Un matin, je me suis réveillée.
Je suis sortie de cette torpeur avec laquelle j’étais en couple depuis bientôt quatre ans et qui m’entourait comme un cocon protecteur. Pourquoi ai-je émergé ce matin-là ? Quel déclic s’est produit à mon insu ? Je ne sais pas, mais je voyais mon existence sous un jour nouveau.
Mon job de cadre infirmière et les 40 membres de mon équipe n’étaient plus ma seule priorité, et je me surpris à avoir des pensées inhabituelles.
Mes 26 ans de vie conjugale morne et terne ne m’avaient jamais apporté l’assouvissement de mes désirs et je les avais donc profondément refoulés. Si mon mari n’avait pas pris la poudre d’escampette avec une coiffeuse de dix ans ma cadette, je serais restée enfermée toute ma vie dans cette relation décevante à bien des égards.
Il m’a donc fallu 4 ans pour digérer malgré tout cette rupture et repenser ma vie.
Un nouveau poste, une nouvelle région…
Un nouvel homme ?
Pas si facile à 50 ans, avec un corps pas encore vieux mais plus vraiment jeune, et un travail envahissant. Les glorieuses années d’avant mon mariage me semblaient si loin… J’avais alors un corps parfait, et les hommes se retournaient sur mon passage. J’avais même été mannequin pour quelques défilés de prêt-à-porter. Puis le mariage, les enfants, l’embourgeoisement avaient laissé leurs traces sur moi. J’étais encore jolie je crois, mais mon mètre quatre-vingts et ma stature effrayaient les hommes et leur laissaient à penser que j’étais inabordable. Pourtant j’avais tous les atouts que ces messieurs aiment : une forte poitrine ferme, un cul large mais musclé et des cuisses généreuses quoique légèrement empâtées sous un petit ventre rond et accueillant. Je prenais soin de moi, j’étais toujours bien habillée, maquillée et rasée de près. Mon sexe était dépourvu de tout buisson de poils et mes lèvres cachaient une chair rose et douce.
Comment rencontrer quelqu’un dans une région inconnue ? Aller dans un bar ? En boîte ?
La jeune directrice adjointe de ma société, récemment séparée et décomplexée, m’avoua aller sur Internet régulièrement pour des rencontres éphémères. Je ne cherchais pas une rencontre durable, mais juste satisfaire des désirs qui se rappelaient à mon souvenir.
Je me réveillais souvent les matins avec une moiteur entre les jambes, et le jet du pommeau de la douche me faisait frissonner. J’en étais réduite à regarder seule des films pornos pour vivre par procuration les aventures des actrices bien ouvertes de ces vidéos tristes à pleurer. Je me caressais donc devant ces images crues, mais je ne parvenais jamais à me satisfaire vraiment. Les lectures étaient souvent plus gratifiantes, et la puissance des mots m’apportait un plaisir que les images ne m’offraient pas. J’avais lu un livre qui m’avait donné à réfléchir en plus de plusieurs orgasmes ; Annabelle m’avait bouleversée, et la sexualité torride et brutale si loin de mes pratiques passées de cet opus me poussait à le relire sans cesse.
Je me rendis donc sur un site choisi au hasard. Je commençai à correspondre avec un homme qui cherchait une femme de mon âge pour des rencontres ludiques. Nous avions échangé bon nombre de mails, et il semblait que nous cherchions la même chose : du sexe sans attachement ni prise de tête. Nous avons convenu d’un rendez vous, sa seule exigence étant que j’arrive nue sous ma robe.
Je passai donc ma journée au travail nue sous ma longue et stricte robe noire. J’aime beaucoup m’habiller de façon assez stricte, style pensionnat de jeunes filles.
La tension que je ressentis à me savoir nue sous ma robe lors d’entretiens d’embauche et de réunions fut intense. La moiteur se répandait entre mes grandes lèvres qui glissaient l’une sur l’autre lorsque j’arpentais les couloirs, et mes seins lourds et tendus remplissaient ma robe. Mon clitoris était gonflé et pulsait douloureusement au milieu de cette humidité. J’espérais le sexe de cet homme ce soir entre mes lèvres et ma langue. J’avais envie de sucer, de lécher, d’engloutir un sexe dur et épais. À quoi devais-je m’attendre ?
Après une journée interminable, je pris une longue douche au vestiaire et me rendis à ce rendez-vous.
