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GéGé, la vieille tatouée. – Chapitre 2




Je me lève et la suis. On traverse son minuscule salon-salle à manger jusqu’à un petit couloir où donne deux portes. La première à gauche sa chambre, m’indique-t-elle, à droite la salle de bain. Une petite baignoire sabot, un évier, un siège de WC, une petite armoire de toilette et un immense miroir ornent cette minuscule pièce. Je grimpe dans la baignoire.

— Ne Bouge pas, je vais chercher le nécessaire.

— Je ne bouge pas, promis…

Elle revient au bout de deux minutes ce qui m’a permis de me voir dans mon entière nudité dans le grand miroir positionné au-dessus de la baignoire. Je m’admire, mon corps parfaitement bronzé intégralement, mon pénis fier, mes couilles pendantes et gonflées à bloc. 

Gégé est revenue avec un petit sac de sport, elle en sort deux embouts spécialement conçus pour le lavement. Un pour l’anal et l’autre pour le vaginal. Le premier est comme une petite bite percée de trois petits trous, le second est en forme de poire avec de multiples orifices. Elle branche le premier au tuyau de douche et allume l’eau. 

— Penche-toi en avant je vais m’occuper de toi. Appuie-toi là, me dit-elle en m’indiquant le haut du sabot de la baignoire. Voilà, parfait, poursuit-elle.

Quelle position incongrue. Je peux me voir plié en deux, jambes et bras tendus, le cul offert à une vieille beauté (pas si belle que ça, mais un certain charme émane de cette couguar). Elle m’introduit l’objet au fond des fesses et je sens l’eau me remplir les boyaux. Elle me demande de me vider dans le cabinet judicieusement positionné à côté du bac. Elle réitère cinq fois l’opération. Elle estime, à la couleur de l’eau, que je suis propre du haut en bas. Elle me sèche les fesses et les jambes. Du doigt, elle récupère au passage un filet qui s’est formé au bout de ma bite et le porte à sa bouche. 

— Hummm…Pas de gaspillage… Aller, viens…

Elle pousse la porte de sa chambre et tapote sur une table de massage. Elle me signale qu’elle pratique des massages de relaxation à des clients réguliers mais qu’il n’y a rien de sexuel (j’ai peine à croire). Je lui demande si sa clientèle est exclusivement masculine. Elle me dit qu’elle ne masse que les femmes, jeunes de préférence. Elle pratique également le tatouage et le piercing. 

— Bon, installe-toi, dit-elle en positionnant des cale-pieds (façon table de gynécologue).

— Rien de sexuel ?

— Où as-tu l’esprit, c’est pour les tatous…

— Mouais…

Elle redresse le dossier de la table en me disant qu’installé de la sorte, je ne perdrais pas une miette. Elle me montre le plafond. Encore un grand miroir. 

— C’est encore pour les tatous, les clientes les plus exigeantes veulent voir quand je les marque à vie.

Je veux bien la croire mais quand elle referme la porte de sa chambre, encore un… miroir. Elle se retourne et je peux la voir sourire dans son reflet. Elle prend un pot de vaseline, un pot énorme. Je la regarde en rigolant.

— Tu ne vas pas me croire c’est…

— Pour les tatous…

On part dans un fou rire. Enfin, dans un sens, ça se tenait. Elle vient m’embrasser avec fougues en prenant ma bite dans sa main. La serrant à peine, c’est plus une tendre caresse qu’une masturbation. Elle décolle ses lèvres et joues de sa langue avec la mienne et sur mes lèvres. Je l’imite. Sa main est toujours aussi douce, elle emprisonne ma tige de telle manière que je sens le rayonnement de la chaleur de sa main. De la main gauche je remonte le long de sa cuisse. Elle gémit. Lentement j’arrive entre la cuisse et son sexe et lui flatte son Haine du bout des doigts. Elle se mord les lèvres.

— On a plus envie de se faire fister, me demande-t-elle.

— J’hésite entre te sauter dessus ou me laisser faire.

— Laisse toi faire, j’en ai trop envie. Me répond-elle en abandonnant ma bouche et ma queue.

— Vas-y, je m’offre à toi ou plutôt mon cul s’offre à toi.

— Alors ma petite rondelle, prête ? Dit-elle avant de se mettre sur une chaise haute.

Puis elle remonte les cale-pieds de façon que mes jambes ne la gênent plus. Elle caresse mes couilles et titille mon sphincter. L’extase. 

Je la regarde dans les miroirs, elle me voit et me sourit. Elle commence par tourner autour puis me pénètre avec sa langue. Je bande comme un fou. Bientôt c’est un doigt, deux puis trois, largement recouvert de vaseline qui viennent me dilater. Elle imprime des cercles de plus en plus larges. Aucune douleur, juste une sensation de gêne. 

— Ça va ?

— Hummm, oui… Tu es douce.

