ÉVOLUTION

Avis aux lecteurs : Le texte qui suit est sorti de mon imagination fantasmatique. Toute ressemblance avec des faits réels et (ou) des personnes existantes ne serait que pure coïncidence.

Chapitre 56 : Tendresse anale.

Le lendemain lorsque je me réveille, c’est pour constater que nos corps se sont séparés pendant la nuit, et si comme à mon habitude je suis toujours sur le côté, Alice s’est retrouvée sur le dos avec les bras le long du corps, et les cuisses écartées. Comme les fois précédentes, elle émet ses doux ronronnements de chatte, et je souris en me disant que même dans son sommeil, elle imite les animaux à la perfection. Lorsqu’elle ouvre les yeux, mon petit bout de femme s’étire, puis elle tourne la tête vers moi et elle me demande :

Tu me regardes depuis longtemps ?

Une dizaine de minutes.

Ah. Et on a le temps de tirer un coup, ou j’ai trop dormi ?

Non, il est encore tôt.

Alors qu’as-tu envie de me faire, avant qu’on se lève ?

Je lui fais un sourire qu’elle me rend, puis je lui réponds :

Tu sais, ce n’est pas parce que je t’ai accusée d’être autoritaire, que tu dois toujours me laisser choisir.

Elle réplique en ronchonnant :

Vous les hommes, vous êtes bien tous les mêmes, quand on vous dit blanc, vous dites noir, et quand on vous dit noir, vous dites blanc.

Sa réaction m’amuse, et je lui fais :

Je voulais juste être conciliant, mais si tu veux que ce soit moi qui devienne directif, tu n’as qu’à me le dire franchement. Sinon, le mieux serait que nous arrivions à trouver un équilibre, et que chacun de nous exprime à son tour ses envies.

On ne va pas non plus tenir un registre pour savoir qui doit décider.

Non, tu as raison, et ce n’est pas non plus la peine de faire des bavardages inutiles. Alors si à l’avenir tu as une envie, il te suffira de l’exprimer avec ton corps, et si j’ai une objection à formuler, je te le ferai savoir.

₪₪₪

Cette fois, j’ai légèrement vexé Alice en lui reprochant de trop parler, c’est pourquoi elle se lève brusquement tout en rattachant ses cheveux en queue-de-cheval. Alors que je m’attends à ce qu’elle sorte de la chambre après avoir enfilé ses mules à talons en bois, elle va se mettre à quatre pattes en face du miroir, et elle me demande sèchement :

Je m’exprime assez bien pour toi, là ?!

Amusé par sa réaction, je vais me mettre à genoux derrière elle, et je lui réponds pour la taquiner, tout en fixant son reflet dans la glace :

Tu sais que tu es encore plus belle quand tu es en colère ?

Et c’est qui en ce moment qui fait des bavardages inutiles ?!

Sur le coup, elle n’a pas tort, c’est pourquoi je prends la même position qu’elle sans répliquer, de manière à ce que ma tête soit juste en face de son beau postérieur charnu, et je pose mes coudes en appui sur le sol, pour arriver à écarter ses fesses l’une de l’autre avec mes mains, et ainsi pouvoir donner un coup de langue sur son anus fripé.

Mon petit bout de femme pousse alors un soupir de contentement, et je lui demande pour continuer à l’asticoter :

Tu te sens mieux, là ?

Elle réplique aussitôt :

Oui, lorsque tu te sers de ta langue pour me lécher et pas pour te moquer de moi, je me sens effectivement beaucoup mieux.

Amusé par sa réponse, je lui pose une autre question :

Elle s’appelait comment déjà, la petite copine de Caliméro ?

Mon amante fait alors cogner plusieurs fois un de ses genoux contre la carpette, comme une jument qui piafferait d’impatience. C’est pourquoi je décide de ne pas continuer à la chambrer davantage, et je repose ma langue sur sa rondelle au goût légèrement âcre.

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Tandis que je la lèche patiemment, sa corolle se déride peu à peu pour s’ouvrir sous ma langue gourmande. Le bout de cette dernière ne se prive d’ailleurs pas pour aller s’insinuer dans le petit trou qui s’est formé, et son anus continue à se défriper pour devenir parfaitement lisse. Le doux traitement que je suis en train d’administrer à Alice a l’air de parfaitement lui convenir, puisque sa respiration est devenue de plus en plus profonde, et elle a fini par émettre des petits geignements de plaisir.

Pour ma part, mon sexe s’est mis à gonfler pour prendre du volume, et il est à présent bien raide, même si mon gland est resté dans sa gangue protectrice.