C’était une belle maison avec une piscine, et le cadre me rassurait. L’homme m’attendait sur le pas de la porte. La cinquantaine bien tassée, grisonnant, il était grand, bien charpenté avec un léger embonpoint et dégageait une impression de force. Avant que je puisse lui dire un mot, il m’attrapa l’arrière de la tête d’une main, m’embrassa goulûment et glissa son autre main sous ma robe sans un mot. J’étais toujours sur la terrasse, la robe troussée à la taille et les doigts épais et rudes de cet homme inconnu pénétraient mon sexe avec frénésie et sans mon accord.
Et j’ai aimé ça. Quelle découverte !
Il me fit entrer dans le salon sans cesser ses caresses. Il semblait me considérer comme un objet à sa disposition et continua à me fouiller sans ménagement. Sèchement, il me dit d’enlever ma robe pour voir mes seins et « ma chatte ». C’était la première fois qu’un homme nommait mon sexe de cette façon, et je n’avais moi-même jamais prononcé ce mot interdit dans mon milieu bourgeois et catho.
Je me suis donc déshabillée, gênée d’être aussi nue, debout dans son salon. Il tournait autour de moi pour estimer ce qu’il voyait ; cela dut lui convenir puisqu’il crocheta ses doigts dans cette « chatte » qu’il explora longuement. Il saisit aussi un de mes mamelons entre ses dents et commença à le mordiller sans douceur. Il me fit ensuite allonger sur la table du salon, écarta largement avec ses doigts les lèvres de mon sexe, en enfonça un lentement en regardant la chair s’ouvrir et en mit un deuxième. Il les faisait tourner en moi avec lascivité et commença un va-et-vient qui me fit mouiller abondamment. Il remplaça ses doigts par sa langue dure, me lécha et aspira mon clitoris dans sa bouche gourmande. Il me pinçait les seins en même temps et je sentais mon vagin palpiter et désirer qu’il remplace sa langue par son membre. Il baissa alors son pantalon et son sexe surgit comme un diable sort de sa boîte.
Il me dit alors :
À genoux. Suce-moi bien la bite ; fais voir ce que tu sais faire.
Je me suis agenouillée sans protester. J’ai ouvert la bouche ; il s’est engouffré entre mes lèvres et a mis sa main derrière ma tête.
Vas-y, suce bien, caresse mes couilles, lèche mon gland comme une glace et ferme les yeux.
Il me guidait et était très précis dans ses demandes :
Ouvre plus, prends ma bite bien au fond ; suce bien, serre tes lèvres.
Tu aimes ça, qu’on te baise la bouche ?
Oh oui, tu aimes : t’es une bonne salope qui aime sucer.
Quand j’aurai bien giclé dans ta bouche, je vais te prendre la chatte et tu vas jouir comme la chienne que tu es !
Mets tes doigts dans ta chatte et caresse-toi. Écarte plus les jambes ; les autres ne voient pas.
Regarde-moi : je veux que tu voies ma queue qui te baise la bouche.
Les autres ? Quels autres ?
J’ai alors ouvert les yeux et j’ai vu deux hommes et une femme qui me regardaient sucer avec délice la bite de l’homme. Je voulus m’arrêter, mais la main derrière ma tête se fit plus lourde.
Continue. Suce, je vais bientôt gicler ; on verra le reste après.
Et je continuai !
J’avais la sensation d’être utilisée, mais je l’acceptais et j’aimais ça !
La femme se mit à genoux à côté de moi sur l’ordre de l’un des deux hommes. Ils s’approchèrent d’elle et elle ouvrit la bouche immédiatement. Elle prit un des sexes dans sa bouche, puis l’autre. Elle semblait bien connaître les attentes de ces hommes et passait de l’un à l’autre en les serrant dans ses mains et en faisant des va-et-vient sur ces membres raides et gonflés.
L’un des hommes se détacha d’elle et se pencha sur moi. Ses doigts se joignirent aux miens et il me doigta avec habileté. Il continua son manège jusqu’à l’entrée de mon anus qu’il massa un moment, puis il se suça un doigt, l’imprégnant de salive, et l’introduisit dans cet orifice. Il fit quelques allers et retours et dit :
Un cul vierge et bien serré, j’adore ! Je vais bien m’en occuper. Ne t’inquiète pas, ma pute, je vais te prendre ce trou et tu vas bien crier !
À ces mots, la bite dans ma bouche tressauta et des giclées de sperme épais et chaud tapissèrent le fond de ma gorge. Pas habituée, j’eus du mal à avaler mais je le fis quand même. Celui qui me doigtait le cul prit aussitôt la place. Sa bite était longue et épaisse, et je me réjouis qu’il délaisse mon cul pour ma bouche : elle me semblait plus disposée à l’accueillir.
