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Puceau du cul – Chapitre 1




Javais seize ans quand jai connu le plaisir anal. Cette année là, mon cousin était venu passer ses vacances chez nos grands parents avec mon oncle et ma tante. Tous les deux ans, ils débarquaient dAfrique. Mon oncle cumulait les congés pour un séjour plus long.

Par manque de place dans la maison, jai du partager ma chambre et mon lit avec ce cousin plus âgé que moi. Il était sympa et nous faisions des promenades à vélos et des parties de pêche dans le ruisseau tout proche.

Quelle ne fut pas ma surprise quand un soir que nosu avions éteint la lumière mon cousin Dany me pris la main et la posa sur son sexe en érection. Jétais gêné et ne savais quoi lui dire. Puis, il ma demandé de le caresser.

— Caresse moi.

— -Mais je sais pas.

— Tu tes jamais branlé ?

— Si, mais…J

— Jai retiré ma main et me suis retourné.

— Dors

— Jai envie de toi depuis mon arrivé. Tu es une fille toi. Tas pas de poils ni aux jambes ni à la figure ni au bras.

— Feuuuu, calme-toi et dors.

— Mais au lieu de se tourner, le voilà qui se colle contre moi et je sens son sexe dur dans mes reins.

— Dany, sois gentil, quest-ce qui te prends ?

— Tes jambes, tes fesses me font bander. Ta bouche aussi. Est-ce quon peut avoir des lèvres aussi rouges que les tiennes.

— Cest vrai que mes lèvres étaient colorées.

— Il commence à glisses sa main dans mon dos, mes fesses, ma cuisse, passe son bras par dessus ma hanche et saisi mon sexe.

— Tu bandes mon cochon. Tas envie, hein ! Tu réponds pas mais je sais que tu voudrais un baiser, non ?

— Non, jai sommeil.

— Le voilà qui fais glisser petit à petit mon caleçon.

— Enlève ça, tu peux pas dormir nu ?

— Et je le laisse faire et même me soulève légèrement pour quil enlève cet objet inutile à vrai dire. Me voilà nu comme lui à sa merci et je sais bien à partir de cet instant que je vais me laisser faire et me donner à lui comme une femme amoureuse.

— Il passe son bras sous mon cou et m attire vers lui. Je me retrouve face à un homme qui me désire. Cest à ce moment là que je me suis laissé faire car jéprouvais une vraie pulsion charnelle. Je me suis senti femme subitement et nai opposé aucune résistance quand sa bouche et venu se coller à mes lèvres. Sa langue cherchait la mienne. Jai perdu pied et ma main a saisi sa queue que jai aussitôt caresser . Nos baisers senchaînaient, ses bras me serraient fort contre lui, je lui appartenais.

— Il a repoussé le drap puis il est venu au-dessus de moi :

— On va faire un 69

— Cétait nouveau pour moi. Mais je nai rien dit.

— Ouvre la bouche.

— Il ma introduit sa verge.

— Suce-moi comme si ma queue était un esquimau . Suce, lèche aspire. Moi je vais lécher ta chatte.

— Je lai sucé du mieux que je pouvais tandis que sa langue léchait mon petit trou. Il ma rentré un doigt, puis deux, puis trois.

— Ça ma fait drôle de le sentir fouiller mon intimité.

— Viens, lève les jambes en lair. Je veux te baiser.

— Il est venu sur moi, jai posé mes mollets sur ses épaules et il a commencé à vouloir me pénétrer . Mais son gland glissait.

— Plus haut. Encore. Là, vas-y enfonce-toi.

— Jai senti la tête de la queue mouvrir lanus. Puis son membre dur a continuer à forcer le passage. Jai serré les dents sous la douleur et comme javais envie de crier, il a enfoncé sa langue dans ma bouche pour stopper mon reflexe de panique.

— Doucement, chéri, jai mal.

— Tes une femme ou pas ?

— Oui.

— Alors, laisse toi prendre comme une vraie pucelle.

— Il sest retiré quelques secondes avant de remettre çà. Là, sa queue toute entière sest fichée dans mon cul.

— Il a commencé un va et viens dans mon rectum, douloureux au début, puis le plaisir a suivi. Jai failli là encore hurler de bonheur.

— Il ma monté pendant quelques minutes puis il sest raidi, ma embrassé et jai senti quelque chose de chaud dans mes entrailles.

— Chéri, jai joui. Ton mon foutre est en toi. Vite suce le sperme et nettoie ma bitte.

— Jai pris son gros membre en bouche, je lai sucé, cétait bon. Ma première expérience sexuelle était positive. Même sa semence avait un goût agréable. Puis jai nettoyé ce pénis qui mavait enculé et donné tant de plaisir. Je me suis levé pour aller au toilette, mon cul dégoulinait la jute de mon cousin adoré.

Jétais heureux même plus : heureuse.

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