CHAPITRE II – TRAHISONS
Je regrette d’avoir humilié bien involontairement Jacques. Je suis triste, nous étions si heureux avant qu’il ait l’idée de m’emmener des hommes à la maison. Déjà il n’avait pas trop apprécié que je monte au 7ème ciel en faisant l’amour avec Fabien. Mais avec Bruno hier soir, ce fut la catastrophe, car celui-ci n’a pas hésité à le ridiculiser en se moquant de son petit et de sa façon de faire l’amour. Ca va mal ! Il faut vraiment que cela cesse !
J’erre dans l’appart en sortie de bain ultra courte, pleine de remords.
Je fais un peu de ménage pour me changer un peu les idées en pensant à ce que j’avais fait la veille. Ce n’est vraiment pas bien, mais en même temps, c’était tellement bon.
C’était bon, mais il faut que ça cesse.
On frappe à la porte.
Je vais ouvrir en refermant bien ma sortie de bain. Je reste bouche bée en découvrant Fabien derrière la porte. Je suis très gênée et il a l’air aussi gêné que moi.
Il me dit :
— Excuse moi, mais c’est plus fort que moi, il fallait que je te revois !
Moi :
— Tu sais bien ce qu’à dit Jacques ! Il ne faut pas qu’on se revoit ! Il faut que tu comprennes que c’était un jeu et seulement un jeu !
Je sens bien que ma voix chevrote et que je suis très troublée par sa présence. Il le sent aussi.
— Tu veux pas me laisser entrer 2 minutes ?
Je le regarde dans les yeux, ces merveilleux yeux qui enflamment tous les désirs.
Après quelques secondes d’hésitation, je m’écarte et le laisse entrer.
Il se retourne pendant que je ferme la porte et me prend par les hanches.
— Non Fabien Non ! Il ne faut pas !
Je suis extrêmement troublée car l’image de ses mains recouvrant mon corps d’huile, de la façon dont il m’a fait l’amour sur la chaise, revient à mon esprit.
Ma voix se fait plus douce, plus voluptueuse malgré moi :
— Fabien ! Je t’en prie ! Ce n’est pas bien !
Il ne répond pas et approche son visage du mien pour m’embrasser. Je détourne la tête en continuant de dire :
— Fabien ! S’il te plaît ! Je ne veux pas faire ça à Jacques ! Je ne veux pas le tromper !
Ses mains remontent lentement en passant sous ma sortie de bain, en courant délicatement sur ma peau.
Sans le repousser, je continue d’une voix de plus en plus langoureuse.
— Fabien ! Je t’en prie ! Je t’en prie ! Non ! Non !
Ses mains sont maintenant sous les globes de mes seins. Je en sais pas pourquoi, mais je n’arrive pas à le repousser, et quand son visage s’approche du mien une nouvelle fois, que ses lèvres sont tout près des miennes, je soupire :
— Nooonn !
Puis je laisse ses lèvres se poser sur les miennes, j’ouvre la bouche et nous nous embrassons avec une immense tendresse. Je sens ma sortie de bain s’ouvrir puis glisser lentement sur mes épaules et je me retrouve nue dans ses bras. Je passe mes mains autour de son cou, et le baiser se fait plus fort, plus tendre, plus sauvage.
Malheureusement, on frappe à la porte une nouvelle fois. Je pousse Fabien vite fait dans la chambre et ferme la porte de celle-ci.
Je n’ai même pas le temps d’aller ouvrir pour répondre à l’importun qui a osé me déranger en pleine séance de pur plaisir, car cet importun est déjà dans l’appartement. C’est Rémy.
Rémy, c’est le meilleur à Jacques, et il est tellement sans gêne qu’il entre presque sans frapper.
D’habitude ça ne me dérange pas, mais là, ça m’emmerde vraiment et pour cause.
Je me rends compte alors que je suis entièrement nue. Je m’en rends compte à sa tête complètement abrutie par la vue de mon corps.
Je suis rouge de honte, attrape la sortie de bain à toute vitesse et la passe.
Je n’ai qu’une trouille, c’est que Rémy entre dans la chambre et découvre Fabien. Il en est capable car il fait comme chez lui ici.
Il reprend ses esprits et dit :
— Tu es encore plus belle que je ne l’imaginais !
Etrangement ça me touche vraiment. Ca me touche, car Rémy est un très très beau mec, et l’ayant vu nu au bord de la plage, c’est vraiment un canon. D’ailleurs aucune fille, aucune femme ne lui résiste.
Je lui tourne le dos et en marchant vers le salon sans me dandiner pour ne pas qu’il croit que j’ai envie de lui, je lui dis :
— Tu veux boire quelque chose !
Il me répond :
— Non ! J’ai plutôt faim !
Je vais dans la cuisine pour voir ce qu’il y a dans le frigo et je crie pour qu’il m’entende.
— Qu’est ce que tu veux manger ! Le frigo est plein !
J’entends alors une voix susurrer à mon oreille :
— Toi ! C’est toi que je veux manger !
Je fais volte face, et je vois Rémy juste devant moi. Il prend les pans de ma sortie de bain, les écarte, et les laisse glisser le long de mon corps. Comme devant Fabien tout à l’heure, je me retrouve nue devant lui.
Je n’ai même pas eu le temps de faire un geste. Il a fait ça très vite. Ses mains se posent sur ma taille, remontent vers mes seins. Elles se posent dessus délicatement, et se mettent à les masser tout aussi délicatement.
Je n’ai pas eu un geste de refus, je n’ai pas eu un moment de recul. Je le laisse me caresser.
Est ce le fait que Fabien m’ait excitée tout à l’heure qui me laisse me donner aux mains de Rémy comme ça, ou tout simplement parce que j’ai envie de lui depuis des lustres.
