Après m’être endormi 2 petites heures, je me levais et rejoignais ma tante et ma sur à la cuisine, celles-ci vaquaient aux occupations ménagères.
Je déjeunais tout en jetant de fréquents regards vers Sophie, sans résultat
Et si tout cela n’était quun rêve pensai je.
Je filais me laver et m’habiller, j’effectuais mes corvées journalières. (nos parents et tonton avaient convenus de certaines tâches pour ma sur et moi que nous devrions effectuer tous les jours avant d’avoir quartier libre.
Une fois terminé je rejoignis ma sur qui bouquinait, en attentant le repas, je m’asseyais à ses cotés, elle leva à peine les yeux, décidément j’ai du rêver, me dis je.
On va se baigner cet âpre midi? Je demande: à la rivière ou à l’étang?
A l’étang répondit Sophie.
Cet étang appartenait à notre oncle, il y avait aménage un ponton qui nous servait de plongeoir.
Il était protégé par un petit bois qui le rendait invisible du chemin.
Nous nous sommes amusés une petite heure, puis nous nous fîmes sécher au soleil sur le ponton, j’étais allongé sur le ponton, Sophie à mes cotés, assise en tailleur, lisant un bouquin.
Je fermais les yeux et posa une main sur le genou de ma sur, lentement je la laissais vagabonder sur sa cuisse.
J’avais une érection terrible, mon maillot me serrait la queue, je passais mes doigts sous le maillot de bain et caressais sa chatte, qui était déjà bien humide.
Sa main posée sur mon torse descendait vers mon bas ventre, elle caressa ma bite à travers mon slip.
Brusquement elle se leva, prit sa sortie de bain et se dirigea vers les arbres, elle trouva un coin d’herbe, bien à l’abri des regards et y installa sa sortie de bain.
Elle retira son maillot de bain une pièce, pendant que j’ôtais mon short, je pouvais enfin admirer ses seins, assez ronds bien fermes, des tétons qui pointaient, nous nous étendions sur la sortie de bain.
Étant novices: nous étions assez maladroits, aucun de nous deux n’osait prendre l’initiative, nous sommes restés comme cela un moment, moi allongé, nu, bandant comme un fou. Elle à coté, nue, je tendais la main elle l’attrapa puis doucement s’agenouilla à mes cotés. Elle prit ma bite en main et me branlait lentement, de mon coté, j essayais de caresser sa chatte, ses fesses, son cul, pour faciliter mes caresses elle se positionna à quatre pattes à mes cotés. D’un coup, je sentais ses lèvres sur mon gland, elle ouvrit la bouche et avala ma queue, je voulais lui rendre la pareille, pour cela je glissai ma tête entre ses jambes, ma langue commença à fouiller sa chatte, son clitoris ne tarda pas à gonfler, je léchais cette pointe de chair, je devinais que cela procurais beaucoup de plaisir à SOPHIE qui mouillait de plus en plus.
Ma sur n’était pas en reste, elle me malaxait les couilles tout en me suçant le dard, je ne tardais pas à lui juter dans la bouche, suivi peu après par ma sur qui jouissait à son tour, m’envoyant des jets de cyprine dans la bouche
Elle s’allongea à mes cotés, nous reprenions nos esprits.
Il était temps pour nous de rentrer. La soirée se passa tranquillement, une fois dans la chambre nous avons discuté un peu, puis SOPHIE me demanda si, afin d’éviter de se faire surprendre, j’étais d accord pour rester tranquille dans la maison, j’acquiesçai à regret, ma sur éteignit et nous passâmes la nuit bien sagement.
Les jours suivants passèrent: le matin travaux domestiques, en fin de matinée nous allions dans la pâture en attendant le repas, je retournais toujours voir si tonton était rentré, en espérant les voir baiser, sans succès. L’après midi, libres, nous allions soit à l’étang, soit nous promener à travers champs, nous délaissions la rivière car plusieurs fois des vacanciers s’y trouvaient.
Nous nous enhardissions, à défaut de pouvoir la pénétrer, je me branlai contre le sexe de SOPHIE ou contre son anus que j’arrosais de mon jus. La fin de semaine arriva très vite et le vendredi apres midi nous préparions la chambre pour les parents et montions la tente, le soir est vite arrivé et les parents arrivèrent, l’heure de se coucher est vite arrivé, je portais un short et ma sur portait un pyjama, bien plus pratique pour le camping disait elle.
Nous sommes partis nous coucher, notre mère vérifia que nous étions bien à l’ aise dans nos duvets, que la torche fonctionnait pour le cas ou; disait elle.
Elle nous laissa après nous avoir souhaite une bonne nuit.
La nuit était chaude n’y tenant plus, je sortais de mon duvet, ma sur m’ imitant peu après.
Je bandais, discrètement je sortais ma bite et je me collais à ma sur qui s’ était mise de coté.
Ma queue eut vite fait de se trouver entre ses jambes et ma main s’était engouffrée sous la veste de pyjama et lui pelotait les seins, je fis quelques va et vient; puis ma sur retira son pantalon de pyjama, je faisais de même avec mon short, elle reprit sa position initiale elle prit mon sexe et en écartant ses jambes elle le plaça sur son sexe puis elle les referma, elle murmura: ne bouge pas et nous nous endormions comme cela.
En pleine nuit ma sur me réveilla et me dit: je dois faire pipi.
Tu as toute la pâture pour cela, lui répondis je.
Non pas toute seule, répliqua-t’elle
Bon d accord je viens, dis je.
Nous sommes sortis de la tente, nous nous sommes dirigés vers la haie, puis ma sur me tendit la torche et me dit tournes toi s’il te plaît.
Quoi! Tu m’as réveillé, tu m’as demandé de t’accompagner, tu es là le cul à l’ air, tu as envi de pisser et je ne devrais pas regarder, alors là c’est fort, elle voulu s’accroupir en me tournant le dos, je lui dis:
Non, Non pas comme ça, que je vois ça, enlève ta veste aussi il y a pas de raison que je sois à poil et pas toi, allez va s’y, redresse toi que je vois bien ta chatte, mets toi en arrière et écarte ta chatte, va s’y pisse comme ça, c’est super, j’adore, murmures je, le jet de pisse diminuait, pour ne finir que par quelques gouttes.
Ma sur se releva, ses joues étaient rouges, à ton tour maintenant me dit elle, je me concentrais et parvenais à uriner, elle s’était mise de coté elle empoigna ma queue et s’amusa à diriger le jet de haut en bas de droite à gauche.
Tu aimerai me faire pipi dessus? Me demanda-t’elle.
A condition que tu le fasses aussi sur moi, répliquai je.
D’accord, quand on ira à l étang on le fera ok?
Ok répondis je à ma sur.
Nous sommes retournés nous coucher, Sophie eut la bonne idée de nous rhabiller et de dormir chacun de son coté, car c’est notre mère qui est venue nous réveiller.
Notre première semaine se terminait, j’étais toujours puceau, mais plus pour longtemps me dis je.