Main dans la main, bras dessus bras dessous, j’emmène ma petite Léna dans son petit studio, ou plutôt dans sa chambre de bonne, située en centre-ville.

On entre, on se roule un gros pâlot, je lui demande de se préparer dans la salle de bain, moi je me sers un petit whisky et je m’assois sur une chaise, attendant que ma petite pute veuille bien finir sa préparation.

Elle sort de la salle de bain, elle est toute prête pour moi. Montée sur des escarpins vertigineux, bas résille noirs, guêpière et culotte en dentelle noire. Le costume super classique de la prostituée de base… Moi j’adore. Elle me fait un sourire un peu gêné, elle prend son petit portable et lance une musique de RnB. Bon, je n’aime pas trop ce type de musique mais là je m’en fous un peu, je veux juste voir ma belle.

Et moi je me régale du spectacle de Léna. A vrai dire sa danse est assez maladroite, elle n’est pas à l’aise sur ses échasses et manque plusieurs fois de tomber. Mais la voir se trémousser, ses seins et ses grosses fesses rebondir à chacun de ses mouvements provoque chez moi un grand effet. Ma quéquette toute collée par le jus de nos ébats précédents dans la cabine d’essayage commence à gonfler de nouveau dans mon slip, et je dois rectifier ma position sur ma chaise.

C’est qu’elle s’enhardit la salope, ses mouvements sexy deviennent de plus en plus amples, elle singe des mouvements de pool dance sans la barre, s’accroupit dans une position suggestive, elle glisse sa main dans sa culotte et fait tourner sa langue autour de ses lèvres en me fixant… Moi j’ai la gorge nouée, subjugué par le spectacle, je finis de m’avaler le whisky et je masse la bosse qui tire sur mon pantalon, cela ne soulage pas la pression, bien au contraire.

"C’est bon Léna, approche maintenant ! Je lui fais ma grosse voix autoritaire. Ce n’est pas mon caractère profond mais elle aime être ma soumise, et je ne veux pas la décevoir."

" J’ai chaud, enlève ma chemise"

Léna s’assoit sur mes genoux et en me regardant fixement avec un sourire coquin dont elle seule a le secret, déboutonne lentement et consciencieusement mon haut. Ses mains chaudes caressent mon corps qui se met à frissonner de partout. Nous nous embrassons langoureusement, ses lèvres sont en sucre, sa langue est en miel.

"Tes lèvres, pas sur ma bouche, plus bas, toujours le ton autoritaire"

Sans un mot, Léna s’exécute, et s’agenouille devant moi, elle écarte mes genoux et se pose devant ma braguette qu’elle zippe d’un geste expert. Mon sexe en sort mollement et se redresse lentement. Les petits doigts potelés de ma maîtresse s’activent à le rigidifier par des petits mouvements verticaux de bas en haut.

"Vas-y doucement, regarde-moi je veux voir tes yeux"

Léna me sourit et comme la petite pute bien obéissante qu’elle est, elle m’offre le velouté de ses magnifiques yeux verts, ouvre sa bouche avale le bout de ma bite et commence à tourner sa langue autour de mon gland.

Hummm délicieuse fellation de Léna, tout en douceur, on a le temps. Ce qui est bien avec la deuxième baise, c’est que le jus met plus de temps à monter, je ne suis pas près de lui cracher à la gueule à celle-là, le plaisir peut durer bien longtemps.

"Vas-y suces moi bien petite salope, tu te rends compte que tu avales ton propre jus de tout à l’heure ?

— Slurp, slurp…

— Dans la cabine, il y a mon sperme séché que tu avales aussi, salope, tu te rends compte ?

— Slurp, slurp,…

— Oooh salope tu aimes ça, c’est dégueulasse ce que tu fais pourtant, sucer du sperme sale et du jus sale.

— Slurp, slurp,…

Pendant toute sa fellation, je ne quitte pas Léna des yeux, son beau regard vert est très attendrissant, elle s’applique, elle y met du cur. Je passe ma main dans ses cheveux broussailleux pour l’encourager.

Léna se relève, délaissant ma queue maintenant tout raide et imprégnée de sa bave. Elle colle sa bouche à la mienne et me fait goûter tous ses délicieux fluides, elle m’enjambe, tout en continuant à m’embrasser, attrape mon membre et s’empale dessus.

Ouuuf ! Son poids fait craquer la chaise sur laquelle nous sommes en équilibre précaire, le dossier me rentre dans le dos, la position est puissamment inconfortable. Léna commence son mouvement de va-et-vient tout en continuant de sucer ma bouche. Elle fait grincer et tanguer la chaise, moi je souffre de son poids et surtout je redoute la chute, mais en même temps je profite du plaisir immense que me procure ma salope.

"Arrête ça, tu veux ? Je ne t’ai pas demandé de te mettre sur moi !!"

