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Fatima, son mari et sa mère. – Chapitre 3




J’ai oublié de présenter ma mère. Elle s’appelle Hayet (la vie), elle a 49 ans, c’est une très belle femme et qui est bien entretenue pour son âge, elle est très féminine et très généreuse et serviable, n’hésite jamais à donner un coup de main ou rendre service quand quelqu’un est dans le besoin.

Elle est véritablement le pilier de notre famille. C’est elle qui nous insuffle cette dose de fraîcheur et de bonne humeur permanente, bien que mon père soit très sévère avec elle, même des fois, il la délaisse.

En revenant à notre dîner, j’ai remarqué que l’atmosphère était très détendue entre ma mère et mon mari. Moi, mon cur battait très fort, de peur que mon père ne se doutât de quelque chose. Quelques instants après, on a débarrassé la table et je me suis dirigée vers la cuisine pour faire le ménage avant qu’il ne soit tard.

Quelque temps après, ma mère me rejoignit, sans hésitation de sa part, elle m’expliqua que mon mari lui plaisait beaucoup et qu’elle aimerait bien que ça aille plus loin avec lui. Je ne vous cache pas que j’étais très jalouse.

Mère, mon père est là, tu dois au moins le respecter !

Comme mon père était occupé à faire sa prière dans un coin du salon, mon mari discutait avec ma mère dans la cuisine. De là où j’étais, je pouvais les observer, sans entendre ce qu’ils se racontaient, mais je comprenais très bien que mon mari était en train de courtiser ma mère.

« Ma fille… !

Oui maman… ?

Il ne faut pas chercher à tout savoir, je pense que tu as largement de quoi te rincer l’il… !

Tu sais bien que quand j’ai décidé de venir ici, c’était dans l’idée d’essayer de séduire ton mari !

Mais mon père est là, s’il te plaît, je ne veux pas qu’il se doute de quelque chose !

Ne t’inquiète pas ma chérie, ton père ne se doute de rien… !

Maman, j’ai bien remarqué tout à l’heure que mon mari te draguait dans la cuisine !

Non, une simple discussion, tu sais bien qu’il me plaît beaucoup, alors pourquoi ? Es-tu jalouse ou bien est-ce à cause de ton père ?!

… Ecoute, ma chérie, à vrai dire, je ne croyais pas un seul instant que cela marcherait… !

… Au début, je te téléphonais le soir, mon but était d’entendre ton mari… !

… Depuis le jour où il a demandé ta main en mariage, moi, je complote pour qu’il soit dans mes bras… !

… Crois-moi, ma chérie, au début, il a refusé mes avances, j’ai alors poussé le bouchon encore plus loin… !

… En t’utilisant…, je te demande de m’excuser !

Alors, vous m’avez trahie tous les deux !

Ne dis pas ça, au contraire, tu vas aimer et aie confiance en moi… ! »

Quel choc pour moi, moi qui pensais que c’était un simple fantasme, mais la réalité était tout autre, cette histoire avait débuté depuis le jour où il avait demandé ma main, comment ne me suis-je pas rendu compte ?

Nous étions au salon, mon père était assis avec ma mère dans un petit canapé pour deux personnes, moi et mon mari en face d’eux.

Nous nous retrouvions en petit comité familial, mon père m’a remerciée pour ce délicieux dîner qu’il avait trouvé excellent.

Mon mari est vraiment génial, il est bon vivant, je ne le cache pas, il a beaucoup de classe, il sait mettre les gens à l’aise.

En allant se coucher, mon père préféra rester dans le salon, ma mère regagna une chambre et mon mari et moi, bien sûr, dans notre chambre.

En fermant la porte, il m’a fait l’amour sauvagement, moi, dans la tête, chaque fois que je pensais que mon père et ma mère étaient là, tout mon corps brûlait de désir.

Le matin, je me suis levée très tôt, je connaissais les habitudes de mon père, il se levait tôt pour sa prière. J’ai même trouvé ma mère debout, elle était plus souriante que d’habitude, comme si elle était porteuse d’une nouvelle particulièrement bonne.

De ma part, je n’ai pas pu m’empêcher de la regarder de la tête au pied, pour savoir de quoi mes yeux allaient pouvoir se régaler et comment aussi elle avait séduit mon mari.

Nous avons passé une excellente matinée, mon mari fit semblant de partir pour sa mission et mon père nous dit qu’il sortait un moment. Il reviendra, on ne sait pas quand et s’il partira ou non. Quant à mon mari, il ne reviendra pas avant qu’il ne reçoive mon appel.

