Après ce compte rendu excitant sur ma conception, je demeure un instant silencieuse, le temps de mettre en ordre dans ma tête les pièces du puzzle qui n’est pourtant pas compiqué: ma mère est une incroyable salope doublée d’une pute qui n’a aucun tabou, aucun sens moral et qui possède un esprit des plus pervers.
— Eh bien dis donc! C’est toute une histoire!
Maman, qui pendant le récit est allée s’asseoir sur le sofa entre papa et tonton Jacques, branle doucement leurs queues complètement rebandées et prêtes à s’introduire dans n’importe lequel des six trous à foutre qui sont à leur disposition.
— Oui, toute une histoire! J’aime bien me la remémorer de temps à autre et tu peux voir que ton père et ton oncle apprécient aussi!
— Oui, je vois bien! Il est rare qu’on puisse voir, branler et sucer la bite qui nous a conçue et encore plus rare de bouffer la chatte par où on est sortie!
— Tu as bien raison et tu as fait tout ça ce soir! Nous sommes une famille particulière. Et j’aime bien!
J’acquiesce d’un grand sourire en regardant avec admiration ma famille très spéciale.
— Dis-moi maman, loin de moi l’idée de mettre en doute l’identité de mon père, mais tu es vraiment certaine de sa paternité? Ce ne pourrait pas être Pierre ou encore, tonton Jacques?
— Absolument sûre et certaine. Comme je l’ai dit un peu plus tôt, Pierre n’a jamais jouit dans mon vagin, j’avalais systématiquement chaque goutte de foutre qu’il pouvait produire et comme je lui avais laissée une semaine de répit avant de commencer les manuvres de conception, il est mort avant d’avoir pu commencer à me fourrer dans ce but.
— Et tonton Jacques? J’ai cru comprendre que vous êtes assez « intimes ».
Maman éclate d’un grand rire.
— Oui, intimes, tu peux le dire! Mais Jacques ne s’est presque jamais vidé dans ma chatte. La dernière foi remontait à environ quatre ans avant mon mariage. Donc, impossible que ce soit lui.
— Donc, M. le curé est mon papa mon papa papa…
Émue presque jusqu’aux larmes, je quitte mon siège et je me dirige à quatre pattes en direction de mon père, que maman branle avec plus de vigueur, maintenant qu’elle me voit arriver comme une chienne.
Je m’installe par terre, assise sur mes talons, à environ un mètre cinquante de mon géniteur. Doucement, en regardant papa droit dans les yeux, je commence à masser mes gros nichons dont les tétons sont bien pointés.
— Papa, je suis ta petite pute, ta sale petite chienne que tu pourras défoncer quand bon te semblera. Je ferai la salope pour toi et tu pourras me demander tout ce que tu voudras, mais assure toi que ce soit très cochon, sale, immoral, pervers, obscène et totalement dépravé.
Papa respire de plus en plus fort et de plus en plus vite. Maman branle maintenant son énorme bite à pleine vitesse de même que la queue de son frère. Ils gémissent. Tonton Jacques, très excité, monte debout sur le sofa et plante sa queue dans la bouche de sa salope de sur qu’il tient par les cheveux.
Je suis de plus en plus excitée et je crache sur mes mamelles que je continue de masser en gémissant. J’écarte les cuisses et une de mes mains descend vers ma chatte que je commence à caresser.
— Putain ce que j’aime faire la salope, tout comme toi, maman.
— Mmmmmhh
La queue de son frère l’empêche de répondre. Il lui baise maintenant la gueule comme un déchaîné. Il la tient par les cheveux et lui défonce la gorge comme il aime à me défoncer le cul. Mais elle continue néanmoins à branler papa qui lui manie et claque les nichons, dont il pince très fort les tétons.
Ça m’excite de regarder ma mère servir de vide couilles. Je sens que je vais jouir.
— Maman t’es une chienne une sale putain je viens!!! Nom de Dieu! Aaaaah!!
Et je mouille ma main de cyprine que je monte immédiatement à ma bouche pour la lécher.
Je vois que papa et tonton Jacques sont sur le point de lâcher la sauce.
— Papa, tonton Jacques, déchargez sur mon visage, venez inonder votre chienne. Putain, je veux du foutre!
Tonton Jacques arrive le premier en traînant maman par les cheveux, qui a bien été obligée de lâcher la bite de papa. S’adressant à maman :
— Branle-moi, salope. Fais-moi venir et dirige toi-même les jets de foutre sur le visage de ta garce de fille. Oh, la putain de chienne!
— Oui, c’est ma pute de fille, et elle aura bientôt son joli visage couvert de foutre.
Et elle s’empare de la verge tendue de son frère, cette verge qui m’a maintes fois défoncée et que j’ai sucée des dizaines de fois. Mais maintenant, c’est différent. C’est ma maman qui tiendra le boyau qui m’arrosera le visage.
— Tonton, je veux ton foutre plus que jamais putain tu l’aimes ta chienne de nièce?
Pour toute réponse, il pousse un grognement. Je continue dans la vulgarité, je sais qu’il adore m’entendre dire des saloperies et ça le fait m’éclabousser à chaque fois.
