Souvenir

Mon mari adore que je le suce ! Et comme moi, jadore mon mari, je vais au-devant de son désir. De toute façon je nai pas le choix : gare si joublie ! Gare si je nai pas compris le regard, le petit geste minvitant à officier. Arrivée à la maison, mes cuisses sen souviendront. Nous nous sommes rencontrés à la fac, au début des années 80. Nous sommes rapidement sortis ensemble et je lui ai fait apprécié ma technique de fellation un soir au cinéma. Je me souviens de son regard quand je me suis penchée vers sa braguette. Dans le noir, jai sorti son sexe rapidement. Je voulais le sentir grossir encore entre mes lèvres. Il était chaud et doux. Je mappliquais à titiller le gland avec le bout de ma langue et je fus surprise par sa main qui sabattit à ce moment-là sur ma nuque. Il me forçait à le prendre entièrement en bouche. Me tirant les cheveux en arrière, je remontais rapidement sa queue, reprenait ma respiration, et déjà, il me poussait à lavaler de nouveau. A cette occasion, je découvris plusieurs choses. Tout dabord, la force de sa poigne ! Les larmes aux yeux je cherchais à me dégager de son emprise, mais sa main me ramener invariablement vers son sexe que jembouchais. Également, je compris ce jour-là ce quétait un homme qui ne cherchait que sa jouissance. Sous son étreinte, je me sentais objet de plaisir. Il décidait du rythme de mes allées et venues. Il éjacula en me tenant fermement, mobligeant à tout avaler. Enfin, la chose la plus étrange, je la découvris peu à peu dans lheure qui suivit. Son bras autour de mes épaule, blottie contre lui, jétais sensée regarder le film, mais je ne faisais que repasser dans ma tête la scène torride qui venait de se jouer entre nous. Javais joui Je devais me rendre à lévidence, au moment où ses jets de sperme buttaient contre ma gorge, des milliards détoiles explosaient dans ma tête. Aucun amant ne mavait prodigué une telle jouissance. Javais joui sous ses manières de brute, ses méthodes sévères pour diriger nos ébats. Tel larroseur-arrosé, javais cru le surprendre par une fellation experte et métais retrouvée jouet dans ses mains habiles. Sur le trottoir, en sortant de la séance, jaurais été incapable de vous donner le titre du film que nous venions de voir. Par contre, je navais jamais su aussi bien ce que jallais faire : jallais garder mon homme, le chérir et ne plus le quitter. Un an plus tard, nous nous sommes mariés. Entre temps, javais découvert la fessée, la vraie, celle qui punit et quon redemande en même temps. Celle qui transporte vers des rivages chauds et ensoleillés. Celle quon craint aussi parce quelle signale une négligence, un oubli. Je due mhabituer à une nouvelle vie et ne pas craindre de le montrer. Au lit, je nétais plus quune poupée gonflable quon manipulait. Tous mes orifices furent utilisés au plus grand bonheur de cet homme. Mais le plus difficile fut hors du lit, de la chambre, de la maison. Sans jamais être explicite, je devais toujours me tenir sous son contrôle. Invités dans la famille, chez des amis, il sinstallait dans un fauteuil et je me mettais par terre à ses pieds. A moi de trouver une justification plausible et la crainte de la fessée favorise limagination, je vous assure ! Vous voulez que je vous raconte la première fois chez ma sur et son mari ? Pour le café, nous passons dans le salon. Il sinstalle confortablement et je me place en face de lui, dans le canapé : quand même, chez ma sur ! Il faut faire attention ! Me dis-je. Je lentend claquer des doigts. Je le vois me toiser mais je ne bouge pas. La fin de la soirée fut alors horrible. Il discuta cordialement avec sa future belle-sur et son futur beau-frère. Il se fit apprécier par son sens de lhumour, sa répartie, sa culture, tout en mignorant totalement. Japparaissais ainsi bien terne à côté de lui, au point que ma sur me coinça un instant dans la cuisine et me demanda pourquoi je faisais la gueule alors que javais la chance de connaître un type pareil. Vers minuit, nous les quittâmes. Nous nhabitions pas encore ensemble à lépoque (les convenances !) et il devait me déposer chez moi, en ville, alors que ma sur habitait un petit village à une quinzaine de km. Quand il quitta la route pour sengager sur un chemin de terre, en pleine nuit, me revint à lesprit quil connaissait bien cette région, depuis son enfance. Il arrêta la voiture quelques centaines de mètres