Oui, j’ai toujours eu très envie de lui depuis que je l’ai vu nu sur la plage. Je ne pouvais pas m’empêcher de le regarder. J’essayais pourtant d’être discrète pour ne pas que Jacques et lui s’en aperçoivent, mais j’avais le plus grand mal à détourner mes yeux de cet homme merveilleux.
Il me fait faire demi-tour pour que je sois de dos à lui. Il met sa joue contre ma joue. Moi je tourne la tête au maximum, pour enfin poser mes lèvres sur les siennes. Nous nous embrassons langoureusement, pendant que sa main droite caresse mes seins avec art, et sa main gauche glisse sur on ventre, mes fesses, mes hanches, mon pubis. Je suis hyper excitée et j’ai une envie folle qu’il me fasse l’amour. Sa main droite s’échappe de mon corps. Je sais bien ce qu’il fait. Il déboutonne sa chemise. Je sens son torse nu contre mon dos, ce qui me fait respirer très fort, puis je sens la paume de sa main qui remue sur mes fesses. Il est en train de défaire sa braguette. J’entends un glissement de tissus. Comme j’ai remarqué qu’il porte un pantalon très large, je devine que celui ci vient de tomber à ses pieds.
Je vois une chose voler, puis une autre. Je sens son sexe se coller à mes fesses. Il est nu.
Il est enfin nu ! Nous sommes enfin nus ! Mon corps est parcouru de frisson en imaginant que ce merveilleux homme nu sur la plage, est nu tout contre moi, et va me faire l’amour comme un dieu.
Il me soulève alors, me porte avec un bras derrière mon dos et un autre sous mes genoux.
Je l’embrasse pendant qu’il marche. C’est une fois couché sur le lit que je réalise que nous sommes dans la chambre, et que dans cette chambre, il y a également Fabien.
Mais je m’en fous. J’ai trop envie Rémy, j’ai trop envie qu’il me fasse l’amour. Il s’allonge lui aussi sur le lit. Nous nous mettons face à face et une merveilleuse séance de baiser commence.
Je suis excitée comme jamais. Je lui embrasse le visage, la bouche, je lui mords les lèvres. Il embrasse merveilleusement bien. Il soulève ma cuisse, je me laisse faire. Il se colle à moi. Je sens son merveilleux manche contre mon ventre. Je sens sa main qui tient son sexe. Je sens son gland contre ma vulve. Je sens son gland pénétrer lentement en moi je gémis en fermant les yeux. Puis je lui dis :
— Fais-moi l’amour fort !
Alors il se met à aller et venir en moi, très profondément. Il ne dit pas un mot, je gémis amoureusement sous ses coups de reins délicats. Il me prend de plus en plus fort, ses allées et venues accélèrent, mes gémissement s’accroissent. Ses mains massent délicatement mes seins, ou plutôt des mains caressent délicatement mes seins, car ce ne pas de toute évidence les mains de Rémy, puisqu’il les a posé sur mes hanches.
Fabien se colle tout contre mon dos en caressant mes seins avec toute la délicatesse qui le caractérise. Je gémis de plus en plus fort car j’ai deux hommes rien que pour moi en train de me faire l’amour. Rémy m’embrasse à pleine bouche en sortant son sexe de mon ventre à mon grand désarroi. Mais à mon plus grand bonheur, je sens le gland de Fabien sur ma vulve. Je me cambre au maximum, pour lui faire comprendre que Oui, il peut venir.
Le gland pénètre, je gémis de plus en plus fort, puis son manche s’enfonce dans mon ventre. Rémy m’embrasse follement pendant que Fabien me fait l’amour en caressant mes seins, en titillant mes tétons qui s’allongent de plus en plus. Mes seins sont hyper durs, tellement durs qu’ils me font mal. Mais que cette douleur est délicieuse.
Fabien sort de mon ventre. Aussitôt je sens à nouveau le gland de Rémy sur ma vulve. Son sexe pénètre une nouvelle fois. Je pousse des petits cris de plaisirs étouffés par les baisers que m’offrent Rémy.
Je vais jouir. Je suis au bord de l’extase. Mon corps est parcouru de spasmes. Les 2 hommes le savent, car Rémy sort de mon ventre très vite, pour laisser Fabien y mettre son manche. Je n’en peux plus, je vais jouir. Fabien reste alors bien au fond de moi et ne bouge plus pour me laisser récupérer, pour retarder ma jouissance.
Puis très doucement il reprend ses va et vient.
J’étais tellement dans un état second que je n’ai pas vu que Rémy se mettais à genoux devant ma tête. Son sexe est tout près de ma bouche.
Rémy me caresse les cheveux, Fabien accélère ses mouvements, j’ouvre la bouche, et Rémy enfonce son sexe à l’intérieur. Pour la première fois de ma vie, j’ai un sexe dans ma bouche. Pour la première fois de ma vie, je fais une fellation à un homme. Et cet homme c’est Rémy. Je suis en train d’assouvir un fantasme. Celui de faire une fellation a ce sexe qui me faisait tellement envie au bord de la plage, ce sexe que j’ai toujours rêvé prendre dans ma bouche.
Je prends le sexe de Rémy dans une main, et tout en le masturbant, je fais tourner ma langue autour de son gland, je l’enfonce profondément dans ma bouche, je l’en sors, je dépose de tendre baiser tout le long du manche. Fabien me prend de plus en plus fort et je mange le sexe à Rémy avec de plus en plus de virulence.
Rémy me dit d’une voix douce :
— Doucement Katia ! Tu vas me faire partir !
Je me mets alors à pousser des cris étouffés, car ces mots associés aux coups de boutoirs de plus en plus puissants de Fabien sont en train de me faire jouir.
