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Un sacré dépucelage – Chapitre 4




Mon frère me fait profiter de ses copains (ou l’inverse !)

Rappel : je m’appelle Béatrice, j’ai la cinquantaine, mais à l’époque des faits, je venais d’avoir 18 ans.

Après les épisodes « Mon dépucelage », « Ma première baise avec deux autres filles » puis « Mon voisin, ce salaud de partouzeur » voici « Mon frère me fait profiter de ses copains ».

Il y a maintenant deux semaines que je suis rentrée chez moi après avoir copieusement baisé avec mes voisins et un couple d’amis à eux et que mon frère m’a ouvert la porte de l’appartement de mes parents avec un grand sourire.

Je me suis alors rappelée que du salon chez moi, on entendait assez bien ce qui se passait dans le salon des voisins. Je me demandais bien ce que mon frère avait pu entendre. Il était un peu plus âgé que moi (19 ans) et il était gai. Je me suis décidé à lui poser la question :

« Tu te souviens, il y a environ 15 jours, lorsque je suis rentrée de chez les voisins ? »

« Oui bien sûr » me répondit-il avec un grand sourire.

Je me suis dit qu’il n’avait donc pas oublié et que s’il n’avait pas oublié, c’est que cela avait dû le marquer. Je l’interrogeais de nouveau :

« Tu as entendu quelque chose ce jour-là ? »

« Oui »

« Qu’est-ce que tu as entendu ? »

« Une salope qui se faisait tringler come une pute et qui en redemandait »

« Tu n’as rien dit aux parents ? »

« Non, bien sûr. Mais j’aurais probablement un service à te demander en échange ».

« OK. Pas de souci. De quel genre de service ? »

« Je ne sais pas encore précisément. Je te le dirai dès que j’en saurais un peu plus. »

« D’accord. Fais-moi signe quand tu sauras. »

J’étais rassurée, mes parents ne sauraient rien. Ouf !

3 jours plus tard, mon frère, Alexandre, reviens vers moi et me dit :

« Tu es toujours d’accord pour le service à me rendre ? ».

« Oui, bien sûr. De quoi s’agit-il ? »

« C’est un peu particulier, mais d’après ce que j’ai entendu chez le voisin, cela devrait te plaire. J’ai parlé de toi à mes copains. Certains sont gais, d’autres bi, d’autres encore sont hétéro. Ils aimeraient bien qu’on organise une petite fête, si tu vois ce que je veux dire. »

« OK. Quand ça ? »

« J’ai pensé à cet après-midi. J’ai un pote dont les parents sont partis en vacances et dont la maison est disponible ».

« OK. C’est où ? »

« T’inquiète. On viendra nous chercher. On dit vers 13:30 car il y aura un long après-midi à passer ».

« D’accord ».

J’attends avec impatience l’heure prévue. Sans m’en rendre compte, je commence à mouiller. J’ai la sensation que je vais encore en prendre plein le cul et plein la chatte, ce qui n’est pas pour me déplaire car cela fait maintenant une quinzaine de jour que je n’ai pas senti une bite en moi et je dois dire que cela me manque. En fait, je suis devenue une accro de la baise.

13:25 : un copain de mon frère que j’avais déjà croisé de loin, arrive en voiture. Il n’est pas en retard le salaud. Il doit avoir hâte de commencer.

Après une dizaine de minutes, nous arrivons devant une grande maison, style maison bourgeoise. Les portes s’ouvrent et nous rentrons la voiture à l’intérieur. Les autres sont déjà là. Il n’y a que des mecs.

Tous me font la bise, plus ou moins appuyée. L’un deux propose tout de suite de passer aux choses sérieuses. Qu’à cela ne tienne : tout le monde est à poils en moins de deux sauf moi.

L’un des mecs arrive près de moi, et par derrière, me dit à l’oreille : « ne sois pas timide. J’ai cru comprendre que le cul était une de tes spécialités ». En disant cela, il commence à me peloter les seins en passant ses mains sous mon pull. Bien entendu, je n’avais pas mi de soutien-gorge, ce qui sembla lui plaire d’entrée. Après m’avoir copieusement pelotée les seins, il entreprend de passer sa main entre mes cuisses. Les autres le regardaient faire et certains avaient sorti leur queue et commençaient à se branler. J’avais prévu et je m’étais habillée en conséquence : une jupe courte sans petite culotte.