plus loin. Paraphrasant un film qui était sorti quelques années plus tôt, il me dit : dans cette espace, nul ne tentendra crier ».Nous descendîmes de la voiture. Je ne comprenais rien. Nous étions dans une petite clairière, au clair de lune. Il séloigna vers les premiers arbres en me jetant un « déshabille-toi ! » qui ne souffrait aucune discussion. Jenlevais ma robe et la posais sur le capot encore chaud de la voiture, puis le soutien-gorge. Depuis que je le fréquentais, je portais uniquement des bas et très rarement des culottes, aussi, mon effeuillage fut facilité. Il revint avec des branches de noyer dans la main. Je frémis mais nosais encore imaginer ce qui mattendait. Il fit le tour de la voiture, ouvrit le coffre, en sortit une corde. Il sapprocha de moi : montre tes mains !Javançais les bras. Rapidement, il fit tourner la corde. Mes deux poignets furent emprisonnés. Il me tira ainsi vers les premiers arbres et attacha mes deux mains liées à une branche, au-dessus de ma tête. Il tira la corde pour que je ne puisses mappuyer que sur la pointe des pieds. Ainsi immobilisée, jentendais sa respiration dans mon cou. Je sentis sa langue jouer avec le lobe de loreille. Il chuchotait : je ne veux plus que cela se reproduise mon amour. Tu mappartiens. Tu dois mobéir. Je vais te corriger et plus jamais, tu verras, plus jamais tu noublieras où est ta place. Il me dit tout cela très tendrement. Je le sens se retirer et, de suite, une brulure déchire ma fesse droite, puis la gauche. Je hurle. Je le supplie de cesser, puis je linsulte, le traite de malade. Les coups continuent de pleuvoir. Il a maintenant changé de côté pour atteindre mon ventre. Les branches de noyer me cisaillent et me transpercent en même temps. Je ne suis maintenant que pleurs. Jendure et attends la fin de ce calvaire. Je ne réalise même pas que les coups se sont arrêtés. Il détache mes bras et je meffondre dans lherbe. Entre deux sanglots, je tente de reprendre ma respiration. Je cligne des yeux et derrière un voile de larmes je le vois séloigner, ranger la corde dans la voiture, puis revenir, une branche toujours dans la main. Avec celle-ci il me caresse lépaule et le dos meurtri. Le ton a changé. Cest dune voix dure quil sadresse à moi : mets-toi à quatre pattes !jobtempère, redoutant sa colère. Sa main caresse doucement ma croupe, mon cul. Elle sinsinue entre mes jambes que jécarte, facilitant la progression. Il fouille ma toison, à la recherche du tendre bouton, et constate que je suis déjà trempée ! Tu ne peux renier tes désirs les plus profonds.Je suis rouge de honte et de confusion. Il a raison. Je viens de souffrir et de jouir en même temps. Dès demain, tu vas épiler ta toison. Je ne veux plus jamais voir un poil pousser sur ton mont de vénus. Ce sera ta punition pour mavoir désobéi. Maintenant quil a constaté mon plaisir, il se sait victorieux. Il sait que demain je serai encore à quémander son regard, ses caresses ses ordres. Je lentends se redresser. Un bruit de fermeture éclair. Je redresse tête, il attrape mes cheveux et dirige mes lèvres vers sa queue. Je le prends avidement, lèche le bandeau de chair, le laisse senfoncer de nouveau, au plus profond.. Mes mains caressent ses bourses mais il me linterdit rapidement. Il veux que je les croise derrière la tête. Ainsi, bien redressé, il senfonce, au rythme quil a choisi dans ma bouche, jusquà la jouissance. Dès le début de notre mariage, je savais donc à quoi mattendre. Et jen redemandais ! Nous formions un couple remarqué et nous étions souvent invités chez les uns et les autres. Nous nous installâmes à Paris, dans le Marais, et je pu finir mes études. Car ne croyez pas que je fus enfermé par mon Seigneur et Maître, dans une vie de recluse, consacrée à ses désirs. Au contraire, de quelques années mon ainé, il termina ses études lannée de notre mariage. Son diplôme lui permit de trouver sans problème un emploi bien rémunéré. Ainsi, il insista pour que je continue mes recherches. Il organisa la vie autour de moi pour que je sois dans les meilleures conditions de réussite universitaire. Jobtins mon agrégation et je soutins ma thèse la même année. Je pus intégrer un laboratoire de recherche et donner quelques cours à luniversité. Cette vie professionnelle, bien remplie et enrichissante, je lai conservé jusquà aujourdhui. Elle ma apporté une notoriété certaine. Je suis, dans mon