Petite balade en montagne.2

(Ces événements se sont déroulés dans le beau département du Jura.)

Comme tous les ans je vais encore passer les vacances de la Toussaint chez mes grands parents avec toute la Grande famille.

La deuxième nuit est enfin là. On pourrait remonter la deuxième tente mais il y a toujours le problème des duvets. Il va falloir employer la même méthode que la nuit dernière.

On constate que les sous-vêtements de Charles sont toujours humides. Annie lui demande de les retirer. Il lui répond :

-Je ne veux pas, je ne vais pas me mettre à poil devant vous !

Suite.

Je lui rétorque :

-Tu sais, c’est un peu tard pour faire le difficile, surtout qu’on t’a déjà vu nu comme un vers, et ce matin on a bien apprécié le spectacle, hein les filles ?

Et Annie pour surenchérir :

-Ne fais pas la tête, tu n’as pas à avoir honte. Et il est vrai que ma foi, j’ai été agréablement surprise par ce que cachait ton pantalon.

Nous nous retrouvons de nouveau comme harengs en caque. Mais cette fois-ci, il ne m’a pas fallu attendre le matin pour sentir s’incruster dans la raie des fesses une matraque bien dure. Il commence à apprécier la situation le petit cochon !

Je n’y tiens plus et malgré le peu de place, arrive à glisser ma main gauche entre nos corps et me saisir de cette verge exceptionnelle. Il a un sursaut mais ne peut rien faire pour m’empêcher de caresser cette belle queue et ne réagit pas pour ne pas alerter les cousines.

Mais à peine quelques secondes plus tard, un liquide visqueux se répand sur mes reins et ma petite culotte. Le puceau n’a pas tenu longtemps.

Je m’endors heureuse du devoir accompli.

Le lendemain, nous reprenons notre ballade mais entre cousines, nous ne parlons que du spectacle que nous a encore donné Charles ce matin avec son poireau au garde-à vous. C’est qu’il commence à nous exciter et les comparaisons fusent. Ça commence par Julie :

-Putain ! Si ce n’était pas mon cousin, je lui aurais sauté sur le paf ce matin pour en extraire son jus ! Je croyais mon petit copain bien fournit de ce coté là mais je me rends compte qu’il y a mieux sur le marché.

Et Annie d’y aller de sa comparaison :

-Moi, je ne peux pas dire, je n’ai vu que celle de ton frère Olivier qui se branlait en cachette dans la salle de bain. Au repos elle était comme celle de Charles mais quand il bandait, sa bite dépassait à peine de sa main.

J’y vais donc de mes expériences :

-J’ai connu trois garçons et je dois dire qu’ils n’arrivaient pas à la cheville du cousin coté mensuration. Mais vous savez les filles, le principal, c’est de savoir bien s’en servir et je suis sûre que Charles est encore puceau. Hier soir, j’ai voulu essayer de le branler mais en quelques secondes, il avait vidé ses burnes sur ma petite culotte.

Nous nous mettons à rire en jetant un il sur Charles qui traîne un peu derrière nous. Je m’enhardie et leurs propose :

-Cette nuit, on va encore lui dire de se mettre à poil pour sécher correctement ses habits ainsi que les tiens Julie, et les duvets. On va faire une grosse flambée dans la cheminée du chalet et je vous propose de tester le puceau. Demain, il devra avoir changé de statut, d’accord les filles ?

-Ok, dis Julie.

-Euh, je suis vierge, je ne sais pas, annonce Annie.

-Bonne occasion pour perdre aussi ton pucelage, on t’aidera à sauter le pas. Je lui rétorque.

Notre troisième journée dure en longueur car nous sommes impatientes d’arriver au chalet.

Le feu crépite dans l’âtre, il fait une chaleur à crever dans le chalet. Nous suspendons tout ce qui est tombé à l’eau ainsi que les affaires de Julie. C’est au tour de ce que Charles porte encore sur lui. Elle lui ordonne :

-Allez ! Ne fais pas le pudique, tu n’as plus rien à nous cacher. Je vais étendre les sacs de couchage devant la cheminée pour que tu te sèches des dernières traces d’humidité. Et si tu le veux bien, je vais te rejoindre.

Comme un bon petit soldat, il s’exécute sans broncher. Elle ne lui laisse pas le temps de réfléchir à ce qu’elle lui a proposé, se dessape à une vitesse folle et va s’étendre à coté de lui. Il a le regard dans le vague, n’osant pas la regarder.

