Chapitre 3 : Appelles moi Monsieur !
Jétais la plupart du temps seule dans lappartement et Julien ayant des horaires très réguliers, javais pris lhabitude de rester nue en sortant de la douche ou pour effectuer certaines taches ménagères (pour faire un petit pied de nez à ma pudeur), sachant que personne ne risquait de me surprendre.
Le jeudi suivant le repas avec Laurent, après le départ de Julien pour son travail, jai mis de la musique et me suis mise à laise pour faire un peu de ménage. Tandis que je me penchais en avant pour ramasser avec la pelle les poussières que je venais de balayer dans la cuisine, jai entendu une voix grave couvrant la musique dire : « Quel beau spectacle !» Je me suis figée plusieurs secondes, les fesses dirigées vers cette voix puis jai lâché pelle et balais pour me retourner en couvrant mon pubis et mes seins de mes mains.
Il était là, son petit sourire ironique aux lèvres, me regardant de son regard bleu lumineux et je suis devenue rouge de la tête aux pieds. Au bout dun moment qui ma paru interminable, jai bafouillé : « Comment êtes vous entré ? »
Il ma répondu : « Cest mon appartement, jai une clé. Enlève tes mains ! Jai envie de voir devant maintenant que jai vu ton derrière» « Je Je dois aller mhabiller » « Arrête de jouer les oies blanches, jai bien vu samedi que ça texcitait dêtre à poil sous ta robe alors enlève tes mains que je puisse me rincer lil »
Je suis devenue encore plus rouge mais nai pas bougé. Il sest approché de moi et ma attrapé les poignets pour poser mes mains sur ma nuque sous ma queue de cheval, a écarté mes pied denviron 50 cm et sest reculé de 3 pas pour me mater. Malgré moi, jai senti une chaleur commencer à envahir mon entre-jambe, mes tétons et mon clitoris gonfler et durcir. Il a souri et a dit : « Jai vu au premier regard que tu es une petite chienne en chaleur, viens jusquà moi» Je me suis approchée de lui lentement, les yeux baissés et les mains toujours sur la nuque. Il ma attrapée par ma queue de cheval, ma penchée en avant sur la table de la cuisine et ma dit : « Poses tes coudes sur la table et ne bouges plus !» Jai obéi et il a quitté la cuisine pour revenir quelques instants plus tard. Il ma soulevé un pied pour y glisser une chaussure à talon qui ma paru super haute et a recommencé avec lautre pied. Il a ensuite attrapé ma queue de cheval et a déplacé lélastique pour coiffer mes cheveux en palmier et a dit : « Bien maintenant on va passer aux choses sérieuses »
Il a commencé à me caresser ma vulve et je me suis mise à mouiller. Content de lui, il a dit : « A partir de maintenant, quand on sera seuls, à chaque fois que je te demanderai de faire quelque chose tu répondras : oui Monsieur, cest compris ? » « Oui » Il sest arrêté de me caresser et ma mis une claque sur les fesses « Ouille » « Oui qui ? » « Oui Monsieur » Et il a recommencé à me caresser la chatte. « Et quand je te demanderai si tu aimes ce que je te fais tu répondra oui même si ce nest pas le cas compris ? » « Oui (claque sur les fesses) ouille, oui Monsieur » Je lai entendu défaire la ceinture de son pantalon alors quil avait recommencé à me caresser puis il a posé une main sur ma hanche tandis que de lautre main il a positionné son gland entre mes grandes lèvres pour me prendre ensuite par mon autre hanche. Et me tenant fermement il a enfoncé son membre dun coup dans mon vagin jusquà la garde. Jai poussé un cri de douleur car bien que mouillée par lexcitation, la brutalité du geste plus le fait quil était mieux monté que Julien mon donné limpression dêtre transpercée. « Tu aimes ? » « » Il ma lâché une hanche pour me pincer un téton « Ouille oui monsieur » et il a commencé à faire lentement des vas et viens dans ma chatte trop étroite pour son sexe épais. Je poussais un petit gémissement de douleur à chaque fois quil enfonçait sa bite dans mon intimité mais mon vagin na pas tardé à se dilater et mes gémissements se sont transformés en gémissements de plaisir. Lui, sentant son sexe circuler plus librement à accéléré la cadence progressivement jusquà me pilonner la chate et je me suis mise à gémir au même rythme. Sous ses coups de boutoirs, mes seins libres se balançaient et mes cheveux attachés au sommet de mon crâne suivaient le mouvement. Cest en pensant que jétais en train de me faire prendre comme une grosse cochonne que jai senti une grande chaleur diffuse de plus en plus intense se propager dans mes entrailles et que jai eu le premier orgasme de ma vie. Lui, bien que sentant mon vagin en feu avoir des spasmes a continué son pilonnage en me demandant « Tu aimes ça petite pute ? » « ouiiii » « oui qui ? » « ouiiiii Monsieur » Sous ses vas et viens incessants jai eu un deuxième orgasme tandis quil a poussé un râle et que jai senti de longs jets brulants se répandre dans ma chate en feu. Nous sommes restés immobiles quelques instants puis, mattrapant par mes cheveux en palmier, il ma redressée toute flageolante et ma dit : « Tu