Explications des faits qui ont concerné ta mère.
(Ce qui s’est passé entre les murs de la maison de retraite).
Ma chère, je vais te relater par le détail tous les événements à ta demande.
Le mois dernier, un incendie dans un asile psychiatrique avait obligé la direction à dispatcher les résidents dans d’autres structures. Les cas les plus légers concernant les personnes âgées ont été résolus par des placements provisoires dans des maisons de retraite.
Deux personnes se sont donc retrouvées « Aux glycines » ou travaillait ta mère.
Madame Yvette T. 75ans et Monsieur Abdelkader G., d’origine algérienne, âgé de 83 ans. Des deux, c’était lui qui posait le plus de problèmes. Il était autiste, très maigre, aux rares cheveux grisonnants. Paradoxalement, ce vieillard apparemment bien inoffensif avait des crises d’agressivité, et dans ces moments-là développait une force colossale. Il avait donc été demandé la pose d’une caméra qui donnait sur la chambre à la demande de l’asile pour le docteur qui suivait son cas car il craignait qu’il devienne violent.
Peu après son arrivée, ta mère avait assisté à une scène qui l’avait marquée. Lors d’une crise, deux infirmiers lui avaient demandé son aide pour l’immobiliser. Malgré leur nombre, l’octogénaire maghrébin s’était débattu et avait même porté des coups aux infirmiers.
Dans cette échauffourée, ta mère qui comme tu le sais est très prude depuis son veuvage à en être bigote, s’était retrouvée avec dans les mains le pantalon du vieillard et devant les yeux un sexe flasque démesuré. Je suis sûre qu’elle avait dû aller à l’église tellement elle est pratiquante pour avouer les « mauvaises pensées » face à sa découverte fortuite.
Comme tu le sais, ta mère était femme de ménage et devait s’occuper d’une vingtaine de chambres.
Vu l’énergumène, la Directrice de l’établissement préféra que ce soit ta mère qui fasse le ménage de la chambre du vieil algérien. Elle avait dû se dire qu’il était plus prudent que ce soit une femme de 55 ans aux fortes rondeurs plutôt qu’une des deux jeunettes aide-ménagères trop bien roulées mais poids plume pour s’occuper de sa chambre.
Il faut dire que ta mère n’est pas ce qu’on peut dire un « canon de beauté ». D’une taille moyenne, la poitrine plus que généreuse mais surtout, avec sa culotte de cheval prononcée, pour ne pas dire un gros cul.
Il faut reconnaître aussi que les pensionnaires n’étaient pas toujours aimables, et il fallait composer avec la maladie, et même, parfois, la mort.
Pendant les premiers temps, le vieil Algérien de 83 ans ne quittait que rarement son lit, semblant lentement mais sûrement s’avancer vers la fin. Toutefois, depuis quelques jours, ta mère avait noté un petit regain d’activité quand elle entrait dans sa chambre.
Un matin, lorsqu’elle pénétra dans la pièce, le vieux la regarda d’un air un peu hébété.
-Ça va aujourd’hui Mr Abdelkader ?
Il ne lui répondit pas comme d’habitude. Elle s’affairait dans la chambre quand il marmonna quelque chose. Elle s’approcha, pour essayer de saisir le sens de ses mots.
-Abdelkader aime Nini !
-C’est gentil Mr Abdelkader !
Le lendemain, la même scène se déroula mais quand elle se pencha pour comprendre les paroles du vieil arabe, les paroles avaient changé :
-Abdelkader veut Nini !
-Voyons ! Mr Abdelkader, mesurez vos paroles !
La main du grabataire s’était soudain plaquée sur son sein droit. De surprise et d’effroi, elle recula le temps de reprendre ses esprits. Elle se disait qu’il ne fallait pas prendre au comptant tout ce que disaient et faisaient les personnes âgées.
-Allons Mr Abdelkader ! Soyez sérieux !
Elle continua sa besogne et n’y pensa plus.