domaine, ce quon appelle une sommité incontournable. Jai voyagé de par le monde, intervenant dans de multiples conférences et colloques, faisant la fierté de mon mari. Lui aussi a connu une ascension sociale importante. A la fin des années 90, il a pris le train des start-up, montant sa propre entreprise dans un créneau aussi pointu que rémunérateur. Aujourdhui, nos enfants sont grands et nous pouvons nous permettre de « prendre du recul ». Il vient de vendre sa société. Je fais valoir mes droits à la retraite. Cest une vie dorée de semi retraités qui nous attend. Déjà mon éditeur me parle de mémoires, dautobiographie. Nous avons vécu, à travers les lieux où memmenait mon métier, des moments qui ont compté dans le tournant du millénaire. Nous avons croisé des individus remarquables, avant quils ne deviennent des personnalités publiques. Mais je sais que tout un pan de notre vie sera absent de mes mémoires. Convenances. Souci des formes. Pourtant, je reste persuadé que cette partie de mon existence, loin den être un côté sombre, en fut un enrichissement qui contribua à mon épanouissement de femme, de mère, de citoyenne libre, militant pour un monde plus juste. Alors, en attendant ces mémoires officielles, ce sont ces aspects là que je veux livrer ici. Je vous ai déjà raconté ma rencontre avec mon mari, ma découverte de ses envies, mon plaisir à les assumer. Dans le secret de notre foyer, sans enfant au début, mon dressage allait bon train. Dailleurs, je savais que ce nest quune fois mon domptage terminé que nous fonderions notre famille. Jai toujours aimé ces mots qui me mettaient au rang dun animal, une pouliche, une jument, ou une chienne, comme Il aime me désigner encore aujourdhui. Car je fus réellement dompté ! Cela prit du temps mais jen pris conscience une nuit où je dormais par terre, au pied du lit. Toute la soirée, javais servi mon Maître et sa maîtresse dun soir. Dans le noir, avec à loreille leurs gémissements de plaisirs, je réalisais que pour la première fois mon Maître me trompait. Mais je nétais pas simplement cocue, je le vivais comme une action logique : cétait son droit. Jétais persuadée (et je le suis aujourdhui encore) que jamais mon Seigneur ne mavait trompé vulgairement, en se cachant de moi. Dailleurs, le mot est mal choisi. Il ne sagissait pas de tromperie. Un Maître ne trompe pas une esclave. Une esclave na aucune exigence envers son Maître. Quelques heures plus tôt, il était entré avec elle dans lappartement et je compris tout de suite de quoi il retournait. Non pour men offusquer, bien sûr ! Je me fis simplement la remarque que je ne devais pas oublier de lui lécher les pieds après avoir honoré ainsi mon Maître comme à son habitude. Jétais nue. Je me prosternais devant eux. Ses pieds étaient fins. Ils étaient habillés de fines sandales blanches tenues à la cheville par un ruban vert. Je posais prudemment mes lèvres dessus. Cela sentait le lilas frais. Elle ne bougeait pas, je menhardissais et léchais doucement le dessus de son pied. Jentendais mon mari me présenter : la voici. Tu vois, elle est très docile.A ces compliments, je frétillais du cul. Il lui précisa alors ce que je pris pour une évidence : elle avait tous les droits sur moi. Normal : elle était avec Lui et semblait son égale. Elle saccroupit face à moi et me prit la tête dans les mains. Ses longs doigts fourrageais dans mes cheveux. Je me laissais faire. Là, là ! Gentille chienne ! Tu es très belle. Ta peau est douce. Je vais bien profiter de toi ce soir. Tu as déjà aimé une femme ? Non.Un silence succéda à ma réponse. Je sentis sa main descendre vers mes mamelles. Elle prit un mamelon entre deux doigts et pinça fort. La douleur irradia tout un côté de mon corps, mais surtout je ne comprenais pas pourquoi javais droit à ce traitement. Je levais un regard larmoyant et interrogateur vers mon Maître. Ce nest pas une réponse desclave que tu viens de faire. Diane est une Maîtresse elle aussi. Tu lui dois respect et obéissance. Je baissais alors la tête et mexcusais auprès delle. Toute la soirée, je veillerai à lappeler Maîtresse Diane. Dans linstant, mon Seigneur me mit une grande claque sur le cul : Allez ! File ! Sers nous un apéritif et prépare le repas.Jobtempérais prestement. Je partis vers la cuisine à quatre pattes et ne me redressais quune fois la porte franchie. Je mis à chauffer ce qui était le plus long