« Céline, lève-toi et va te placer les deux mains sur la table, les cuisses écartées et le corps bien cambré.
-Oui Maître.
-Tu aimes te faire fouetter ?
-Oui Maître.
-Fort ou pas ?
-Très fort Maître, vous pouvez tout me faire, je mérite toutes les punitions que vous allez m’infliger. Aujourd’hui, j’ai besoin d’expier mes fautes, pour me retrouver à nouveau dans votre amour.
-Je vois que nous nous comprenons, je vais t’infliger ton châtiment et ensuite te baiser. Puis tu m’expliqueras comment ce petit fils de pute de Damien a pu te dépraver ainsi… et toi comment tu as pu accepter toutes ces horreurs.
-Faites comme bon vous semblera Maître. Le maître a toujours raison, il agit pour le bien de sa soumise…
-Tu as bien compris que j’ai employé l’expression « fils de pute » en désignant ton fils, à dessein ? C’est une ordure et toi tu t’es révélée être une sacrée putain !
-Je l’avais bien compris mon Maître ! »
J’étais un peu estomaqué par la servilité de ma femme, enfin « ma soumise », comme je devais la considérer maintenant. Je devais reconnaitre que ce petit enculé de Damien avait bien travaillé ; j’avais une soumise « clé en main ». Enfin plutôt « laisse en main », devrais-je dire !
Céline, servilement, s’installa ainsi que je le lui avais demandé, les bras tendus, le corps cambré. En la regardant, une bouffée d’émotions érotiques me prit.
Mon Dieu que cette femme était belle… abandonnée dans sa nudité et sa soumission. J’aurais presque eu envie de la prendre dans mes bras, de l’enlacer tendrement, avant de lui faire l’amour de façon divine
Mais je savais que cela eut été une erreur. « Cette faiblesse » m’aurait déconsidéré dans son esprit. Céline comme beaucoup de femmes considérait la gentillesse des hommes, comme une faiblesse, un prurit indélébile, « dixit ma belle-sur ». J’en avais bien soupé de ma gentillesse passée… elle ne m’avait jamais respecté, considéré comme un faible.
Or « F » ne fait pas l’amour avec des faibles. Même la plus féministe, la plus élevée dans ses responsabilités professionnelles des femmes, aimera avoir un mec qui a des couilles dans son lit.
Je me souviendrai toujours du témoignage larmoyant de ce gars de 45ans, quitté par sa femme, un soir de décembre (juste avant Noel !), pour aller rejoindre un de ces collègues, qui lui, mec viril, macho, savait comment fonctionnait « F », et n’avait eu aucun mal à conquérir l’épouse lassée de la gentillesse de son mari.
Elle lui avait laissé les enfants. Et son incompréhension devant tant de dédain et de mépris à son égard, lui « le bon père de famille », pour aller se faire sauter et dominer jusqu’à plus soif, par l’étalon, était totale ! Je lui avais adressé un message privé de soutien, en lui disant qu’il n’était pas seul, j’attends toujours la réponse.
Pauvre larve d’hétéro binaire de base, qui n’a rien compris à la vie ! Comme je dis toujours, les gens méritent leur enfer, ils le choisissent… haste luego connard !
Je tends mon bras et je porte le premier coup de long martinet sur les épaules de « ma chère et tendre » … pas de réactions. Pas assez fort sans doute.
Alors je réitère l’action choisissant de flageller de plus en plus fort sur les fesses, le bas du dos, les épaules, jusqu’à ce que de petits gémissements s’échappent de la bouche de ma soumise.
« Cela te plait petite pute ?
— Oui maitre, j’adore quand vous me parlez mal, frappez plus fort… et sur le devant de mon corps aussi. Ma chatte a besoin d’être réchauffée pour vous donner encore plus de plaisir après ! »
Je n’en reviens pas, je n’aurais jamais pensé que ma femme puisse être si vicieuse et perverse… enfin j’en avais la preuve sur mes écrans, mas là, le vivre en réel, l’entendre parler ainsi, j’en reste abasourdi ; il faut croire que j’ai encore des choses à apprendre, mais je suis sur la bonne voie, c’est un fait !
« Retourne-toi salope, tu te places les bras derrière ton corps en appui sur la table et tu m’offres ta petite chatte… je te préviens je vais la crucifier !
Punissez-moi Maître, faites-moi hurler ! Je le mérite.
-Je n’irai pas jusque-là pétasse, mais tes seins et ta chatte vont chauffer c’est clair ! »
Je me déshabille, quitte ma chemise et déboutonne mon pantalon, juste pour faire apparaitre mon boxer… je bande comme un taureau.
Et je vois que Céline s’en aperçoit elle aussi. Une lueur gourmande s’allume dans ses yeux et son regard reste fixé sur mon entrejambe.
Putain ! Je la flagelle encore un peu et je vais la baiser, comme jamais depuis longtemps. Je vais enfin profiter de l’éducation sexuelle et perverse que lui a donnée mon salaud de fils ; je punis ma femme, enfin d’après ses gémissements mi de douleur et de plaisir, je constate qu’elle prend un goût certain à ces jeux SM… ma femme était une soumise, une vraie masochiste et je ne m’en étais jamais rendu compte !!
Il faudra aussi que je songe à une punition adéquate pour Damien… Michel lui était plutôt un suiveur. Et puis comment résister aux attraits de ma femme offerte ?
Tout en commençant la flagellation des seins de mon épouse, une idée vicieuse se fait jour en mon esprit. Damien, je te tiens, cela va te plaire crois-moi !