Puis les hommes nous demandèrent de nous allonger sur le dos, côte à côte, et d’écarter les cuisses au maximum. Et chacun à son tour ils nous pénétrèrent. Ils passaient de l’une à l’autre sans distinction et nous étions, la femme et moi, remplies en permanence par ces gros dards qui nous transperçaient en rythme. Nous n’étions plus que des trous destinés à leur plaisir, et j’ai joui de cette soumission, de cet avilissement, de n’être rien qu’une chatte à fourrer et à se prêter. Ce fut un sentiment extraordinaire de ne penser à rien d’autre qu’à ce plaisir qui déferlait, d’abandonner ma carapace de cadre et de n’être qu’une femme bien baisée.
Après que tous eurent bien vidangé leurs couilles dans nos chattes, la femme partit sans rien dire. Elle revint peu après avec un plateau couvert de verres, de bouteilles et d’amuse-gueules. L’homme me releva gentiment et me montra la salle de bain :
Rafraîchis-toi. Lave bien ta chatte, elle servira peut-être encore ce soir ; nous faisons une pause.
Cette pause fut la bienvenue car j’avais faim et soif. Nous étions tous nus autour de la table basse, et à la demande des hommes nous avions les jambes écartées sur nos sexes ouverts qu’ils regardaient sans cesse. Leurs doigts s’égaraient parfois pour une caresse rapide qui nous faisait mouiller à nouveau et nous promettaient de nouvelles jouissances. Au bout de leurs glands perlaient des gouttes de jute qu’Émilie léchait avec application entre deux gorgées de vin blanc. Cette situation était ubuesque : nous mangions et buvions comme des convives civilisés, mais nous étions nus et les hommes fouillaient nos sexes en mangeant des apéricubes. Je ne savais même pas leur prénom, mais tous avaient eu accès à ma bouche ou mon sexe.
L’homme prit alors la parole :
Alors, que penses-tu de notre groupe ? As-tu aimé ? Veux-tu continuer ? Je suis Florian ; voilà Olivier, et Pierre mon frère et sa femme Émilie. Nous pratiquons le sexe ensemble depuis longtemps, et Émilie nous a rejoints en épousant mon frère. Nous avions envie d’une femme en plus car Émilie aime beaucoup les femmes. Nous adorons la regarder lécher une chatte, et elle était frustrée de ne pas en avoir. Et une chatte pour trois, ce n’est pas assez pour bien s’éclater. Nous avons alors mis cette annonce à laquelle tu as répondu. Nous avons été vagues dans notre description car nous voulions une femme inexpérimentée que nous pourrions adapter à nos désirs. Tu réponds à ce que nous cherchons ; tu es inexpérimentée mais curieuse, tu as tout accepté sans rechigner et tu as aimé ça. Tu es une bonne salope ; et dans notre monde, c’est un compliment. Tu assumes tes désirs, tu te donnes bien et tu reçois aussi bien. Veux-tu continuer cette relation avec nous ? Dans ces murs, tu nous appartiendras et nous t’appartiendrons. Ton corps est à nous : bouche, seins, chatte, cul, rien ne nous sera interdit et tu pourras jouir avec trois queues en même temps dans tous tes trous. Émilie te léchera bien, tu feras de même, et nous vous baiserons en même temps. Nous te laissons te reposer pour cette première fois ; nous allons continuer avec Émilie qui est aussi bien dressée que tu le seras bientôt, mais tu peux regarder, bien sûr. Regarde comme elle jouit bien, cette bonne chienne, et dis-toi que ce sera ton tour bientôt.
Pendant ce discours, sa main disparaissait dans la chatte de sa belle-sur qui renversait sa tête en arrière et commençait à haleter. Son mari lui mit sa queue dans la bouche tandis qu’Olivier lui pinçait les tétons et les suçait. Elle était comblée et cria lorsque son mari se vida à longs traits dans sa bouche.
J’assistais à cette scène toujours assise par terre, et de ma chatte bien ouverte coulait mon jus. Émilie rampa vers moi et se jeta avec avidité sur mon sexe dégoulinant ; je jouis de sentir ses lèvres douces me téter et sucer mon clitoris. Sa langue était experte, et je mouillai de nouveau en regardant sa tête entre mes cuisses, les fesses en l’air, esclave offerte à tous.