Fabien pousse un cri rauque, j’enfonce le sexe de Rémy au plus profond de ma gorge. Je sens la liqueur brûlante de Fabien envahir mon corps. Je sens que Rémy va jouir à son tour. Je me trouve alors devant un cruel dilemme : Est ce que je prends sa sève dans ma bouche, quitte à la recracher ou est ce que je la retire de ma bouche.
Je n’ai pas le temps de me pose la question très longtemps, puisque dans un cri rauque, Rémy repousse ma tête et sa liqueur écru gicle dans l’espace.
Je pousse alors un long cri de jouissance comme jamais je n’ai poussé.
Nous jouissons tous les 3 en même temps. Rémy caresse délicatement mon visage, Fabien caresse tendrement mon corps nu. Ces 2 hommes sont merveilleux.
Je les embrasse l’un après l’autre en me tournant tantôt vers Rémy, tantôt vers Fabien.
Je m’allonge sur le dos, prend chacun des hommes par le cou et les embrassent l’un après l’autre.
Nous restons au moins 1/2 heure ainsi à nous embrasser comme des fous d’amour.
Rémy me dit tendrement :
— Viens ! nous allons prendre une bonne douche tous les 3 !
Je frissonne de désir rien que de m’imaginer sous l’eau dans les bras de ces 2 hommes merveilleux.
Rémy ouvre la porte de la cabine de douche, et me cède le passage. J’y entre.
Fabien me suit, puis enfin Rémy qui ferme la porte derrière lui.
Je me sens toute petite, toute fragile entre mes merveilleux amants.
Fabien ouvre le robinet thermostatique et l’eau coule sur ma tête, et se répand sur mon corps.
Fabien se met face à moi et m’embrasse à pleine bouche, pendant que Fabien s’applique à me laver, ou plutôt à me caresser le corps en commençant par le dos puis en glissant lentement vers mes fesses, sur mes fesses, sur mes cuisses. Je frémis de plaisir, jamais je n’ai vécu une scène aussi érotique. Tous mes sens sont en émoi. Fabien arrête de m’embrasser, Rémy met sa tête sur mon épaule. Je tourne la mienne et nous nous embrassons avec passion et tendresse.
Fabien fait alors courir ses mains sur mon torse. Le cou d’abord, puis très vite il lave (caresse) mes seins excités au plus haut point, puis ses mains glissent lentement vers mon ventre, ma taille, mes hanches, glissent sur mes cuisses, puis remontent. Elles sont sur mon pubis. Deux doigts glissent délicatement entre mes cuisses, écartent mes grandes lèvres. Je pousse un gémissement étouffé par la bouche de Rémy. Les 2 doigts de Fabien pénètrent alors en moi et se mettent à tourner délicatement dans ma grotte d’amour, me rendant folle de plaisir.
L’eau s’arrête de couler. Fabien ouvre la porte de la cabine de douche. Il prend délicatement ma main et me fait sortir. Rémy prend mon autre main, et je marche avec une main d’homme dans chaque main, vers la chambre.
Nous n’avons même pas pris le temps de nous essuyer.
Rémy, se met en tailleur sur le haut du lit. Il me dit :
— Viens ! Katia !
En me tirant par la main, il me fait me mettre de dos à lui, en tailleur moi aussi, le dos bien coller à son torse.
Je me sens bien ainsi, malgré la position très impudique dans laquelle je suis, les cuisses largement ouverte ainsi que les lèvres de mon minou d’ou doit sortir outrageusement mon bouton d’amour. D’autant plus impudique que Fabien s’est installé lui aussi en tailleur de l’autre côté du lit, et a une vue imprenable sur mon intimité. Jamais elle n’a été autant dévoilée.
Rémy et Fabien ont allumés chacun une cigarette, comme il se doit après l’amour, moi je n’ai pas envie de fumer, je n’ai besoin de rien d’autre que ses 2 hommes près de moi.
J’entame la conversation :
— Rémy ! Vous vous connaissez toi et Fabien !
Rémy :
— Oui, on se connaît ! Fabien m’a raconté qu’il avait rencontré un mec qui l’a invité chez lui alors qu’il ne le connaissait que depuis ½ heure, et qu’il avait fait l’amour avec sa femme devant lui, pendant qu’il se masturbait ! J’ai été tout de suite été intéressé par cette histoire et je lui ai demandé qui était ce couple ! Il ne savait pas grand chose, si ce n’est que le mec en question s’appelait Jacques, sa femme Katia et qu’ils habitaient à Blagnac ! Là j’ai percuté de suite !
Je rougis un peu de honte, car si Fabien commence à raconter partout que je fais l’amour à des inconnus qui passent, ma réputation va être faîte. Et à mon avis, Rémy ne doit pas être le seul à qui il a raconté notre histoire.
Rémy tout en parlant, joue avec mes tétons du bout de ses doigts. Mon ventre brûle d’envie, mes tétons s’allongent. Devant moi, je vois le sexe de Fabien, merveilleusement bien fait, à demi dressé, ça me donne des envies dingues.
Fabien prend la parole :
— Oui ! J’ai été très surpris que ton copain, alors que j’étais venus vendre des produits au magasin ou il bosse, m’entreprenne et me demande de venir boire l’apéro chez lui, prétextant que sa copine aimait les produits de beauté et qu’elle serait très heureuse d’essayer les siens ! J’ai été surpris, mais je ne me doutais pas une seconde de ce qui allait se passer !
Moi :
— Et tu as eu envie de moi depuis le départ ou ça t’a pris pendant que tu me passais l’huile !
