Je m’appelle Jacqueline, j’ai 49 ans et suis divorcée depuis de nombreuses années. J’ai les cheveux courts auburn, mesure 1m70 pour 55 kg, je suis plutôt mince avec de petits seins en forme de poire, une taille mince et des fesses fermes. J’ai eu beaucoup d’amants mais vis toujours seule à la maison avec mon fils de 25 ans. Loïc. A défaut d’avoir préparé le réveillon du 31, nous nous sommes retrouvés tous les 2 tous seuls en tête à tête. Nous avons discutés de beaucoup de choses et entre autre de nos vies intimes. Le champagne aidant, mon fils m’avoua que ses conquêtes ne se faisaient pas du tout à la taille de son sexe et c’est pourquoi il était toujours seul. Il me demanda si le fait d’être seule, le sexe ne me manquait pas.
A «Si bien sur, je lui répondis! Mais je m’en accommode il le faut bien! Et puis j’ai de temps en temps des amants! Mais pourquoi je te dis ça? Je suis ta mère!..».
Nous avons plaisantés, bu pas mal et bien rigolés, puis à minuit, nous nous sommes embrassés en nous souhaitant la bonne année. Loïc essaya de m’embrasser sur la bouche aussi le repoussais-je fermement. Nous avons ensuite reçus et donnés plusieurs coups de fil puis vers 2 heures du matin, nous sommes allés nous coucher. Cela faisait 10 minutes que j’étais couchée quand j’ai entendu ma porte s’ouvrir et se refermer. J’ai allumé la lumière et vu mon fils entièrement nu qui se dirigeait vers mon lit. Je l’ai interpellé:
A «Loïc! Qu’est ce que tu fais là tout nu?.. Tu es fou!.. Vas te coucher tout de suite!.. Tu m’as entendue, oui?.. Non!.. N’approche pas!.. Je te préviens; je crie!..».
A «Cries maman!.. Tout le monde fait la fête et personne ne t’entendra!.. Et puis tu m’as dit que le sexe te manquait!.. On va voir ça!.. Un bon coup va te faire le plus grand bien!..».
A «Mais tu es fou!.. Tu es mon fils!.. Vas t’en!.. Non!.. N’approche pas!.. Nooooonnnnn!..».
Loïc tira sur les draps et put voir que je dormais nue moi aussi, il sourit en découvrant ma toison et mes seins que j’essayais tant bien que mal de dissimuler. Je vis que son sexe était en semi érection et devait faire déjà au moins 20 cm de long pour un diamètre de 5 cm. Il entra dans mon lit et m’attrapa alors que je tentais de me relever. Nous avons luttés puis Loïc réussit à immobiliser mes poignets au dessus de ma tête, puis il en profita pour m’embrasser sur la bouche. Comme je bougeais la tête de gauche à droite, il força sur mes poignets d’une main, ce qui me fit crier tandis qu’avec son autre main, il me tenait la tête et m’embrassait à pleine bouche. Il me força à lui rouler une pelle pendant de longues minutes et je me mis à pleurer. Puis Loïc vint se mettre sur moi et je sentis que son sexe avait pris des proportions phénoménales. Voyant ou il voulait en venir, je lui adjurais de renoncer, que j’étais sa mère mais rien n’y fit! Il réussit à glisser une de ses jambes entre les miennes puis sa 2ème jambe rejoignit la 1ère et il me força ainsi à écarter les miennes de plus en plus. Me tenant toujours les poignets derrière ma tête, il prit son sexe avec son autre main et tâtonna quelques instants avant de trouver l’entrée de ma chatte. Il me regarda au fond des yeux, me sourit, poussa et entra en moi. Je crus que j’étais coupée en 2 tellement sa bite était grosse. J’ai écartée moi-même les jambes le plus que je pouvais afin de ne pas avoir trop mal. Loïc continua sa poussée et m’investissait cm après cm. Je cherchais de l’air en ouvrant grand la bouche et il en profita pour me rouler une pelle. Loïc entreprit alors de me limer, d’abord lentement puis de plus en plus vite et en allant de plus en plus loin. Je me mis à crier et j’eus un orgasme fulgurant pendant que mon fils me tâtait les seins et me mordillait mes pointes durcies. Loïc s’arrêta net, me laissant récupérer de ma jouissance, puis quand je redescendis sur terre, il mit mes jambes sur ses épaules et recommença sa cavalcade, faisant claquer son ventre contre ma chatte. 