Florian la poussa sur le côté, et ses deux compères se positionnèrent de part et d’autre de la jolie Émilie. Bien dressée, elle ouvrit la bouche, fit saillir son cul et écarta d’elle-même les globes de ses fesses pour présenter son anus. Les deux mandrins remplirent aussitôt ces deux orifices offerts de bon cur. Olivier la sodomisait avec facilité et la pilonnait si fort que sa bouche engloutissait sans peine la queue de Pierre au rythme des poussées puissantes. Sa queue coulissait entre les globes blancs d’Émilie et s’enfonçait jusqu’à la garde ; son pubis frappait les fesses distendues et il grognait à chaque coup. Ils échangèrent leur place et j’aperçus l’anus écarlate et palpitant juste avant que Pierre ne s’y engouffre. Après un moment à bouger dans ce fourreau bien ouvert, il jouit bruyamment, Olivier sortit son membre de la bouche baveuse et éjacula sur les seins de la jeune femme.
Ce spectacle excita Florian ; sa bite se dressa comme au garde-à-vous. Elle était bien raide, gonflée, et son gland luisant était si appétissant que je voulus lécher cette colonne de chair tendue. Il me laissa sucer son gland, me mit à quatre pattes, puis il plongea brutalement en moi sa bite, et la douleur se mêla au plaisir. Il me pilonnait, et sa queue dure et épaisse me défonçait. Je pensai qu’il allait me transpercer le ventre tant il allait profond.
Je vais te défoncer ; tu auras mal pendant huit jours, et tu te rappelleras que ma bite t’a bien bourrée. La prochaine fois, je te prends le cul et tu vas adorer ; tu vas vouloir leurs queues aussi dans ton petit trou fermé. Quand ton cul sera habitué, on te prendra en double et tu suceras le troisième. Tu vas devenir notre vide-couilles préféré avec Émilie.
Ces mots crus me firent autant jouir que sa bite violente. Lorsqu’il eut déchargé en moi à grands jets chauds, il demanda à Émilie de me lécher pour me nettoyer. Elle s’appliqua à récurer avec sa langue la jute de son beau-frère. Le sperme coulait au coin de sa bouche, et elle m’embrassa avec fièvre ; elle avait la bouche pleine, et nos salives se mélangèrent au jus de Florian.
J’étais épuisée ; je m’endormis à même le sol, jambes écartées et sexe gonflé.
Je fus tirée de ce sommeil réparateur par la queue d’Olivier qui entrait en moi sans ménagement.
Tu me faisais trop envie avec ta chatte offerte à qui la veut, bien ouverte. Tu es un bon coup : on va bien s’amuser ensemble.
Il me baisa avec force, et j’avais l’impression d’être violée tant ce fut brutal. Mais quel orgasme !!! Je décollai les fesses du sol tellement je jouis fort. Il me promit aussi la même chose pour mon cul, et je me surpris à attendre ce moment avec impatience. Quand il fut rassasié, il m’aida à me relever. Son sperme coulait sur mes cuisses ; il le recueillit avec ses doigts qu’il me fit ensuite lécher.
Vas-y, dit il en riant, ne sois pas timide ; Émilie a déjà eu droit à sa ration : elle adore nous sucer le matin en se réveillant. La jute du matin est pour elle ! C’est la meilleure salope que ayons eue, et Pierre a bien de la chance de l’avoir épousée. Il le savait à l’avance : il vient du même village qu’elle, et elle avait sucé toutes les bites du bled et dépucelé tout le canton avant d’avoir quinze ans. Nos trois queues lui suffisent à peine ; alors nous l’emmenons parfois à des soirées où elle se fait monter par toutes les bites qui la veulent. On t’y emmènera aussi si tu veux.
Après ces explications sur la sexualité débridée de la jeune femme, je me douchai et bus un café. Florian et Pierre se levèrent ; Pierre en prit une tasse lui aussi et me dit en riant qu’Émilie déjeunerait plus tard, qu’elle digérait ce qu’elle venait d’avaler !
Merci pour cette nuit magnifique que tu nous as offerte ; tu as aimé aussi ? Veux-tu revenir ? me demanda Florian, plus délicat que son ami.
Je n’eus pas besoin de réfléchir bien longtemps à sa proposition et lui dis oui tout de suite. Si Olivier était un peu rustre, Pierre et surtout Florian me plaisaient, et j’avais envie de les sentir encore en moi.
Nous avons organisé la rencontre à venir, et je rentrai chez moi, la chatte déjà mouillée des délices à venir. L’attente allait être longue…
[à suivre]