à préparer puis je mintéressais à lapéritif. Coupant de fines tranches de saucisson, je réfléchissais. Cétait la première fois que mon Maître introduisait quelquun dans notre intimité et notre relation. Je savais bien que cela arriverai un jour, mais javais toujours imaginé un homme. Plusieurs fois mon Maître mavait expliqué quil me donnerai et javais accepté par avance, pour lui faire honneur, douvrir mes cuisses, mes reins, à qui il moffrirai. Nous étions mariés depuis deux ans et cest à une femme que jallais devoir me soumettre. Nimaginez pas une quelconque répugnance de ma part, mon dressage mavait déjà emmené au-delà de ce type de réaction. Non, ce que je craignais, cétait de ne pas savoir faire, de décevoir, et au bout, dêtre punie. Durement punie. Je retournais dans le salon, posais sur la table basse les gâteaux, saucissons, olives accompagnant les apéritifs. Je me gardais bien dinterrompre leur conversation et tout deux mignoraient superbement. Je pris dans le buffet les différents alcools, les posais devant moi. Je magenouillais, prenant soin douvrir le plus largement possible les cuisses. Je gardais la tête baissée. Mes bras reposaient sur mes cuisses, la paume des mains tournée vers eux. Jattendis, attentive, guettant dans la conversation la commande dapéritif. Je servis un whisky mon Maître et repris ma position.Je veux te sodomiser.Elle avait dit cela tranquillement et je savais que je devais vite réagir. Elle était une Maîtresse. Comme je laurais fait pour mon mari, je me tournai, mis la joue sur le tapis pour brandir haut mon cul. De mes deux mains, jécartais mes fesses. Je lentendis se déplacer. Elle se mis dans mon angle de vision et me contempla, les mains sur les hanches. Une sage jupe blanche cachait ses cuisses, presque jusquaux genoux. Elle portait un chemisier vert, dont le décolleté, en V, pointait jusquen dessous des seins. Ses épaules dénudées semblaient fragiles. Elle semblait avoir mon âge et tout, en elle, mattirait. Je suis sûre que dans dautres circonstances, nous aurions été amies. Là, elle me souriait dédaigneusement. Regarde, jai tout de suite pensé à le prendre quand ton Maître ma dit que jallais te rencontrer. Elle me montrait un gode ceinture noir quelle entreprit dinstaller autour de ses hanches. Comparé à ceux employés par mon mari lors des « séances enculades » comme il appelait ces moments là, son engin ne me fit pas peur. Javais vu et éprouvé bien pire, mais je me gardais bien de le dire. Je la laissais sinstaller derrière moi. A la la souffrance, je craignais plus lhumiliation, car je savais ce quelle nallait pas manquer de découvrir. En effet, elle glissa sa main vers mon con et remarque de suite lhumidité du lieu. Jétais trempe ! Jétais nue, offerte une inconnue qui menaçait de me sodomiser devant mon mari, et jen jouissais par avance ! Quelle honte ! Je jouissais et dans le même temps jaurais voulu disparaître dans un trou de souris. Jétais en pleurs. Cest une véritable rivière qui dégouline de sa chatte ! sexclama-t-elle à lintention de mon Maître. Regarde ! Le gode entre comme dans du beurre. Je vais pouvoir bien le huiler. Je sentais loutil quelle faisait tourner dans mon ventre. Elle lenfonçait puis le ressortait lentement avant dy retourner de nouveau. Elle épiait mes gémissements. Une dernière fois, je sentis lengin sortir et un grand vide, quelques secondes. Ses mains se collèrent sur mes hanches et dun geste brusque elle senfonça dans mon cul. Je ne pu mempêcher de crier devant la violence de la pénétration. Elle frappa mes fesses. Tais-toi ! Je ne veux pas tentendre, petite enculée ! Elle entama un va-et-vient ample. Je sentais mon cul se déchirait à chaque envahissement mais je pleurais en silence et ne me plaignais pas. Mon mari sétait levé et placé derrière elle. Il introduisit sa main sous sa jupe pour atteindre son bouton et je sentis son plaisir monter avec laccélération du rythme des pénétrations. Elle poussa un cri et sécrasa sur mon dos. Ce fut le silence. Aucun mouvement. Juste son souffle sur mes omoplates. Elle savoura ainsi son plaisir plusieurs minutes. Puis je la sentis déplacer un bras. Sa main attrapa mon sein. Je me crispai dappréhension mais le geste était tendre, la caresse douce. Elle se redressa et sortit lentement le gode de mon cul. Elle le laissa par terre et fut surprise de me voir me retourner pour le nettoyer, sans