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Ma nouvelle vie – Chapitre 2




Yvan avait son appartement au dernier étage de l’immeuble. C’était un appartement spacieux,avec du parquet dans toutes les pièces. Le salon était composé d’un immense canapé noir en cuir, où je constatais que l’on pouvais accrocher des liens à chaque extrémité. En face de ce canapé se tenait une somptueuse cheminée dans laquelle Yvan alluma un feux. Il me fit visiter ensuite le reste de l’appartement. Il avait une cuisine américaine où juste un ilot central servait de table. La salle de bain était en marbre rose avec une magnifique douche à l’italienne. Il avait sa chambre au fond d’un couloir au bout de l’appartement mais il ne mis fit pas entrée, elle était réservée pour lui et son épouse. Il avait ensuite une autre chambre, banal, avec un lit auquel on pouvait aussi, si on le souhaitait, attacher des liens. C’est la dernière chambre qui me choqua le plus. La pièce était toute noir, du sol au plafond. Un immense lit à baldaquin trônait au milieu de la chambre, des poufs en velours rouge étaient installés tout autour et dans un coin de la pièce se trouvait une magnifique malle en bois fermée d’un cadenas. Yvan m’expliqua que cette pièce servait uniquement pour les soirées qu’il organisait avec son épouse. Alors que nous retournions au salon je le questionnais sur ces soirées:

"- Il s’agit de soirée à thème, selon les thèmes nous invitons telle ou telle personne, parfois certaines sont invités à chaque thèmes. Chaque invité vient toujours masqué, soit un masque intégrale soit juste d’un chat, c’est à la convenance de chacun, mais pour éviter de se reconnaitre d’une soirée sur l’autre nous mélangeons un maximum les invités. ensuite la soirée se déroule selon le thème du moment. Parfois ce sont de simple petite soirée échangiste où se sont soient les hommes soient les femmes qui choisissent leur partenaire. parfois c’est plus hard type SM,partouze. Il arrive que, sur la demande de nos amis, un ramène une ou un inconnus du groupe et que ce soit l’attraction de la soirée si on peut dire ainsi.

-Pourquoi faut-il être masqué?

-Car c’est plus existant ainsi,nous ne faisons pas de sexe pour le physique de quelqu’un, c’est le côté inconnu

-et la chambre?

— Le mieux c’est que tu viennes à une des soirées, il y en a une qui se prépare la semaine prochaine,comme se sera une initiation pour toi se sera gratuit, après il faut participer à hauteur de 20euros, ce qui permet de payer le repas. Bon maintenant je trouve que tu as assez parlé, je ne veux plus t’entendre, pas un son ne doit sortir de ta bouche,tu entends, AUCUN SON!!!"

Le jeux de la soumission reprenait là, j’étais tentée de lui demander ce qui allait se passer mais il avait été clair, je ne devais plus parler. Il m’ordonna de m’allonger nue sur le tapis devant la cheminée et je mexécutais en silence. De son côté il ôta juste sa cravate et déboutonna sa chemise.

Les poils du tapis étaient doux et sinsinuaient dans les courbes de mon corps. Le sport m’avait permis de garder une taille fine, un corps ferme et souple et ma poitrine était restée belle et ferme. La chaleur que dégageait le feux de cheminée était soporifique.

Yvan sabsenta deux minutes et j’aurai presque pu m’endormir tellement j’étais bien. Il fini par revenir avec un objet que je n’avait jamais vue: d’un côté ça ressemblait à un mini-plumeau,des magnifiques plumes blanches y étaient attachées, de l’autre c’était un petit martinet où les lanières en cuir étaient ornées d’une multitudes de petites billes. Quel côté allait-il utiliser. Il me dicta deux règles, la première était de fermer les yeux et la deuxième de ne pas bouger tant que ce n’était pas lui qui déplaçait les partie de mon corps où me le demandait. Ainsi, les yeux fermés,je ne pouvait qu’imaginer ce qu’il allait me faire et être entièrement soumise (c’est ce que je pensais au début de notre aventure). Encore une fois je mexécutais et attendais. Qu’allait-il me faire? L’imagination était plus forte que le reste et suffisait pour que je mouille toute mon entre-jambe. Je l’entendis s’approcher de moi. Il caressa mes lèvres délicatement du bout de l’index puis prix le relais avec les plumes. Il les fit descendre d’abord le long de mon cou, puis sur mon épaule, il contourna ma poitrine et caressa le creux de mes seins. La caresse des plumes mêlées à la douceur du tapis m’aurais suffis à jouir. Les plumes remontèrent alors jusqu’à mes tétons que je sentis durcirent sous la caresse. J’émis un petit gémissement de plaisir tellement c’était divin. Les plumes se retirèrent de ma poitrine, oh non c’était tellement bon. Et là je sentis un millier de picotement douloureux dessus, j’étais tenté d’ouvrir les yeux mais je n’y était pas autorisé. La douleur m’avait fait émettre un petit cris et bouger