Quand il introduit 2 doigts dans ma chatte, je lâche un soupir. Il s’exclame : « Putain, quelle salope. Elle n’a pas mis de culotte et on n’a même pas commencé qu’elle est déjà toute mouillée. Si t’aimes la bite, aujourd’hui tu vas être servi. Nous sommes 11 mecs. Certains ne te baiseront probablement pas car ils sont gais, mais il t’en reste encore un paquet à satisfaire ».

J’ai senti qu’après m’avoir complètement déshabillée, il ajustait sa queue sur le petit trou de mon cul. Je me penche instinctivement en avant pour qu’il me pénètre à fond. Ce qu’il fait brutalement. Il me dit : « Alors ma cochonne ? On aime ma queue ? ». Je lui réponds en tentant d’adopter un ton neutre : « Oui ». Il me répond : « Seulement oui ? Alors on va accélérer la cadence ». Il s’est mis à me pilonner à une vitesse que je n’avais jamais connue jusqu’alors. Une de ses mains me pelotait les seins, l’autre me doigtait la chatte. A ce rythme-là, je n’ai pas tenu longtemps avant de jouir bruyamment : « Oui vas-y. J’aime quand tu me limes le cul comme ça. Continue, vas-y. Ta bite dans mon cul, c’est génial. Oui, ramone moi encore et décharge tout ton foutre dans mon cul. » Ce qu’il fit rapidement. Son sperme n’a pas eu le temps de sortir, qu’un second mec prenait la place. Je pensais qu’il avait une plus petite bite car il n’a eu aucun problème pour s’introduire. Après réflexion, je pense que c’est surtout parce que mon conduit anal était bien lubrifié avec le sperme du premier passage. Et peut-être aussi parce que mon cul commençait à être habitué à ce genre de traitement.

Il m’a ensuite retournée sur la table du salon. J’étais allongée sur le dos, les cuisses bien écartées, laissant ma chatte à la vue de tout le monde. Je m’étais épilée pour l’occasion. Ma chatte était lisse. Seul mon petit clito sortait de son capuchon, ce qui ne manqua pas d’exciter encore plus mon baiseur : « le beau petit clito qui apparait Il me semble qu’il a besoin d’être titillé pour prendre un peu de plaisir. Que dirais-tu si je m’en occupais avec ma langue ? ». Dans un soupir impatient, je lui répondis : « Oui vas-y. Bouffe moi la chatte, bouffe moi le clito. Fais-moi mouiller comme une chienne, tu pourras mieux me baiser après. ».

Sa langue est venue chatouiller mon clito et une décharge de mouille est venue inonder la table du salon. Il me dit alors : « Hum ! On dirait que tu aimes ça, ma salope. Mais ce n’est qu’un début. Ton cul et ta chatte vont morfler aujourd’hui. Mes potes attendent que j’ai terminé pour te baiser comme une pute. J’espère que tu as prévu de ne pas t’assoir pendant quelques jours, car ton cul va prendre cher. »

Il se relève, prend sa queue d’une main et la présente à l’entrée de ma chatte. Il pousse d’un seul coup jusqu’au fond de mon vagin. Je suis surprise car je ne pensais pas qu’il avait une grosse queue mais en la sentant s’enfoncer en moi, je me suis rendue compte qu’elle touchait toutes les parois de ma chatte, jusqu’au fond de mon vagin. Pourtant je vois que sa queue ne rentre pas complètement dans ma chatte. Il doit avoir un sacré engin, le lascar !

Il me burine encore pendant une dizaine de minutes avant de lâcher la purée dans ma chatte qui dégouline de partout. Il ressort sa bite et je m’aperçois alors de la taille de la bête. Un monstre !

Mais pas le temps de réfléchir. Un troisième larron s’empresse de me reprendre la chatte toute dégoulinante de sperme. Cela n’a pas l’air de le rebuter.

