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Murielle au centre équestre – Chapitre 1




Je m’appelle Murielle, j’ai trente-cinq ans, je suis brune, je fais un mètre soixante-dix.

Je viens d’accoucher de mon premier enfant il y a six mois. Depuis la naissance de mon bébé, je me suis totalement mise au sport pour retrouver mes formes, je fais des séances de sauna ou de hammam pour perdre du poids et je me suis concocté un régime spécifique. J’ai toujours eu une passion pour le cheval, c’est une pratique que je souhaiterais retrouver. Par un jour d’été, je me présente dans un centre équestre afin de demander les tarifs pour prendre des cours.

Je vais à la rencontre du directeur du centre qui me donne une brochure avec les différents tarifs.

Les prix sont variables en fonction du niveau et des envies, cinquante euros pour une balade en forêt ou sur le bord de mer et de vingt-cinq euros pour un entraînement au centre équestre. Tout est correct, je demande alors trois séances dans un premier temps.

Les deux premières dans le centre et pour la dernière, je choisirais une balade en forêt.

Dans l’après-midi, je pars dans un magasin de sport afin d’acheter une tenue de cavalière et ensuite, je rentre à la maison. J’annonce la nouvelle à mon compagnon qui n’est pas très élogieux quant à mon choix. En général, il est très prêt de sa personne, ce qui fait que les passions des autres ne l’intéressent pas forcément.

Depuis l’accouchement, il ne m’a pas touché une seule fois, c’est dire. Nous sommes mercredi, il est bientôt l’heure pour moi de retrouver le plaisir de monter à cheval. J’emmène mon enfant chez ses grands-parents afin qu’il soit garder en sécurité. Me voilà devant le centre. Antoine qui sera mon moniteur m’indique le chemin des vestiaires. Je me change, je vais voir le cheval qui m’est attitré, il est très doux et très calme. Je prends le temps de le connaître, j’installe la selle, et me voilà en train de faire des tours sous une tonnelle et dans le parc du centre.

Je sens le vent épouser mon visage ainsi que le sentiment de liberté que cela procure. Antoine est très agréable, attentionné et très marrant. À la fin du cours, nous parlons de tout et de rien. Je repars donc dans les vestiaires pour me remettre en tenue de ville. En remettant mes vêtements, je sens comme une présence. Le moniteur est en train de me regarder à travers la fenêtre du vestiaire. Je le surprends et je le vois disparaître en un quart de seconde.

Le jeudi jour du deuxième cours, les choses se déroulent de la même manière. Je trouve Antoine de plus en plus attirant de par sa personnalité. En quittant et en me changeant, je l’aperçois une nouvelle fois en train de jouer les voyeurs à la fenêtre. Sa réaction est identique à celle de la veille, il s’éclipse.

Le troisième jour de cours arrive rapidement. J’arrive devant le centre. Je vais me changer de tenue et pour faire plaisir à mon moniteur préféré, je décide de mettre un string, et de mettre une chemise sans soutien-gorge. Nous voilà partis dans les bois, il m’explique que la balade dure deux heures et qu’il va me faire découvrir certains lieux de la forêt.

Au bout d’une demi-heure, nous arrivons devant un ruisseau. Il me propose de descendre du cheval et de l’attacher à proximité de l’eau afin qu’il puisse boire. Nous discutons de tout et de rien comme d’habitude, ses quelques blagues me font toujours autant rire. Au bout de dix minutes, la soif m’envahit.

Je me mets à quatre pattes pour boire l’eau de la rivière. Il doit avoir une vision de mon string en face de lui qui doit certainement l’exciter. Soudain en essayant de me relever, je glisse dans l’eau. Ma poitrine est complètement visible à travers la chemise que je dois maintenant faire sécher. Je n’ai pas de soutien-gorge en plus.

Je lui demande de se retourner le temps que la chemise sèche sur la branche d’un arbre qui est face au soleil. J’ai les seins nus à proximité d’Antoine. Je suis à proximité de lui, je sens qu’il a envie d’aller plus loin et pour tout avouer moi aussi, le manque de contact physique est trop important.