Nous sommes restées, ma mère et moi, dans la cuisine, et je m’étais ouverte à elle de mes problèmes de couple, de mes fantasmes à répétition, et surtout de mon attirance pour elle.

Mon but est de voir sa réaction.

Je lui dis qu’elle était ce que j’avais de plus proche, qu’elle était ma mère que j’adorais beaucoup et je lui avais aussi dit que je ne voulais pas gâcher ça.

Mais elle était là, face à moi, avec sa jolie robe.

Nous échangions quelques banalités et une boule se formait dans mon bas-ventre, alors que je sentais une certaine rougeur s’installer sur mon visage.

Sans pouvoir dire si c’était ma mère qui en était la cause.

Je remis en ordre mes pensées, je repris tant bien que mal le fil de la conversation. Oui, il fallait que je lui parle de mon mari, en parlant, je lutte pour ne pas me précipiter sur elle, oui, mon mari avait raison, elle était belle et attirante, mais je ne comprenais rien de mon comportement, comment une femme pouvait-elle m’attirer de cette façon, et en plus, cette femme était ma propre mère.

Elle se leva, elle alla prendre à boire.

Et me voilà à lui mater les fesses, j’étais très honteuse, mais je ne pouvais pas m’empêcher de regarder et de mater en même temps.

Oui, mon mari avait raison de me dire que ma mère a un très bon cul.

Elle se pencha en avant et voilà que mon regard la fixait, j’étais en train d’imaginer ce qu’elle cachait derrière cette robe, elle ne savait pas que je la regardais.

Elle revint à sa place et je ne savais plus où nous étions dans la conversation.

Je ne pouvais penser qu’à son corps, mon cur battait terriblement fort et une étrange chaleur m’envahissait, et tout à coup, je lâchai un soupir.

Tu es sûre que ça va, ma fille, tu as l’air bizarre !

ça va, ne t’inquiète pas, je suis juste un peu fatiguée, excuse-moi… !

La sonnerie de la porte me fit sursauter, c’était mon père, il était revenu. Il a déjeuné avec nous, puis il nous a dit qu’il resterait cette nuit, mais que demain, il était obligé de partir pour son travail. Il m’a conseillé de faire attention et d’être sage jusqu’au retour de mon mari.

Je lui dis de ne pas s’inquiéter, et qu’en plus, il y avait ma mère à mes côtés, puis il a parlé avec ma mère. Je connais très bien mon père, il s’inquiète beaucoup, et en plus, il est très sévère.

J’ai trouvé une excuse, je me suis dirigée vers ma chambre et j’ai téléphoné à mon mari, je lui ai dit de ne pas revenir, car mon père passera la nuit ici, je lui dis de se débrouiller.

Un immense soulagement m’envahit, j’avais peur que mon père apprenne la vérité, et en même temps, une terrible honte, comment devais-je faire ça à mon père, pourtant je l’aime énormément.

J’ai pensé aussi à mon mari et ma mère qui s’étaient engagés sur un jeu dangereux qui n’en finissait pas.

De ma part, je devais le suivre, nous devions commettre cette erreur ensemble, car j’étais sa complice, alors je devais aller jusqu’au bout.

Au fond de moi, j’avais envie d’elle, comme mon mari, et rien dans mon altitude ne me ferait deviner le contraire. J’avais imaginé tant de fois cet instant-là. Voilà, chez moi, je pouvais réaliser ce fantasme qui était ancré en moi depuis des semaines.

J’avais souvent fantasmé sur elle, bien sûr, à l’aide de mon mari, car avant, je n’avais jamais pensé à ma mère, même à une autre femme et maintenant, je ne savais pas ce que je voulais. De plus, cette idée de ma mère, nue contre moi, me chauffait le ventre, je la prenais dans mes bras, je l’embrassais et je l’amenais sur le lit conjugal. Je l’y allongeais délicatement et je m’installais à côté d’elle.

Nous roulâmes un peu sur le côté et me voilà derrière elle, je déposai des baisers dans son cou, je caressai son ventre, ses fabuleux seins que j’ai tétés quand j’étais bébé, son dos, du bout des doigts, elle frissonnait sous mes caresses, j’étais si heureuse que j’aurais voulu faire durer mon imagination.

Puis soudain, ma mère se retourna vers moi et me demanda :

Qu’est-ce qu’il te prend, ma fille, tu penses à quoi ?

Non, je pense à mon mari, c’est la première fois qu’il s’absente depuis notre mariage !

Elle m’a souri.