-" Le premier c’est pour avoir désobéit en faisant du bruit,j’avais dit aucun son, et le deuxième c’est pour avoir bouger". A cet instant une nouvelle douleur vint assaillir mon autre sein: il s’agissait du martinet à bille. La douleur ne mempêcha pas à ma grande surprise,de mouillé un peu plus et de sentir mes tétons se dresser un peu plus.Les caresses reprirent enfin leur travaille là où elles s’étaient arrêtées et ça soulageait ma poitrine endolorie. Puis les plumes descendirent dans le creux de mes hanches et je ne pu retenir un frisson me parcourir. Un nouveau coup de fouet vint tomber à l’endroit même où les plumes étaient l’instant d’avant,et ce manège continua jusqu’à ce qu’elles arrivent à mon intimité. Ça avait été une alternance de coup et de caresse, mon corps me brûlait aux endroit meurtris mais une autre chaleur grandissait dans le bas de mon ventre. Instinctivement j’avais écarté mes jambes lorsque les plumes m’avaient caressée mon mont venus, et là une pluie de bille vint se frapper contre mon intimité. Cette fois elle ne cessa pas,aucune caresse pour soulager la douleur. Mais la douleur n’était pas seule,le plaisir montait lui aussi, j’étais au bord de l’orgasme, mais il fallait que je le contienne car si je me laissais aller il continuerai probablement sa punition divine. Je me répétais à tu-tête "retiens-toi! retiens-toi!" Mon excitation était à son paroxysme, je n’en pouvais plus, ça devenais même presque plus douloureux que les coups, mon vagin me faisait mal et je voulais me faire prendre. A ce moment là il m’était dur de retenir mes mouvements d’excitations. Yvan fini par m’ordonner de me laisser aller et il n’en fallu pas plus pour que je parte dans un orgasme interminable. A peine avais-je eu le temps de me remettre de mes émotions qu’il m’avait retourné sur mes jambes à quatre-pattes et qu’il enfonça en moi son sexe dur comme de la pierre. Il me pilonna rapidement et sauvagement comme jamais Anthony n’avait fait. J’allais de nouveau partir mais Yvan m’ordonna de me contenir, et pour intensifier sa parole je sentis des milliers de picotements sur ma fesse droite, le martinet était encore de rigueur. Je sentais son sexe taper le fond de mon vagin et à chaque coup de reins je retenais les cris d’un plaisir interminable. Quand il se sentis partir il m’autorisa à en faire autant. J’avais tellement eu peu d’orgasmes durant mon mariage que celui-ci était interminable et me fit pleurer.

Yvan était à peine sortit de moi qu’il m’annonça sur le même ton autoritaire que lorsqu’il m’avait donné des ordres:

-"je vais me coucher, toi tu dort sur le canapé, et reste nue,je veux que tu puisses être disponible à tout moment."

Et il parti,me laissant encore tremblante, je fondis en larmes. C’était à la fois l’humiliation de la situation mais aussi le plaisir jusque là inconnus du SM mêler à de la honte. Une fois remise de mes émotions je m’autorisai une inspection dans la salle de bain et à ma grande surprise il n’y avait à peine quelques rougeurs aux endroits meurtris.

Je retournais au canapé et m’y installai confortablement.J’étais nue mais la chaleur de la cheminée étais suffisante. Jespérais très fortement que mon patron vienne me retrouver cette nuit-là . J’avais aussi envie d’appeler Anthony pour lui dire que notre mariage avait en effet été un échec parce quil n’avait jamais réussi à me faire jouir ainsi. Je repensait à cette folle soirée et j’étais très tentée d’accepter sa proposition de soumission. J’explorerai ainsi ma sexualité et assouvirai mes plaisirs sexuels autrement qu’avec des vibromasseurs. Je fini par m’endormir lourdement avec toutes ses pensées confuses

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