vas te mettre accroupie et me nettoyer la queue avec ta bouche. Compris ? » Comme je ne réagissais pas assez vite il ma pincé un téton et a répété : « Compris ?» « Oui Monsieur » Je me suis mise maladroitement accroupie perchée sur mes hauts talons et jai commencé à lécher sa bite ramollie couverte de mouille et de sperme. « Tu aimes me nettoyer ? » « Oui Monsieur » « Bien, tu vas menlever mes chaussure et mon pantalon puis tu me les amèneras au salon avec une bière bien fraiche » Comme je commençais à délacer une chaussure sans rien dire, il ma attrapée par les cheveux « aille » et a dit : « Tu nas rien oublié ? » « Oui Monsieur ». Quand jai eu fini, il a quitté la pièce sans un mot et je me suis redressée en tenant ses affaires. Jen ai profité pour regarder les chaussures quil mavait mises aux pieds. Cétait des escarpins rouges à talons aiguilles dau moins 10 cm (je les ai mesurés par la suite pour savoir quils en faisaient 13) et je nai pu mempêcher de penser quil me faudrait du temps pour mhabituer à marcher avec, vu que les talons les plus hauts que javais mis jusquà présent ne dépassaient pas les 7 cm et quen plus ils étaient larges. Javais les jambes encore cotonneuses et je me suis déplacée maladroitement jusquau réfrigérateur pour y prendre une bière que jai versée dans un verre à pied. Jen ai profité pour me nettoyer rapidement la vulve dégoulinante de mouille et de sperme avec du papier essuie-tout puis me suis dirigée avec précaution vers le salon.
Il était assis dans un fauteuil la queue à lair et en me voyant arriver, nue, perché sur mes échasses, son pantalon sur lavant bras, ses chaussures à la main et tenant sa bière de lautre main, il a eu un sourire de satisfaction et ma dit : « Donnes moi le verre, poses mes affaires et mets toi accroupie face à moi pour me montrer comment tu suces » « Oui Monsieur » Je me suis mise en position, un pied de chaque côté de ses jambes allongées, jai pris sa queue en main et jai commencé à le branler pour lui redonner de la vigueur. Une fois quil a été bien raide, je me suis penchée en avant et jai commencé à lui téter le gland comme je le faisais parfois avec julien. Au bout dune minute il a demandé : « Cest tout ce que tu sais faire ? » « Euh oui Monsieur » « Et bien il va falloir que je tapprenne comment doit sucer une bonne chienne » Et sans attendre ma réponse, il ma prise par la nuque avec ses 2 mains et a commencé à me faire faire des vas et viens sur sa queue jusquau fond de ma bouche. Faisant cela, il a commencé à me faire la leçon : « Pour être une bonne pipeuse, tu dois prendre plaisir à sucer. De plus, tu dois varier les techniques et être attentive aux réactions de lhomme à qui tu donnes du plaisir et le regarder pour voir comment il réagit car tous les hommes nont pas les mêmes gouts, pour le sexe comme pour le reste. Le fait que je recommence à mouiller et que mes tétons et mon clito durcissent et gonflent à nouveau ma fait penser queffectivement je devais y prendre plaisir et je me suis mise à le regarder. Il ma lâchée la nuque et ma dit de lui sucer le gland en utilisant ma langue. Puis jai alterné vas et viens dans ma bouche, aspirations et caresses de langue toujours en le regardant tandis que lui poussait de petits râles de plaisir. Il ma subitement tenue par la nuque et jai senti gicler 4 ou 5 jets de sperme dans ma bouche. Surprise, jai eu un hoquet et il ma dit en riant : « Avales cest plein de vitamines » Jai obéi et jai trouvé le goût de sa semence bizarre mais pas désagréable. « Lèves toi et mets tes mains sur ta nuque » Jai obéi et suis testée immobile tandis quil remettait son pantalon et ses chaussures puis il sest mis devant moi et ma dit : « Tu es un peu gourde mais quand jaurais fini ton éducation, tu seras une vrai cochonne. Jespère que tu comprends que Julien ne doit pas être au courant de ce qui sest passé ce soir ?» Jai répondu en rougissant : « Oui Monsieur » « De tout façon, si tu décidais de lui en parler, ce serait ta parole contre la mienne et il a une confiance absolue en moi » Je baissais les yeux sans répondre et il ajouta : « Je suis certain que tu as apprécié ce que nous avons fait et que comme tu es une bonne petite chienne en chaleur, tu es impatiente de recommencer pas vrai ? » Jai rougi encore plus « Oui Monsieur » « Bien. A partir de maintenant, quand tu seras seule, tu devras toujours être cul-nu et chaussée des escarpins car je passerai quand jen aurai envie pour te baiser comme jen aurai envie et si tu nes pas dans la tenue correcte tu seras punie. Compris ? » « Oui Monsieur » Et il est parti sans me dire au revoir.
Vous vous demandez surement pourquoi, alors que jétais amoureuse de Julien, je nai pas protesté et lui ai obéi sans discuter ? Et bien cest tout simplement parce que même si je lignorais jusquà ce jour, comme la dit Monsieur, Je suis une petite chienne en chaleur et il a fallu quun mâle dominant sintéresse à moi pour que je men rende compte.
A suivre