Le premier dîner sans mon mari, on a débarrassé la table ensemble, ma mère et moi, mon père fit sa prière, quand tout fut fini, mon père nous a annoncé qu’il partirait de bonne heure, alors il devait se reposer. J’ai demandé à ma mère si elle voulait rester avec mon père ou si elle venait avec moi, elle m’a fait seulement un geste, je n’ai pas bien compris, était-ce oui ou non ?

Dans la soirée, alors que je venais de regagner ma chambre, au moment où j’étais sous ma couette, ma mère fit irruption en me demandant si je n’avais pas peur de dormir toute seule. J’ai prié que ma mère ne s’en rende pas compte, car j’étais nue sous ma couette et pétrifiée à la fois de son intrusion.

Elle, toujours avec ses habits, moi, je n’osais plus bouger face à l’aisance de ma mère, elle vint s’asseoir en face de moi au bord du lit, et me dit que j’avais beaucoup changé depuis mon mariage. Elle me rappela que ça ne faisait pas très longtemps que j’étais encore une petite fille.

Je pris mon courage et je lui dis :

Maman, j’ai besoin de te parler, j’ai quelque chose à te dire, mais j’ai peur que tu ne comprennes pas ce que je vais te dire, j’ai peur que par la suite, tu cesses de me regarder comme ta propre fille !

Elle s’est allongée à côté de moi sur le lit :

Allez, ma fille, dis-moi ce que tu veux !

Mais avant de te le dire, promets-moi d’être toujours ma mère qui m’aime !

Bien sûr, ma fille, ne crains rien de ce côté, mais laisse-moi parler la première, moi aussi, j’ai quelque chose à te dire, mais promets-moi que ça reste entre nous !

Je la rassurais en lui disant que quoi que ce soit qu’elle me dise, cela restera toujours au fond de mon cur.

« Écoute, ma fille, je suis un homme à l’intérieur de moi, j’aime les femmes, mais à la manière d’un homme, je ressens cela depuis des années, et tu sais déjà comment je te traitais quand tu étais à la maison !

… Et toi, tu veux me parler de quoi… ? »

Je suis restée bouche bée, je ne savais pas par quoi commencer, puis j’ai décidé de lui dire :

Ma maman, mon mari a envie de toi, mais d’après ce que je viens d’entendre, je crois que mon mari désire une femme, pas un homme !

Je sais, ma fille, j’ai parlé déjà avec lui, oui, j’ai un corps d’une femme, mais ce que je viens de te dire, personne d’autre n’est au courant, sauf toi, ma chérie ! me répondit-elle en souriant.

Notre discussion prenait une autre tournure, passant d’une chose à l’autre, au fur à mesure que ma gêne vis-à-vis de ma mère se dissipait, je ne cachais pas, j’avais toujours été attirée par ma mère depuis que mon mari m’en parlait.

Je commençais à ressentir certains effets dans mon ventre, m’imaginant parcourir le corps de ma mère, apprenant à le découvrir, l’apprécier, l’aimer. L’envie qui me dérangeait l’entrejambe. Toujours allongée à côté de moi, mais toujours habillée et moi, sous la couette, toute nue, des images ont déferlé dans ma tête, me demandant quel goût pouvait bien avoir ses lèvres, sa peau, voulant découvrir sa douceur, sa chaleur.

Elle était là, à côté de moi, allongée sur mon lit à papoter tranquillement avec moi, d’après mon imagination, elle avait une beauté que je ne pouvais pas expliquer, un regard rempli de vie, de malice, une peau qui semblait si douce qu’elle m’en faisait rêver.

Nous étions là, toutes les deux à discuter, alors que je lui jetais quelques regards furtifs de temps à autre, me mordant la lèvre de façon que je voulais discrète, pour tenter de calmer mes envies.

Elle l’a remarqué, posant son regard sur moi, m’arrachant à ce simple contact visuel, un frisson.

Qu’est-ce qu’il y a, ma fille, tout va bien, tu sembles préoccupée, ma chérie !

Elle n’avait aucune idée de ce qui pouvait me perturber :

Disons simplement que non, ce n’est rien, maman, ne t’en fais pas !

Elle m’a souri doucement, posant négligemment une main sur la mienne, la chaleur de sa peau me fit frissonner comme si j’étais totalement frigorifiée.

Tu sais – ma chérie – que tu peux tout me dire, n’oublie pas que je suis ta mère, je te connais très bien, allez, ne sois pas timide !

Maintenant que le sujet était lancé, je n’allai quand même pas reculer.

Je repris d’une voix plus légère, faible, mais déterminée :

Écoute, maman, j’ai plusieurs envies qui me rongent de l’intérieur, je ne sais pas comment t’expliquer !

Je finis par relever mes yeux sur elle :

J’ai envie…

De qui, de ton mari ou de moi ?

