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la copine de ma femme enceinte par mes soins – Chapitre 1




La meilleure amie de ma femme s’appelle Maryline. Âgée de 35 ans, Mariée avec Roland, maman d’une fille de 7 ans, c’est une belle brune de 1.70 m, pulpeuse à souhait avec des yeux marron en amande qui respire le sexe. Chaque fois que je la vois, j’ai envie de la baiser. Un jour, nous parlions d’elle avec mon épouse, et cette dernière me confia qu’elle lui avait dit être une mordue du sexe "qu’il lui en fallait" comme elle a affirmé à mon épouse. Bien sûr, je bouillais au fond de moi, et le soir, j’ai fait deux fois l’amour à ma femme en pensant à elle.

Professionnellement, je travaille dans le bâtiment (chef de chantier), et je dirige un chantier dans la ville voisine où souvent mon épouse et son amie vont faire leurs achats.

Parmi les ouvriers du chantier, il y a 3 Gabonais ayant obtenu des permis de travail pour une durée de deux ans, et cela fait déjà quasiment 1 an qu’ils travaillent sur cet immense chantier. Leurs femmes sont restées au Gabon, et ils vivent dans des baraquements près du chantier. Je me liais avec ces 3 hommes qui non seulement étaient des travailleurs accomplis, mais aussi, des compagnons très conviviaux. L’un deux était Marabout. Lors d’une discussion, les trois Gabonais (Abdul (le Marabout), Salim et Abdel ) me confiaient que l’absence de leurs femmes leur pesaient, même s’ils pouvaient discuter souvent par internet avec elles.

En plaisantant, je leur demandais pourquoi ils n’avaient pas trouvé de françaises pour pallier à leur manque de présence féminine. « Nous sommes des étrangers, et il est difficile de se faire des relations dans de telles circonstances » furent leur réponse.

Un jour, mon épouse et Maryline sont passées au chantier pour me montrer leurs achats. Étant avec mes trois compères, je me rendis compte que leurs yeux commençaient à briller en découvrant Maryline, habillée d’une robe blanche à fine bretelle, arrivant au dessus du genou, assez transparente dans la lumière pour voir son string blanc. Cette visite dura 10 minutes, mais Abdul, Salim et Abdel m’en parlèrent souvent en salivant sur la pulpeuse Maryline.

Je faisais part à mes nouveaux amis de mon fantasme sur Maryline et de l’effet qu’elle avait sur mes sens lorsque je la voyais, affirmant sans gène que je la "baiserais" volontiers !

Abdul se mit à rire, et il me dit : "j’ai peut-être la solution pour que tu puisses parvenir à tes fins, mais il faut que tu partages Maryline avec mes amis et moi".

Je répondis : "que proposes-tu Abdul ?".

"Je connais une poudre magique qui permet à une femme d’ôter sa résistance et de complètement perdre la tête. En plus, elle ne souvient plus de rien"

"Ok, ok, c’est formidable ce que tu dis" lui répondis-je.

Un soir, mon épouse m’informe que Maryline va seule à la ville où je travaille pour faire des achats. Je décide de mettre en uvre le plan d’Abdul.

Le lendemain arriva, et muni de la potion d’Abdul, je déambulais en début d’après midi dans la zone marchande, sachant pouvoir y rencontrer Maryline que je finis par croiser rapidement. Après les salutations d’usage, j’invite Maryline à boire un café. Assise à la terrasse, je me lève pour commander les cafés, et je verse discrètement la poudre dans le café que Maryline boit d’une traite. Au bout de 10 minutes, elle commença à s’éventer avec une revue avouant avoir très chaud. En même temps, elle croisait et décroisait ces jambes, en faisant remonter sa robe. Elle était vêtue d’une robe noire assez moulante, sans manche, une veste également noire. Je lui proposais de l’accompagner faire ses achats, prétextant avoir besoin de ses conseils pour offrir un cadeau à ma femme.