Mr Abdelkader se contenta les jours suivants de quelques attouchements, rapidement réprimandés par ta mère.
Mais le vieil autiste se montrait de plus en plus entreprenant. Elle ne pouvait plus s’approcher du lit sans qu’il nessaie de la tripoter. Elle avait beau essayer de le sermonner, rien n’y faisait.
D’ailleurs, comprenait-il seulement ses suppliques ?
Sa dévotion un peu trop excessive la mena à prendre sur elle et à aller prier à l’église.
Les jours passèrent et Mr Abdelkader semblait revivre, ce qui n’arrangeait pas le problème de ta mère. Les mots du vieux bouc devenaient de plus en plus explicites :
-Nichons- cochonne- Nini, gros cul ! Abdel veut baiser Nini !
Ses gestes devenaient plus vifs et elle parvenait plus difficilement à les éviter.
Elle s’en épancha à moi qui lui dis que la seule façon de faire cesser ça, c’était de lui offrir ce qu’il demandait. Ta mère devait lui montrer sa poitrine et après, il la laisserait tranquille.
— Ça arrive avec les vieux, ils font une fixation. Montre-lui tes seins, et il passera à autre chose.
Mais tu connais ta mère, assez prude, veuve irréprochable, toujours fidèle à la mémoire de son défunt mari après sept longues années et de surcroît, catholique pratiquante sinon bigote. Il lui a fallu un long moment avant de se résoudre à approuver cette solution pour retrouver la paix.
Le lendemain, la rengaine du vieux recommença. Elle décida de lui céder avec une prière muette.
-Oh Marie ! Pour lamour de Dieu, aidez-moi !
Déjà, son cur battait la chamade. Alors, elle dégrafa sa robe puis son imposant soutien-gorge.
Elle hésita un long moment avant de libérer sa volumineuse poitrine. Ses gros seins aux aréoles immenses d’un brun foncé qui jurait avec la couleur laiteuse de la peau, plus retenus par les bonnets, se répandirent à l’air libre. Ses tétons étaient épais et d’une longueur inaccoutumée.
Mr Abdelkader avait les yeux comme des boules de loto.
Elle s’était jetée à l’eau. Ta mère regarda le vieil autiste qui la fixait, la dévorant du regard, fasciné par ses mamelles.
Comme dans un état second, elle détailla cet homme à la peau toute fripée, aux sourcils broussailleux, très maigre. Comme il ne bougeait plus, elle fût rassurée et se détendit légèrement quand il baragouina.
Elle se pencha légèrement pour saisir le sens de ses paroles quand soudain le vieux se redressa dans un râle et plaqua ses mains sur les énormes masses mammaires. Il était si maigre que ses mains étaient sèches et râpeuses.
— Cochonne ! Gros seins !
Ta mère repoussa les mains du vieux qui dépité, reposa ses bras sur le lit. Puis, brusquement il repoussa le drap et s’attaqua à sa braguette. Ta mère était devenue toute chose à la vue de la bosse d’un volume incroyable qui repoussait le tissu du pantalon.
-Mon Dieu ! C’est pas croyable ! pensa-telle.
Mr Abdelkader fit glisser la fermeture éclair dégageant un engin monstrueux.
-Doux Jésus ! Son sexe est gigantesque !
Il faut dire ici que c’est pour cette raison que cet autiste passa sa vie dans un asile. Entre la taille hors-norme de sa verge et son obsession libidineuse non réfrénée, c’était l’asile ou la prison.
La verge de Mr Abdelkader mesurait une trentaine de centimètres, mais ce n’était rien comparé au diamètre encore plus impressionnant de l’organe.
Ta mère était statufiée mais en même temps animée par un certain sentiment de devoir ramener dans la voie du Seigneur cette brebis égarée. Elle se demandait même comment un octogénaire pouvait avoir une érection si puissante.
-Oh Mr Abdelkader ! Vous n’y pensez pas ! Reprenez-vous !
(À suivre)