— Je veux bouffer le gros cul de ta salope de femme pendant que tu détruis mon trou de balle. Mmmmh Oh oui, je veux lécher ses gros nichons que tu auras recouverts de foutre. Aaaahhh Tu aimerais voir ma langue lui nettoyer à fond le trou du cul? Me voir l’enfoncer si loin que je goûterai sa merde? Mmmmmhh Ensuite, je vais tenir son trou grand ouvert pour que tu encule ta pute bien à fond pendant que je sucerai… aaaaah… son putain de clitoris et qu’elle coulera dans ma bouche comme une truie. Aaaahh mmmm Putain, je veux ta chienne de femme!
Je pince maintenant mes tétons, très fort et je gémis comme une chienne. Maman, elle aussi, commence à être très excitée par mes propos.
— Putain, qu’est-ce que tu peux être salope! Ma fille est une sale petite pute!
— Maman, je suis sortie d’une putain, comment pourrais-je être autrement? Aaaaah! Je vais venir!
— Nom de Dieu Jacques, éclabousse le visage de cette petite garce! Couvre-le de foutre!
Et en même temps qu’arrive mon orgasme, arrive le chargement de tonton Jacques sur mon visage. Papa qui se branle maintenant franchement en regardant sa fille jouir et être couverte de semence, s’approche. Il grogne comme un porc.
— Ma fille est une putain une sale petite chienne! Papa va couvrir ton visage à son tour.
— Oui papa, inonde ta salope de fille!
Maman laisse maintenant la queue de tonton Jacques qui lance ses derniers jets de foutre et je me la mets immédiatement en bouche et la suce et la mordille avec force. Je veux chaque goutte de nectar.
Me voyant aller, papa pousse un grand cri et commence à arroser mon visage. De grands jets de foutre atterrissent sur la bite que je suce quand elle ressort de ma bouche et continuent de m’asperger le visage quand je l’enfonce au fond de ma gorge.
Maman qui se retrouve sans « activité », monte sur un pouf qu’elle approche et entreprend de caresser sa chatte à quelques centimètres de mon visage.
— Tu veux la mouille de ta maman, petite putain? Tu es belle quand tu es couverte de foutre Ah la petite chienne m’excite! Aaaaah!! Putain de merde, je viens!!!
Une quantité considérable de cyprine arrive sur mon visage avec une bonne pression pendant que je suce tonton Jacques et que papa en est à ses derniers jets.
Une fois vidé de son foutre, papa m’attrape par les cheveux et me crache au visage trois ou quatre fois, ce qui fait repartir maman qui m’envoie une autre dose de mouille bien chaude.
Papa prend ma main gauche et la pose sur ses grosses couilles que je me mets immédiatement à malaxer, pendant que je suce toujours tonton Jacques. Puis, tenant sa bite de sa main droite, il commence à pisser sur mon visage.
— Regarde ta petite pute, Marie. Regarde, elle n’est bonne qu’à être couverte de foutre, de mouille et de pisse.
Nouveau jet de cyprine de maman qui n’arrête pas de se branler devant mon visage.
— Oh oui, c’est vraiment une petite salope, notre fille. Une sale traînée!
Tout ça; la pipe à tonton Jacques, la mouille de maman, le foutre et la pisse de papa sur mon visage, les insultes, m’excitent comme jamais. Je me remets à caresser mes gros nichons inondés de tous ses liquides.
Maman descend de son promontoire et viens commencer à lécher mes obus souillés, pendant que papa, qui continue de me pisser dessus, dirige maintenant son jet urinaire sur le visage de ma salope de mère.
Je tire maman par les cheveux pour l’approcher de mon visage et je plaque ma bouche salie de foutre, de cyprine et de pisse sur la sienne et je la lui bouffe littéralement en gémissant tellement je suis excitée. Papa pisse maintenant sur le visage des deux putes devant lui, imité bientôt par tonton Jacques, qui vide sa vessie lui aussi.
Tonton Jacques, incrédule :
— Jamais je n’ai vue des chiennes comme vous deux!
— Oh oui… Des salopes de première! Surtout la maman. Toi et moi on l’a bien dressée cette enfant de putain! Et on fera de la fille, la reine des dépravées. Elle sera encore plus chienne que sa mère.
Maman et moi, continuons de nous bouffer la gueule sous les flots de pisse et nous nous caressons mutuellement la chatte en écoutant les deux hommes de ma vie parler de nous comme de deux charognes. Et ça m’excite! Nos cheveux sont maintenant dégoulinants et nos corps bien reluisants de toute cette pluie d’urine déversée sur nous.
Papa et tonton Jacques finissent leur besogne et retournent s’asseoir sur le sofa pour regarder ces deux traînées agir comme de véritables chiennes en chaleur.
Puis, après s’être bouffés nos chattes et nos culs encore pendant une bonne trentaine de minutes en 69, nous nous étendons par terre, côte à côte, en nous tenant par la main, épuisées de tant de jouissances.
— Maman
— Oui, ma chérie?
— Il faudrait penser à aller donner signe de vie à la baby sitter
— Putain oui! Je l’avais oubliée celle-là!
Suite bientôt