En se levant, elle titubait légèrement, et je lui dis qu’elle devrait s’aérer un peu. Je lui propose de l’emmener jusqu’à ma voiture pour qu’elle se repose quelques instants. Je lui ouvre la portière et elle s’installe sur le siège, en découvrant largement ses cuisses. Quel régal ! Je m’assois ensuite côté conducteur et démarre le véhicule. "Où vas-tu " me dit-elle. "Je vais te faire prendre l’air, tu verras, cela ira mieux ensuite" répondis-je.

En roulant vers le motel dont j’avais loué une chambre, je regardais Maryline du coin de l’il, et elle frottait maintenant ses jambes les unes contre les autres en soupirant. Je pose une main sur sa cuisse gauche, sans réaction de sa part, hormis un tremblement qui lagita. Je fis remonter ma main le long de sa cuisse et je sentis sa culotte. Elle était trempée. Je fis glisser un doigt sous sa culotte et elle ouvrit largement les cuisses en poussant un petit cri.

« Bon sang, ce produit est réellement efficace » pensais-je en sentant une érection comme jamais.

Nous arrivons au Motel, et je sorti Maryline de la voiture. Elle se pressait contre moi comme une chatte en chaleur. « Tu veux du sexe » lui dis-je. « oh oui, je sens ma chatte couler » répondit-elle.

Puis, elle se secoua et dit : « je suis folle, tu es le mari de ma meilleure amie, je ne peux pas faire lamour avec toi ». Nous arrivâmes à la chambre, et je fis entrer Maryline qui tomba sur le lit. Elle se tortilla et commença à caresser ses seins sur sa robe. Puis elle glissa une main sur son sexe et se masturba avec frénésie, en gémissant. On frappe à la porte, jouvre et laisse entrer Abdul et ses deux amis. Aussitôt dans la chambre, je vis les yeux dAbdul, Salim et Abdel se mettre à briller. Sans un mot, ils se dévêtirent entièrement, et je vis leurs membres droits, dune impressionnante dimension, palpiter. Je donnai un préservatif à chacun des trois compères qui eurent vite fait de lenfiler sur leur sexe.

Abdul sapprocha de Maryline qui se caressait toujours en poussant de petits cris. Il sallongea sur elle, et elle eut un moment de surprise de voir ce grand noir baraqué se coucher sur elle. Mais elle ne se déroba pas en passa ses bras autour des épaules dAbdul et lattira à elle. Elle ouvrit ses lèvres et Abdul lembrassa. Aussitôt, Maryline lui rendit son baiser avec fougue. Je voyais sa langue aller et venir dans la bouche dAbdul. Elle arrêta dembrasser Abdul et lui dit : « baise moi fort, mais prend un préservatif, car je ne prends plus la pilule depuis 3 mois ». Abdul lui fit toucher son membre gainé du préservatif et je vis un sourire béat se dessiner sur le visage de Maryline. Abdul commença à frotter sont vit sur la culotte de Maryline qui tremblait de plaisir. Il lui écarta la culotte puis fit de nouveau glisser son sexe dans le vagin brulant et trempé de Maryline qui se mit à crier : « cest bon, entre vite, baise moi, je nen peux plus ! » Et au plus Abdul frottait son sexe, au plus Maryline perdait les pédales et se contorsionnait dans tous les sens. Je mapprochais de son visage et posais mes lèvres sur les siennes. Nos langues se mêlèrent et je naurais voulu pour rien au monde arrêter cet instant magique que jattendais depuis si longtemps !