Fabien :
— Non dès que je t’ai vu j’ai eu envie de toi, d’autant plus que je voyais dans tes yeux que je ne te laissais pas indifférent !
Je souris et pousse un petit gémissement, car les petits attouchements que fait Rémy sur mes seins, commencent à me rendre dingue !
Je vois alors le sexe à Fabien qui se dresse doucement et une envie folle de faire l’amour me prend. Fabien s’en rend compte, aussi, il caresse délicatement ma cuisse droite d’une main.
Je ne peux m’empêcher de regarder son sexe qui se dresse doucement, c’est merveilleux.
Comme plus personne ne parle et que seul mes gémissements se font entendre, Rémy dit :
— Tu ne veux pas savoir comment nous est venue l’idée de monter ce coup !
Moi dans un gémissement :
— Huummm ouuii !
Rémy :
— Et bien une fois que Fabien m’ait eu raconté son histoire ! J’ai eu une envie folle que nous fassions l’amour à 3 en montant un petit piège ! Le seul problème c’est que Fabien ne voulait pas, car Jacques lui avait dit de ne pas revenir chez vous, et que surtout il ne fallait pas que tu fasses l’amour avec d’autres hommes s’il n’était pas là et que donc tu ne voudrais pas !
La main de Fabien se fait insistante et est carrément posé à 2cm de mon minou alors que Rémy, tout en parlant masse mes seins avec plus de sensualité. Je suis dans tous mes états.
Rémy continue :
— Je lui ai dit que puisqu’il t’avait fait jouir comme une dingue, tu aurais beaucoup de mal à lui résister et que tu craquerais facilement ! J’ai donné un bip à Fabien. Il devait appuyer sur le bouton dès qu’il aurait réussi à te faire craquer ! Moi j’avais aussi un bip avec une diode qui s’allume, et dès qu’il s’allumait je devais frapper dans l’appart et Fabien se précipiter dans la chambre pour se cacher. Puis Fabien devait appuyer une seconde fois sur le bouton et là je pouvais entrer !
Pendant le récit, Fabien s’est mis à genoux et est venu se placer entre mes jambes. Il colle son gland à ma vulve, et fait entrer son gland dans mon ventre. Je ne lui résiste absolument pas, ben au contraire. Il me soulève les fesses avec ses mains et il s’enfonce délicatement en moi
— Tu es une petit coquine tu sais ! Quand Fabien m’a parlé de toi, et m’a fait cette proposition, jamais je n’aurais cru que tu accepterais.
Les 2 coquins se connaissent donc, et tout ça était calculé. Je réponds en gémissant car Fabien commence à aller et venir en moi et Rémy est en train de caresser mes seins.
— Je ne peux pas vous résister, ni à l’un, ni à l’autre vous êtes trop beau !
Rémy :
— Je sais ! J’avais remarqué sur la plage cet été que tu me regardais avec envie ! Que tu avais envie de moi !
Je me love contre lui et me cambre au maximum. Fabien va et vient de plus en plus vite. Huummm c’est tellement bon de sentir son sexe en moi. Rémy ne parle plus et se contente de prodiguer à mes seins des caresses de plus en plus appuyée.
Moi je me mets à parler en gémissant :
— Ohh ouii Fabiienn ! C’est bon ! Continuuee ! Hummm Oui Oui Oui Oui ! Enccoooooorreee !
Je suis au bord de la jouissance. Il me fait tellement bien l’amour, il va si profondément en moi. Rémy me caresse tellement bien, titille mes pointes avec tellement de savoir faire.
— Ooohh je vais jouiiiiiiiiiiiiiirrr ! Faîtes moi jjoooooooooouiiiiirrr !
C’est ce moment là que Fabien choisit en profite pour sortir de moi. J’halète comme une petite chienne en tortillant des hanches en ouvrant bien mes cuisses impudiquement pour qu’il revienne en moi. J’ai tellement envie de lui.
Rémy lui n’a pas cessé de me caresser les seins et je continue de gémir sous ses attouchements délicieux. Fabien s’assoit en tailleur à l’autre bout du lit face a moi.
Je vois son sexe battre la mesure tellement, il est tendu et gorgé de sang. Je comprends alors pourquoi il est sorti. Il allait jouir, il allait exploser dans mon ventre, mais il ne veut pas jouir comme ça.
Alors, doucement, je me mets à genoux en m’écartant de Rémy, puis à quatre pattes j’avance vers le sexe de Fabien.
Mon visage est à quelques cm du manche à Fabien, j’ouvre les lèvres, les posent sur son gland merveilleux. Je ferme les yeux, et en avançant doucement la tête, le sexe s’enfonce lentement jusqu’au plus profond de ma gorge.
Fabien a pris appui avec ses mains derrière son dos, et m’offre ainsi son sexe dressé et délicieux.
Je sens alors 2 mains sur mes hanches. Je me cambre car je sais que Rémy veut me prendre, et veut me prendre en levrette. Depuis hier soir, j’ai découvert que j’aimais ça, alors je me laisse faire.
Son gland se colle à ma vulve. Je pousse un gémissement étouffé par le sexe de Fabien. Puis le sexe de Rémy s’enfonce en moi. Rémy a posé une main au creux de mes reins pour me cambrer encore plus, et il se met à aller et venir fortement. Il n’est pas doux comme tout a l’heure, cette fois c’est le rut. C’est l’animal qui prend sa femelle très fort et très vite, et j’aime ça. Je me mets à pousser des petits cris étouffés par le sexe de Fabien, jusqu’à ce que je ne puisse plus me retenir. Je suis dans un état d’excitation tel que je sors la queue de Fabien de ma bouche te je crie :
— Ohophoooooooooooooooooooooooooohhh ouiiiiiiiiiiiii ! Remmmmmyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy ! Prends-moi comme chiiiiiiiiieeeeeeeeeeennnnneeee !