Les lanières de cuir commencent à imprimer des zébrures rouges sur la poitrine de ma femme. Au début elle se mordait les lèvres et puis elle gémit de plus en plus fort et ahane comme si je la pénétrais : pas de doute elle prend son pied.
Et moi j’avoue que je commence à vraiment apprécier ces jeux que je considérais comme un peu sordides auparavant.
Oui je dois reconnaitre que je jouis cérébralement de voir ma femme se contorsionner et gémir sous les coups de martinet ; et la frapper sur ses seins ou son sexe qu’elle maintient grand ouvert par l’écartement maximal de ses cuisses me procure un plaisir esthétique et sadique très puissant.
A un moment elle va même jusqu’à ouvrir sa vulve et écarter ses lèvres de sa main droite, le corps un peu penché de coin par rapport à la table, afin que les fines lanières puissent venir toucher son clitoris que je constate turgescent.
Elle offre toute sa féminité à ma puissance sadique de mâle.
A chaque fois que quelques lanières entrent en contact avec le petit bouton, un cri de jouissance jaillit de sa gorge. Je fais quand même attention à ne pas trop abimer la grotte sacrée qui va me donner tellement de plaisir dans cinq minutes, mais je continue mes flagellations de manière aléatoire… un coup sur les cuisses, le ventre, le sexe ouvert dégoulinant de cyprine, les seins.
Un dernier coup sur la vulve, les lanières s’enroulent contre son périnée et jaillissent sur ses fesses, je vois Céline remuer la tête, ouvrir la bouche chercher l’air comme une noyée, son bassin tremble, son ventre se crispe… elle hurle.
D’une puissante poussée, elle bascule vers l’arrière sur la table, toujours les cuisses bien ouvertes, elle presse sa main sur son clitoris, se fourre deux doigts dans le vagin et n’arrête pas de gémir et ahaner. Remuant des fesses sur la table, sa respiration est rapide et saccadée.
Ma femme a un orgasme et il semble puissant au vu de ses réactions.
Sa respiration revenue à la normale, elle a toujours les yeux perdus dans le vague… elle semble bien profiter de son plaisir jusqu’au bout :
« Ça va Céline ?
-Oui Maitre.
-Tu as joui ?
-De façon divine maitre !
-A ce point ?
-Oui maitre. J’ai une faveur à vous demander, Puis-je ?
-Ne te gêne pas…
-Faites-moi l’amour, si je ne vous dégoûte pas.
-Pourquoi me dégoûterais-tu ?
-J’ai tellement eu un comportement de femme immature, libidineuse et salope avec mes fils…
–Écoute, je suis prêt à passer l’éponge sur tout cela, si tu m’obéis au doigt et à l’il et si tu as ce genre de comportements avec moi.
-Il en sera comme vous le désirez maitre… prenez-moi s’il vous plait … »
Alors je m’approchais de ma femme et nouvelle soumise, lui caressai presque timidement le haut de la cuisse, je sentis son muscle palpiter sous ma main, et me penchant vers elle, l’embrassai à pleine bouche, le baiser fut long et langoureux.
Je la pris dans mes bras la soulevai et la portai jusqu’à cette chambre à coucher, qui m’avait été interdite durant ces dernières semaines. J’y rentrai en conquérant, avec ma « prise de guerre » dans les bras.
Je la déposai doucement sur le drap et retirant mon pantalon et mon boxer apparaissait nu, devant ses yeux gourmands. Elle écarta ostensiblement les cuisses en une invite implicite et doucement je m’agenouillai à l’entrée de sa grotte, et m’introduisit en elle. Après toute cette violence maitrisée, j’avais envie de lui faire l’amour, non de la baiser. Dès mes premiers va-et-vient, dans cet antre que je constatai dilaté et humide à souhait, elle se mit à gémir de façon délicieuse.
Alors depuis longtemps je lui fis l’amour tendrement, prenant tout mon temps pour que nos jouissances soient voluptueuses.
Alors que récupérant de notre plaisir commun, elle caressait mon torse poilu, sa tête reposant sur mon épaule, je lui demandai.
« Céline, ce n’est plus ton maitre, mais ton mari qui te parle. Tu as aimé ce que nous venons de faire ?
-Oui beaucoup mon amour… je crois qu’il y a très longtemps que je n’avais ressenti cela avec toi.
-J’en suis heureux ma chérie, pour moi aussi ce fut divin. Maintenant que les choses sont apaisées entre nous, tu vas m’expliquer comment on en est arrivé là. Quelle a été la genèse de ta dépravation assumée avec tes enfants ?
-Tu veux vraiment que je te raconte tout ?
-Dans le moindre détail, aucune relation ne pourra se construire, ou se reconstruire sans une franchise complète de ta part.
-D’accord je vais tout te raconter… mais je pense que nous devrions aller nous restaurer dans la cuisine. Depuis une dizaine d’heures, je n’ai rien avalé et j’avoue que toutes ces émotions m’ont creusé. »
C’est ainsi, dans la cuisine, là où quelques semaines auparavant elle m’avait humilié et éconduit, que Céline me raconta toute l’histoire :
« Au commencement était le Verbe, ou plutôt le mail, celui que Damien me fit lire et qui fut le point de départ de toute cette misérable aventure … au regard de tout ce qu’il s’est passé je me demande si je n’ai pas eu une drôle d’idée de l’éducation à leur donner. Surtout en ce qui concerne Damien ! »