Abdul continuait de frotter son immense sexe contre les lèvres vaginales de Maryline qui essayait de senfiler cette queue dans son vagin, mais en vain. Elle gémissait de plus en plus. Salim me poussa et mis son sexe dans sa bouche. Elle lengloutit et le suça comme une affamée. Javais le visage à 20 cm du sien et cette vision de cette fellation mexcita au plus haut point. « Quelle salope tu es » dis-je à Maryline qui continuait sa fellation. Soudain, Salim se cambra et lâcha de long jet de sperme dans la bouche de Maryline qui avala toute cette quantité de sperme sans sourciller. Abdel pris le relais et le même opération de passa. Maryline avait du sperme qui lui couler sur le menton. Je ne pus résister à lembrasser à nouveau dun fougueux baiser, et mêler ma salive au sperme de Salim et Abdel.

Abdul regardait Maryline et lui dit : « tu veux que je te baise, Maryline ». « Oui, oui, ouiiiiiiiiiii » répondit-elle en se tortillant. Abdul lui di : « enlève-moi le préservatif avant ». Maryline sursauta et dit : « non pas ça, je peux tomber enceinte, garde le préservatif, je ten prie ». Abdul continuait à frotter sa queue contre lentrée bouillonnante du vagin de Maryline, et il lui répéta : « si tu veux que je rentre dans toi, enlève le préservatif » Jétais subjugué par lautorité et la maîtrise dAbdul. Maryline lui répondit : « je lenlève, mais tu ne jouis pas dans moi ». Abdul se mit à rire et dit : « ok, enlève-le ». Maryline fit glisser ses mains vers le sexe dAbdul et roula le préservatif vers le gland et le retira complètement, et le jeta dans la pièce. Abdul rentra dun coup den elle, lui arrachant un cri de plaisir. « Tu aimes la bite de noir » lui dit-il. « Oh oui, cest bon, continue, baise moi fort, mais ne jouis pas dans moi » répondit-elle. Abdul la pilonna pendant de longues minutes, et soudain, il sarrêta. Maryline grogna, et bougeait son corps sur la queue dAbdul. Il lui dit : « pour que je continue, dis moi que tu veux tout mon sperme dans toi ». « Oh non, il ne faut pas » gémit-elle. Abdul sortit de son vagin. Maryline tenta de le retenir en elle, sans résultat. « Prend moi, viens dans moi, viens, viens. Il me faut ton sexe » lui cria-t-elle. Abdul retourna dans ce vagin palpitant, et son immense sexe faisait des clapotis à chaque poussée tellement Maryline était trempée et assoiffée damour physique. Abdul forniquait Maryline en alternant rapidité et lenteur. Maryline commençait à sagiter et crier des « ouiiiiii, baise-moi ». Soudain, elle se mit à trembler et à hurler, elle jouissait. Je navais jamais une femme autant prendre son pied, cétait exceptionnel de voir cette jouissance qui lui déformer le visage la rendant encore plus lubrique et sensuelle. Abdul continuait ces va et viens en ralentissant le rythme. Il lui dit : «que veux-tu maintenant, ma jolie » Maryline le fixa et lui répondit : « donne moi tout, je veux ta semence au fond de moi ». Abdul repris ces mouvements et je sentis que Maryline replongeait à nouveau dans le plaisir. Abdul se cambra et se mit à jouir dans le vagin fertile de Maryline en râlant son plaisir. Maryline poussa son ventre en avant pour avoir au plus profond delle le sperme dAbdul qui nen finissait plus de jouir. Il attendit un peu, puis se retira, la verge molle mais encore en érection. Je mapprochais du vagin de Maryline et finit dôter sa culotte complètement trempée par sa mouille et le sperme dAbdul. Je me mis à lécher sa chatte avec délectation, absorbant le surplus de sperme dAbdul qui coulait ainsi que les sécrétions intimes de Maryline. Je nen pouvais plus et je poussais mon sexe dans le vagin de Maryline. Au bout de quelques instants, jéjaculais une quantité impressionnante de sperme au plus profond de ce vagin si longtemps convoité. Salim sapprocha, mécarta et enfila Maryline en poussant des cris de bucheron. Il jouit lui aussi, se retira et laissa la place à Abdel qui éjacula à son tour au fond de son vagin. Abdul, pendant ce temps, se faisait sucer par Maryline qui demandait encore quon lui fasse lamour. Ainsi, nous jouîmes à tour de rôle 3 fois dans son ventre fertile. Chaque fois, Maryline déclencha des orgasmes foudroyants.