le toucher de mes mains, uniquement avec les lèvres et la langue, comme me lordonne toujours mon Maître. Elle me caressait gentiment les cheveux, mappelait sa petite chienne. Je nai jamais revu cette fille qui prit possession de moi ce soir là. Après mavoir si divinement enculée, je la servis de mon mieux, la fit jouir plusieurs fois. Tard dans la soirée je lai apprêtée pour quelle passe la nuit avec mon Maître. Je crois quaucune parcelle de son corps na échappé à ma langue. De même, aucune parcelle de mon corps na échappé à la badine quelle tenait dune main très expérimentée pour son jeune âge. Quoi quil en soit, elle fut la première à mutiliser. Dautres viendront, nombreux. Mais elle a laissé dans mon corps comme dans mon âme, une marque, un souvenir distinct qui me permet aujourdhui encore de me caresser et de jouir violemment en regardant son visage voleter au dessus de mes paupières closes. Je sentis le froid du métal autour de mon cou en même temps que jentendais le déclic du cadenas. Le collier semblait épais. Il était lourd. Je ne pouvais ni le voir ni le toucher, mes mains étaient enchaînées dans mon dos et mes yeux étaient recouverts dun loup. Lhomme tira un petit coup sur la laisse pour que javance. Mon Maître mavait habillé de mes hauts talons et, dans le noir, je devais faire attention à chaque pas. Dailleurs, où était-il maintenant ? Javais dû couvrir mes yeux, dès notre départ en voiture. Javais tenté de linterroger sur notre destination mais il mavait intimé lordre de me taire, dun ton sans réplique. La voiture avait enfin ralenti, et il sétait adressé une dernière fois à moi : Sors, déshabille-toi, garde tes chaussures et ton masque. On tattend ainsi.Jai bien sûr obéi, sans discuter. Mais, le bruit du moteur qui semballe, dès que je fus nue, ma surpris. Mon Maître mabandonnait dans un lieu inconnu. A qui étais-je confié ? Pourquoi ? Combien de temps ? Toutes ces questions étaient présentes à mon esprit quand jentendis quon sapprochait de moi. Tout doux, jolie chienne. Ton Maître ne ma pas menti, tu es vraiment magnifique.Par réflexe, je baissais rapidement la tête, écartais les cuisses et laissais mes bras le long du corps, paume ouverte, vers la voix. et docile avec ça ! Nous allons bien profiter de notre week-end je croisAlors quon me passait ce collier au cou, je me dis que je pouvais déjà répondre à une question : jétais ici sans mon Maître pour plus dune journée ! Quavait-il encore inventé pour me mettre à lépreuve ? Cétait plutôt réussi dailleurs, javais sentis mon intimité se mouiller quand lhomme avait annoncé quil allait « profiter » de moi. Une porte souvre. Je suis poussée à lintérieur. On me guide quelques pas puis je dois marrêter. La voix reprend, tonitruante : Et voici, messieurs dames, notre jouet ! Vous ne laviez jamais vue ainsi nest-ce pas ?Jentendis un ou deux rires, de suite stoppés par celui qui semblait être le maître de cérémonie. Chut, je vous rappelle la règle principale : elle ne doit pas entendre vos voix, elle ne doit pas vous reconnaître, alors que vous allez tous abuser delle. Je tressaillis. Ces hommes, et peut-être ces femmes, me connaissaient ? Lhomme tira dun coup sec sur la laisse et je me retrouvais à quatre pattes sur une épaisse moquette. tu as bien entendu : tu es confié par ton Maître aux personnes présentes. Elles te connaissent, toutes, mais dans dautres cadres : professionnel, familial, social. Tiens approche ! Il me prit par le collier pour me faire avancer. Monsieur, voulez vous commencer. Il y a bien longtemps quune telle jeunesse ne vous a pas prodigué ses caresses. Il paraît quelle est très douée. Voilà, descendez votre pantalon. Oh, cest plus tout neuf ça ! Mais elle va sappliquer, ne vous inquiétez pas. Il me releva par les cheveux et je sentis une présence devant moi. Ouvre la bouche !Une verge mollassonne senfonça entre mes lèvres. Je la suçais me demandant à qui elle pouvait bien appartenir. Je nen revenais pas de ce que mon Maître me faisait subir là. Comment allais-je pouvoir regarder chacun maintenant ? La réponse était pourtant évidente. Pendant que je sentais le membre lentement gonfler dans ma bouche, mon tourmenteur me tapa sur les fesses, me rappelant par ce geste que je devais écarter les jambes. Ainsi, mon Maître lui avait parlé de mon dressage. Il reprit la parole : Son propriétaire ma affirmé quelle ne pourrait