LE MALE ALPHA. 5
Un homme ne connaît réellement sa femme que lorsqu’il l’a vue faire l’amour avec un autre.
(Arthur Miller)
Elle
Sébastien dirige le sexe de Claude entre mes fesses et le fait coulisser d’avant en arrière. A chaque passage, il presse le gland sur mon anus de plus en plus fort jusqu’au moment où une brèche s’ouvre et que son gland s’y engouffre sans hésitation. Je pousse un cri bref tout en empoignant les draps du lit. A cet instant, je croise le regard exorbité de Sébastien qui ne quitte pas du regard le défonce-cul de Claude qui continue sa progression pour aller jusqu’aux tréfonds de mon antre.
Je me mords les lèvres, grimaçant de douleur mêlée de plaisir. Malgré le passage de la pine de Jean, la douleur est atroce.
La suite.
Aie, ça fait mal ! Tu me casses le cul bordel… Putain t’es trop gros… Et toi Sébastien, ça te fait jouir de voir ta femme se faire sodomiser par un tel braquemart alors que je n’ai jamais voulu de ta petite queue ? Regarde et prends-en de la graine et tu peux lâcher sa teub, elle tient toute seule elle, regarde comment un vrai mâle arrive à baiser mon cul… Putain ça fait mal, mais que c’est bon !!!
Chacune de ses charges dégage une impression de puissance qui me transperce au plus profond de mon corps. Chaque saillie écrase avec brutalité ma croupe délicate. J’accueille chacun de ses assauts comme s’il s’agissait du dernier. La tension sexuelle dans la chambre est lourde. Je suis la femelle préférée du mâle Alpha et les deux autres mâles ne peuvent que se soumettre.
Je les fixe du regard, essayant de comprendre ce qu’ils ressentent en voyant l’épouse et l’amante se faire prendre par-derrière par ce garçon qui pourrait être mon fils.
J’éprouve même un plaisir sadique de les voir souffrir d’envie et de jalousie devant le spectacle de mon cul offert à cette véritable queue d’âne infatigable, à cette grosse bite qui baise mon cul.
Il me pilonne l’orifice sans ménagement sous mes gémissements étouffés.
Ce ballet bestial de nos corps enchevêtrés harmonieusement dure depuis quelques minutes.
Je suis comme dans une autre dimension, seule au monde. Nos mouvements de hanches s’accordent parfaitement. Je reprends progressivement contact avec la réalité quand des décharges d’adrénaline me secouent, j’ai un orgasme d’une rare violence me donnant des spasmes qui parcourent tout mon corps. Maintenant seul, son gland va-et-vient dans ma rondelle. Je vais à la rencontre de ses coups de queue, autant que je le peux, tellement excitée par cette folie. Claude gémit en grimaçant.
Mon petit trou serré va finir par avoir raison de sa formidable queue d’une seconde à l’autre. Je devrais mourir de honte à m’offrir de la sorte devant mon mari et mon amant, mais ma fougue, mon désir de ce sexe extraordinaire et de son propriétaire évincent le peu de principes qu’il me reste.
J’ai l’impression de naître à nouveau. Il ressort puis revient à plusieurs reprises dans mon cul dilaté, plongeant et replongeant dans mon fondement qui s’assouplit doucement à chaque assaut. Je me laisse aller aux chocs répétés de son machin équin, résignée et heureuse, poussant encore plus en arrière mes fesses pour qu’il me la mette tout au fond.
Mon « amant/étalon » me libère soudain du pieu qu’il avait planté en moi en poussant un râle prodigieux pareil au grondement qui précède l’éruption du Vésuve.
Il explose pour la deuxième fois de la soirée (seulement la deuxième ?). Il se retire, attrape mes cheveux et éjacule sur mon visage. Je me retrouve pour la première fois à l’endroit devant cette grosse bûche, cet énorme rondin, ce chibre d’acteur porno, doté d’un engin si large et si long.
Son foutre jaillit et explose sur l’obstacle, coule sur mon front, mes joues, s’insinue entre mes lèvres en jets puissants que j’avale en le regardant droit dans les yeux.
Il se laisse aller sur le lit après le devoir accompli et je me blottis contre lui, l’admirant du regard.
Lui
Je fais un drôle de cocu privilégié d’avoir pu assister à ça, subjugué par cet accouplement parfait et brutal. Je n’ai pas assisté avec Jean à quelque chose d’aussi beau et d’aussi intense. Mais j’ai peur du comportement de Corinne. J’ai peur qu’elle ne voue désormais un véritable culte à « ce gosse » et se soumette totalement à tous ses désirs.
