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Une généreuse maman – Chapitre 9




Jai eu mon bac du premier coup avec mention assez bien -, ce qui prouve que le chantage affectif fonctionne, surtout quand le maitre chanteur paye de sa personne en nature.

Mon père sétant absenté pour des raisons professionnelles, nous étions seuls à la maison ; avec maman, nous en avons profité pour passer du bon temps

Le jour des résultats, ma mère a insisté pour maccompagner au lycée. Elle ma sauté au cou en découvrant mon nom sur le tableau daffichage. Son enthousiasme était communicatif, et comme les autres élèves nous souriaient avec une indulgence de circonstance, je lai enlacée à mon tour.

Nous avons entamé un petit pas de deux, soudés lun à lautre, mais elle sest tout de suite écartée quand elle a senti que je bandais. Elle a froncé les sourcils, ma regardé en face, des reproches plein les yeux, et elle ma murmuré à loreille, en faisant attention à ce que personne nentende :

— Bon-sang, Victor, mais quest-ce qui te prend ? Tu es vraiment obsédé mon garçon ! Arrête de te frotter, lâche-moi

Je nai pas supporté quelle me rabroue comme si jétais un enfant mal élevé, alors que nous venions dentamer léquivalent dune parade amoureuse quelle avait elle-même initiée.

Elle retombait sur ses pieds, retrouvait ses reflexes conditionnés chaque fois quelle se sentait en danger.

Jen avais assez quelle se comporte comme une vraie maman à la demande, selon les circonstances, alors que je la baisais le reste du temps.

Elle a dû réaliser que son attitude mavait contrarié, alors elle na pas insisté et nous sommes rentrés dans la foulée.

Plus tard, elle ma prévenu quelle sortait faire quelques courses ; je ne devais surtout pas mabsenter pour la soirée. Elle serait de retour à lheure de lapéro, et javais tout intérêt à lattendre ; elle me réservait une surprise.

Quand elle est revenue, avec tout un tas de paquets dans les bras, elle ma fait pensé à Julia Roberts dans « Pretty Woman » après sa séance de shopping ; il ne lui manquait que le chapeau et les gants pour que lillusion soit parfaite.

Elle est montée prendre une douche et je suis resté sur la terrasse à cogiter. Longtemps après, le soleil commençait à décliner quand je lai entendue qui mappelait ; je suis entré la rejoindre.

Elle était assise en équilibre sur la table du salon, perchée sur une fesse, avec sa jambe qui battait la mesure dans le vide.

— Coucou mon chéri ! Je suis désolée pour tout à lheure, tu mas fait un peu peur mais je suis si fière de toi que je tenais à me rattraper, à te récompenser pour ta brillante réussite

Je suis resté figé sur place, pétrifié quand je lai vue.

— Ta maman te plait dans cette tenue ? Est-ce que tu me trouves à ton gout ? Cest moi ton cadeau !

Je devais ressembler à un de ces personnages de dessins animés, ceux qui ont la mâchoire qui se décroche et la langue qui colle au plancher.

Elle était éclairée par les derniers rayons de soleil qui inondaient la pièce de lueurs fauves. Elle avait tout dune apparition sous cette douce lumière dorée.

Au delà de la stupéfaction de la découvrir ainsi (dés)habillée telle une créature de défilé sur papier glacé -, cest ce quelle avait fait à son visage qui me fascinait tout particulièrement.

Maman nétait pas de nature une femme sophistiquée. Elle était belle naturellement, mais elle savait aussi se mettre encore plus en valeur en usant de tous les artifices qui transforment une beauté naturelle en fantasme vivant.

Jétais ébloui par sa transformation.

Elle avait coiffé ses cheveux en arrière, rassemblés dans un chignon compact ; son visage, entièrement dégagé, offrait ainsi un aspect dune perfection presque impudique.

Elle avait maquillé ses yeux, enduit sa grande bouche dun rouge à lèvres carmin, aux reflets brillants, qui accentuait le relief de ses lèvres ourlées.

Vulgairement, on dit du résultat quil offre à lintéressée une bouche à pipe particulièrement suggestive.

La lingerie fine dont elle sétait parée cétait donc ça que contenait les paquets ! épousait le volume de ses formes, les accentuait.

Elle est venue vers moi en se trémoussant, juchée sur des talons aiguilles démesurés qui la faisaient paraître immense, alors quelle est déjà grande à lorigine.

Elle se déplaçait en ondulant, singeant les mannequins qui se trémoussent sur les podiums. Elle avançait, reculait, se retournait pour me montrer son cul que jadorais ; ses courbes affolantes, le spectacle de son corps était une invitation au sexe dans ce quil a de plus primitivement animal et sauvage, alors quelle avait paradoxalement revêtu les attributs de la séduction.

Cétait émouvant, bouleversant même de voir une femme de presque quarante ans se comporter comme une jeune femme sans paraître ridicule, et tout ça pour moi.

Son corps de femme mature la rendait au contraire encore plus désirable à mes yeux, plus femelle que jamais.

Elle a fait mine denlever sa culotte – ultime rempart davant, bouquet final de son exhibition – mais je lai suppliée darrêter.

Vu la situation, il mincombait de la lui ôter, puisquil était évident quelle avait décidé de men offrir le contenu.

Je me suis précipité, me suis agenouillé à ses pieds, et jai rabattu sa culotte sur ses cuisses dun geste vif.

A genoux, les yeux à hauteur du sexe de ma mère, jai découvert, avec stupéfaction, quelle sétait rasée la chatte.

Intégralement.

Elle navait plus aucun poils ; toute sa géographie, distincte, mapparaissait dans sa plus élémentaire crudité de femme qui soffre.

Cétait donc ça son fameux cadeau ?

Jétais bouleversé. Je navais jamais soupçonné quelle soit capable de sacrifier sa pilosité pour moi.

Ça voulait dire quelle maimait elle aussi, et pas seulement comme une mère dépassée par les évènements, mais comme une femme qui en redemande.

Nous nétions pas un couple adultère comme les autres, mais nous étions un couple quelque part !

Je ne savais plus quoi penser, ni par où commencer, jétais dépassé.

Elle est venue à mon secours, a pris ma main, ma entrainé à létage, dans sa chambre

Je me suis déshabillé, me suis allongé sur son lit les cuisses écartées.

Elle est venue sur moi, tête bêche, et nous avons commencé à nous sucer.

Je la tenais fermement par les fesses, lattirais sur moi pour lui dévorer le sexe pendant quelle me pompait la queue en cadence.

Nous nous sommes dévorés pendant longtemps, nous repaissant lun de lautre.

Le bruit de succion que produisaient nos bouches en pleine action était si obscène que jai pensé que maman allait devenir folle si je ny mettais pas un terme rapidement.

Jai joui le premier. Jai éjaculé dans sa bouche et elle a tout avalé.

Jai continué à la téter jusquà ce quelle jouisse à son tour.

Nous sommes restés longtemps dans la même position, sans bouger ni même nous parler, et je me suis endormi le visage enfoui haut entre les cuisses de maman, dans sa chaleur et son odeur, en tétant sa chatte comme mon doudou originel

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