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J'ai couché avec mon patron – Chapitre 3




Je reprends la suite du récit dArthur qui relate ma première expérience dans ce que jappellerai un gloryhole privé. Je ne connaissais pas le terme, ce sont Georges et Arthur qui mont appris cela. Je dois avouer que lexpérience mavais terriblement excitée. Moi qui aime tant sucer et recevoir le jus des mâles, javais été gâtée lors de cette débauche. Jaurais juste aimé quArthur et Georges participent ou tout du moins soient présents pour me regarder : leurs regards mexcitent au plus haut point. Ce doit être un côté exhibitionniste que je mignorais.

Sur la route du retour, jinterrogeai Georges et Arthur :

— Cétait qui ces hommes ?

— De qui parles-tu ? répondit Georges ?

— Je te parle des 6 hommes que jai sucés.

— Des garçons de lentreprise répondit-il.

— Quoi ? Mais tes vraiment un sale con Georges ! Comment peux-tu me faire une chose pareille ? Javais confiance en toi ! Et toi, ne me dis pas que tétais au courant pour ces types quand même ? cria-t-elle.

— Calme toi sil-te-plaît me répondit Arthur. Dabord, ils ne savent pas que cétait toi. Ensuite il me semble que tu as pris du plaisir non, tu las dit toi-même.

— Je veux bien être votre salope mais je veux que ça reste dans le cercle privé bordel !

— Laeti, dit Georges. Ils ne tont pas vue et ne savent pas que cest toi. Limportant est que tu aies pris du plaisir. Tu peux être fière davoir passé ce premier test haut la main !

— Oui ben maintenant, je vais passer pour qui au travail ?

— Mais bon sang ! Ecoute ce quon te dit : ils ne savent pas que cest toi insista Arthur.

— Et comment ils sont arrivés là ? Cest bien que Georges leur a dit non ?

— Mais non Laeti, reprit Georges posément. Je vais texpliquer. Je leur ai envoyé un e-mail qui disait simplement que ce samedi à 16h, ils pouvaient se rendre à ladresse indiquée sur le mail et quils auraient une surprise qui leur était réservée par moi. Quils devaient sy rendre seuls et quil ny avait aucune obligation. Je connais plutôt bien mes collaborateurs, jai donc choisi ceux dont jétais quasi certain de la réaction. Je me suis trompé sur le 7ème : il nest pas venu. Et la surprise cétait toi Laeti. Mais tu ne les as pas vus et ils ne tont pas vue non plus. En plus tu les croises pas souvent au travail, étant donné quils sont souvent en déplacement. Enfin pour quatre dentre eux !

Je me calmai. Cest vrai que javais pris un plaisir fou. Et rassurée par les explications de Georges je repris :

— Alors ?

— Alors quoi me répondit Arthur ?

— Je vous ai demandé qui cétait ?

— Ecoute Laeti, il y avait Christian,

— Christian Lamy le comptable ?

— Oui

— Heureusement que jignorais que cétait lui ? Sinon je ne laurais jamais sucé ce pervers. Chaque fois quil me voit, il narrête pas de me mater.

— Oui reprit Georges. Mais il ne sait pas que cest toi je te jure !

— En plus il a vraiment une petite bite et une toute petite éjaculation ! Heureusement quil ny avait pas que lui !

— Bon ça va mieux à ce que je vois me dit Arthur en me caressant la joue.

— Et qui dautres Georges ?

— Après le second que tu as sucé cétait Fabrice.

— Fabrice ? On a un Fabrice dans la boîte ?

— Oui Laeti sourit Georges. Cest un des installateurs en événementiel. Tas du le croiser déjà chez nos Clients ou sur les salons. Blond aux yeux bleus.

— Ah oui je vois. Plutôt mignon. Il a lair timide. En tout cas il une queue moyenne mais elle est très belle !

— Oh ma salope ! me lança Arthur en me caressant les cheveux.

— Le troisième cest Jean-Marc reprit Georges

— Jean-Marc Bruni, le directeur technique ? linterrompai-je

— Oui. Et visiblement ta petite chatte a apprécié sa queue !

— Oh oui ! Il ma faite jouir. Euh mais comment sais-tu que je me suis faite jouir sur sa queue ? Vous me matiez ou quoi ?

— Oui on était dans une salle à côté. Dans celle où tu te trouvais, il y a avait des caméras.

— Tes vraiment un pervers Georges ! Et toi tu as regardé aussi lançai-je à Arthur.

— Bien sûr que oui. Quel spectacle ! On sest régalé à te voir sucer ces queues petite salope !

