Pour mes 18 ans, mon père m’a offert un cadeau très spécial : une inscription à l’EAS, l’école dont il est le directeur. Je ne sais pas vraiment en quoi elle est si spéciale, mais mon père m’a affirmé que de nombreux jeunes adultes de mon âge paient cher pour y entrer.
Je ne me suis pas présenté : je m’appelle Daniel, je viens tout juste d’avoir la majorité. Je suis plutôt grand, d’1m80, et comme je fais beaucoup de sports, je me considère comme assez musclé. J’ai de longs cheveux bruns, toujours attachés en queue-de-cheval. Voilà pour ma présentation.
C’est lundi, c’est la rentrée et je dois admettre que je suis stressé.
Ne le sois pas, me réconforte mon père, je suis sûr que tu vas adorer cette école et que tu te feras plein d’amis.
Il m’accompagne jusque devant l’entrée principale et me laisse ; il doit préparer son discours de bienvenue. Je me retrouve donc seul au milieu de plein de jeunes qui semblent tous avoir mon âge.
Dans la foule, je remarque soudain une jeune fille, une rousse, la plus belle que je naie jamais vue. Ses longs cheveux descendent sur une petite poitrine dont la courte robe laisse deviner qu’elle n’est pas soutenue par un soutien-gorge. C’est drôle, mais j’ai l’impression qu’elle me regarde aussi. Malheureusement, notre échange visuel est interrompu par toute une troupe d’étudiants. Ceux-là, ils sont bien plus vieux, pensé-je. Lorsqu’ils furent passés, ma belle inconnue avait disparu.
On nous installe dans un grand auditoire qui surplombe une scène sur laquelle se trouvent mon père et quelques-uns de ses collègues, je suppose. Je regarde autour de moi, afin de voir s’il y a la jeune fille que j’ai aperçue tout à l’heure, mais ma recherche est interrompue par un tapement de micro.
Mesdemoiselles, messieurs, bienvenue. Commence mon père. Je suis le directeur de cette école, M. Braxton, et je me réjouis de vous voir aussi nombreux en ce jour de rentrée. Comme vous le savez, nous offrons dans cet établissement un enseignement très spécial, destiné aux jeunes comme vous. Mais trêve de bavardage, je ne vais pas vous faire attendre plus longtemps, je sais que certains d’entre vous sont impatients de commencer. A la sortie de la salle est placardée une feuille sur laquelle vous trouverez votre nom et la classe à laquelle vous êtes assigné. Ainsi, je vous souhaite à tous une très bonne année !
Sur ces mots, mon père ma lance un sourire en coin. Tous les étudiants se pressent donc hors de l’auditoire. J’arrive difficilement à lire « Daniel Braxton salle 102 classe 907 » sur la fameuse feuille devant laquelle sont entassés une dizaine de nouveaux étudiants.
Je suis le premier à arriver devant ma classe. Il n’y a pas encore de professeur. Je m’assieds à une table, devant, et regarde entrer tranquillement les autres élèves un par un. Il y a dans l’ensemble plus de filles que de garçons, mais aucune trace de mon inconnue. Je ne sais pas pourquoi, mais je pense tout le temps à elle.
Mes pensées sont soudainement interrompues par une grande femme à talon, blonde et portant des lunettes, qui a fait son entrée dans la classe. Elle s’assied sur son bureau, nous dévoilant un décolleté merveilleux, et nous compte.
C’est bon, tout le monde est là, dit-elle d’un ton très chaleureux. Mes chers élèves, je me présente : je suis la professeure, appelez-moi juste Maddie, et je serai votre responsable pendant votre première année à l’EAS. Afin de faire mieux votre connaissance, j’aimerais vous poser quelques questions. Dites-moi, qui parmi vous a déjà couché avec un membre du sexe opposé ?
Je m’attendais à tout sauf à cette question. Pourtant, autour de moi, quelques mains se lèvent, sans que leurs propriétaires ne soient très gênés.
Bien, et combien avec un membre du même sexe ?
A nouveau, quelques mains se dressent.
Parfait, maintenant, veuillez répondre au questionnaire qui se trouve sur votre bureau, vous avez vingt minutes, lâcha-t-elle avec un joli sourire sur le visage.
Je retourne la feuille et m’étonne à nouveau des questions : combien de fois je me masturbe, combien de partenaires ai-je eus, combien de fois j’ai éjaculé en une journée au maximum…
Papa, où m’as-tu emmené ?
Après avoir ramassé les feuilles, la professeure se couche sur un fauteuil à côté de son bureau et nous annonce :
Maintenant, c’est à vous de mieux me connaître.
Et sans hésitation, elle déboutonne son chemisier, laissant sortir deux beaux gros seins et se met à les masser doucement. Je jette des regards autour de moi et je vois quelques étudiants la main dans leur pantalon, d’autres ont même sorti leur pénis de leur braguette. Les filles ont presque toutes descendu leurs jupes et se caressent leur entrejambe.
Puis, lorsque je retourne mon regard sur Maddie, elle est complètement nue. Elle dépose par terre sa culotte rose et commence à lécher ses doigts avant d’en enfoncer délicatement deux dans son vagin, laissant jaillir un petit gémissement de plaisir. Je n’en peux plus, je sors moi-même mon pénis et me mets à faire des va-et-vient de manière de plus en plus rapide. J’entends derrière moi un cri de joie, l’une des filles a déjà joui. Puis c’est au tour d’un garçon de jouir, et à nouveau une fille. Quelle étrange situation d’être entouré de tant de gens qui jouissent les uns après les autres.
Soudain, je ferme les yeux et repense à la rousse que j’ai aperçue ce matin. Mes mouvements sont de plus en rapide. Je l’imagine nue sous sa robe, avec un vagin bien rasé, des petits seins qui semblent bien fermes, et qui commence elle aussi à se masturber. J’ai l’impression de pouvoir sentir l’odeur de sa chatte trempée devant mon visage. J’imagine très nettement ses doigts sortir et rentrer de son vagin, alors qu’elle empoigne de plaisir ses seins avec la deuxième.
Je n’en peux plus, je sens ma bite palpiter de plus en plus et lâche la sauce. Lorsque je rouvre les yeux, je me rends compte que j’ai éclaboussé tout mon bureau. Maddie se lève et s’approche de moi. Elle insère son index dans mon sperme et le goûte.
Bonne qualité, dit-elle. On dirait que vous n’avez pas éjaculé depuis longtemps.
Les autres élèves rient.
Bon, jeunes gens, il est temps pour vous de rentrer. Laissez-moi nettoyer tout ça et l’on se voit demain. J’espère que vous avez apprécié votre première journée !
En sortant de l’école, je me sens un peu honteux. Était-ce réel ? Ai-je vraiment vécu ce moment ? En me retournant, je lis sur un panneau « l’EAS l’Ecole de l’Apprentissage du Sexe »… Cette année risque d’être riche en surprise.