur si j’en juge par la force avec laquelle elle empoigna l’oreiller. Je poursuivis ainsi quelques minutes, alternant caresse du clito et caresse des seins, et profitant d’être derrière ma partenaire pour lui lécher la nuque du bout de la langue. Je serais bien incapable de dire ce qui le provoqua, mais toujours est-il que Mélanie eue un énième orgasme, qui déclencha chez elle un râle des plus sonore.

Une fois remise de ses émotions, Mélanie me demanda de la prendre bien en profondeur sur le bord du lit, ce que je fis avec le plus grand plaisir. Le lit n’étant pas très haut, elle put se mettre à genou sur le sol, tandis que, positionné derrière elle, j’entamai des mouvements plus lents mais plus amples que précédemment. Accroché à ses épaules, je faisais claquer mes cuisses sur ses fesses à chaque mouvement. Accoudé sur les draps, elle se cambra du mieux qu’elle put, afin de profiter au mieux de la situation. Chaque pénétration lui arrachait un râle de satisfaction, sans interruption durant les presque dix minutes pendant lesquelles nous sommes restés dans cette position.

Mon endurance n’étant tout de même pas infinie, je signalai à ma partenaire que j’étais sur le point de venir. Celle-ci me demanda alors de me retirer, vint se placer à genou devant moi et, attrapant ma bite à pleine main, entreprit de la branler jusqu’à recevoir ma semence sur ses seins. Ceci fait, elle me nettoya le gland avec sa langue, avant d’étaler tout le sperme sur sa poitrine. Elle se releva ensuite avec un grand sourire, puis vint se coller contre moi les bras autour du cou :

  – Finalement, tu es peut-être bien un psychopathe, me dit-elle avec un grand sourire, avant d’échanger avec moi un long baiser langoureux.

Ce baiser eu pour effet secondaire de me maculer moi aussi de semence, ce qui provoqua chez nous deux un fou rire lorsque nous nous en sommes rendus compte. Mélanie m’a alors méthodiquement léché le torse, afin d’en récupérer chaque goutte. Ce nettoyage fait, nous sommes allés nous doucher, douche que nous avons surtout passé à nous caresser mutuellement. Enfin présentable, nous sommes revenus dans la chambre où, après que Mélanie a revêtu sa nuisette, nous nous sommes couchés enlacés.

Totalement épuisée, Mélanie s’endormit très vite. Moi, je suis resté un instant à réfléchir à ce qui venait de se passer : je venais de faire l’amour pendant près d’une heure avec une sublime jeune femme, plus tôt dans la journée j’en avais sauté une autre sous la douche, et juste avant cela je m’étais envoyé en l’air avec deux superbes créatures. En une demi-journée à peine, j’avais fait l’amour pendant presque deux heures à trois actrices pornos, que j’avais fait jouir plusieurs fois chacune. Et ceci n’était que le premier après-midi. Je me surpris à sourire en pensant au reste de la semaine. Sur cette agréable pensée, je me suis endormi à mon tour.

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