— Vous êtes vraiment deux beaux salauds ! Mais je vous adore ! Excuse-moi Georges de mêtre emportée tout à lheure.

— Pas de souci ma salope ! Tant que tu ne me parles pas comme ça au travail !

— Bon et les autres alors ? Jétais curieuse et excitée.

— Le quatrième cétait Jerome. Ladjoint de Jean-Marc.

— Ah ! fis-je. Celui-là je me souviens quil a une bite sublime. En plus, il est super mignon.

— Le cinquième cétait Greg et le dernier Karim.

— Ah je vois qui ils sont : ce sont des techniciens. Ils font équipe ces deux-là non ? demandai-je

— Oui ils travaillent en binôme me répondit Georges.

— Ils ont de ces queues ! Surtout Karim ! Wouuuuuu ! Quest-ce quil ma mis ce salaud !

— Ecoute Laeti, reprit Georges. On en a discuté avec Arthur et cest toi qui décides. Mais je peux organiser quelque chose chez Patrick avec les mecs que tu auras choisis.

— Mmmmm pourquoi pas !

Nous arrivions chez Georges. Nous prîmes congés et récupérâmes notre véhicule. Jétais pressée de rentrer me reposer et me retrouver seule avec mon homme : javais envie dun gros câlin et surtout je commençais à être en manque de sa queue et de son sperme. Dès que nous fûmes arrivés, je me jetai sur lui. Mais Arthur avait une autre idée en tête.

— Jai une surprise pour nous deux. Tu veux voir ?

— Oui fis-je toute excitée.

Il se dirigea vers le coin téléviseur et inséra un dvd dans le lecteur. Il me prit par la main, minvitant à les uivre sur le canapé. Jétais ébahie par ce que je vis : non contents de me mater, ces salauds avaient aussi enregistré ma débauche ! Jétais tellement excitée de me voir aussi salope que je me suis jetée sur la queue de mon homme : dos à lui, tous deux face à lécran, je me suis laissée descendre sur ce gourdin damour.

— Oh mon salaud ! Tu es si dure ! ça texcite donc tant que ça de voir ta salope sucer toutes ces queues ?

— Ouiiiiii ma salope damour ! Oh que tu mouilles ! ça texcite aussi salope !

— Ouiiiiii jadore ! Allez baise-moi à fond ! défonce-moi la chatte, jen peux plus !

Je me mis à quatre pattes comme souhaitait Arthur. Il tira sur mes cheveux en me prenant en levrette.

— Regarde-toi sale pute pendant que je te défonce ton cul de salope !

Lexcitation de me voir aussi dépravée dans cette pièce conjuguée à la bestiale pénétration de mon homme eurent raison de mon corps et je jouis encore terriblement fort. Arthur se retira, me maintenant toujours par les cheveux, il mobligea toujours à garder les yeux en direction de lécran où je me voyais sucer Karim et je revivais la même chose quà lécran avec mon Arthur qui menvoya huit ou neuf giclées de sa semence sur tout le visage. Le salaud ! Il était terriblement excité et a joui comme rarement. Il ramena son épaisse semence à laide de sa queue vers ma bouche en maintenant ma tête légèrement en arrière. Javalai avec délectation son sperme dont la saveur et la texture étaient et de loin celles que je préférais.

¤ ¤ ¤

Après un dimanche de repos et de balade avec Arthur, reprise du travail le lundi. En arrivant vers mon bureau, je salue quelques collègues dans le hall près de la machine à café et croise Georges dans le couloir

— Bonjour Laeti. Tu as passé un bon dimanche ?

— Bonjour Georges. Oui très bien. Et vous ? (je faisais attention à toujours le vouvoyer au travail).

— Oh ! Excellent. Tu passeras me voir dans la matinée sil te plaît ?

— Oui. Dans dix minutes, ce sera bon ?

— OK. A tout à lheure.

Je me dirigeai vers mon bureau en me disant que ce coquin ne perdait pas de temps. Mais javais la réunion de cet après-midi à préparer, aussi jirai dans son bureau le soulager rapidement, pensai-je.

Après avoir allumé mon ordinateur et pris mon café, jallais saluer Valérie, lassistante de Georges.

