La semaine suivante je passe mon temps à éviter la maison et surtout mon fils, j’ai honte ! je me suis faite baiser par mon fils ! moi qui ai toujours élevé mes enfants dans la droiture et la religion j’ai joué la catin avec ses deux jeunes, et le pire c’est que j’y ai pris du plaisir.

Dès que je ferme les yeux je les revois me donnant du plaisir avec leurs queues raides comme des barres de fer, mon esprit me dit que c’est mal mais mon corps, mon sexe me prouvent le contraire.

Il est trop tard maintenant pour revenir en arrière, le problème c’est que Marc m’a fait comprendre que pour lui ce n’était qu’un début et que j’allais devoir faire ce qu’il me demande sous peine de voir la fin de mon mariage et de ma famille.

Pour Thomas je ne suis plus la mère stricte et rigide qui l’a élevé, je ne suis plus qu’une grosse pute en chaleur.

Samedi soir, Serge mon mari a prévu un diner avec des amis, Colette et Daniel, un couple du même âge que nous dont les enfants ont fait leur scolarité avec les nôtres. Cela ne m’enchante pas trop, Colette se la joue grande bourgeoise provinciale et catho, sûre d’elle et de ses convictions et son mari à l’arrogance des gens qui ont « réussi » dans la vie, mais bon la vie continue et je vais devoir me mettre aux fourneaux pendant que Serge , Daniel et Colette vont parler boulot et éducation.

Quand je demande à mon mari la liste des invités, il me dit qu’ils viendront avec leur fils et leur fille et que de notre côté, il y aura Thomas et surement Marc.

Il ne manquait plus que cela, mes « amants » seront de la partie !

Je passe la plus grande partie du samedi à préparer le repas du soir et la mise en place de la table, seule, les hommes étant à l’entrainement quand j’entends dans l’entrée une voix que je connais m’appeler.

Ma fille m’a faite la surprise de venir ce week-end, je suis contente de la voir, au moins ça va me donner un peu d’air dans cette soirée !

    Bonjour maman, comment ça va ? papa est pas là ?

    Bonjour ma fille, non il est à l’entrainement avec ton frère.

    Comme d’habitude, il y aura qui ce soir ?

    Colette, Daniel et leurs enfants et Marc

    Marc sera là ? super il y a longtemps que je ne l’ai pas vu !

Cette dernière phrase m’a tout de suite mise mal à l’aise, Séverine a dû s’en apercevoir en poursuivant :

    C’est vrai que tu l’as jamais trop aimé mais c’est quelqu’un de bien

En moi-même jironisait en me disant (c’est vrai qu’il gagne à être connu le petit salaud, non seulement il se fait ton frère et maintenant ta mère !)

Le reste de l’après-midi passa vite, puis le retour du foot, les embrassades, les retrouvailles de ma fille et de Marc. J’entends Séverine demandait à son frère les dernières nouvelles avant de les voir partir tous trois vers la chambre de Thomas. Marc se retourne et me jette un clin d’il complice qui me fait vaciller sur mes jambes. qu’est-ce qu’ils vont raconter à ma fille ?

J’ai besoin d’un remontant, moi qui ne bois pas je m’enfile une grande dose de martini !

Quand nos amis arrivent avec leurs enfants je suis un peu dans les nuages ! J’accueille Daniel et Colette avec un peu d’appréhension quant à la suite de la soirée. Daniel est toujours un peu coincé et Colette tiens à son rôle de petite bourgeoise de province, Sophie leur fille, petite rousse aux formes avantageuses me demande d’emblée si Séverine est là, pendant que son frère lui s’enquiert de la présence de Thomas. Sans réfléchir et baissant les bras je les envoie en direction de la chambre de mon fils.

Après les banalités d’usage et un apéritif que je veux corsé (pour moi), tout le monde arrive pour se mettre à table, et moi j’entreprends le service, naviguant entre la salle à manger et la cuisine.

Alors que je me prépare à amener les entrées dans la salle Thomas arrive dans la cuisine.

    Tu as besoin d’un coup de main ?

    Heu oui je veux bien

Passant derrière moi, il me met une grande claque sur les fesses en me disant

    T’inquiétes pas ça va bien se passer, on va s’occuper de toi

Je n’ai pas le temps de réagir qu’il est déjà parti avec un plat d’entrée en direction de la salle. Mais qu’est-ce qu’ils ont prévu à la fin ?

La suite du repas se passe normalement, banalité sur le travail les études etcje m’ennui et les effets de l’alcool se font un peu sentir chez moi. Marc passe son temps à mater le décolleté de Colette, le chemisier de Sophie tendu comme si elle avait pris une taille en-dessous et Séverine qui semble l’intéresser au plus haut point.