-Tu étais moins timide l’autre jour quand tu me reluquais. Je t’autorise à me regarder et si tu es d’accord, on va s’occuper de ton cas ce soir. Alors ?

Il met un temps avant de réaliser ce qu’elle lui propose et murmure :

-Tu veux dire- Moi et vous trois ?

-Tu a bien compris, une chance comme celle-là, tu n’en connaîtras pas beaucoup dans ta vie.

Je me déshabille aussi et vais les rejoindre sur les duvets. Annie, se retrouvant la seule encore vêtue, hésite avant de se ranger à la majorité et finit par se dénuder.

Nous nous retrouvons de nouveau tous les quatre serrés comme des sardines, ça devient une habitude.

Je me saisis de la nouille de Charles et commence à la branler mais il est si énervé qu’il n’arrive pas à bander.

Julie vient à la rescousse avec sa bouche et une langue râpeuse s’occupe de ses bourses.

Il réagit enfin et je reste ébahie sur le pouvoir érectile de ce chibre, il n’arrête pas de s’allonger et double carrément de longueur, je n’ai jamais vu ça !

La petite chose est devenue un pieu long et étroit avec un chapeau proéminent en forme de champignon. Charles est fluet avec une bonne grosse bite sans expérience. Pour son dépucelage, ce sont ses trois cousines vicelardes qui vont s’occuper de lui.

Comme hypnotisée, Annie a tendu la main avec hésitation pour la mettre au dessus de la mienne.

 Je commence à le branler, entrainant la main d’Annie qui vient buter sous le gland disproportionné.

A ce rythme et sous les supplices de ses trois harceleuses, il ne met pas longtemps avant d’envoyer la purée.

 Un flot de lave blanche s’échappe du méat et retombe dans sa toison pubienne. Julie, qui a la bouche pas bien loin, se charge de nettoyer les débordements puis se relève en enlevant des poils de sa bouche en s’exclamant :

-Demain, tu n’échapperas pas à l’épilation quand on aura récupéré nos petites affaires ! Ta queue en paraîtra encore plus longue. Mais maintenant que tu as connu le plaisir, à toi de nous faire la même chose.

Et elle s’étend sur le dos en écartant les cuisses.

-Viens mettre ta bouche sur mon minou et fais-moi hurler.

Comme un petit toutou obéissant, il obtempère mais Julie lui attrape les cheveux à pleine main et lui colle les lèvres sur sa vulve en continuant à le diriger.

-Glisse ta langue dans ma fente, lààà ! Comme ça, ouuiii ! Putain, sa langue est à la mesure de sa bite ! Oui, maintenant, je vais te faire découvrir l’un des endroits les plus érogènes de la femme. Fais remonter ta langue le long de ma fente jusqu’à ce quelle trouve un petit bouton. Ahhhh ! Oui c’est ça, lèche-le, mordille-le mais fais attention hein ! Tu ne te débrouilles pas trop mal pour une première fois.

Il s’active quelques minutes avec application avant que je ne l’invective :

Eh ! N’oublie-pas tes autres cousines !

Docile, il quitte l’estuaire trempé de Julie pour venir découvrir un autre port d’attache.

Comme Julie, j’ancre sa tête entre mes cuisses et me laisse porter par son travail. Il prend doucement de l’assurance mais est toujours hésitant. Annie constate que ça l’a ragaillardi en fixant son entrejambe.

— Quel cochon, vous avez vu comme il bande ?

On ne peut pas dire le contraire. Une barre incroyablement ferme remue à chacun de ses mouvements comme la queue d’un chien.

Je soupire de bonheur. Ma chatte s’est ouverte sous ses coups de langue. Il me lape le bouton avec fougue et réussit à me faire crier de plaisir quand un orgasme secoue tout mon corps.

Je cède à regret mon tour à Annie, elle est moins autoritaire et le laisse uvrer quelques minutes. Nous sommes de chaque coté des puceaux et les encourageons de la voix et des mains.

Mais Annie réalise vite la différence entre le plaisir en solitaire et un vrai partenaire. Elle hurle, son corps s’arque tout en entraînant la tête de Charles qu’elle emprisonne entre ses cuisses. Elle se vide en appelant sa mère dans la bouche de Charles qui ne peut que subir.

-Mamannnnn ! Que c’est booonnn !… Arrrggghhh !

(A suivre)

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