Je n’avais pas encore baisé avec Julie du séjour, et je comprenais maintenant que ça n’allait pas être le cas. J’avais été remplacé par bien plus puissant et endurant que moi : une grosse bite de black.
En début d’après-midi, ils étaient en train de s’amuser dans la piscine pendant que j’attendais sur la chaise longue, là où tout avait commencé. Ils se donnaient en spectacle dans l’eau, à s’attraper, se faire des petits bisous par ci par là, à se peloter sans aucune gêne mutuellement. J’étais honteux en pensant que des gens auraient pu comprendre que c’était censé être ma copine mais qu’un grand black musclé me l’avait volé sans que je ne dise rien. Soudain, Julie vint vers moi en nageant. Du bord de l’eau elle m’adressa la parole :
— Dis mon petit chéri tu pourrais nous prendre en photo ?
Alors qu’elle disait ça, Driss surgit derrière elle et l’enlaça en lui faisant un gros bisou dans le cou, ce qui amusa ma copine.
— Ouais prend nous en photo moi et ma copine, insista lourdement Driss.
Le visage fermé, je pris l’Iphone de Julie dans son sac et avança vers eux pour les prendre en photo. Ce fut un festival de pauses érotiques et suggestives qui je l’avoue commençait à me faire bander. Je devais jouer le jeu et prenait plein de photos de Driss en train d’embrasser ma copine, de Julie dans les bras de son amant, d’elle sur ses épaules…
Ils finirent par sortir de l’eau et je vis au passage une légère érection de Driss qui me fit baisser les yeux au sol : à peine en demi molle, il semblait avoir un membre énorme, bien fidèle à la réputation des black.
Driss s’allongea sur la chaise longue sur le dos pour bronzer. Julie s’allongea alors sur lui, unifiant leurs corps encore mouillés. Après un échange de salive très sensuel, Julie enleva son haut de maillot pour bronzer topless. Ses beaux petits seins qui pointaient vinrent directement se coller à la peau noire de Driss. Ils commencèrent à s’assoupir dans cette position pour profiter du soleil. Ils n’avaient absolument plus aucune gêne à s’exhiber ainsi devant moi. Je me mis sur une chaise longue à côté, sur le ventre pour cacher mon érection naissante de voir ma chéri allongée, dans son petit bikini jaune, sur un grand Black musclé avec juste un short de bain pour camoufler son gigantesque sexe qui devait à l’heure qu’il est cogner contre Julie.
Je m’assoupis à mon tour.
Plus tard dans l’après-midi, je me réveilla doucement, encore à moitié dans les vapes. Mon sang ne fit qu’un tour quand je remarqua que mon amour et son amant n’était plus à mes côtés. Je regardais aux alentours, dans la piscine… Rien. Je repris doucement ma respiration et essayait de calmer mon cur. Il n’y avait pas 36 solutions : ils devaient être remontés dans la chambre. Je me précipita dans les escaliers pour y aller.
Après tout, jusque là, Julie n’avait fait qu’embrasser et trainer avec un inconnu Black séduisant. Elle se laissait aller avec lui, même devant moi, c’est vrai. Il lui plaisait mais elle m’aimait toujours j’en étais persuadé. C’était un amour de vacances, purement fantasmatique, qui allait disparaître aussi vite qu’il était arrivé, pensais-je. Oui elle lui avait une petite pipe mais je ne pense pas qu’elle devait être allé plus loin pour le moment. Et du moment que son trésor restait inviolé, que je demeurais l’unique occupant de son sexe, ça pouvait aller. Mais là j’avais peur qu’ils aient profité de mon assoupissement pour passer à l’action.
Tandis que je m’approchais de la chambre, j’essayais de me calmer, j’allais surement les trouver en train de rigoler ensemble à regarder des photos de vacances des jours précédents sur ordi. Mais les bruyants cris que j’entendis depuis le couloir dissipèrent rapidement mes espérances…
J’entendais des bruits de gémissements très forts qui provenaient de ma chambre d’hôtel. Je n’en revenais pas. Je reconnaissais distinctement la voix de Julie mais je ne l’avais jamais entendu crier de plaisir aussi fort. La vitesse de ces gémissements indiquait la vitesse à laquelle elle devait se faire baiser et la cadence était élevée ! Je restais un moment devant la porte à écouter ça, sans réagir, vidé de toutes émotions. Un touriste passa dans le couloir et me voyant devant la porte à écouter me glissa :
— Putain qu’est ce qu’elle doit prendre ! La veinarde !