Corinne vient de connaître l’orgasme le plus intense de son existence et pourtant elle est déjà occupée à engloutir une nouvelle fois le sexe de Claude qui avait à peine perdu de sa superbe. Elle s’applique à la tâche dans le seul but de réveiller ses ardeurs et lui prouver qu’elle est une femme soumise, mue par son instinct de femelle, prête à se reproduire avec le mâle dominant de la meute.
Mais le mâle alpha est disposé à partager sa femelle et autorise d’un mouvement de tête à l’amant en titre à s’approcher d’elle. Corine comprend tacitement ce qu’il désire d’elle et sans un mot se tourne vers l’invité pour le prendre en bouche, le faisant uniquement pour être agréable à son « Maître » et satisfaire ses désirs. Elle s’y attelle cependant avec passion, passant d’un membre à l’autre. Quant à moi, j’observe le spectacle sans dire un mot de ma place, tel le mâle soumis, le dernier de la hiérarchie n’ayant que mes mains pour me soulager.
Mon fantasme est devenu réalité. J’ai poussé ma femme à me tromper, mais ai-je bien fait ? Le résultat est là. Je suis dans un coin, humilié, pendant que ma femme prend un plaisir indicible à se faire baiser à tour de rôle par deux hommes sous mes yeux…
Jean lâche une bordée de sperme laissant seul Claude dont elle pompe le sexe encore et encore, l’encourageant à s’enfoncer dans sa gorge. Elle reprend la position, couchée sur le dos, la tête légèrement renversée sur le bord du lit. Claude est debout, prenant appui d’une main sur le lit tandis que l’autre est posée sur le cou de Corinne, totalement à sa merci. Et comme tout à l’heure, il en profite pour s’enfoncer intégralement dans sa bouche, sentant sous sa main à chaque poussée son propre sexe à travers le cou de sa partenaire.
Je ne sais pas d’où il tire son énergie, mais pendant la demi-heure suivante, il lui a encore rendu hommage deux fois. Ah la fougue de la jeunesse !
Ma femme que je ne reconnais plus se fait violer la bouche sans protester. Pire, visiblement elle aime ça, voulant se goinfrer de la semence protéinée d’un inconnu dont elle ne connaît que le prénom. Je suis fou de jalousie et pourtant je la laisse faire, excité au plus haut point. A la longue, je somnole dans mon coin, mon sommeil troublé par les gémissements de ma femme qui continue à se faire posséder par le jeune boy, ivre de fatigue et de plaisir et couverte de sueur mêlée de sperme.
Je remarque que l’amant officiel est aussi impressionné par les capacités hors normes de sa maîtresse que de celle du jeune loup qu’il a introduit dans la bergerie, se félicitant de l’avoir si bien dressée. Il est fier de sa création au potentiel insoupçonné. Je vois bien qu’il voudrait reprendre possession de son uvre pour lui prouver qu’il est toujours le chef de la meute, mais elle ne lui jette même plus un regard.
Claude se rhabille sans un mot et s’apprête à partir, Corinne s’accroche à lui pour lui demander de lui laisser un moyen de le contacter, lui proposant même de le faire passer pour son fils au dehors de la maison pour ne pas choquer les gens les voyant bras dessus, bras dessous. Mais la réponse du garçon est étonnante :
Le « fiston » préfère les jeunes pouliches pas encore débourrées bien que tu sois dans le top trois des femmes qui sont arrivées à me faire une « gorge profonde ». Mais comme on dit dans le proverbe (c’est dans les vieilles casseroles que l’on fait les meilleures soupes).
Il se reçoit une énorme paire de claques, mais en rigole. Il s’éloigne vers la porte, mais Corinne le suit et se pend à son bras toujours en tenue d’Eve…
Oh pardon Claude, pardon, pardon… Tu me rappelleras hein ?!?!
Je suis arrivé à mes fins en poussant ma femme devenue une véritable déesse du sexe dans les bras d’autres hommes. Je vois bien que maintenant, elle prend du plaisir à me faire souffrir de jalousie, mais j’ai peur d’être allé trop loin quand je réalise le pouvoir de domination que ce jeune con a sur elle en seulement quelques heures. La soumission de Corinne me rend fou de jalousie et pourtant…
Après cette nuit, Corinne sort parfois à l’improviste, elle ne me raconte plus rien, mais je me doute qu’elle va retrouver « le Mâle Alpha », ce jeune homme qu’aucune fille ne remarque dans la rue, mais qui les fait toutes chavirer de plaisir quand elles ont la chance de pénétrer dans sa couche.
Je me soumets espérant ma récompense. Celle de pouvoir mater encore une fois ma femme se faire prendre par cet étalon exceptionnel. LE MALE ALPHA.