Là, je sens tout de suite que c’est une petite bite. Elle rentre facilement, mais j’ai l’impression qu’il reste de l’espace. Quand je lui en fais part, il appelle un de son pote. Le premier se couche sur le dos par terre et me demande de venir s’embrocher sur sa bite ce que je fais sans problème. Il m’attire vers lui pour que je sois allongée, laissant ainsi le champ libre pour son pote qu’il venait d’appeler.

Ce dernier se poste derrière moi et me met sa queue dans la chatte avec celle du premier. Ils liment à contrecourant, ce qui me procure un bien énorme. Je commence à avoir chaud, très chaud. Je les interpelle en leur disant : « Alors, mes salauds. Prêts à me défoncer la chatte comme avec une pute ? ». Les deux me regardent et redouble de vitesse dans leurs vas et viens. Je ne tarde pas à trembler de partout, à moitié évanouie : je viens de jouir avec deux bites dans la chatte. Les salauds continuent quand même à me limer encore quelques minutes et le premier mec décharge sa purée. Le second, dans la foulée, s’allège les couilles dans ma chatte entrainé par la jouissance du premier.

Ma chatte est pleine. Elle dégouline de sperme de partout. Les deux mecs laissent leur place aux suivants. Là, je vois arriver un tout jeune homme qui doit à peine avoir 18 ans. Je suis quasiment sûr qu’il est puceau. Je pense que je vais passer un moment rapide avec lui, bien que sa queue soit de bonnes dimensions. Je vais profiter un peu de lui.

Je prends sa bite en main et je l’enfourne dans ma bouche pour bien le sucer. Deux minutes plus tard, il balançait la purée dans ma bouche. Il y avait un sacré paquet de sperme. Aussi, je lui dis : « Pour te faire pardonner d’avoir joui aussi rapidement, tu vas me lécher la chatte ».

Il ne se fit pas prier. Il se mit à genoux pour avoir la bouche à hauteur de ma chatte et commence à me butiner. Il ne se débrouille pas trop mal malgré son inexpérience évidente. Mais il faut bien un début à tout. Alors je me laisse bouffer la chatte. Il nettoie tout et avale le sperme de ses copains. Il passe ensuite à mon cul en me relevant les jambes au maximum. Je sens sa langue venir lécher mon anus qui suinte de sperme de mon premier amant de l’après-midi. Il tente même de me pénétrer avec sa langue. Comme il n’y arrive pas vraiment, je lui dis qu’il n’a qu’à remplacer sa langue par sa queue. Je ne lui ai pas dit 2 fois : sitôt dit, sitôt fait. Il présente sa petite queue à l’entrée de mon petit trou. Il n’a pas à forcer beaucoup pour rentrer à fond. Je le sens à peine, mais il ne tarde pas à décharger à nouveau, mais dans mon cul cette fois-ci.

Je regarde autour de moi et je vois mon frère qui est en train de se faire bouffer le cul par un de ses potes. Il a l’air d’y prendre gout le salaud. Sa queue, que je voyais pour la première fois aussi bien, était raide, assez grosse et semblait bien dure. Son copain qui lui bouffait le cul a présenté sa bite sur la rondelle de mon frère. Là, j’ai vu qu’il allait se faire prendre comme une pute. Il n’en était pas à son coup d’essai à le voir. Son pote est rentré dans son cul avec une grande facilité. Tel frère, telle sur, me direz-vous.

Son pote lui a labouré le cul pendant cinq bonnes minutes avant de tout larguer. Quand il s’est retourné, le sperme coulait de son cul. Cela semblait lui plaire. Un autre mec est venu se placer entre ses cuisses, alors qu’il était allongé sur le dos, par terre. Il lui a écarté les jambes, les a levées le plus haut possible pour avoir accès à sa petite rondelle et l’a enfilé d’un seul coup. Mon frère a accusé le coup car le mec en question était plutôt bien membré, une belle queue comme je les aime.

Il l’a limé pendant un petit moment, mais il ne semble pas avoir joui dans le cul de mon frère. Il se dirige vers moi. Ma chatte et mon cul ne sont pas occupés pour l’instant. Les mecs semblaient baiser tous entre eux.

