La comtesse Blanche du Breuil s’ennuyait fermement au bal des débutantes à l’hôtel Crillon. Les valses avec de jeunes aristos boutonneux ne l’avaient jamais passionnée. Elle préférait en effet d’autres passe-temps plus insolites pour une personne de sa condition.

Elle était la beauté incarnée à 20 ans, blonde avec de grands yeux bleus, des seins superbes qui tendaient le bustier de sa robe du soir, un long cou sur lequel brillait une rivière de diamants. Ses cheveux blonds étaient relevés en un savant chignon qui laissait voir ses oreilles exquises auxquelles pendaient des boucles d’oreille en rubis.

Son amie, la baronne Violaine de La Trellière, qui aimait à l’accompagner dans ses virées avait également le même sentiment d’ennui et voulait s’arracher à ces mondanités pesantes pendant lesquelles elles étaient sensées trouver un mari fortuné et surtout emparticulé. Les deux jeunes femmes décidèrent donc de concert d’abandonner le faste de la salle de bal pour aller dans un endroit plus adéquat à leurs désirs.

La comtesse et la baronne trouvèrent le moyen de s’écarter sans que leurs parents ne remarquent leur absence. Elles passèrent prendre leurs longs manteaux de fourrure pour affronter le froid qui les séparait de la Mercedes que Violaine avait eu en cadeau de son père, un financier très élevé qui jouait sur son titre pour impressionner un monde des affaires où le nom faisait souvent tout.

— Ou veux tu aller, demanda Blanche en entrant dans la voiture de luxe en faisant attention à ne pas prendre sa longue jupe dans la porte. J’ai envie d’un endroit où l’on s’amuse plus que la dernière fois.

— Ne t’en fais pas, vu comment on est habillées, on rentrera où on veut et on aura tout ce qu’on veut.

— Allez, direction les Halles alors, on devrait trouver ce qu’on veut là.

La Mercedes se fraya un chemin rapidement jusqu’à un endroit des halles connu pour ses boites de nuit mal famées et se gara devant l’une d’entre elles. Les deux aristocratiques jeunes femmes se firent remarquer dès leur sortie de la voiture.

On voyait en effet assez peu souvent deux créatures de rêve sortir d’une voiture de PDG dans cette rue! La comtesse avait sous son manteau de fourrure une superbe robe du soir à la jupe longue et ample en brocart de soie grise et de longs gants de la même couleur. Quant à la baronne, brune avec des yeux verts, sa robe était plus provocante mais tout aussi luxueuse:

la robe de satin, longue et ample avec un faux-cul à l’arrière, s’ouvrait sur une minijupe à l’avant. Minijupe qui laissait apercevoir les cuisses lisses et parfaitement galbées de la jeune aristocrate. Elle avait de plus un large chapeau en velours noir dont les plumes blanches bouffantes se recourbaient sur ses épaules nues.

Pour Mohammed et Abdou qui allaient rentrer dans la boite "l’Aquarium" après 1 heure de RER depuis leur cité, la vue des deux femmes provoqua un sifflement admiratif et Abdou ne put s’empêcher de lancer, sans trop d’espoir pourtant;

– Oh, les meufs, ca vous dit de rentrer avec nous!

La comtesse du Breuil dit alors avec un ton aguichant, au grand étonnement des deux jeunes zonards:

— Pourquoi pas. Mon amie et moi avons besoin d’être introduites dans ce lieu qui nous est inconnu.

Le beur et le black en restaient sans voix: deux tops sapées comme des princesses leur lançaient une invite à peine voilée! L’occasion ne devait pas se perdre!

— Ouais, moi c’est Mohammed, et toi tu t’appelles comment lança le beur à Blanche (il adorait les blondes et fantasmait énormément dessus).

– Blanche, comtesse du Breuil du Bois d’Arviers.

— Et moi c’est Violaine, baronne de La Tréllière, dit sa compagne.

Putain! Des aristos en plus! Comment ils allaient se la jouer dans la cité! Une érection monstrueuse commença à se faire sentir dans leur pantalon. L’envie dévorait les visages des autres jeunes qui faisaient la queue devant la boite. Ces deux salopes aristos avaient accrochés avec les premiers qui leur avaient adressé la parole!

Blanche et Violaine prirent chacune le bras de leur partenaire pour entrer dans la boite et remirent leurs manteaux de fourrure à la fille du vestiaire.

La salle était pleine et surchauffée. Les femmes sentirent avec désir la bouffée de chaleur à l’entrée se répandre sur leurs gorges nues. Mohammed et Abdou regardaient alentours pour voir s’ils pouvaient appeler des potes afin de se faire remarquer avec leurs "conquêtes".