Léna se relève, je reprends mon souffle, trois mouvements de balancier de plus et je lui crachais ma semence dans son caisson…

Elle est debout devant moi, attendant les instructions de son maître, je l’attrape par les cheveux et penche sa tête en arrière, je lui fais un peu mal et j’enfonce un de mes doigts dans sa chatte.

"Tu m’as désobéi salope ! Tu n’as pas été sage, tu seras punie !"

Je la pousse du plus fort que je peux sur le lit, elle retombe doucement.

"Mets-toi à quatre pattes connasse ! Et relève ton sale cul ! "

Je tire dans le tiroir de la table de nuit des foulards, j’attache ses mains au pied du lit et surtout je lui masque les yeux. Mes nuds sont maladroits, elle pourrait facilement s’extraire, au lieu de cela, elle préfère glousser son plaisir.

"Surtout tu ne bouges plus !"

Je vais dans la kitchenette retirer quelques précieux accessoires, ma queue se dégonfle progressivement, je me détends c’est bon…

De retour sur le lit, je peux commencer le châtiment de Léna.

Tout d’abord je lui flanque une bonne fessée. Je me réjouis du spectacle de son beau gros cul rebondir à chacune de mes tapes. Elle murmure à peine quelques mugissements.

Je me tourne vers l’avant et je lui pince les tétons, elle n’a pas des seins aussi gros que son cul c’est dommage. Mais ses nichons sont très sensibles et elle remue dans tous les sens quand je les titille, c’est bon.

Je verse un peu de whisky sur ses fesses, et je commence à lui laper le postérieur ; mélangé à la transpiration de la chienne en chaleur, le breuvage prend une tout autre saveur, surtout quand ma langue parcourt l’anneau de son anus. Ooooh la grosse chienne ! Elle est très sensible du derrière… Bon cette fois je vais lui mettre le paquet ! J’asperge toute sa croupe de crème chantilly que j’avais préalablement amenée. Vu la taille de son cul, pratiquement tout le réservoir y passe. Je commence à bouffer mon dessert, ma langue parcourt toutes les courbes de son derrière, parfois je mordille avec les dents. Je finis mon énorme gâteau par la petite cerise, ou plutôt, le petit trou, je le lèche consciencieusement, puis je mets le doigt et commence à l’enfoncer dans son rectum.

"Ooooooh c’est bon gémit-elle !"

— Tais-toi salope !

Son trou de balle commence à être bien ouvert, je me relève, je branle ma bite, je m’assure de sa dureté. Je présente mon gland violacé dans l’entrée de son derrière et je commence à l’enfoncer…

Oooooh c’est compliqué la sodomie ! Ça fait mal ! Léna, gémit de douleur ! J’y vais doucement, j’attrape fermement ses flancs par mes mains et avec des petits mouvements de va-et-vient je progresse doucement dans son cul jusqu’à y enfoncer complètement mon membre. Le chemin est fait je peux commencer le va-et-vient…

Léna enfonce sa tête dans l’oreiller, elle souffle ou grogne à chacun de mes enfoncements…

"Léna, t’es vraiment qu’une sale chienne, tu te laisses enculer comme une pute !

— Grrrrmmmf ! Ouuuuuuiiiiiiii !

— C’est cela qu’il fallait pour ton gros cul de pute, hein ?

— Gggg…

— Dis-moi que tu es ma pute Léna !

— Gggfffffff… Je suis ta pute !

— DIS LE PLUS FORT !

— JE SUIS TA PUTE !!!!

Tous ses mots m’électrisent, son anus est bien dilaté et maintenant ma queue glisse facilement, j’accélère de plus en plus tout faisant claquer bruyamment ses fesses à chacun de mes assauts. Je sens que la sève est en train de monter, je ne vais plus tenir longtemps…

"- Ca te fait jouir de te faire enculer sale chienne ?

— Ggggg… oui

— Ca te fait jouir d’être une enculée ?

— Oooooouuuuiiiii…

— He ben GUEULE LE GROSSE SALOPE ! GUEULE-LE QUE CA TE FAIT JOUIR !

— Je jouis, je jouis, je Jouis, je JOOOOOUUUUUUIIIIIIIIIIIS !!!!!"

Ses cris stridents sont pour moi comme un commandement, une autorisation, mon gland lâche trois grosses giclées de sperme bien chaud dans son cul. Au même moment, un feu d’artifice dans mon cerveau, l’instant ultime de l’éjaculation, on a plus de corps, on n’a plus ni passé ni présent, ni futur, on est ni vivant ni mort, l’extase quoi. Une fraction de seconde, tout ce bazar pour en arriver là, mais franchement, ça vaut le coup.

Je retire ma bite tout imprégnée de crème de marrons, du cul de Léna, laissant un trou béant duquel s’échappe ma semence…

Je m’effondre épuisé sur le lit, Léna en fait de même. Je m’endors bien vite, pendant mon petit somme, Léna me caresse tendrement le torse et me fait des petits bisous…

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