Si je n’ai aucun doute sur le fait que j’arriverais à faire jouir mon petit bout de femme de cette manière, et le contact très tendre et chaud de son anus sur ma langue me plaît de plus en plus, cependant ce n’est pas ce que j’ai l’intention de faire. C’est pourquoi je me redresse, tout en me décalottant, je m’approche d’elle pour poser le bout de mon sexe contre sa rondelle qui reste ouverte, et après l’avoir attrapée par la taille afin d’être sûr de ne pas faire de faux mouvement, j’enfonce mon sexe dans son fondement d’un seul mouvement de reins.

J’ai fait tout cela très lentement, en fixant ma partenaire du regard à travers le reflet du miroir, et j’ai pu constater que dans yeux, il n’y a plus la moindre trace d’agacement, mais uniquement de la tendresse et du plaisir. Lorsque je me suis introduit en elle sans avoir besoin de forcer le passage, elle a poussé un gémissement, qui grâce à ma préparation a été provoqué uniquement par le plaisir qu’elle a ressenti. Car mon amante est comme ça, elle aime ma douceur tout autant que ma rudesse, ce qui me convient parfaitement, à partir du moment où notre humeur du moment est partagée.

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C’est pourquoi je commence à faire des allers et retours en Alice sans me presser, et lorsqu’elle entre elle aussi en action pour aider mon membre tendu à coulisser, elle adopte mon rythme. C’est ainsi qu’au bout d’une dizaine de minutes d’un accouplement qui n’a rien d’effréné, et pendant lequel notre plaisir est monté lentement mais sûrement pour atteindre son point culminent, mon petit bout de femme arrive à l’orgasme. Ses contractions anales provoquent mon éjaculation, et tandis qu’elle pousse un gémissement libérateur, mon sperme gicle en elle alors que je grogne sous l’effet de la jouissance.

Une fois son plaisir consommé, ma compagne me dédie l’un de ses magnifiques sourires, puis je me recule pour faire ressortir mon membre encore tendu d’elle, et pendant que je me remets debout, elle me surprend en faisant rapidement demi-tour sur elle même, et en s’approchant de moi tout en restant à quatre pattes. Lorsqu’elle est assez près, elle se met à genoux, et tout en me fixant de ses beaux yeux marron-clair, elle donne un coup de langue sur mon sexe encore raide.

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Peu de mes anciennes compagnes m’ont fait des anulingus, et il y en a même parmi elles qui ont été choquées que je leur donne ce genre de caresses. Même si Mathilde, mon ex-femme, se laissait faire avant d’être sodomisée, je n’ai jamais eu droit en retour à la même attention de sa part, bien qu’elle soit plutôt du genre dépravée. C’est pourtant quelque chose que j’ai pratiqué tout jeune avec Anaïs, le premier amour de ma vie, et c’est même elle qui a eu l’idée de tenter cette expérience, en me caressant la rondelle avec sa langue, avant même que nous ne passions à la pénétration. Bien entendu, comme cela nous a plu à tous les deux, je lui ai rendu la politesse, et nous avons recommencé très souvent.

Dans le même ordre d’idées, je n’ai jamais demandé à une femme de prendre mon sexe dans sa bouche alors que je venais tout juste de la sodomiser, et Anaïs encore elle, a été la seule de mes anciennes amantes qui a eu ce genre d’initiatives. Cela a probablement été une belle preuve d’amour de sa part, puisque le plaisir ressenti juste après que nous ayons joui était avant tout cérébral. C’était par conséquent très symbolique, comme si elle voulait remercier mon sexe de l’avoir menée à l’orgasme, et la profondeur des sentiments qu’elle me portait à cette époque m’est confirmée par le fait qu’Alice qui est de deuxième amour de ma vie, est en train d’engloutir mon sexe après l’avoir léché sur toute sa surface, tout en me regardant avec tendresse.

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Alors que son petit nez vient s’enfoncer dans les poils de mon pubis, je suis aux anges, convaincu d’avoir enfin trouvé la compagne avec laquelle je vais terminer ma vie sexuelle, alors que cette dernière a commencé avec la seule femme que j’aie vraiment aimée avant elle. Et pour essayer de lui faire comprendre ce que je ressens, je lui caresse la tête avec douceur. Je ne sais pas si mon message est passé, toujours est-il qu’après avoir régurgité mon membre tout aussi lentement qu’elle l’a avalé, mon amante se fait un devoir de le lécher à nouveau, pour y enlever toute trace de sa salive.