pas cacher longtemps son excitation. Nous allons vérifier. Tout en disant cela, sa main senfonçait entre mes cuisses. Deux doigts pénétrèrent ma chatte et constatèrent mon degré dhumidité. Ainsi, cest vrai : tu es nue, à quatre pattes, suçant une personne qui pourrait être ton grand-père, promise à bien dautres encore. Tu sais que la plupart des présents te connaissent. Et tu jouis ! Regardez là ! Jétais submergée par la honte. Je me donnais en spectacle dune manière qui paraitrait abjecte à mes amis, mais ils étaient peut-être là ! Et pourtant Pourtant mon ventre était en feu, le plaisir me prenait par vagues successives. Si une main forte ne me tenait pas par la nuque, je me serais roulée par terre. Je serrais les cuisses sur la main de lhomme qui triturait mon bouton, alors que dans ma bouche, je sentais un liquide me remplir. Je ne pouvais me dégager et dû avaler toute la semence du vieil homme avant quil ne se dégage. A qui le tour ? Madame ? Aviez-vous pensé que cette langue que vous connaissais bien vous ferez un jour jouir ? Allez-y, installez vous confortablement, au bord du fauteuil, la chienne va sapprocher. Sans réfléchir, je suivis la directive. Je flairai dabord un agréable parfum, puis, une odeur plus forte, de femelle en rut. Elle aussi était trempé. Une toison épaisse se colla à ma bouche. La même voix reprit : Tu as compris la chienne ? Tu es en présence dune vraie femme, pas dune soumise toute lisse. Alors applique-toi, sors ta langue, oui comme ça, écarte les lèvres de Madame, dégage délicatement le beau clitoris. A-t-il bon goût ? Comme si je répondais à une question de mon Maître, je me mis à frétiller du cul. Jentendis un éclat de rire général qui me doucha. Les larmes me montèrent aux yeux mais je neus pas le temps de mapitoyer. Regardez ce beau cul ! Qui veut en profiter ? Madame, avez-vous déjà fouetté un cul ? Non ? Et bien profitez-en ! Essayez ! Votre amie vous donne le sien ! Le silence sétait dun coup fait plus présent. Je ne voulais pas imaginer la suite et aspirais de plus belle le bouton de la femme devant moi. Jentendais sa respiration devenir plus saccadée. Jentendis un sifflement et perçut une brulure sur les reins. Je voulus reculer mais deux mains se plaquèrent sur mes omoplates et mimmobilisèrent. Un deuxième coup de fouet cingla mes fesses, puis un troisième. Je ne pouvais plus satisfaire la femme devant moi, aussi, elle me tint la tête, me tira les cheveux et frotta violemment mon museau sur son sexe. Elle jouit ainsi et je pus reprendre ma respiration. Les coups avaient fini de pleuvoir. Je ne bougeais pas et sentis deux mains saplatir sur mes hanche. Un sexe cherchait son chemin entre me cuisses. Je me cambrais pour bien le recevoir. Il me pénétra dun coup, profondément, et commença un va-et-vient puissant qui accompagnait une longue déferlante de jouissance : une nouvelle fois, le plaisir dêtre avilie, humiliée, était plus fort que tout. on releva ma tête sans ménagement, par les cheveux, pour que je puisses engloutir une nouvelle verge et la sucer avec application. Mais cela ne devait pas suffire car lhomme devant moi sortit sa queue de ma bouche, me gifla et me remit son sexe en bouche, profondément. Je laccueillis au fond de ma gorge, je métouffais. Il ressortit et recommença le même geste, les mêmes gifles avant de me forcer. De nouveau je lavais en gorge, au risque dasphyxier. Derrière moi, un autre sexe prenait place. Devant, lhomme sortit une dernière fois de ma bouche pour éjaculer sur mon visage et étaler de sa main son abondante semence. Quand un nouvel homme parvint à sassouvir dans mon ventre, on me retourna. Je fus couché sur le dos et une femme sassit sur mon visage. Je comprenais son désir et cherchais de ma langue à pénétrer son anus. Elle sentait fort mais je mappliquais à lécher sa raie des fesses puis je retournais vers son petit trou. Elle jouit ainsi, se trémoussant sur ma figure, me maculant de son plaisir. Elle se leva et jentendis des tintements de verres. Chacun reprenait des forces, en silence. On me donna une main à lécher. On me guida vers une gamelle dont je lapais goulument leau. Cela produisait un grand bruit qui fit rire lassemblée. Jétais ridicule et en jouissais encore. la soirée continua ainsi. On mutilisa de toutes les façons. Je ne dis rien, les rares fois où jai regimbais, une paire de claques, un coup de cravache, me