Consoler sa mère ou Carlabell

Pierre rentrait chez lui le soir ; il appela sa femme Elyse

Comme aucune réponse ne lui parvenait, Pierre en conclut que son épouse n’était pas encore rentrée de son travail. Se versant un verre de whisky, il sinstalla sur le canapé pour le déguster lentement. Tout en savourant lalcool à petites gorgées, il interrogea son répondeur téléphonique. La voix de son père retentit dans le silence de la pièce : une voix altérée.

Pierre ! Ton père vient d’être hospitalisé Il a fait une attaque cardiaque au travail Mais daprès les médecins qui lont ausculté, ce nest pas trop grave, il ne devrait pas y avoir de grosses séquelles Mais ils tiennent néanmoins à le garder en observation quelques jours Essaye de téléphoner à ta mère, elle a été très perturbée, cela lui remontera le moral, elle en a bien besoin

Jetant un coup dil à la pendule accrochée au mur de la cuisine et constatant quil était encore tôt dans l’après-midi, Pierre décida quune visite serait plus bénéfique à sa mère quun simple appel téléphonique. Ses parents habitaient dans un lotissement d’une cinquantaine de maisons à quelques kilomètres. Griffonnant un message à l’intention de son épouse, il se rendit aussitôt chez sa mère.

En à peine une demi-heure, Pierre se trouva devant la porte du pavillon de ses parents, ému et ne sachant trop comment réconforter sa mère, quels mots il devrait prononcer pour la rassurer et calmer la détresse qui devait l’habiter.

Surprise par le timbre de la porte d’entrée, se demandant qui pouvait bien venir lui rendre visite à cette heure, sa mère abandonna la préparation du dîner à laquelle elle était occupée, pour se hâter d’aller ouvrir à ce visiteur inattendu. Découvrant la haute silhouette de son fils qu’elle chérissait, elle se jeta à son cou, l’embrassant passionnément, heureuse de sa visite :

Oh mon Pierre ! Tu es venu Je suis tellement contente Mais entre, mon grand Ne reste pas là !

Suivant sa mère, Pierre arriva à la cuisine.

Quel hasard !… Quest-ce qui tamène, questionna sa mère ?

Tonton ma téléphoné pour mannoncer lhospitalisation de papa.

Tu te rends compte, mon grand !… Quel malheur !

Ne pouvant contenir son chagrin et l’angoisse qu’elle portait en elle depuis la révélation de laccident cardiaque de son mari, Françoise laissa éclater son désarroi encore présent dans son esprit et trop longtemps contenu. Se jetant au cou de son fils, auquel elle s’accrocha désespérément, elle éclata en sanglots.

Emu par la détresse de sa mère pour qui il éprouvait une immense tendresse, Pierre tenta de la consoler, lui murmurant des petits mots de réconfort à l’oreille, lui embrassant tendrement la nuque, la serrant affectueusement contre lui… Mais ces marques d’affection ne firent quaccroître encore les sanglots de sa mère. Désemparé, Pierre, dans un geste qui se voulait plein de compréhension, entreprit alors de caresser affectueusement le dos de sa mère éplorée, voulant par ce geste lui faire comprendre quil compatissait à sa douleur.

Peu à peu, les sanglots sestompèrent pour devenir de plus en plus espacés. Lentement sa mère se calmait, sans pour autant remuer, restant blottie contre son épaule. Ravi de constater que sa chère mère reprenait ses esprits, Pierre nen continua pas moins ses tendres caresses.

Tonton ma dit que les médecins pensaient que ce ne serait pas grave Tu dois garder confiance, tu verras ce ne sera rien

Merci mon chéri, murmura doucement sa mère entre deux reniflements Tu es un amour

Le fils et la mère restèrent encore ainsi, tendrement enlacés une bonne dizaine de minutes ; sa mère reprenait lentement ses esprits dans les bras de son cher fils, Pierre continuait de frôler tendrement le dos de sa mère.

Mais, dans ces effleurements pourtant bien anodins, Pierre sentit, chaque fois que ses doigts passaient dessus, le renflement que faisait l’agrafe du soutien-gorge de sa mère. La découverte de ce détail vestimentaire lui fit prendre conscience soudain que, depuis un moment, les volumineux seins de sa mère s’écrasaient mollement contre sa poitrine, et que malgré les vêtements qu’ils portaient l’un et l’autre, il pouvait sentir, avec émotion, la douceur moelleuse des lourdes mamelles contre son torse. Cela lui procura une sensation bizarre. Un sentiment fait d’excitation et de honte en même temps : honte d’éprouver ce genre d’attrait sexuel dans un moment pareil, et plus est, pour sa propre mère qui lavait toujours considéré comme son bébé, qui avait empli son enfance de tant damour.