Elle me sourit, avant de s’approcher doucement de moi, elle a plongé son regard dans le mien, elle était si près que je sentais son souffle se mêler au mien qui s’était accéléré légèrement.

Elle souriait toujours, ce qui me rassura légèrement, elle vint reposer sa main sur la mienne, ne disant toujours pas un mot, nous fixant un long moment avant qu’elle rapproche son visage du mien.

J’ai eu l’impression de sentir un effleurement, une simple petite douceur sur mes lèvres, comme si elle était assez proche de moi pour frôler mes lèvres.

J’ai cru que je rêvais, que ce n’était encore qu’une image, elle me souriait toujours, elle ferma les yeux, coupant le contact visuel.

Je sentis la douceur de ses lèvres pour de bon posées sur les miennes, j’avais beau imaginé tant de fois, rien n’avait été si doux.

Je soupirais longuement avant de fermer les yeux à mon tour, retrouvant ma capacité à bouger et répondis à son baiser, n’osant pas la toucher pour le moment.

Elle sembla lire dans mes pensées, alors le baiser se fit légèrement plus passionné, me montrant ainsi qu’elle avait aussi ce désir en elle, je finis par lever une main qui se glissa dans son cou, bougeant un peu sur le lit pour prolonger ce baiser, me collant un peu contre elle, allant timidement à la recherche de sa langue avec la mienne.

C’était si bon, si doux, rien de comparable avec un baiser de mon mari et j’avais l’impression que je pouvais perdre la tête à ce simple contact.

Je sentis alors sa main venir prendre la mienne, la serrant doucement, et à mon plus grand regret, j’ai senti ses lèvres se détacher des miennes.

Sûrement, elle allait me dire qu’on ne pouvait pas faire ça, qu’elle était ma mère et que j’étais sa fille, je sais qu’elle aurait eu raison de le faire, car c’est une erreur impardonnable, mais ce désir qui était en moi chassait la sagesse dans ma tête.

Si elle savait la chaleur qui avait pris place dans mon ventre.

La suite des choses me surprit, elle voulait entrer avec moi sous la couette, on a oublié de penser à papa qui était au salon.

Elle a enlevé sa robe et s’est glissée avec moi sous la couette, puis je m’approchais d’elle pour coller, enfin, mon corps tout nu au sien, allant en même temps chercher à nouveau ses lèvres pour un baiser passionné comme le premier, nos lèvres, nos langues se cherchant avec avidité.

J’allais mordiller avec envie sa lèvre inférieure, en plongeant mon regard dans le sien, pour enfin poser mes mains sur son corps qui me faisait tant rêver.

J’allais directement me frayer un chemin pour glisser le bout de mes doigts sur sa peau que je découvris très douce.

J’avais le cur qui battait la chamade et cette chaleur dans le bas-ventre qui ne faisait qu’augmenter à chacun des gestes que j’ai eu le courage de faire.

Elle m’entoura alors la taille, comme j’étais toute nue, me collant contre elle, ma peau fut parcourue de frissons incontrôlables, alors que j’allais perdre mes mains dans ses cheveux.

Je la sentis me faire doucement tourner pour – finalement – me pousser davantage vers elle, je me suis collée à elle, et comme elle porte toujours une autre robe légère, je suis restée comme ça, sans discussion, lui faisant totalement confiance.

Quand elle s’aperçut que j’étais toute nue, ce fut elle, la première qui partit, de ses lèvres, à la découverte de mon corps, s’étendant à demi sur moi, embrassant, léchant ma peau, partant de mon cou pour glisser vers ma poitrine. Elle est restée un bon moment sur mes seins, puis sans m’avertir, alla embrasser mon ventre qui se contracta de plaisir avec ses caresses. Elle put m’arracher un gémissement, je sentis le rouge prendre possession de mes joues, son regard rencontra le mien, elle avait dû voir le rouge sur mes joues, elle vint se coller contre moi en murmurant : « ah, ma fille, tu es belle, tu es si délicieuse, ton mari a de la chance de t’avoir pour lui chaque nuit ».

Avec ces paroles, elle m’a donné l’énergie et le courage nécessaire pour prendre le contrôle, allant chercher ses lèvres, avant de la faire s’étendre sur le dos à son tour, elle savait bien que je ferais le nécessaire. J’ai commencé par son cou, comme elle, j’ai posé mes lèvres sur son cou, elle frissonnait et j’ai essayé de lui enlever cette robe, elle m’a aidée. J’ai donc glissé mes mains dans son dos pour dégrafer son soutif et elle m’aida en se redressant un peu pour libérer ses seins, lourds, et enfin, mes lèvres rencontrèrent sa peau pour de bon. J’avais déjà tété ses seins quand j’étais bébé, mais cette fois, c’était chaud, doux, indescriptible. Elle rejeta la tête vers l’arrière, se cambrant un peu sous moi, comme pour m’offrir sa poitrine dont je me délectais un moment avec gourmandise.