Et il accélère de plus belle. Je reprends le sexe de Fabien dans ma bouche et je me mets à le sucer comme une dératée. Il prend tout à coup mes cheveux pour essayer de me repousser. Je devine alors qu’il va jouir. Je ne sais pas pourquoi, mais je résiste, je résiste tellement qu’il ne parvient pas à retirer son sexe de ma bouche et je sens alors des giclées brûlantes au fond de ma gorge. Fabien pousse un cri rauque. J’ai du sperme plein la bouche. Je devrais le cracher, mais j’ai une envie folle, une envie dingue que je n’aurais jamais cru avoir : J’avale tout. J’avale toute la liqueur blanchâtre de Fabien, qui me caresse les cheveux tendrement.
Il semble très étonné de mon geste, aussi il dit à Rémy :
— Elle a tout avalée !
Et c’est là que Rémy explose dans ma chatte en criant :
— ohhhhhhhhhhh quelle salooooooooooooooooooooooooooopppppppeee !
Ce mot et les giclées de Rémy dans mon ventre me font jouir comme une dingue.
Fabien se lève. Rémy lui, s’allonge sur le dos, épuisé. Alors j’abandonne ma position de levrette pour me retourner et m’allonger sur lui.
J’entends l’eau couler dans la salle de bain. Sans aucun doute, Fabien prend sa douche.
Rémy à l’air confus et me dit :
— Excuse-moi de t’avoir traité de salope, c’est sorti tout seul !
Et moi de répondre :
— J’ai beaucoup aimé que tu me crie ça ! Ca m’a fait jouir !
Nous restons l’un contre l’autre. La porte de la salle de bain s’ouvre. Fabien entre dans la chambre dans ses vêtements. Il se penche vers le lit, pose sa bouche sur la mienne et me dit :
— Il faut que je parte Katia ! A bientôt !
Je ne suis pas trop triste même si je l’adore. Je ne suis pas triste parce que je suis dans les bras de Rémy, et je m’y sens bien.
Nous nous levons enfin. Rémy passe la robe de chambre de Jacques. Ca me fait tout drôle. Non seulement Jacques est cocu comme pas possible, mais en plus mon amant est dans sa robe de chambre, et encore pire, mon amant n’est autre que son meilleur ami.
Moi je reste nue. J’ai envie d’être nue pour Rémy. J’ai envie de me dévoiler à lui, qu’il voit les moindres recoins de mon corps.
Je vais derrière le bar pour choisir des boissons. Rémy m’a suivi. Il est derrière moi. Le coquin doit regarder mes fesses. Maintenant je suis obligée de prendre des verres qui sont sur l’étagère la plus basse du bar. Rémy doit se régaler à regarder mes fesses et mon petit minou car bien sûr j’ai fait exprès d’écarter légèrement les jambes.
Il profite de la situation pour mettre ses mains sur mes hanches.
Bien sûr, je ne fais rien pour le repousser, au contraire, je me cambre.
Je sens son bas ventre nu contre mes fesses, avec son sexe qui ne semble pas encore tout à fait en érection.
Je sens ses mains passer sous mon corps. Elles remontent lentement vers mes seins. Je suis toute frémissante, mon sexe brûle d’envie. Je sens son sexe se tendre peu à peu contre mes fesses. Ses mains se posent sur mes gros seins. Il titille mes tétons avec délicatesse ce qui a pour effet de me faire gémir. Cette fois je sens son sexe bien dressé contre mes fesses. Il fait un mouvement de rein et son manche passe entre mes cuisses pour se coller contre mes grandes lèvres.
Une de ses mains abandonne mes seins, pour passer entre mes jambes. Il soulève une de mes cuisses en mettant son avant bras sous mon genou. Je lui suis offerte ainsi. Encore un léger mouvement de rein, et son gland se colle à ma vulve.
Je pousse un léger gémissement à l’idée que ce sexe que j’aime tant va pénétrer en moi.
Doucement, Rémy s’introduit en moi. Avec sa main libre, et se penchant contre mon dos, il caresse mes seins tendrement, passant de l’un à l’autre en excitant mes tétons. Puis doucement il se met à aller et venir dans mon ventre, très loin.
Je gémis à chaque coup de reins. Des coups de reins qui s’accélèrent. Son sexe sort presque entièrement de mon ventre pour y pénétrer aussitôt.
La pénétration se fait moins tendre, je pousse des petits cris. Ca excite Rémy car ses mouvements se font puissants, violents. Il me prend si fort que mes seins remues dans tous les sens.
Je pousse des cris de plus en plus stridents.
Il est totalement dans un état de rut car il me dit :
— Ah tu aimes ma queue salope ! Tu aimes être défoncée !
Moi :
— Huuummmm ouiiii ! encoooooreee ! enccoooreee ! Baiiise moiiii ! Défonceee moiiii !
Lui :
— Oh ! Quelle chienne tu es ! Putain tu me fais bander ! Oooohh salope ! Saloopee !
Ces mots ! Ces insultes ! Ca me fait un effet fou ! Je n’en peux plus, d’autant que je sens que Rémy va jouir en moi. Ses allées et venues se font encore plus rapides, encore plus violentes ! Il pousse tout à coup un cri rauque, je sens sa sève brulante exploser dans minou et je pousse un long cri de jouissance :
— Ooooooooohh ! ooooooooiiiiiiiiiiii ! je jouuuuuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis !
Rémy sort de moi. Je me retourne et me jette dans ses bras. Nous nous embrassons amoureusement. Nos langues se mélangent. On se blottit l’un contre l’autre comme des amants plein d’amour. Je crois que je suis amoureuse de Rémy ! Ca craint !