Mais ce contact terriblement sensuel des deux masses élastiques contre sa poitrine travaillait étrangement Pierre. A sa grande confusion, il saperçut quil éprouvait un certain plaisir à percevoir la tendre élasticité des deux fruits de chair. Jaillissant des tréfonds de son subconscient, une foule de souvenirs d’adolescent lui revinrent en mémoire. Avec émotion, il se remémora les jours passés chez ses parents, et les fantasmes qui, peu à peu, avaient commencé à naître dans son esprit à mesure quil prenait de lâge. Dès sa puberté, il avait commencé à regarder sa mère autrement. La forte poitrine et la large croupe de cette dernière avaient particulièrement attiré ses regards dadolescent. Combien de fois, le soir, après que sa mère était venue lembrasser dans son lit, avait-il imaginé, avant de s’endormir, les lourds fruits de chair, objets de tous ses fantasmes, libres de toute protection. Combien de fois également sétait-il réveillé en pleine nuit, le ventre souillé de son sperme fluide, suite à un songe érotique où sa mère avait le rôle principal.

Or, avec l’âge sa mère devait maintenant avoir dans les cinquante trois ans, calcula rapidement Pierre même si, avec lâge, sa mère s’était quelque peu étoffée à certains endroits, notamment au niveau de hanches et de la poitrine, cela lui conférait encore plus d’attrait. Avec ses longues jambes, fortes mais d’un galbe parfait, sa poitrine au volume impressionnant, ses hanches sensuellement épanouies et sa croupe haute et agréablement arrondie, sa mère restait une femme encore très attirante et très désirable.

Même après son mariage avec Elyse, dont la poitrine n’avait certainement rien à envier à celle de sa mère, quoique certainement plus ferme, Pierre, à vingt-trois ans, ne pouvait se retenir de lorgner en douce les sensuels appas mammaires de sa mère, chaque fois que les occasions sen présentaient.

Etrangère à ce qui perturbait son fils, Françoise ne pouvait se détacher de lépaule de ce fils quelle aimait tant. Trouvant un certain réconfort à sabandonner aux gestes et aux paroles pleines de tendresse que lui dispensait celui quelle avait si souvent consolé lorsquil était enfant.

Tout en continuant de cajoler sa mère, d’une manière un peu plus sensuelle qu’il n’aurait fallu, Pierre ne pouvait s’empêcher d’éprouver une certaine excitation au contact de cette lourde poitrine écrasée contre son torse. Surtout que pour accentuer son trouble, sa mère, du fait de ses sanglots, avait des soubresauts convulsifs de tout son corps, qui faisait que son bas-ventre venait par instants se frotter au sien, faisant naître un émoi gênant au niveau de son membre viril. Emoi qui ne fit que saccentuer au fil des minutes, au point que Pierre, soudainement affolé, sentit aux frémissements de son sexe, qu’une érection prenait naissance dans son slip. Paniqué, il tenta de repousser ce corps chaud et sensuel qui le perturbait tant. Mais sa mère abandonnée contre lui et tout à son chagrin s’accrochait désespérément à son cou, inconsciente du trouble qu’elle créait bien involontairement chez lui.

Sentant sa verge se dilater inexorablement au bas de son ventre, en se durcissant, Pierre tenta de concentrer son esprit sur le fait que le corps féminin, qui se tenait étroitement lové contre lui, était celui de sa mère, la femme qui lui a donné la vie. Mais les frôlements incessants du bas-ventre de sa mère contre sa virilité, prompte à s’émouvoir, firent échec à sa volonté. Bientôt son membre se trouva dans un état d’érection telle, qu’il songea, affolé, quil allait être impossible à sa mère de ne pas s’apercevoir de la transformation qui s’était opérée au niveau de son sexe. Et ce nest pas la légère jupe dont sa mère était vêtue qui allait faire un rempart à lexcroissance qui déformait son pantalon.

Cependant, mêmes les plus grandes détresses ayant inévitablement une fin, sa mère reprit peu à peu le contrôle d’elle-même. Peu à peu ses sanglots s’atténuèrent. Apaisée, mais désirant profiter encore un peu de ce doux réconfort que son fils lui offrait, elle demeura immobile contre lui en reprenant doucement ses esprits.