Je demandai à Abdul quand le produit cesserait de faire son effet. « Encore une heure » me répondit-il. Je me précipitais sur sa vulve pou lécher le trop plein de sperme. Son vagin dégueulait le sperme en quantité. Puis, je lui remis sa culotte (blanche à dentelle), remis un peu dordre dans sa tenue. Je demandais à Abdul de maider à linstaller dans la voiture. Il en profita pour la peloter et lembrasser. Maryline gloussait de plaisir. La voiture étant caché de la vue déventuel passant, il la fit coucher sur le capot de la voiture, lui écarta la culotte et lui remit son sexe dans son ventre. A nouveau, Maryline laissa exploser son orgasme lorsquAbdul jouit dans son ventre. Il remit la culotte en place, lui claqua les fesses, lembrassa et lui dit : « quelle salope tu es, Maryline. Jespère que tu auras gagné le gros lot avec tout ce que tu as pris dans le ventre ». Maryline sourit béatement en embrassant Abdul, voulant encore du sexe. Je linstallai dans la voiture en fermant la porte, démarrais en trombe avec Abdul assis à larrière qui en profitait pour caresser les seins de Maryline. Sa robe remontée je lui caressai la vulve poisseuse de la semence dAbdul.

Nous arrivâmes enfin devant sa voiture, je fouillais son sac, trouvais les clés, ouvris la voiture et linstalla à la place conducteur. Encore 3 mn pour que le produit ne fasse plus effet. Nous garons notre voiture juste derrière la sienne, mais sans quelle puisse nous voir. Au bout de 5 minutes, Maryline descendit de sa voiture, en fit le tour, alluma une cigarette. Elle baissa son regard vers ces cuisses, et après avoir jeté un regard autour delle, glissa sa main à sa vulve et sentit ces doigts. Puis, elle prit son sac à main et se dirigea vers la zone commerciale et sengouffra dans une grande surface. Abdul et moi-même nous la suivons et nous la retrouvons installer à une table de bar en train de prendre un café. « Tu crois que le produit à cesser son effet et quelle ne se rappelle de rien » dis-je à Abdul. « Certainement, et je vais te le prouver » me répondit-il. Il entra dans le bar, sassied à une table voisine de Maryline et commanda un café. Maryline lignorait comme si elle ne le connaissait pas. Puis Abdul sortit une cigarette, sapprocha de Maryline pour lui demander du feu. Cette dernière lui tendit son briquet comme si rien ne sétait passé entre eux. Après avoir poliment remercié Maryline, Abdul sortit du bar le sourire aux lèvres en me faisant un clin dil. Maryline se dirigea vers les toilettes du bar. Allait-elle ôter tout le sperme dAbdul ? Nous ne le saurons jamais car nous sommes retournés au motel récupéré Salim et Abdel, et rentrés chez nous satisfait de notre après midi et nos couilles vides.

« Quel bonheur davoir baisé Maryline. Il faudrait que je refasse la même opération avec ma femme » pensais-je.

Quelques semaines plus tard, mon épouse me confia que Maryline était enceinte. Jessayais de la faire parler pour savoir si Maryline savait quand et comment elle était tombée enceinte. Un week-end en amoureux à la mer serait la cause. Elle accoucha dun fils noir. La surprise passée, son mari lui avoua avoir certainement eu des ancêtres de couleur, puisque plusieurs générations de sa famille ont vécu au Sénégal. Il lui affirma que cette situation pouvait arriver, et quil aimait ce fils adoré. Quant à moi, je regrettais que mon sperme nest pas fertilisé Maryline. Et je trouvais que cet enfant ressemblait à Abdul. Dailleurs, ils partageaient tous deux le même grain de beauté sur lépaule !

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