Rémy regarde l’heure.
— Katia ! Il est déjà 18h00 ! Il faut que je parte avant que Jacques n’arrive !
Moi :
— Tu as raison ! Je te laisse partir avec regret, mais c’est mieux comme ça !
Nous nous embrassons tendrement, et nous séparons enfin. C’est une véritable torture pour l’un et pour l’autre de se désenlacer, mais bon ! Il le faut !
Rémy sort de l’appartement après avoir poser ses lèvres une dernière fois sur les miennes.
Je décide de prendre une douche pour mes rafraîchir les esprits et surtout calmer mes envies.
Pendant que je me douche, j’entends une clé tourner dans la serrure de la porte d’entrée. Puis j’entends la voix de Jacques parler à quelqu’un d’autre.
Oh non ! Ca va pas recommencer ! Il ne m’a quand même pas amené un autre mec pour me faire l’amour devant lui.
Je suis rassurée quand j’entends la voix de Laurent, un autre très bon ami à nous !
Je me remémore alors l’après midi que j’ai passé avec notre autre ami Rémy. Une après midi merveilleuse à faire l’amour comme des fous. Je sens mon minou bouillir d’envie rien que de penser à Rémy. Ca me rend dingue.
Il faut que je sorte de la douche pour les rejoindre. Ainsi je pourrais oublier plus facilement Rémy, au moins pendant un temps.
Je suis tellement pressée, que je passe juste une serviette de bain que je noue sur au dessus de mes seins. De toute façon ce n’est pas très grave, Laurent m’a souvent vu sur la plage en bikini, donc il ne sera pas étonné.
Je sors de la salle de bain, encore un peu troublée par mes pensées coquine. Je vais dans le salon. Là, il y a Jacques et Laurent assis dans le canapé en train de discuter.
Je suis soulagée et heureuse. Jacques n’a fait venir personne d’autre que Laurent. Nous allons pouvoir passer une soirée sans mettre en danger notre couple.
Je me penche vers Jacques et lui fait un tendre bisou sur les lèvres en disant :
— Bonjour Mon chéri !
Jacques :
— J’ai trouvé Laurent en bas de l’immeuble. Une chance que je sois sorti du boulot une heure plus tôt, sinon il serait venu pour rien !
Puis je vais vers Laurent. Il se lève et me fait la bise. Je ne sais pas pourquoi mais j’ai la sensation que ces bises étaient très appuyées, très sensuelles, et en tout cas, bien trop bien de mes lèvres.
Je passe outre, considérant que c’est un accident.
Laurent se rassoit. Je vais derrière le bar pour chercher le nécessaire pour l’apéritif.
Laurent dit alors :
— Ah au fait ! Vous allez rire ! J’ai croisé Rémy tout à l’heure ! Le salaud a passé l’après midi a sauté la meuf d’un de ses potes ! Putain elle en voulait il paraît ! Une vraie salope ! Le pire c’est qu’ils l’on baisé à deux ! Puis l’autre s’est barré et il a continué tout seul !
Moi je ne sais plus ou me mettre. J’en échappe même un verre. Le salaud de Rémy a tout raconté à Laurent. J’espère seulement qu’il ne lui a pas dit que cette salope c’était moi.
Jacques :
— C’est dégueulasse quand même de faire cocu un pote !
Laurent :
— Oh tu connais Rémy, dès qu’il y a une fille un peu chaude il faut qu’il en profite, il n’a aucun scrupule ! Et puis après tout si son mec n’est pas a la hauteur des espérances de sa meuf, il aurait tord de se gêner !
Je lève les yeux pour les regarder, et je vois Laurent me regarder avec un regard des plus pervers. Je suis sûre qu’il sait que c’est moi dont Laurent parlait et que c’est un peu à cause de ça qu’il est là ce soir.
Jacques :
— Oui après tout pourquoi pas ! Mais si ils se sont mis à deux, ils on du aussi la sodomiser pendant que l’autre la baisait !
Laurent :
— Ah ça je ne sais pas, il n’est pas rentré dans les détails !
Vous imaginez dans quel état de malaise je suis. Je veux avoir la confirmation de ce que je pense.
— Au fait Laurent ! C’est Jacques qui t’a amené ou tu venais de toi même pour le voir !
C’est Jacques qui répond :
— Non ! Il était à quelques mètres de l’immeuble !
Je rougis de malaise. Laurent venait bien ici pour me faire l’amour. J’en suis sûre maintenant. Et si Jacques n’était pas rentré une heure plus tôt, il aurait essayé de me faire l’amour. Et dans l’état d’excitation permanente dans lequel je suis quand je vois un homme en ce moment, je ne suis pas loin de croire que je me serais donné à lui comme à Rémy.
Rien que d’imaginer cela, je rougis encore plus. La honte m’envahi de plus en plus. 2 des meilleurs amis de Jacques me prennent pour une salope et jamais plus ce ne sera comme avant. Désormais eux et moi avons dépassé le stade de l’amitié. Je sens qu’ils viendront souvent pour abuser de moi dans le dos de Jacques.
Je suis tellement troublée, qu’en servant l’apéro à Laurent alors que je me suis penché au dessus de la table basse pour le faire, que j’en oublie que je ne porte qu’une serviette de bain a laquelle il faut très peu de mouvement pour qu’elle se détache et tombe au sol.
Et comble de malheur, les pans de la serviette se séparent, et en une seconde, je suis complètement nue face à Laurent.
Je n’ose regarder ni Jacques, ni Laurent, et je suis totalement pétrifiée. Les quelques secondes de paralysie laisse le temps à Laurent de bien admirer mes gros seins nus et mon minou imberbe.
