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Le Maître – Chapitre 3




Je me réveille dans mon lit. Le soleil levant me force à garder les yeux quasiment clos. Toujours nue, je m’enroule dans les draps et sors de mon lit. Je croise Bastien qui était venu m’apporter le petit déjeuner. Il m’explique que Simon a nettoyé mes vêtements. Ils sont dans le sèche- linge et seront prêts d’ici une demi heure.

Je décide, après avoir pris mon petit-déjeuner, de prendre une bonne douche. Quand je sors, je croise Simon qui m’apporte mes vêtements. Il est assez étonné. Je doute qu’il ait déjà vu une femme nue en vrai.

Tes… Tes… Tes Tes vêtements.

Merci Simon.

Ces seins… Euh… C’est bien.

Je lâche une petit pouffement de rire malgré moi. Ça me fait rire de voir un garçon de son âge ne pas être habitué à une femme nue. Simon sort rouge comme une tomate. Le pauvre. Je m’habille assez vite. En m’habillant, je repense à ce que j’ai fait la veille. Je me rappelle de tout jusqu’au moment où il a éjaculé.

Le pire, c’est que je crois que j’ai aimé être traitée comme ça, pas comme une femme mais comme un simple objet de plaisir. Bref, je vais voir le maître pour aller en ville récupérer mes affaires.

Tu veux rester après ce que je t’ai fait hier ?

Oui.

Bien, c’est toi qui vois. Simon et Bastien te conduiront chez toi et t’aideront à prendre tout ce dont tu as besoin.

Merci, Maître.

Tu sais que tu n’as pas à mappeler comme ça. En rentrant, tu signeras le contrat vu que tu es déterminée.

En arrivant dans mon petit appartement, (en même temps, même Versailles avait l’air d’être petit à côté de ce manoir. J’exagère un peu mais c’est vrai que c’est grand), je commence par sortir les valises et mettre quelques tenues, certaines assez osées et d’autre plus normales. Je prends mes romans à l’eau de rose et ma collection de cd de rock. En sortant de l’appartement, on croise mon amie et voisine de pallier Justine, une belle blonde un peu plus grande que moi avec ballons de plage qu’elle appelle seins.

Berin ? Tu fais quoi ? Tu pars ?

Oui, j’ai une opportunité énorme. Je peux pas t’en parler pour l’instant parce que c’est pas encore sûr.

Tu veux mon soufflé ? Je l’ai fait pour Émile mais il est encore avec ses potes.

Non, désolée. Mes deux amis et moi devons partir. Nous sommes attendus quelque part. »

Je suis bien contente de m’en être débarrassée. Elle peut être un peu collante parfois. On revient au domaine. Simon et Bastien déchargent mes affaires et les portent jusqu’à ma chambre.

Je suis content que tu restes. Dit Simon.

Au moins une qui as un peu de courage. lui rétorque Bastien.

Je recommence à me poser des questions sur la veille. Il a été dur mais il se retenait. Je dois vraiment être mauvaise pour m’être évanouie pour si peu. Je suis une mauvaise amante. Je fonce à son bureau. J’entre en frappant doucement (on ne sait jamais : il pourrait peut-être faire des affaires.)

Entre.

Hier, vous vous reteniez n’est ce pas ?

Oui.

Pourquoi ?

Beaucoup de femmes sont parties par le passé à cause, nous allons dire, de mes penchants pour une certaine forme de sexualité.

Il est vrai que vous êtes quelqu’un d’assez spécial.

Il regarde par la fenêtre de son bureau, je me rapproche de lui et mets ma main sur son épaule.

Mais je dois dire que cela ne me laisse pas indifférente.

Tu le penses vraiment ?

Oui, vous m’avez fait découvrir quelque chose sur moi. Dans un certain sens, j’étais excitée par ce qui allait se passer hier, de n’être que votre chose. Enfin, je crois. Je n’aimerais pas être une esclave sexuelle. Enfin, je ne sais pas.

Je n’ai jamais aimé ce terme d’esclave moi non plus car ça ne reflète pas comment je traite les femmes. Je les traite plus comme Richard Gere dans Pretty woman. En échange de tout ce qu’elles veulent, je demande des faveurs sexuelles.

Je suis une pute pour vous ?!

Non. Je… Enfin, dans un certain sens, les couples ne sont-ils pas un peu la pute l’un de l’autre ?

On est un couple ?

Un duo. Maintenant, s’il te plaît déshabille-toi !

Maintenant ?!

Oui.

Je me déshabille. Il n’y a même pas trente secondes, on s’enguelait et je lui obéis au doigt et à l’oeil. Que m’arrive-t-il ?

Cette fois, je ne me retiendrai pas pour te montrer ce qu’ont ressenti certaines de mes partenaires.

Il part vers son bureau, ouvre l’armoire à l’arrière, me permettant d’admirer une collection d’objets de sado masochisme. Il prend une cravache et des pinces. Il commence par me mettre les pinces sur les seins et regarde ma réaction. Il tire même un peu les pinces vers l’avant pour me voir souffrir.

Il commence une série de coups rapides de cravache sur mes fesses. Je sens la douleur arriver. La chaleur gagne mes fesses. Je crois que j’aime ça. Oui, j’aime ça. J’aime cette légère douleur. La douleur devient plus forte, les coups plus puissants.

Ça fait mal mais pas comme tout à l’heure. Cette fois, c’est juste de la douleur. Aucun plaisir là-dedans. Rien. Il arrête enfin, je dois avoir les fesses rouges comme des tomates. Il me colle une main aux fesses assez fort.

Je ne peux retenir un hurlement de douleur. Il me force à me mettre à quatre pattes, sort une corde et m’attache les bras dans le dos. Je suis à sa merci, la tête collée contre le sol, le cul en l’air.

Il m’écarte les jambes avec des petits coups de pieds. J’entends sa ceinture se défaire et tomber au sol. Il se rapproche, je le sens. Je sens sa bite à l’entrée de ma chatte. Je ne peux plus reculer autant au sens littéral que figuré. Il met ses mains sur mes fesses encore extrêmement douloureuses. Cette fois, il n’y a pas qu’un cri qui sort mais aussi une larme sur le coin de mon il. Il rentre facilement dedans. Il est dedans. Il me baise, violemment, sauvagement. Il me baise comme une chienne, un objet, un sextoy. Je ne suis que son jouet sexuel au même titre que toute l’armoire. Je ne suis là que pour son plaisir et ça me plaît.

Je sens sa bite en moi. Les va-et-vient de plus en plus rapides et violents agrémentés de claques sur les hanches. Ça fait moins mal que sur les fesses mais je crie quand même. La douleur lancinante de mes fesses et le plaisir intense que ressent ma chatte ne font plus qu’un.

Cette douleur et ce plaisir ne sont qu’une seule sensation, une seule et unique. J’arrive à tenir. La douleur ne me fait pas m’évanouir cette fois. Il me relève, me colle au bureau et me met la tête au niveau de sa bite.

À genoux, les talons sur les fesses, ça fait un mal de chien. Il se branle une dizaine de secondes avant de m’asperger de son sperme. Il m’ordonne de nettoyer son gland avec un ton qui me faisait comprendre que le début de la séance serait un compte de fait si je nobéissais pas. Je commence donc à le nettoyer uniquement avec ma bouche. Lorsque j’ai finit, il pose mes vêtements à mes pieds, me détache et part.

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