5 minutes de ce va et vient suffirent pour me faire avoir un 2ème orgasme aussi fort que le 1er. Mon fils bascula ensuite sur le dos et m’attira sur lui en réinvestissant mon sexe trempé. Il me caressa les seins pendant que j’imprimais moi-même la cadence de cette pénétration hors norme. J’étais en sueur tout comme Loïc mais il n’avait pas encore joui et semblait infatigable. Cela faisait maintenant 2 heures que mon fils avait commencé à me baiser et je n’en voyais pas la fin. Il s’interrompit de nouveau, rebascula et me présenta sa bite à sucer. Le regardant, j’ouvris la bouche démesurément et fit entrer son énorme gland. Je n’arrivais même pas à tourner ma langue autour à cause de la grosseur. Loïc se mit en 69 sur moi et me lécha la chatte, en prenant bien soin d’écarter mes petites lèvres pour s’emparer de mon clitoris. Il me fit jouir de nouveau avec sa langue puis me reprit en levrette, enfonçant bien à fond son sexe dans ma chatte trempée. Il me tint les hanches et se mit à me pistonner à toute vitesse!
A «Alors maman! T’aimes ça, hein?.. T’es une vraie cochonne tu sais!.. Tiens!.. Prends ça!..».
En disant cela, il se retira, pointa son gland quelques cm plus haut et poussa très fort. Quand je compris qu’il voulait me sodomiser, j’ai essayé de lui échapper mais il fut plus rapide que moi, passa un bras sous mon ventre et m’attira vers lui, enfonçant sa bite sur plusieurs cm dans mon cul. Je le sentis aller et venir tandis que de douleur, je tentais de le raisonner:
A «Loïc! S’il te plaît! Nooonn! Ca fait maaaaal! Hhhhhaaaaaaâ! Hhhhhooooo!».
Sa bite à moitié dans mon cul, il me reprit par les hanches et imprima lui-même sa cadence, d’abord lentement puis de plus en plus vite, s’enfonçant toujours plus loin à chaque coup de reins. Les épaules touchant les draps et le cul bien en l’air, Loïc réussit à me faire jouir alors que sa bite n’était pas tout à fait au fond de moi. Il bascula sur le coté, puis se coucha sur le dos, son énorme engin toujours à la verticale et donna ses consignes:
A «Maman! Enjambe moi en me tournant le dos!.. Voilà !.. Maintenant, mets toi accroupie sur ma bite!.. Allez!.. Plus vite que ça!… Voilà!.. Tu vois que ça rentre tout seul!…».
Mon fils mit ses mains sous mes fesses afin de me faire monter et descendre sur sa queue qui avait toujours des dimensions hors norme. Il poussait sur ses bras pour me soulever et me laissait retomber sur sa bite jusqu’à ce que mes fesses viennent taper contre son ventre. Je n’en revenais pas d’avoir un tel engin dans le cul et commençait à prendre mon pied quand mon fils me fit mettre de nouveau en levrette puis m’encula de nouveau. Il me prit par les hanches et me pistonna l’anus de toutes ses forces, me faisant crier de plaisir tandis qu’il se vidait à longues saccades dans mon cul.
Nous basculâmes tous les deux sur le lit, épuisés et heureux. Je n’avais pas joui de la sorte depuis de nombreuses années et j’ai embrassé tendrement mon fils sur la bouche.
Venant me lover dans ses bras, je me suis endormie immédiatement en pensant que cela ne s’arrêterait sûrement pas là!