C’est gentil à toi d’être venu, murmura-t-elle à l’oreille de son fils Ta présence m’a fait du bien

Etant enfin redevenue maîtresse d’elle-même, Françoise se disposait à rompre cette tendre étreinte, lorsquelle prit conscience que quelque chose de dur et volumineux lui meurtrissait le bas-ventre. Surprise et stupéfaite devant cette découverte, dont elle comprit immédiatement la cause, elle demeura immobile ne sachant qu’elle contenance adopter… Que son fils ait une telle érection dans un moment pareil la déconcertait au plus haut point Puis, la vérité se fit soudain dans son esprit : la responsable de cet état ne pouvait être quelle Les frottements de son bas-ventre contre le bas-ventre de Pierre, même si ceux-ci étaient bien involontaires, avaient suffi à faire naître ce changement dans lanatomie de son jeune fils.

Qu’elle ait provoqué un tel désir chez son fils, quà cinquante trois ans elle ait fait naître une telle érection chez « son bébé » la perturba énormément. Mais, en même temps, la réalité manifeste de cette excroissance contre son ventre la troubla étrangement Après le moment de surprise passé, alors quelle essayait danalyser la situation, elle saperçut, quelque peu déconcertée, quelle éprouvait une douce félicité à sentir cette jeune virilité raide et dure s’écraser contre son bas-ventre Et alors quelle aurait dû séloigner, rompre cet attouchement illicite, elle demeura immobile, prolongeant ce contact troublant et angoissant en même temps. La fermeté de ce jeune sexe masculin contre son pubis lui procurait un plaisir insolite qu’elle aurait aimé faire durer le plus longtemps possible.

Les deux protagonistes demeurèrent ainsi accolés, nosant bouger, ne sachant comment rompre ce contact aussi gênant pour l’un que pour l’autre.

Françoise essaya de se raisonner. Etant la plus âgée, il fallait quelle se reprenne, elle ne pouvait se laisser commander par ses sens, succomber à ce désir quelle sentait poindre dans le fond de ses entrailles. Mais, à sentir cette jeune verge arrogante se presser contre son ventre, lui prodiguait un tel bien être sexuel quelle repoussa le moment de se désunir de ce corps masculin Le visage enfoui dans le cou de son cher fils, elle chassa de son esprit toutes pensées pour se concentrer sur ce moment de félicité Lorsquelle sentit une douce tiédeur, bien connue, prendre naissance au plus intime de son sexe lui irradiant la vulve, elle nessaya pas de résister à cet afflux de secrétions qui allait irrémédiablement humidifier le fond de sa culotte. Surtout que, daprès ce qu’elle pouvait percevoir à travers leurs vêtements respectifs, Pierre lui sembla posséder une virilité d’une longueur peu commune. Cette constatation laffola un peu plus. Malgré elle, une pensée égrillarde lui traversa lesprit : que pouvait-on ressentir lorsque lon était pénétré par un membre de cette longueur ?… Aussitôt son esprit ébranlé tenta de comparer la virilité de son mari à celle quelle percevait contre son bas-ventre. Marc, son époux, possédait un membre assez court, même ridiculement court par rapport à celui qui lui appuyait actuellement sur le ventre, mais qui lui avait toujours procuré un maximum de plaisir depuis plus de trente ans.

La présence de ce jeune membre viril colossal, à quelques centimètres de sa chatte soudainement liquéfiée, fit perdre toute retenue à Françoise. Le choc émotionnel qui lavait frappé lors de lannonce par les pompiers de lhospitalisation de son mari pour une attaque cardiaque, puis lattente angoissante des examens à la clinique, et enfin les résultats rassurants des médecins, lavaient tellement perturbée quelle sétait sentie effroyablement seule, vidée, abandonnée par le destin. Puis, la visite de son fils, ce fils quelle aimait tant, lui avait apporté un réconfort immense, une soif de vivre, une furieuse envie de prendre une revanche sur le destin qui lavait si douloureusement frappé

Mais avec ce retour à la réalité, Pierre avait aussi, sans le vouloir, réveillé les sens de sa mère, endormis depuis plusieurs semaines déjà. Avec lâge, Marc, le père de Pierre qui allait avoir soixante deux ans, ne la contentait plus aussi souvent quelle laurait désiré. Et, en femme aimante et dévouée à son mari, elle avait dû accepter cette continence forcée.