Je m’efforçais de répondre un léger sourire. Tandis qu’il s’éloignait, je repensais à ma douce et belle Julie, innocente, avec son petit sourire en coin. Comment tout cela avait-il pu arriver…
Je ne savais pas quoi faire.
Les surprendre et essayer de tout arrêter ?
Il était trop tard maintenant. Je n’avais plus aucun contrôle sur ma chérie.
Repartir pour les laisser finir tranquillement et aviser après ?
Non, autant rentrer maintenant, j’aviserais après. J’entra donc doucement dans la chambre d’hôtel pour ne pas me faire remarquer. Les bruits provenaient de la salle de bain qui était située sur la droite en entrant, après quelques mètres. Discrètement, je m’approcha pour voir ce qui pouvait causer tout ces cris aigus de plaisir à ma chéri.
Je ne fus pas déçu. Une vision à la fois d’horreur et de fantasme me faisait face : dans la salle de bain, Driss était en train de violemment baiser ma Julie par derrière. Elle était debout, penchée sur le lavabo assez large du salon, agrippée au robinet, pendant que son amant lui pilonnait la chatte en lui tenant les hanches. Elle gémissait de bonheur et de plaisir comme jamais. Je comprenais pourquoi : je voyais pour la première fois la bite noire gigantesque de Driss qui rentrait et ressortait de son minou à une vitesse fulgurante. Elle était belle, grande, grosse, dure, dressée fièrement comme une lance. La tenant fermement par les côtés, il faisait basculer son bassin d’avant en arrière pour être le plus puissant possible. Je m’aperçus alors qu’il baisait sans préservatif. La bite noire était directement en contact avec le vagin pure de ma copine, ce qui ajoutait à la tension sexuelle énorme qui régnait dans la pièce.
Je voyais à chaque fois une bonne vingtaine de centimètre ressortir du corps de ma copine alors que son gland était encore à l’intérieur, ce qui devait faire une bite d’au moins 25 centimètres au total. Bien loin de mes 15 centimètres… Elle était également bien plus large et avait fait se dilater la chatte de Julie de manière impressionnante. Elle n’avait jamais gouté à une autre bite que la mienne et ça avait du être un choc pour elle de découvrir ça. Il la visitait bien plus profondément que je n’étais jamais allé. Il lui malaxait les fesses pendant qu’il la baisait, lui donnait des petites fessées sexuelles, lui prenait les seins avec ses mains et les englobait. Tout en continuant inlassablement à la baiser. Vu leur sueur, cela devait faire un petit qu’il la prenait comme ça sauvagement contre le lavabo de la salle de bain et ne semblait absolument pas fatiguer. 15 minutes c’était mon record.
Julie, aux anges, les yeux mi-clos, se cambraient bien pour favoriser l’insertion du pénis dans sa chatte toute mouillée. Elle tenait fermement le robinet, seul objet qui l’aidait à se maintenir sous les coups de butoir de son étalon sauvage. Elle comprenait maintenant la phrase que lui avait dit Driss le premier jour : C’est bien plus fort qu’un petit soleil de France ridicule. Elle comprenait la supériorité Black sur les blancs, et particulièrement sur moi. En deux ans d’acte sexuel avec moi elle n’avait jamais ressenti un tel plaisir. Aujourd’hui, avec Driss, elle avait déjà eu un orgasme et atteignait son deuxième, alors qu’un était le max qu’elle pouvait avoir avec moi par relation, et c’était encore c’était assez rare. Elle passa sa jambe gauche le long de l’évier pour écarter ses jambes, ce qui excita encore plus Driss qui y alla encore plus fort. Julie cria de plus belle, cris qui se mélangeaient aux puissants coups de bassin qui allait frapper les fesses de Julie. Ses grosses couilles claquaient à chaque coup contre ma chérie.
Je voyais tout ça depuis l’extérieur, à travers l’embrasure de la porte ouverte de la salle de bains. Ma main gauche avait glissé toute seule vers ma bite qui s’était mis immédiatement en érection. Je ne pouvais décemment pas les interrompre et la situation m’excitait trop pour repartir ou faire autre chose que les regarder et me branler. Le problème était que j’essayais de suivre la cadence de Driss en me masturbant mais j’étais rapidement obligé d’arrêter car l’envie d’éjaculer était trop forte. Cela faisait à peine 3 minutes que je les matais que j’éjacula dans mon pantalon comme un éjaculateur précoce. Je me sentais honteux et impuissant quand ma bite redevint si petite peu de temps après alors que celle de Driss était toujours aussi grosse et bien dressée, affairée à baiser ma copine. Je comprenais maintenant quand il me disait que Julie méritait mieux. Tout était clair. Cette queue magnifique était destinée à baiser une femme aussi parfaite que ma copine. J’étais obligé de m’incliner et de laisser la nature faire. Il pouvait la combler, moi pas.