Le mec me regarde et voit que je suis libre. Il sort sa queue du cul de mon frère et vient me la présenter près de mon visage. Il a envie que je le suce. Ça tombe bien, j’ai envie de sucer une bite !

Je m’applique à bien tourner ma langue autours de son gland, je lui lèche le filet ce qui ne le laisse pas indifférent : sa queue devient de plus en plus grosse et de plus en plus dure. C’est le moment qu’il choisit pour se retirer de ma bouche, me retourner comme une crêpe sur la table du salon et m’enfiler par le cul sans ménagement. Sa bite me laboure les chairs, me les écarte et je sens bien sa queue au fond de moi. Il est endurant, le salaud, alors pour en finir, je vais l’astiquer un peu : « Vas-y, fourre bien ta grosse queue dans mon cul, il ne demande que cela. Tu vois je suis une grosse salope qui n’a qu’une envie, c’est de se faire défoncer. Alors, ne t’en prive pas. Et n’oublie pas de bien larguer ton foutre avant de sortir ! ».

Ça n’a pas tardé. Comme il a été excité, il me largue son jus dans la raie des fesses. Je sens le liquide couler dans ma raie et la sensation est très agréable. Il se baisse et commence à me lécher le cul en buvant son propre sperme. Il en profite pour me pénétrer avec sa langue. Je mouille comme une folle. J’ai encore envie de bites, dans ma chatte, dans mon cul, peu importe je veux de la bite.

Après m’avoir bien lécher il s’éloigne et va se faire enculer par un autre mec, qui a aussi une sacré bite. A priori, elle doit être encore plus grosse que la sienne. Il se fait défoncer comme une pute et il couine. Il aime ça aussi, se faire enculer.

Pas de le temps de respirer, je voulais de la bite, alors en voilà. Deux mecs viennent vers moi et me proposent une double. Bien sûr, j’accepte car j’adore ça. Le premier s’allonge par terre, la bite en l’air, bien dressée. Je la tâte et elle me semble assez dure pour bien me mettre la chatte en feu.

Je descends sur ce pieu qui me pénètre doucement, mais surement. Je n’ai pas fait attention aux dimensions de sa queue car de toutes les façons, je sais que je suis capable de m’en prendre de très très grosses.

Je m’allonge sur le mec qui est dans ma chatte, libérant l’accès à mon cul. Le second se couche sur moi (ce qui est nouveau pour moi), et m’encule assez facilement. Je sens un poids supplémentaire sur moi. En fait, un troisième mec vient de s’emboiter dans le mec au-dessus de moi. Celui qui m’encule est aussi enculé. Putain, que ça doit être bon de prendre et de se faire prendre en même temps !

Tout le monde commence à bouger et je sens que je ne vais pas tenir longtemps comme cela. Ça coulisse dans tous les sens : ma chatte est limée dans le sens opposé de mon cul. Quand une bite rentre, l’autre sort, puis l’inverse. Putain ! Comme c’est bon de se faire défoncer par tous les trous en même temps.

J’explose en même temps que les trois autres : on décharge tous pendant presque une minute. Ça peut paraitre peu, mais calculez bien combien de temps vous mettez à décharger. Pour moi, en général, ce ne sont que 10 ou 20 secondes, pas plus.

Tout le monde se des-emboite : les bites sortent des culs et de ma chatte. Elles sont toutes pleine de foutre et les mecs se chargent de nettoyer leur bite en se suçant les uns, les autres.

Bon, il est près de 17:00 et je cherche mon frère pour lui dire qu’il ne faudrait pas trop tarder pour rentrer. C’est là qu’il me dit que nous allons devoir rentrer à pied car le mec qui nous a accompagnés est en main avec 3 mecs et qu’il n’a pas fini de se faire mettre

Nous nous rhabillons et nous sortons pour rentrer à pied. Mon frère a une idée. Il me propose de faire du stop pour rentrer car la route est assez passagère.

Nous essayons. Ou plutôt j’essaie car je dois servir d’appât pour que quelqu’un nous prennent. Au bout de quelques minutes, un mec seul s’arrête. A priori, mon frère le connait.

Nous montons : lui derrière et moi devant

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