Ils ne tardèrent pas à voir un groupe de lascars de leur cité qui avaient leurs habitudes ici. Ils s’empressèrent de les rejoindre avec les filles.

— Putain! S’exclama un grand black du groupe. Vous nous présentez vos copines!

Là dessus, Blanche lui adressa une oillade suggestive et effleura sa braguette en passant à côté de lui. Le black eut un mal fou à ne pas pousser un râle de plaisir à ce moment là. Les deux filles firent la bise à tous les mecs du groupe, une dizaine, en faisant bien attention à toucher la commissure de leur lèvres. Elles déclinèrent à nouveau leurs titres.

Elles s’assirent alors dans le cercle en touchant le plus de monde possible. La comtesse du Breuil du Bois d’Arviers commença, en faisant semblant de murmurer quelque chose à l’oreille de son "cavalier", à lui lécher l’oreille. Elle lui rajouta:

— Suis moi aux toilettes tout à l’heure.

Mohammed senti sa queue se raidir à lui en faire mal. Putain, ce qu’il allait lui mettre tout à l’heure! Ses rêves les plus fous allaient devenir réalité!

Quant à Violaine, elle s’arrangea pour caresser ostensiblement la protubérance qui enflait le jogging d’Abdou depuis leur rencontre. Comme elle s’était également assise à côté du black qu’elle avait lubriquement salué toute à l’heure, ce dernier essayait le plus possible de la coller, ce à quoi elle ne tentait aucune esquive d’ailleurs.

Quand Blanche se leva, Mohammed sauta comme propulsé par un ressort, conforté par l’oillade qu’elle ne manqua pas de lui lancer en prenant la direction des toilettes. Elle eu du mal à y parvenir car tous les mecs de la boite essayaient de la coller au passage et sa longue jupe faite plus pour virevolter dans les salles de bal que pour danser en boite commença à se froisser sérieusement.

Elle choisit les toilettes hommes et Mohammed s’y engouffra à sa suite.

Elle n’eut pas le temps de se retourner qu’il la serrait déjà contre le mur, lui oppressant les seins de ses mains et lui faisant sentir son érection. Elle poussa un gémissement de plaisir et sentit le désir monter en elle avec fougue. Mohammed lui couvrait le cou de baisers et retourna son bustier afin de faire jaillir les seins hors de la soie et de sucer leur tétons. Blanche saisit sa jupe à deux mains et la remonta le plus haut qu’elle put, dévoilant son charmant pubis sans culotte et déjà copieusement humecté. A sa vue, Mohammed poussa un râle de bête et baissa son pantalon de survêtement. Sa bite était tendue à l’extrême.

Mohammed lui saisit les jambes, la souleva et plaça sa chatte humide juste devant son sexe, Blanche lui enserrant le cou de ses bras gainés de longs gants et de diamants. Le jeune Arabe la pénétra violemment, lui arrachant un cri de surprise mêlé de jouissance. Les coups de boutoir qu’il lui donnait la remplissaient de jouissance. Elle adorait se faire prendre par ceux que ses parents appelaient avec mépris de la "racaille" ou des "infidèles".

Eux seuls avaient cette ardeur qui réveillait en elle la femelle assoiffée de sexe sous ses airs de comtesse inaccessible.

Elle se souvenait en particulier d’une chasse à courre où elle avait faussé compagnie au groupe pour aller se faire violer par un camp entier de gitans. Elle avait ensuite mis le désordre d ans sa tenue de cheval sur le compte d’une chute…

Soudain, Mohammed la laissa tomber sans la prévenir:

— Mets toi à genoux, salope! lui enjoignit-il, d’une voix qui laissait transparaître une impatience extrême

Docile mais excitée, Blanche se mit à genoux, sa robe du soir s’élargissant en corolle de soie autour d’elle. Se seins étaient toujours mis à nus et uniquement recouverts de sa rivière de diamants. Mohammed lui arracha sa robe déjà largement ouverte qui s’effondra à ses pieds, la dévoilant, nue et superbe, sur le carrelage souillé des toilettes.

Comprenant parfaitement la situation, la comtesse releva son cul et écarta ses cuisses afin de dévoiler son anus au jeune Beur.

Ce dernier ne se fit pas prier et l’encula sans ménagement. La vision de ce cul blanc parfait offert de salope de la noblesse française le rendait fou. Le collier de diamant de Blanche pendouillait à son gracieux coup au rythme des coups de boutoir assénés par Mohammed.

Ayant fermé les yeux et étant toute ravie par l’outrage que lui faisait subir son violeur, la comtesse du Breuil n’entendit pas venir un autre Arabe entrant dans les toilettes. Le spectacle qui s’offrait à lui était absolument splendide: une superbe noble parée de bijoux splendides se faisait sodomiser par un frère au milieu de ses atours de soirée jetés à bas. Et cette conne semblait aimer çà en plus!