Je tourne quelques fois la tête pour voir ce qu’il fait. Bien sur ses yeux sont posés sur mon corps nu et à chaque fois que je me retourne, il détourne le regard. Je décide alors de me lever pour vérifier si ma chemise est sèche. Toujours pas!

Je me dirige alors vers lui les seins cachés par mes mains et je lui demande s’il joue souvent au voyeur. Il me demande pourquoi. Je lui dis alors que je l’ai vu à la fenêtre lorsque je me changeais que je le voyais à travers la vitre. Il rougit subitement. Je lui dis que s’il veut voir mes globes, il a qu’à me demander d’enlever les mains et je lui montrerais.

D’une voix timide, il refuse dans un premier temps puis quelques secondes après me dit que oui, il veut les voir. Je m’accroupis en face de lui, et j’enlève mes mains. Ses yeux écarquillent comme ceux d’un enfant devant un cadeau. Je lui dis alors qu’il peut les toucher. Il se met à genou face à moi, et commence à me malaxer les seins.

Je commence alors à ressentir le plaisir du contact physique. Il est un peu maladroit mais très doux. Il prend alors l’initiative de m’embrasser sur la bouche, dans le cou puis glisse lentement sur mes tétons. Je décide alors de toucher son membre à travers le pantalon, il est déjà très dur. Il enlève son tee-shirt, puis je le couche sur le dos, je lui déboutonne le pantalon. Et je vois alors une jolie verge de vingt centimètres environ.

Je commence à le caresser, je sens son corps se contracter. Je me mets à genou devant lui, et commence à gober son membre. Je fais des vas et vient, je joue avec ma langue sur son gland. Que c’est bon de faire plaisir à un homme. Des frissons m’envahissent rapidement le corps. Je lui propose alors d’enlever mon pantalon qui a déjà une petite tâche de cyprine. Le string que je porte ne tarde pas à faire le même chemin.

Étant dos à lui, il me saisit par les hanches et se plonge dans ma chatte avec la langue pendue. Il me dévore toute la vulve, joue avec mon clitoris et me pénètre même. Mon corps se contracte, je lui lâche un jet de mouille puissant sur le visage, je viens de jouir une première fois. Il se recouche, et toujours dos à lui, je m’empale sur son sexe.

Je fais des vas et vient à la fois lent et rapide. Je me retourne face à lui en chandelier, il me saisit par les fesses pour accélérer la cadence, une fois de plus je monte très vite dans les tours. Je me positionne à quatre pattes et lui propose de me prendre en levrette. Ses mouvements me rendent complètement folle. Je gémis fortement ce qui l’excite encore plus. Je sens mes fesses claquées à chacun de ses mouvements. Une sensation étrange m’envahit, je sens un doigt se glisser dans mon anus, chose que je ne fais que très rarement avec mon compagnon et je ne sais pas pourquoi, mais je le laisse faire. Il se retire de moi, et je sens sa langue chaude me titiller le cul.

Ça me provoque même une sensation que je ne connaissais pas. Une fois finit, je le sens se présenter devant cette entrée. Par petit coup, il rentre, quand dans un grand râle, je le sens totalement en moi. Au début les vas et vient sont lents et doux, mais deviennent rapidement plus fort. Et surprise, j’aime de plus en plus. J’en jouis même. Dans le même temps, je sens son membre grossir en moi et exploser.

Je sens son sperme me couler sur les cuisses. Je me retourne et je l’embrasse. Nous nous faisons une petite toilette, il est l’heure de rentrer maintenant.

Pendant l’année de cours, je n’ai pas cessé de le voir, à chaque fois que mon compagnon ne voulait pas de moi, je faisais l’amour avec Antoine qui s’améliorait de jour en jour. Il a même fini par m’avouer que j’étais sa première fois. Ravi d’apprendre cette nouvelle, il fut pendant un long moment mon amant.

Puis un jour au centre, il rencontra une fille dont il tomba amoureux.

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