Et c’est à ce moment là que je sens une chaleur intense envahir mon minou. Je suis comme dans un état second. Aussi je me retourne, me penche en avant les jambes à demi écartées pour ramasser la serviette. En opérant de la sorte, j’offre aux yeux de Laurent une vue imprenable, fantastique, de mes fesses et surtout de mon minou, duquel doit s’échapper mon bouton d’amour que je sens hyper gonflé.
Cela n’a duré que quelque secondes, mais ce laps de temps me semble durer une éternité. Laurent sait à quoi s’en tenir maintenant. Il doit croire que je suis prête à me donner à lui.et je le suis !
Jacques grommelle :
— Tu pourrais faire attention ! Tu n’es pas obligée de montrer tes intimités à nos amis !
Je rougis encore plus et dit :
— Excuse moi mon chéri ! Je n’ai pas fait exprès !
Laurent rajoute pour me défendre :
— Ce n’est pas si grave ! Katia est une amie au même titre que toi et jamais il ne me viendrait à l’idée d’avoir envie de lui faire des câlins !
Je n’ose plus regarder Laurent, et pourtant j’ai une envie folle de voir ses yeux me désirer, car pendant les quelques secondes qui se sont écoulées lorsque j’ai laissé tomber involontairement la serviette, un silence de mort s’est installé. C’est Laurent qui parlait à ce moment là, et il s’est arrêté net, preuve qu’une envie folle l’a envahit.
Jacques :
— Tu vas bien rester manger avec nous ce soir ?
Laurent :
— Ah ! si tu veux ! A moins que ça ne dérange Katia !
C’est à ce moment là que nos yeux se croisent pour la première fois depuis l’incident.
Son regard est plein d’envie, à la limite du vicieux. Malgré moi, ça me rend dingue de désir.
Moi, d’une voix timide et très gênée :
— Heu ! non non ! Ca ne me dérange pas !
Leur discussion reprend. Il faut que je vus décrive la configuration de la situation.
Laurent est assis sur le canapé. Jacques est assis sur un fauteuil face à Laurent mais légèrement décalé vers la droite. L’appartement n’est pas très bien fait, car il est impossible d’aligner les deux fauteuils du salon. C’est très gênant lorsque l’on veut participer à une conversation, car lorsque l’on est dans ce fauteuil, on est derrière la personne assise dans le premier fauteuil.
En résumé, je suis obligée de m’installer dans ce fauteuil là. Je suis donc assise en face de Laurent et à la gauche de Jacques, mais en retrait, si bien que je ne le vois pas et qu’il ne me voit pas.
La discussion va bon train. Discussion à laquelle je ne participe pas, comme d’habitude puisque Jacques a la sale manie de m’oublier complètement lorsque ses amis sont là.
De temps en temps, je sens le regard de Laurent sur moi. Quand je pense qu’il connaît mon secret et qu’il est là pour ça, ca me fait honte mais en même ça m’excite.
A un moment donné, nous nous regardons dans les yeux, puis son regard descend le long de mon corps, pour s’arrêter au niveau de mes cuisses. Je ressens des frissons partout dans le corps. J’ai eu l’impression d’être nue lorsque son regard s’est posé sur mes cuisses. J’ai eu l’impression de ne pas avoir la serviette.
Son regard revient vers Jacques qui a continue de parler.
Quelques secondes plus tard, Laurent me regarde à nouveau et comme tout à l’heure, ses yeux descendent le long de mon corps pour s’arrêter sur mes cuisses. Et là, il fait un petit hochement de tête comme pour me dire quelque chose. Il veut que je fasse quelque chose et je commence à comprendre quoi.
Une douce chaleur m’envahit. Je suis terriblement excitée. Alors une force venant de je ne sais ou, me fait légèrement ouvrir les cuisses. Je n’ai pas pu résister à cette envie. Je suis sûre que le hochement de tête de Laurent signifiait « Ouvre tes cuisses Katia ».
Quand le regard de Laurent revient sur mes cuisses, il a un air satisfait. C’est bien cela qu’il voulait.
Je n’aurais pas du faire ça. Je ne devrais pas faire ça. Jacques est là dans le fauteuil et il peut se retourner à tout moment, d’autant que les coups d’oil de Laurent se font de plus en plus nombreux et de plus en plus insistant.
Je devrais refermer les cuisses et arrêter ce cirque, mais cette force inconnue et irrésistible me dit « ouvre encore tes cuisses. Montre lui ton minou ».
Je ne peux pas résister à cela. J’en ai trop envie. Je suis trop excitée. Alors sans m’en rendre vraiment compte, j’ouvre encore plus les cuisses. Un peu trop d’ailleurs, car les pans de la serviette viennent de glisser sur mes cuisses, et cette fois ça y est. J’offre la vue de mon minou nu et imberbe à Laurent.
Lorsque son regard revient vers moi et qu’il me voit dans cette situation, il a un grand sourire de satisfaction. Moi je frémis de désir et je me sens bien, ainsi dévoilée. C’est étrange, je devrais être très gênée mais au contraire je me sens bien et à chaque regard de Laurent je reçois une secousse de plaisir.
Laurent n’en demande pas plus et se contente de loucher sur mon minou le plus souvent possible sans perdre le fil de la conversation avec Jacques.
Il n’en demande pas plus, donc je ne devrais pas en faire plus.
Pourtant, cette force intérieure me dit « continue ! Excite le encore plus, montre lui bien que tu veux t’offrir à lui ». Et cette force me fait faire une chose que je n’aurais jamais imaginé faire. Je passe une jambe par dessus un accoudoir du fauteuil, puis l’autre jambe par dessus l’autre accoudoir.