Cétait une très belle femme de 43 ans, de ma taille mais style BCBG. Elle était divorcée dun banquier et mère de 2 beaux garçons de 20 ans et 18 ans très bien élevés. Il y a 3 ans, Georges lavait recrutée après mavoir consultée. De prime abord, elle mavait paru très coincée et assez hautaine. Mais lors de notre premier entretien, je découvris une femme ayant de lhumour et faisant preuve dune réelle volonté derrière une apparence austère. Je lavais formée à mon poste pendant un trimestre et nous nous étions rapprochées suite à son divorce davec son mari, directeur de banque. Elle était titulaire dun BTS secrétariat mais navait quasiment aucune expérience professionnelle. Ayant été mère très jeune et son mari ayant des revenus très confortables, elle avait passé presque la moitié de sa vie à soccuper de sa famille. Javais à lépoque défendu sa candidature auprès de Georges car javais trouvé remarquable quune femme fraîchement divorcée, mère de deux enfants et nayant presque jamais travaillé devait avoir beaucoup de volonté pour postuler à ce poste. Georges lavait embauchée pour me remplacer suite à ma demande de lépoque : je souhaitais évoluer vers un poste de commerciale. Georges, malgré ma crainte dessuyer son refus, avait accepté, trouvant lidée intéressante pour moi et lentreprise et voyant là loccasion de me donner la « possibilité dexprimer mes talents ». Je métais énormément investie dans mon travail et avec quelques formations de technique de vente et de négociation, javais obtenu des résultats plus que probants au bout dà peine un an. Georges était non seulement fier de ma réussite, mais aussi de son choix. Comme il aimait parfois à le dire, « le travail dun patron, cest surtout de savoir sentourer des bonnes personnes ». Désormais, jétais appelée à succéder dans moins dun an à Jacques, directeur commercial et actionnaire dans lentreprise, qui devait partir à la retraite.

— Bonjour Valérie. Comment ça va ? Je lui fis la bise. Passé un bon week-end ?

— Bonjour chère Laeti. Fort bien je te remercie. Oui week-end sans les enfants. Ils étaient chez leur père. Je me suis donc octroyé un week-end chez un délicieux couple damis !

— Ah ah ! Délicieux comment ? (jaimais taquiner la bourgeoise coincée)

— Délicieux exactement comme tu limagines chère Laeti !

— Oh ! ça cest envoyé ! Georges voulait me voir. Il est à son bureau ?

— Oui chère enfant (elle aimait me taquiner en mappelant ainsi). Il tattend.

Je lui fis un clin dil complice et entrait dans le bureau de Georges sans frapper. Jétais la seule autorisée par Valérie et Georges à entrer sans frapper. Georges avait accepté par son silence cette effronterie de ma part depuis que nous avions couché ensemble. Je lui avais dit alors quaprès avoir reçu sa semence dans ma chatte et dans ma bouche, javais gagné le droit à un privilège au travail. Valérie quant à elle acceptait presque tout de moi car elle madorait !

— Monsieur le patron a demandé mes services ! Malheureusement Monsieur, jai la réunion de cet après-midi à préparer, aussi jespère que Monsieur ne verra pas dinconvénient à ce que je fasse cela rapidement sous le bureau !

— Arrête de mexciter comme ça petite salope damour ! Je voulais te voir pour te dire deux choses.

— Monsieur ne désire-t-il pas une petite gâterie dabord ? Monsieur a-t-il été trop sollicité dimanche ?

Georges se leva pour ferme la porte et sassit sur une des chaises de sa table de réunion.

— Arthur ne ta pas donné ta dose du lundi matin petite salope !

— Oh si ! Je ne pouvais pas partir le ventre vide !

— Apparemment tu nen as pas eu assez ! siffla Georges

— Tu sais bien que je nen ai jamais assez ! répondis-je dun ton très provocateur.

— Alors viens ici petite salope et pompe moi vite fait ! On a du travail.

Je me mis à louvrage sans me faire prier. Jaimais ce rituel du lundi avec Georges ! Jaimais ce sentiment dêtre une pompe à bite pour mon patron. Georges sortit son iphone pour me filmer pendant que je mappliquais à le sucer profondément, jouant de ma langue et de mes lèvres. Jaimais sa queue, bien raide, dune dimension fort appréciable. Ce que jaimais par-dessus tout, cétait sa jouissance : je connaissais la saveur de la récompense quil nallait pas tarder à me donner.

— Arrrrrh bonté divine ! Tu es vraiment la reine de la fellation Laeti ! Arrrrrh Fais un coucou à Arthur !

— Mpfffff ! Chalut mon amour ! Un petit cadeau pour toi : regarde ta chalope comme elle va être récompenchée !

Jeus à peine le temps de finir ma phrase que Georges gicla dans ma bouche en 7 ou 8 jets épais et crémeux. Je dus rattraper de mes doigts le surplus qui débordait de ma bouche. Jouvris la bouche devant le téléphone de Georges qui continuait à filmer et avalai dune traite sa liqueur.

— Mmmmm merci Georges. Tu es un amour dis-je. Et madressant à son iphone : bonne journée mon amour. Je taime.