— Je ne suis pas sado. Je fais ça pour notre plaisir. Tu es mon premier mec…

— AH, trahie…Elle rigole. Elle m’explique qu’elle a une jeune cliente, un peu potelet, qui vient régulièrement se faire « dilater ». Elle arrive à la fister le sexe et le cul en même temps. Elle est impressionnante cette petite, me dit-elle.

Elle pousse un peu plus est rentre ses trois doigts et me demande si je suis prêt pour un quatrième. De la tête je lui fais signe que oui. Encore une fois, c’est avec douceur et patience qu’elle retire les trois premiers pour m’insérer quatre doigts. Je ne sais pas si la situation ou le ressentit mais je bande comme un âne à m’en faire mal. Seul son pouce attend l’entrée de mon cul. Il ne tarde pas à rejoindre ses compères, non sans avoir été badigeonné de vaseline. Ses cinq doigts dans mon cul me flattent la prostate. Elle me la masse délicatement ce qui me procure une savoureuse sensation de bien-être. Elle se passe consciencieusement de la vaseline sur l’avant-bras avant de poursuivre sa lente progression. Elle me travaille avec de savants allers-retours. Elle me lime la rondelle, m’éclate le sphincter, m’explose mon trou du cul. Elle vient me lécher tout autour de son bras. Toujours aucune douleur. Soudain une sensation de vide. Elle a retiré son avant-bras. Elle serre le poing et l’enduit de vaseline.

— Maintenant, le meilleur, me dit-elle.

Elle se lève et appui sur son coude avec son ventre. Son poing bute contre mon sphincter. Pas pour longtemps. Elle appuie et pousse sur mon muscle anal qui cède. Petite douleur qui me fait débander. Elle me sourit et me dit que le pire est passé, que le meilleur reste à venir. Elle ressort un peu avant de m’embrocher pratiquement jusqu’au coude. Elle me travaille le boyau. Mon ventre se déforme à chaque poussée. Elle me bourrine à un rythme fou. Elle est couverte de transpiration. Elle hurle, tout comme moi. Je n’ai jamais jouis du cul comme aujourd’hui. Quand elle retire son poing, c’est dans un bruit de ventouse et un vent frais m’envahit les intestins. Elle se penche sur mon trou béant et me lèche le plus loin qu’elle le peut.Elle m’aide à me relever un peu et défait les cale-pieds.

— Bin, toi, tu m’as épaté… dit-elle. La première fois que je sodomise un mec et qui jouit… J’en ai mal au bras…

— Et moi au cul !

— C’est vrai ? Je t’ai fait mal ?

— Non, poursuis-je en regardant mon sphincter ouvert. La sensation d’avoir été ouvert de la sorte est nouveau pour moi.

— tu veux que je te le referme ?

Sans attendre ma réponse elle me lèche et me pourlèche mon muscle, me le masse avec une infinie délicatesse. La sensation et la vue de cette langue parcourant mon anus et des plus délicieuses. Petit à petit, il reprend sa forme initiale mais une rougeur persiste, trahissant un travail poussé.

— On va sur la terrasse se désaltérer ?

 – Oui mais aide moi à me relever, je crois que je vais avoir du mal à marcher et à m’asseoir.

Une fois dans sa courette, elle reprend les bières et s’en va chercher en chercher des plus fraîches. Je marche (heureusement sans trop de gêne). Je déambule nu sur la pelouse et à l’ombre de la vigne vierge, qui recouvre la totalité de la surface. Elle revient pimpante et rafraîchit…

— J’ai pris une douche, vas-y, cela fait du bien… Me dit-elle en posant une bouteille de rosé sur la table… Et prend la froide ou tiède et masse toi l’anus avec le jet, ça décongestionne. Hihihi.

Je suis déjà dans baignoire et je l’entends encore rigoler. Je prends le pommeau et règle la température. Pas trop froide je passe ma tête sous le jet. Je tressaille mais cela me réveille. Le passage sur mon anus est presque jouissif. Je décide de ne pas me sécher, enfin pas tout le corps, et rejoint la belle vieille.

Oh, surprise. Elle m’attend à quatre pattes, appuyée sur ses avant-bras et elle me regarde par-dessus son épaule. Elle me sourit. Le tableau est bandant. Elle est là, offerte sur l’herbe. Elle s’est fait une queue de cheval qui pend sur le côté. Ma bite est à son maximum.

— Viens me la mettre, prend moi comme une chienne… Je veux te sentir, la sentir en moi…

A cette invite, je ne peux résister. Je m’approche d’elle, bite tendue. Je me mets à califourchon derrière elle. Je plis les jambes pour amener mon pâle à l’entrée de son puits d’amour gluant. Je joue un peu à frotter mon gland sur ses lèvres et attends ses suppliques. Elle essaie de reculer pour s’embrocher. Je la stoppe.

-Ne sois pas impatiente, tu vas l’avoir.

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