Driss mit une de ses mains sur la nuque à Julie et appuya pour bien la faire s’appuyer contre le lavabo. Sa chatte était grande ouverte à son amant black. Driss s’enfonça à fond, tout au bout. Toute sa bite disparu dans le corps de ma copine. Elle avait 25 centimètres de chaire noire dans la chatte et semblait très bien le vivre. Elle se mordait la lèvre inférieure de bonheur. Driss resta un petit moment comme ça à faire des mouvements circulaires avec son bassin. Puis il ressortit complètement, ce qui me fait découvrir sa bite en entier pour la première fois. Je vis son énorme gland plein de mouille qui était en explorateur dans le minou de mon amour. Il était allé à un endroit où personne n’était jamais encore allé. Driss restait en position mais ne remettait pas sa bite là où elle devait aller. Quelques secondes sans la bite de black dans sa chatte et Julie était déjà en manque. Elle tortillait du cul pour supplier son nouveau chéri d’y revenir, de continuer de la baiser violemment. Elle voulait continuer de gémir sous ses coups puissants de bite.
— Tu kif ça hein ? Une grosse bite de black.
Julie acquiesça de la tête en allant chercher dans son dos la bite avec sa main pour la toucher, la branler doucement. Elle l’aimait cette bite, elle l’adorait même.
— T’avais jamais connu ça hein ? Un tel plaisir.
— J’ai jamais été baisé comme ça. Je savais pas que c’était possible. C’est.. Magnifique.
C’était le terme. La voir se faire prendre comme ça par un grand black, c’était MAGNIFIQUE. Je prenais aussi mon pied à mater ça sans qu’ils le sachent. Julie essayait de faire rentrer la bite dans sa chatte avec sa main mais Driss ne la laissait pas faire. Il voulait jouer avec son envie terrible de se faire prendre tout de suite.
— T’en veux encore hein ? T’es déjà en manque ?
— Baise moi s’il te plait. Baise moi sauvagement mon amour.
Ces derniers mots m’avaient mal au cur je dois l’avouer. Il y avait une telle sincérité dans sa voix…
Devant de telles suppliques, Driss ricana doucement. Il avait totalement réussi son coup : il baisait Julie et l’avait rendu folle de sa queue. Il apposa son énorme gland contre l’ouverture de Julie. On dirait que les deux sexes étaient conçu l’un pour l’autre tellement ils allaient bien ensemble. Il fit disparaître doucement son gland dans le vagin de ma copine, ce qui eut pour effet de lui faire ouvrir la bouche et fermer les yeux de bonheur. Elle était comblée. Sa chère bite noire était de retour en elle. Driss lui prit les cheveux et tira dessus pour lui faire remonter la tête et la cambrer encore plus. Il la traitait comme sa pute et elle aimait ça. En lui tenant sa cuisse posée sur le lavabo avec l’autre main, Driss repartit sur un rythme effréné. Sa bite défonçait la chatte de mon amour, qui criait au milieu de ses gémissements :
— BAISE MOI ! BAISEEE MOI!!ENCORE!!PLUS FORT!!OUIII !!!
Au bout d’une nouvelle dizaine de minutes, Driss accéléra encore le mouvement, sentant le moment venir. Il prit Julie par les seins qui se laissait totalement faire. Après ce qu’il lui avait offert comme jouissance, Driss méritait son orgasme à son tour. Il leva les yeux au plafond, ouvrit la bouche et lâcha quelques râles alors qu’il se vidait au fond de la chatte de ma copine. De puissants et chaud jets de sperme vinrent décorer le vagin de Julie qui appréciait de se sentir rempli de sperme de black. Driss continua doucement à faire quelques petits allers retours puis se stoppa.
Les deux amants, essoufflés, s’arrêtèrent de bouger. Avec toujours une bite dans le vagin, Julie se releva et pencha sa tête en arrière pour la poser sur le torse musclé et en sueur de Driss. Ils se regardèrent avec tendresse. Leurs bouches s’unirent dans un nouveau baiser enflammé.