Georges cessa son enregistrement et transféra le film à Arthur.

— Merci Laeti. Tu suces tellement bien. Cétait merveilleux. Veux-tu un rafraîchissement ?

— Merci Georges mais je viens den avoir un excellent ! Et je lembrassai à pleine bouche pour len convaincre.

Je finis de le nettoyer avec ma langue et fermai la braguette de son pantalon.

— Alors tu voulais me parler de quoi Georges ?

— Deux choses à voir avec toi. Dabord la réunion de cet après-midi. Elle concernera principalement le salon VISCOM qui a lieu dans deux mois.

Cétait chaque année en France le plus grand de la communication dentreprise.

— Ah oui, ça va venir vite. Tu fais comme lannée dernière ?

— Non, cette année Jacques nira pas. Je leur annoncerai que ce sera toi qui iras et tu choisiras ton équipe technique et les commerciaux qui taccompagneront. Je leur annoncerai cela cet après-midi.

— Merci Georges. Cest une grande responsabilité et je te remercie de ta confiance. Mais pour sa dernière année chez nous, tu aurais pu laisser Jacques sen occuper.

— Ne tinquiète pas. Jen ai discuté avec lui et il est très heureux que tu y ailles à sa place. A vrai dire, il est un peu fatigué de tous ces salons et colloques !

— Bon bah daccord. Je suis super contente !

— A la réunion, je dirai à toute léquipe que cest toi qui pilotera ce salon. OK ?

— Daccord. Mais toi, tu ny vas pas cette année ?

— Non je ne peux pas jai des rendez-vous de longues dates et très importantes à cette période mais on sappellera.

Jétais un peu inquiète et déçue. Inquiète car la présence de Georges maurait rassurée. Déçue car 4 jours et 3 nuits seule à Paris sans mon amant et mon mec, quelle horreur !

— La seconde chose ?

— Pardon Laeti ?

— Oui, tu voulais me dire deux choses ? Cest quoi le deuxième sujet dont tu voulais me parler ?

— Ah oui ! Jai rencontré lors dun petit déjeuner organisé par la CCI la directrice dune école en communication et publicité. Elle ma sollicité pour être entreprise partenaire dans le cadre des formations en alternances de leurs étudiants. Jai accepté, dabord parce que son mari nest autre que Philippe Coste, le patron dAMEDIA et puis il faut prévoir daccompagner notre développement en intégrant de nouvelles personnes. La formule en alternance ma paru être une bonne solution.

— Tout à fait daccord avec toi Georges. Et en quoi cela me concerne-t-il directement ?

— Jai reçu de Madame Coste des candidatures. Jen ai retenu trois. Jaimerais que tu mènes les entretiens avec ces trois candidats afin den sélectionner un. Ils préparent un master en communication. Je souhaite que ce soit toi qui choisisses car tu seras le tuteur du futur apprenti.

— Georges ! Jai suffisamment de travail comme cela. Je naurai jamais le temps de moccuper dun étudiant en plus de mon travail !

— Je sais bien mais réfléchis un instant tu veux ? On en a déjà discuté et cest vrai quon nen a jamais reparlé mais cet après-midi, jannoncerai officiellement que cest toi qui remplaceras Jacques après son départ à la retraite. Tu passeras directrice commerciale, tu auras une augmentation substantielle en rapport avec ton nouveau poste et tu formeras cette personne qui te remplaceras si elle fait laffaire et si elle est intéressée bien entendu. Mais nous nen sommes pas encore là. Nous avons déjà tout validé hier chez moi avec Jacques concernant ton évolution. Nous avons déjeuné ensemble.

— Merci pour tout Georges, mais ça ne solutionne pas mon problème de disponibilité pour lapprenti.

— Jen ai aussi discuté avec Valérie. Elle accepte de passer à 40 heures semaine et elle prendra le relais sur nombre de tes tâches administratives. Il faut aussi que tu te libères du temps pour travailler davantage en binôme avec Jacques.

— Bon bah on va essayer. Tu veux que je les convoque quand les candidats ?

— Semaine prochaine car lapprenti démarrera le mois prochain. Je te transfère leur lettre de motivation et leur CV par mail.

— Ce sera tout Georges ?

— Oui merci.

Je pris congé. Jétais à la fois enchantée des perspectives professionnelles futures et contrariée que Georges mimpose un apprenti dont je navais que faire compte tenu de mon emploi du temps déjà très chargé.

Je retournai à mon bureau afin de préparer la réunion de laprès-midi. Je reçus comme convenu les candidatures par mail. Je décidai den prendre connaissance tranquillement le soir chez moi.

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