remettais en place. Peu à peu, il me semblait que moins de monde se pressait autour de moi. Ivre de plaisir, je réagis à peine quand celui qui me dirigeait depuis le début enleva le loup sur mes yeux. Nous étions seuls. Il prit la laisse et memmena, toujours à quatre pattes, vers une petite cour intérieure. Je restais sur le glacis pendant quil prenait un tuyau darrosage. Il recula un peu avant dasperger mon corps, sous toutes les coutures, si jose dire. Il me lança un morceau de savon. Je lattrapai et commençai à me frotter. Leau fraiche et la friction que je mimposais me firent du bien. Jétais couverte de mousse, à genou face à lui et je me doutais bien que je devais commencer à lexciter Caresse-toi, fais-toi du bien, tu las bien mérité.Ainsi, il me récompensait. Jétais fière. Mon Maître allait certainement savoir que javais été obéissante. Sous la mousse, la caresse était douce. Mon autre main était sur une mamelle. Je fermais les yeux et revivais les sensations de laprès-midi. Le plaisir montait en moi. Cest à ce moment que leau me gifla. Il avait remis la pression et je devais me protéger. Il agissait comme avec un chien à qui on lance un seau deau pour le calmer. Jen pleurais de rage et dhumiliation. Je lentendais rire de la farce quil venait de me jouer. Je le haïssais. Il arrêta leau et me jeta dessus une méchante serviette. Il me frotta, me maintenant à terre. Il me fit rouler pour atteindre mon entrejambe. Une fois sèche et calmée, il reprit ma laisse et me dirigea vers la maison. Jétais de nouveau domptée. Il se servit un verre dalcool avant de sinstaller dans un fauteuil. Je me couchais à ses pieds, frétillant de contentement quand il passait une main sur mes reins. un long moment passa ainsi. Quand on entendit la sonnette, il secoua mon épaule de sa chaussure : Va ouvrir !Sans réfléchir au fait que jétais nue, jallai à la porte dentrée, me levai et ouvris. Mon Maître était de retour ! Je me jetai à ses pieds, baisai ses chaussures. Jétais heureuse. Dans le secret de notre lit, mon Maître voulut savoir tout ce que javais ressenti. Je lui décrivais tous les moments vécus et quelles questions venaient alors à mon cerveau. Décrire les actions, les paroles, les faits et gestes était relativement facile, mais javais plus de mal à faire le point de mes pensées. Une question me taraudait : Qui était là, cet après midi ? Tu ne le sauras jamais. Cétait vraiment des gens que je connais ?Oui Des proches ? Oui Mais il faut que je saches. Comment pourrai-je me comporter avec tous sans savoir ? RéfléchisJhésitais un instant puis repris : Cétait étrange, je me comparais à une prostituée, sauf quelle, elle sait avec qui elle est, elle voit. Elle sait pourquoi elle est là, pourquoi elle écarte ses cuisses. Alors que moi, je ne sais pas qui était là, je sais que parmi les gens que nous fréquentons certains étaient là, mont baisé, gratuitement. Je ne vois pas maintenant pourquoi je refermerais mes cuisses à quiconque, puisque je ne sais pas à qui je les ai ouvertes. Mon amour se retourna vers moi. Il membrassa tendrement sur le front. Je sentais son souffle sur moi. Je voyais ses yeux graves qui me fixaient. Ne change rien à tes pensées. Tu es exactement comme je le souhaitais. Tu es domptée, dressée pour accueillir chaque homme, chaque femme, qui en manifestera le désir. Au plus profond de toi, un verrou à sauter, de par ma volonté. Il maurait été facile, par jeu, de te prostituer. Cela ne mintéressait pas, je veux plus pour toi. Jai voulu faire de toi une femme publique, ma femme publique. Je parle, fixant le micro, mais je ne sens que mon cul qui me brûle. Je sens encore son sexe au plus profond de mes secrets. Plusieurs centaines de personnes, duniversitaires et chercheurs, écoutent mon discours. Je sais que je les captive, je sais que je suis forte dans cet exercice. Mais mon esprit est ailleurs. Ce matin, Il sest introduit dans ma chambre dhôtel. Avec tout son charme, Il a convaincu la réceptionniste quIl était bien mon mari (ce qui est vrai) et quIl fallait le laisser me surprendre avec son énorme bouquet de fleurs. Il faisait chaud et je dormais nue sur le drap. Il a délicatement lié mes poignets et chevilles aux montants du lit puis ma réveillée en tirant les sangles dun coup sec. Jétais alors immobilisée, sur le ventre, bras et jambes écartés. Dinstinct, javais relevé la tête pour comprendre. Il