Quand Laurent me regarde à nouveau, il écarquille les yeux. Il écarquille les yeux, car il en a beaucoup plus que ce qu’il désirait. Il a devant lui le merveilleux spectacle de la copine à son meilleur ami, les cuisses complètement écartées et le minou ouvert au maximum, dévoilant le bouton d’amour, et la chair rose qui l’entoure.
La copine de son meilleur ami, elle, est terriblement excitée et veut tout lui montrer à cause de cette petite voix intérieure qui lui dit « Dévoile-toi entièrement à lui ! Ouvre ta serviette et montres toi complètement nue ! Tu vas voir tu vas aimer ça ! ».
Alors je défais le noud de la serviette au dessus de mes seins, j’ouvre bien les pans.
Le regard de Laurent revient vers moi. Il est insistant, pervers, il me rend dingue. Il me rend tellement dingue que je ne peux pas le soutenir. Aussi je ferme les yeux et j’écoute sans hésite cette petite voix intérieure qui me dit « tu es trop excitée maintenant, caresse toi, tu en as tellement envie »
Alors je porte une main à mon minou comme hypnotisée par l’envie et je me mets à titiller mon clitoris en me mordant les lèvres. Le plaisir est intense. Tellement intense que je sens désormais le moment exact ou Laurent me regarde alors que j’ai pourtant les yeux fermés. J’en oublie la situation. Ou plutôt non ! Je ne l’oublie pas ! Je n’oublie pas que Jacques est là en train de parler avec Laurent alors que je me donne de la plus perverse des façons au regard de ce dernier. Je ne l’oublie pas, je m’en fous tout simplement ! Je me fous qu’il soit là, je me fous qu’il me voit ! Si Laurent me sauterait dessus maintenant, je ne lui résisterais pas et me donnerais complètement, même devant Jacques !
Puis je sors d’un seul coup de mes torpeurs, enlève les jambes de l’accoudoir et remets ma serviette à un éclair car Jacques vient de demander :
— Katia ! Il y a du pain pour ce soir ?
Oui il y en a. Pourtant cette petite voix intérieure me fait dire :
— Non ! Il n’y en a pas ! Je ne suis pas sorti pour en acheter !
Jacques se lève et se retourne vers moi en disant :
— C’est pas grave je vais y aller j’en ai pour 5 minutes !
Puis il me dit :
— Ca ne va pas mon Cour ? Tu as l’air bizarre et tu transpires ! Tu es malade ?
Moi :
— Non non ! T’inquiète pas ! J’ai un peu chaud ! Ca va passer !
Lui :
— Bon si tu le dis !
Il se penche vers moi et me fait un bisou tendre. Puis il sort de l’appartement.
La petite voix intérieure m’a forcée à le faire partir pour être seule avec Laurent, pourtant je suis très mal a l’aise.
Laurent se lève et vient vers mon fauteuil. Il me tend la main, je la prends et il m’aide à me lever.
Que va t-il se passer maintenant ? Je ne sais pas, mais une chose est sûre c’est que nous n’allons pas attendre Jacques comme des enfants sages.
Laurent tire sur le noud de ma serviette, et je me retrouve nue devant lui. Etrangement je ressens une légère gêne malgré ce qui vient de se passer. Sans doute parce que je me retrouve nue devant lui qui est tout habillé. Je ressens un sentiment de soumission qui étrangement m’excite beaucoup.
Il me dirige vers la baie vitrée de l’appart, me colle face à la vitre. Si le voisin d’en face à une paire de jumelle, il doit se rincer l’oil. Je sens alors les mains de Laurent s’immiscer entre la vitre et mes seins. Je pousse un léger gémissement. A cause de ses mains bien sûr, mais surtout parce que je vois Jacques marcher dans le parking et se diriger vers la voiture.
Ca m’excite encore plus. Je le trompe de la plus terrible des façons et j’aime ça. Il n’est pas encore arrivé à la voiture que je sens le gland de Laurent se coller à ma vulve. Sans quitter Jacques du regard, je me cambre au maximum, et c’est lorsque Jacques ouvre la portière de la voiture que je reçois un merveilleux coup de boutoir dans mon ventre.
Laurent me dit :
— Tu es une sacrée salope toi ! Surveille s’il arrive pendant que je te baise !
Il se met alors à aller et venir dans mon ventre, très fort et très vite. Je suis déjà au bord de la jouissance après les instants et l’après midi que je viens de vivre.
Il me prend bien, il fait terriblement bien l’amour. Je pousse des cris de plaisir :
— Oh ouii ! Ouuuiiii ! J’aime ça ! Continue ! Continuuuuee ! Baiseee moi !
Ca le motive encore plus car ses coups de boutoirs se font plus puissants encore et plus rapide.
Le coquin arrête de bouger en moi, quand mes cris se font trop puissants car il sait qu’ils sont synonymes d’une jouissance imminente.
Au bout de 5 minutes, je vois la voiture de Jacques se garer sur le parking.
— LAURENT ! Il arrive ! S’il te plaiiitt ! Fais-moi jouuiiiirrr !
Il accélère alors. Je pousse des cris de plus en plus puissants :
— Laurent ! Fais moi jouiiiiir ! je t’en priiiie ! Il vient de rentrer dans l’immeuble !
Une fois cela dit, Laurent sort de moi, me prend par les cheveux pour m’obliger à m’agenouiller.
J’ai le visage devant son sexe. Laurent se met alors à se masturber et en quelques secondes, je reçois sa sève sur le visage. Instinctivement j’ouvre la bouche pour recevoir les derniers jets au fond de la gorge.
Je pars en courant dans la salle de bain pendant que Laurent se rajuste (j’imagine).
Au bout de quelques secondes, la porte d’entrée s’ouvre.
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