Alors quelle en était à se demander comment elle pourrait sortir de cette impasse sexuelle, Pierre, pour se dégourdir les jambes, esquissa un geste. Geste pourtant anodin, mais du fait de leur enlacement, qui fit que lextrémité du membre viril tendu vint heurter le haut de sa fente. Sous ce mini-choc érotique, sa mère se sentit défaillir, tandis quun long frisson lui parcourait léchine. Bouleversée, perdant alors toute retenue, elle gémit :

Oh ! Pierre Qu’est-ce qui t’arrive ?

Terriblement gêné, Pierre ne sachant quoi répondre, tenta de repousser ce corps par trop sensuel, loin de lui. Mais, toujours accrochée à son cou, sa mère se recolla instantanément contre son torse et surtout contre lénorme protubérance qui ornait son bas-ventre :

Oh, non Laisse-moi contre toi, bégaya sa mère bouleversée Je suis si bien.

Surpris par la réaction de sa mère, surtout que celle-ci sétait collée étroitement à lui, recherchant ostensiblement le contact de sa virilité gonflée, Pierre, après un moment dindécision, se laissa à son tour emporter par le désir qui le tenaillait. Comme sa mère continuait donduler du bassin, frottant dun mouvement lascif son bas-ventre contre son membre bandé, il crocheta ses doigts dans les hanches évasées qui remuaient significativement. Forçant sa mère à simmobiliser, il appuya fermement sa virilité raidie contre son bas-ventre, lui faisant ainsi sentir la fermeté de son désir.

Oh, Pierre !… Quest-ce qui tarrive ?… Ce n’est quand même pas moi qui te mets dans un tel état, bégaya sa mère.

Et qui veux-tu que ce soit ?

Tu te moques de moi, gémit sa mère, la gorge nouée par le désir… Qu’est-ce qu’un jeune homme comme toi pourrait trouver d’attirant chez une femme de mon âge ?

Ne dis pas ça, maman, murmura Pierre à loreille de sa mère et en lui picorant le cou de légers baisers Tu sais, il y a beaucoup de femmes plus jeunes que toi qui aimeraient avoir le corps que tu as

Ne dis pas de bêtises, chuchota sa mère Je nai jamais été une beautésauf pour ton père

Tu veux que je tavoue quelque chose ?

Dis toujours, mon chéri.

J’étais déjà attiré par ton corps aux courbes si sensuelles Par ton abondante poitrine Tu ne peux t’imaginer combien tes seins ont occupé mes nuits d’adolescent.

Surprise par ces révélations, sa mère recula son torse, sans toutefois rompre le contact de son bas-ventre avec la virilité raidie de son fils, pour fixer ce dernier d’un air ébahi.

Tu te moques de moi, murmura-t-elle dune voix sourde Tu avais quel âge à lépoque ?

Entre treize et quatorze ans, je crois

Tu ne vas pas me faire croire quà quatorze ans tu pouvais ressentir du désir pour moi.

Tu ne peux timaginer comme tu me faisais bander à lépoque, maman chérie

Ho ! Pierre !… Quest-ce que tu me dis là Ce nest pas possible, je suis ta mère

Je tassure. Tu me faisais bander déjà aussi fort quaujourdhui,

Ce nest pas possible murmura sa mère incrédule.

Et comme si, soudain, elle avait été prise dune pudeur tardive, elle posa ses mains sur les bosses volumineuses qui déformaient son corsage, comme pour les cacher aux désirs de son fils.

Ce n’est pas possible ! Je suis ta mère, se répéta-t-elle.!

Peut-être, reconnut Pierre, n’empêche que tes seins m’attiraient déjà et encore aujourd’hui je ne peux m’empêcher de les désirer Je meurs d’envie de les contempler D’en sucer les bouts.

Comme sa mère, ahurie par ces révélations, ne répondait pas, se contentant de fixer son fils d’un air absent, celui-ci ne pouvant contenir le désir qui le tenaillait depuis des années, repoussa la main avec laquelle sa mère tentait de protéger son sein pour poser la sienne à la place, palpant avec émotion à travers les tissus qui l’abritaient, le lourd fruit de chair, souple au toucher.

Le bas-ventre en fusion, sa mère demeura figée, la bouche entrouverte sur un souffle haletant. Eprouvant un sournois vertige sous le sensuel attouchement dont son sein était l’objet, elle laissa son fils lui caresser la poitrine, attentive à la montée du plaisir dans son corps torturé…….

(à suivre)

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