en avait profité pour me bâillonner fermement. La réceptionniste navait pas examiné de très près le bouquet, sinon, elle aurait remarqué ces longues tiges souples quil tenait maintenant et faisait siffler dans lair. Il passa doucement sa main sur la cambrure de mes reins. Un doigt suivit le sillon entre mes fesses, puis se retira. Le premier coup vint très vite. Je navais pas encore repris ma respiration quil était suivi pas un deuxième, puis un troisième. Comme un métronome, son bras se relevait dans un geste souple, puis sabattait violemment dans mon dos. Je tirais sur mes liens de toutes mes forces, je ruais, mais ne moffrais que mieux en spectacle. Le fouet improvisé continuait son travail méthodiquement. A ce moment me revint en tête ces images de vieux westerns, quand le cowboy monte le pur-sang sauvage. Il vire, chavire, se cabre, enchaîne les ruades pour se dégager de son passager, puis se calme, vaincu, et accepte cette domination. Cette pensée simposait à moi quand, fatiguée, je renonçais à me battre. Les larmes inondaient mon visage. Jacceptais mon sort, je le méritais même certainement. Il était le Maître et donc seul apte à juger. Quand Il cessa, je léchais avidement ses doigts pour le remercier. Je lentendis poser son pantalon. Il sinstalla derrière moi, toujours attachée. Dune main, il attrapa ma hanche. De lautre, il se positionna sur mon illet. Il poussa dun coup, sans autre préparation. Bien sur, Il ne tint aucun compte de mes hurlements étouffés par le bâillon. Il menculait fermement, prenait toute sa place. Il allait et venait, dans de longs mouvements puissants, entre mes reins. Une dernière fois, Il senfonça au plus profond de moi. Je sentis sa semence chaude minonder. Il resta alors sans bouger, appuyé sur mon dos. Quand Il se dégagea, je savais pourquoi. Il commença par défaire mes liens : je me retournai pour quIl menlève le bâillon. Puis je maffairai à le nettoyer de ma langue. Je savais quIl attendait cela de ma part. Il mavait durement dressée pour que je ne loublie pas. Je mappliquais, de la langue, à récupérer les gouttes perlant. Comme toujours, je me régalais de son odeur. Quand Il partit, je réalisais quIl avait tout minuté. Il ne me restait que peu de temps pour me préparer et rejoindre lamphithéâtre où je devais intervenir ce matin. Sans déjeuner, je passais rapidement sous la douche et me maquillais. Au moment de choisir mes vêtement, je découvris que je navais plus le choix. Il avait tout emmené, me laissant un tailleur sage, mais aucun sous-vêtement. Le cul en feu, je finis ma communication. Je ne pris pas le risque de massoir, au moment de répondre aux questions. Je craignais de réveiller la douleur sur mes reins. Ainsi debout, jentretenais une proximité avec le public qui contribua à lovation dont je fis lobjet, une fois la dernière question épuisée. Chacun mit sur le compte dune timidité naturelle ma précipitation à redescendre dans la salle, me blottir dans le fauteuil moelleux. Sils avaient su quen fait, je jouissais ! Depuis mon réveil, je navais pas eu une minute à moi, et pour cause ! Maintenant, lintervention terminée, les applaudissements avaient ouvert des vannes secrètes. Mon cerveau semplissait dune foule démotions. Cest exactement dans ces moments là, dune exquise extase, que je réalise tout le bien que me procure mon Maître. Il avait tout prévu, Il savait que léquation : discours en public + chaleur au cul, aurait pour résultat de tremper mon entrejambe épilée. Un vague sourire aux lèvres, jécoutais distraitement lintervenant suivant. Je gardais ma veste sur mes cuisses et pouvais ainsi, en tout discrétion, caresser mon sexe à travers le tissu du tailleur. Cétait bon. Délicatement bon. A la fin de la matinée, je rejoignais un des restaurants de cette université quand je vis mon Maître. Il mattendait sur le parvis. Mon cur fit un bond dans ma poitrine et je rosis légèrement. Jétais heureuse quand il me surprenait ainsi. Je me fichais du monde autour de nous. Jattrapais sa main et la léchais pour le remercier de ce quil venait de me faire vivre. Fier, il passa un bras sur mes épaules et mentraîna vers sa voiture. Le parking était désert et je dû enlever mon tailleur. Mon Maître put ainsi constater le feu sur mes fesses. Il me flatta la croupe et mouvrit la portière pour que je minstalle.

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