D’un coup d’oeil, Mohammed lui fit comprendre qu’il pouvait s’occuper de « l’avant » de la fille, tant qu’il ne l’emmerdait pas sur « l’arrière ».

Blanche, qui avait les yeux fermés et poussait de petits glapissements, sentit d’un coup une poigne se saisir de ses cheveux et ravager son chignon puis une bite s’insérer de force dans sa bouche. Le goût fort de l’engin l’excita encore plus et elle se mit à prodiguer ses talents les plus secrets, enveloppant le gland avec sa langue. Les deux Arabes éjaculèrent quasiment en même temps et celui qu’elle pompait le fit tellement fort, qu’elle ne put avaler tout le sperme et qu’une partie lui coula sur la poitrine.

Ses deux amants poussèrent des grognements de bête et la laissèrent gire à poil sur les carreaux des toilettes pour aller se prendre une bière et se laisser le temps de se reremplir les couilles.

Dans sa torpeur, elle ne se rendit pas compte que plusieurs mecs l’avaient regardé se faire prendre comme une salope et n’attendaient que le départ des deux arabes pour se faire cette petite pute d’aristo à leur tour. La comtesse fut relevée, plaquée contre le mur et sentit une bite s’introduire dans sa chatte et la ramoner puissamment. Blanche fut particulièrement excitée de voir que les mains qui lui pétrissaient les seins étaient celles d’un black.

La sarabande infernale recommença et le black ne cessait de l’insulter tout en la baisant avec force :

« Sale petite pute, tu la sens ? C’est pas les pédés du XVIème qui peuvent te niquer comme ça, hein ?! Je vais te défoncer, petite salope de bourge ! ».

Blanche, la bouche ouverte et les yeux rivés au plafond sentait avec délectation la bite du zonard écarter les lèvres de son vagin si délicat et prenait un plaisir incroyable aux insultes qu’il lui adressait.

Au moment de jouir, celui-ci la retourna pour que cette salope de française puisse le voir en face, ce qui ravit la comtesse. Le foutre du noir jaillit à grosses saccades et se mit à couler sur les cuisses de la jeune aristocrate. Le black laissa ensuite choir la comtesse sur le sol et s’essuya la queue dans la soie de la robe avant de sortir.

La comtesse se releva, rajusta sa robe, qui avait déjà beaucoup perdu de sa superbe et dont la soie était tachée de multiples auréoles. Ce n’était pas grave, son père lui offrait de toutes façons des robes de bal des plus grands couturiers à longueur d’année.

Elle sortit à nouveau dans la salle. Encore toute bouleversée des sensations qu’elle venait de vivre, elle avait totalement oublié de laver le sperme qui avait giclé sur sa poitrine et ses seins. Ce qui venait de se passer dans les toilettes ne pouvait être ignoré de personne vu les cris qu’ils avaient poussés tous les trois… Les commentaires autour d’elle fusaient : « salope », « pute de riche »…

Pendant ce temps, son amie, Violaine de la Trellière, n’était pas restée inactive : elle avait consciencieusement pompé tous les types de la bande sous la table. Quand Blanche reparut à la table, elle retrouva la baronne les cheveux défaits, son chapeau à larges bords ayant depuis longtemps été jeté à bas pour mieux empoigner sa chevelure. Elle était empalée sur les genoux d’un grand noir, celui-ci ayant mis les seins blancs de la jeune noble à l’air afin d’en sucer les tétons. L’ampleur de sa jupe masquait le fait que la bite du noir la ramonait profondément, mais les ondulations de la jeune femme trahissaient cette saine occupation.

A peine eurent-ils finis qu’un des leaders de la bande décida de lever le camp pour rejoindre la cité et exhiber ces deux superbes créatures à leurs potes. Ils auraient encore plus de renommée qu’en cramant une douzaine de bus !!

Les deux jeunes femmes eurent à peine le temps de récupérer leurs manteaux de fourrure qu’elles furent agrippées et jetées sur la banquette arrière de la Mercedes dont Mohammed avait trouvé les clés en fouillant leur sac.

Abdou prit le volant et démarra en trombe, suivi par deux autres voitures remplies de lascars surexcités. Les deux aristocrates furent immédiatement mises à nu et une orgie commença à se dérouler sur la banquette arrière au milieu des fourrures et de la soie.

La baronne fut forcée (à son plus grand plaisir) de pomper un beur pendant que la comtesse du Breuil, les jambes remontées sous le menton, se faisait défoncer par un black. Leurs cheveux avaient perdu la moindre trace de coiffure et leurs longs gants d’opéra étaient bien chiffonnés à force de branler les bites des quelques racailles qui avaient pris place à l’arrière.

Mais la cité était bientôt en vue.

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