Je prends les assiettes et me rend dans la cuisine pour préparer le plateau de fromage et la salade quand Marc se lève et  propose de m’aider pour la suite. Dans la cuisine, je sors les fromages et la salade sur l’ilot de la cuisine quand Marc s’approche de moi  et me dit :

    « Je vais t’aider à faire la sauce », tout en sortant sa queue de son pantalon, il me prend la main et la pose sur sa bite dèjà dure.

    Qui est ce qui t’excite tellement ? me surprend je à dire

    La bourgeoise et sa cochonne de fille, j’ai envie qu’elles goutent à ma sauce, vas-y branle!

Je commence à caresser sa queue les yeux rivés sur la porte, décallotant le gland luisant de plus en plus rapidement, pendant qu’il passe une main sous ma robe, ses doigts s’insèrent rapidement dans ma chatte, je mouille.

Je sens qu’il va jouir, il attrape le saladier et se vide les couilles dans la salade. Je ne le branle plus, je le trait comme un pis de vache. Il range sa bite quand Thomas entre à son tour.

    A ton tour sinon il n’y en aura pas pour tout le monde, dit Marc avant de rejoindre l’assemblée

Thomas prend la place de son copain et lui aussi commence à se branler dans la sauce.

    Allez branle moi vite avant que quelqu’un arrive, à moins que tu veuilles qu’on te voit avec la bite de ton fils dans la main ? Tu aimerais que tes amis viennent, ou ta fille ?

    Non, balbutie-je en prenant sa queue en main.

    Active-toi, ils nous attendent !

Tandis que mes doigts courent sur le chibre raide de Thomas, je sens un sentiment de plaisir et de honte confondus monté en moi, de mon autre main je lui caresse les couilles.

Quant à son tour il éjacule dans le saladier, j’aperçois Paul, le fils de Colette, qui nous regarde de sa place à table. Placé comme il est, il ne peut voir que le haut de nos corps s’agiter mais je vois bien qu’il se demande ce qui se passe ! je rougis malgré moi

Mon fils se réajuste, il s’est aperçu lui aussi que Paul nous maté, l’air de rien avec un petit air amusé il me glisse dans le creux de l’oreille « je te l’envoie pour le dessert, je suis sûr qu’il crève d’envie de te sauter ! » et me laisse finir de « préparer » la salade.

J’apporte la salade sur table, Colette est la première à se servir, et oui, la salade s’est bon pour sa ligne !

Il faut dire qu’à 49 ans elle a une taille de guêpe et les UV lui donne un teint bronzé toute l’année.

Quand elle avale la première feuille dégoulinante de « sauce » je ne peux m’empêcher d’être contente, si elle savait comment je l’ai préparé elle perdrait un peu de sa suffisance !

Les garçons regardent les invités déguster leur sperme, ils sont aux anges. Tout le monde s’accorde pour dire que c’est délicieux, quand je me rends dans la cuisine pour chercher le dessert. Thomas se lève pour débarrasser et fait signe à Paul de venir avec lui pour l’aider, ce que sa mère approuve : « c’est bien d’aider sa mère, tu vois Paul prend en de la graine et aide aussi ! » pérore Colette !

Arrivé dans la cuisine, Thomas repousse doucement la porte, se dirige derrière moi, j’ai à peine déposé les assiettes dans l’évier qu’il soulève ma robe laissant apparaitre ma culotte aux yeux de Paul. Je ne me retourne pas.

    Tu vois ce que je t’avais dit, elle a un beau cul ma mère ! , hein Paul !

    Ah oui ça il est beau, répond Paul en se raclant la gorge

    Et encore t’a- pas tout vu ! dit Thom en faisant glisser le tissu trempé qui me sert de culotte

    Approche-toi et profites en vite, il faut pas qu’on traine, il ne manquerait plus que ta mère nous chope !

    Sur ce j’entends Thomas attraper des assiettes et repartir tandis qu’une main vient de se poser sur mon postérieur, je me cambre et je sens des doigts s’insinuer dans ma raie descendant jusqu’à ma chatte, j’écarte les cuisses pour les laisser entrer.

Rapidement et maladroitement Paul me fouille le sexe avec ses doigts, avant de sortir sa queue,

 j ’entend son souffle court derrière moi, je ne me retourne pas, il frotte sa bite à l’entrée de ma chatte et me pénètre d’un coup. Penchée en avant mes seins cognent sur le bord de l’évier, il me tient par les hanches, ses aller-retour rapides le font jouir au bout de quelques minutes. Des jets de foutre envahissent ma caverne, il se retire et s’enfuit vers la salle me laissant pantelante, du sperme coulant sur les cuisses.

J’ai juste le temps de baisser ma robe que Marc arrive me lançant : « Dépêche-toi grosse salope, tout le monde t’attend avec le gâteau ! oh et ce soir quand ton mari va dormir, tu vas nous rejoindre dans la chambre de ton fils, on n’en a pas fini! Je vais t’enculer comme Thomas ! »

J’amène le gâteau sous les applaudissements des invités, du foutre le long des jambes, et ma soirée n’est pas terminé !

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