J’ai fait tout mon possible pour la satisfaire, mais j’étais légèrement bloquée par mon manque d’expérience et elle le sentit.

Elle nous refit donc basculer pour se retrouver sur moi, j’ai compris alors qu’elle souhaitait agir elle-même pour me montrer la marche à suivre, pour mieux me guider.

Elle plongea sa bouche sur ma peau pour la goûter avec délice, m’arrachant quelques gémissements, j’ai toujours été très sensible de cette zone érogène.

Elle glissa ensuite sur mon ventre, traçant un sillon de sa langue, j’ai senti ses lèvres venir se poser à l’intérieur de l’une de mes cuisses, alors que ses mains venaient m’écarter doucement les jambes.

Je posais ma tête sur l’oreiller, fermant les yeux, et j’aimerais bien la caresser, moi aussi, mais cette position ne me le permettait pas.

Je sentis son regard sur moi, je n’avais pas l’habitude de me laisser aller à ce point, mais c’était tellement bon, mon bassin ondula à la quête d’en avoir plus encore.

Je sentis son souffle chaud se percuter contre les lèvres de ma chatte déjà humide depuis un bon moment. Elle était très chaude, accueillante, mais je sentis aussi le contraste de froid, alors qu’elle jouait, elle-même, de son souffle, me faisant soupirer de plaisir. J’en voulais tellement plus, mais en même temps, je ne voulais pas que tout ça se finisse.

La pointe de sa langue vint s’insinuer entre mes lèvres, un long gémissement de satisfaction traversa mes lèvres, alors que je me cambrais contre mon gré à la rencontre de cette langue.

Elle la glissa de haut en bas et de bas en haut, dans une lente torture qui me fit perdre la tête.

Je haletais, allant serrer le drap sous moi, alors que je posais mes pieds à plat sur le matelas, en écartant les cuisses davantage.

Sa langue se fit alors plus taquine, allant plus rapidement sur ma chatte, allant découvrir ma perle gonflée de désir comme jamais, l’aspirer entre ses lèvres, la frôler de ses dents.

Moi, je ne pouvais pas me retenir, je gémissais de plus en plus, ne pouvant retenir les plaintes de plaisir qu’elle créait en moi. On avait oublié, toutes les deux, qu’entre nous et papa, seulement une cloison nous séparait. Je sentis alors un contraste de température, alors qu’elle vint agacer l’entrée de ma chatte du bout de deux doigts frais. J’ai cru que ma chatte pouvait les aspirer d’un coup, tellement l’envie était grande, c’est là que je murmurai : « maman, oui maman », c’est alors que je sentis ses doigts venir s’engouffrer dans ma chatte et ma cyprine l’aidant à pénétrer sans mal, m’arrachant un cri alors que je me cambrai davantage.

Sa langue allait toujours sur mon bouton d’amour avec une gourmandise que je ne croyais pas possible.

Ses doigts s’activaient en moi dans des va-et-vient délicieux, tournant sur eux-mêmes, me fouillant, atteignant même cet endroit qui me faisait râler.

Maman, je n’en peux plus… !

Laisse-toi aller !

Mes cris se firent plus forts, plus puissants, j’écartais davantage les cuisses et maman en profita pour insinuer un troisième doigt en moi, aspirant à nouveau mon bouton d’amour, j’avais chaud, j’étais en sueur, l’orgasme me prit de plein fouet avec une puissance que j’avais rarement connue.

Mes muscles se crispèrent et je tremblais violemment de tout mon corps, alors que maman continuait le traitement pour pousser ma jouissance à bout jusqu’à que je retombe complètement sur le lit, haletante, les yeux fermés, frémissant toujours et prise de secousses.

Elle retira alors lentement ses doigts, ce qui m’arracha un nouveau gémissement, puis un baiser sur mes lèvres intimes, et elle entreprit sa remontée sur mon corps parcouru de frissons incontrôlables, et j’accueillis ses lèvres dans un baiser doux, jouant avec sa langue, j’étais incapable de dire quoi que se soit, complètement vidée par cet orgasme violent, elle me caressa doucement, du bout des doigts, chaque parcelle de peau qu’elle atteignait, elle me sourit, le téléphone a sonné, c’était mon mari !

Fin.

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