Ensuite, je l’aide à se relever, puis nous nous enlaçons tendrement pour nous câliner, et nous en profitons pour nous embrasser langoureusement pendant cinq bonnes minutes, avant qu’elle ne se décide à rompre notre étreinte, dans le but de se rendre dans la salle de bain et d’aller s’asseoir sur le bidet. Nous n’avons pas échangé une seule parole depuis la chamaillerie que nous avons eue au réveil, mais après l’avoir suivie, et pendant que je la regarde pousser pour éjecter ma semence qui est une intruse dans ses intestins, je lui demande :

Tu es d’accord pour qu’on passe à l’acte avec Marc et Charlène ?

₪₪₪

Alice me répond, après avoir souri :

Mais je l’ai été dès le départ, mon Amour.

Ça, je l’avais compris, mais je voulais dire aujourd’hui.

Cette fois, elle rougit légèrement avant de répliquer :

Étant donné que jusqu’à présent nous avons surtout fonctionné à l’instinct, je suis étonné que tu me poses cette question.

Disons que ce qui s’est passé hier avec Léa m’a fait réfléchir, et comme vous avez des caractères semblables, j’ai préféré en discuter avant avec toi, de manière à ce que tu me dises si tu es prête à sauter le pas.

Eh bien, après ce qui s’est passé avec Henry…

Puis elle ajoute en s’empourprant :

… et avec Dorine, je pense que nous mélanger avec un couple est la suite logique des choses.

Bien, dans ce cas, une fois que l’un d’entre nous aura raccompagné les filles, nous pourrons passer à l’acte.

Tu leur en as parlé ? Je veux dire à Charlène et Marc ?

Bien sûr que non, puisque nous venons seulement de prendre la décision de le faire. Non seulement ils vont avoir la surprise, mais en plus, j’ai prévenu Marc qu’avec sa femme, ils devront avoir un comportement on ne peut plus conventionnel tant que les jumelles seront présentes. Enfin, mis à part le fait que nous serons tous nus, bien entendu.

Mon petit bout de femme dont le magnifique visage a repris une teinte normale sourit en m’entendant préciser ce détail, et après qu’elle se soit rincé la raie avec le jet vertical du bidet, et essuyée avec un linge de toilette, je l’aide à se relever.

Ensuite, je me rends dans la cuisine tandis qu’elle va chercher le pain et les viennoiseries dans la boîte à lettres, et nous prenons notre petit-déjeuner sur la table de la terrasse, en parlant peu, étant donné que nous n’avons plus grand-chose d’intéressant à nous dire.

₪₪₪

Lorsque nous avons débarrassé les reliefs de notre repas matinal, nous retournons dans la salle de bain dans le but cette fois de nous laver dans la douche italienne, et nous accomplissons le même rituel que d’habitude. Une fois propres et séchés, je vais dans la cuisine tandis qu’Alice s’habille, et alors que je suis en train de commencer à préparer ma paëlla, elle vient me retrouver.

Mon petit bout de femme porte un petit débardeur court, que sa grosse poitrine semble vouloir déchirer pour s’en échapper, tant il est serré, et qui laisse son ventre légèrement bombé à l’air libre. Sa tenue est complétée par un short en jean qui s’arrête au ras de ses fesses, et qui est effiloché en bas parce qu’il n’a pas d’ourlet.

Ces vêtements que je vois pour la première fois me font sourire, pour la bonne raison qu’ils ne font pas partie de ceux que je lui ai commandés sur internet, et tandis qu’elle s’avance vers moi, je lui dis :

Il ne te manque plus qu’un piercing au nombril, pour être la copie conforme de ta fille.

Pas besoin de préciser de laquelle des jumelles il est question, et mon petit bout de femme me répond, amusée :

En premier, tu m’as demandé de me faire tatouer, maintenant, tu voudrais que je me fasse aussi percer, et après ce sera quoi ? De la chirurgie esthétique ?

Non, ton corps est parfait, et pour rien au monde, je voudrais que tu y changes quoi que ce soit. Enfin… mis à part le tattoo et les bijoux, bien entendu.

Parce qu’en plus tu es sérieux ?! Non, mais vraiment, tu ne crois pas que je suis un peu vieille pour ce genre de choses ?! Même si tu prétends que je suis encore jeune, je ne suis plus une gamine.

C’est dans ta tête que tu es vieille, puisque tu n’as pas encore 35 ans.

Cette remarque me donne droit à un petit coup de poing sur l’épaule, qui est surtout symbolique, puisqu’ensuite ma compagne m’enlace pour me dire au revoir, comme si son absence allait durer plus que le temps nécessaire, pour un aller-retour jusqu’à sa propre maison. Nous en profitons pour nous embrasser à pleine bouche pendant environ cinq minutes, puis Alice quitte la villa, au rythme joyeux des clacs-clacs de ses mules à talons en bois.

À suivre…

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