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le contre emploi – Chapitre 1




Le contre emploi !

Voici le récit de deux de mes aventures sexuelles auxquelles je ne mattendais pas, la première, sest passée dans une ville du sud de la France ou je me rendais depuis quelques mois, pour aider un ami et le remplacer a sa boutique.

Je devais ouvrir son magasin à partir de 14h30, mais comme le seul train me déposait vers 11 h, je tuais le temps en flânant dans les rues de la vieille ville. Ce jour là, je marrête devant une boutique de cadeaux-souvenirs, jy remarque un objet sympa pour offrir à ma fille de 3 ans. Jentre en disant bonjour, et vois un homme derrière sa caisse, dune quarantaine dannées, il répond à mon bonjour en ajoutant un sourire « commercial ».

Je visite le magasin pour voir si je peux trouver dautres choses intéressantes, puis, faute de mieux, je prends ce que jai repéré pour le poser sur le comptoir de la caisse. Lhomme me dit alors « Vous avez des enfants ? », je réponds « oui ! », il enchaine « je dois avoir dautres choses en stock, si cela vous dit, je vous les offres, ce sont des invendus ! ». Etonné, jaccepte en pensant au bonheur que cela pourrait faire à ma fille.

Il me dit « Il est presque Midi, je vais fermer, de toute façon personne ne viendra plus maintenant ! », il ferme son magasin et me demande de le suivre dans larrière boutique. Là, il me montre des cartons remplis de jouets sans importance à part un ou deux que je récupère. Il me dit alors « vous faites quelle taille ? Parce que jai aussi des pantalons ! Je suis sûr que certains vous irons très bien ! ». A nouveau surpris, je réponds « on peut toujours essayer ! ». Il ajoute « je vais quand même vérifier votre taille ! ».

Il sort un mètre de couturière et sagenouille à mes pieds en le passant autour de ma ceinture, en faisant cela ses mains, touchent mon sexe. Il dit alors « ohh lala ! Mais vous êtes serré la ! Il faut vous mettre à laise ! » Il défait ma ceinture pour daprès lui « me libérer ». Et cest à ce moment précis que je réalise que je suis tombé dans un piège ! Il avait prévu tout ça depuis mon entrée dans son magasin, et moi je ne lai pas vu venir ! Je reste hébété, le pantalon sur les genoux. Il pose sa main sur mon slip et me masse les couilles et la queue qui malgré moi, bande fermement.

"Je ne peux pas vous laisser comme ça !", il baisse mon slip et englobe ma bite pour me sucer, je reste ébahi de cette situation sans réagir, mais surpris par le paradoxe, dois-je lui dire qu’il s’est trompé en voyant chez moi un homme "viril", alors que je suis un bi passif uniquement ?

Je ne dis rien et décide de me laisser aller au plaisir qu’il me donne avec sa langue et sa bouche, puis il se relève, baisse son pantalon et me dit en se tournant "tenez rentrez la ici, dans mes fesses, vous verrez, ça va vous faire du bien !", je ne contrarie pas son jeu un peu ridicule, et entreprends une lente pénétration, son cul s’ouvre doucement pour finir par recevoir ma queue jusqu’au couilles, je l’attrape par les fesses et je l’encule de plus en plus vite, pour finir en sodomie puissante mais retenue, je ne veux pas jouir trop vite, je veux attendre son orgasme d’abord.

Mes coups de reins se font violents et profonds, à chaque mouvement, il gueule un peu plus fort. "oh, vous êtes doué, vous me donnez du plaisir, vous faites ça bien, je viens, je viens, encore, Monsieur encore, ahhhhhhh !" Il était temps, j’étais au bord de l’explosion, torturé du fait que je n’aime pas vraiment le corps d’un homme et malgré tout, le plaisir qui montait du fait que je l’enculais.

Même si j’essayais de contenir mon plaisir, le frottement de mon gland dans son cul trempé et serré, m’avait amené a un orgasme naissant, je lui annonce "Je vais venir, j’en peux plus !", il répond "Allez-y Monsieur, je suis venu moi-aussi, laissez vous aller, ne vous retenez pas ! ouiii, c’est booonnnn!" Je décide de tout lâcher et déverse mon foutre chaud dans son trou du cul, en quelques derniers soubresauts violents et profonds, je reste collé dans ses fesses, un long moment, le temps de reprendre mes esprits.

Puis, il se dégage de ma queue, prends un vieux tissu, le positionne entre ses jambes, et en se contractant pour pousser sur son anus, il fait sortir mon sperme de son cul.

Il regarde mon foutre et dit "eh, bien Monsieur, vous en aviez vraiment besoin, c’était une grosse envie" Il me tend le tissu pour que je m’essuie la queue, puis âpres m’être revêtu, je m’éclipserai en emportant mes "cadeaux". Toute l’après-midi à la boutique de mon ami, je penserai à cette situation que je n’ai pu contrôler, j’ai baisé un mec, moi qui n’aime pas ça et qui habituellement se fait enculer comme une salope !

La seconde aventure date du tout début, au moment où j’avais un appart a Toulon, ma fiancée venait de me quitter, perturbé, je n’allais plus bosser et donc j’ai perdu mon job. S’en est suivi, une période de chômage, puis mes droits devenant insignifiants, j’avais de plus en plus de mal a joindre les 2 bouts. Un soir, alors que je me demandais comment manger le lendemain, je me décide à essayer de rencontrer des hommes contre de l’argent.

Le problème, c’est que je ne sais pas ou se trouvent les endroits réputés pour ça, j’opte pour le Jardin du Centre Ville, je marche en fixant les voitures qui passent pour repérer ceux qui "draguent", une demi-heure se passe, l’un d’eux s’arrête et ouvre sa vitre pour me parler, j’ai la gorge nouée en pensant a ce que je vais lui dire.

Il me dit bonjour, je réponds a son bonjour, puis lui dit "je suis désolé, c’est pas gratuit" Il me dit " Ok, c’est combien ?". "200 francs !».»Bien, on a droit a quoi pour ça ?". "Tout ce que vous voulez! Sauf la violence". "Monte !".

Je lui indique qu’on peut baiser à mon appart, ça l’arrange. J’imagine déjà sa queue dans ma bouche et mon cul, en pensant que je vais joindre l’utile a l’agréable.

Chez moi, il attrape ma bouche et m’embrasse, je n’aime pas la bouche d’un mec mais, vu qu’il me paie, je subis et réponds a ses baisers. On se dévêtit, je descends sur sa bite pour le sucer comme j’adore le faire, puis il me relève et se baisse à son tour pour me sucer lui aussi, ce qui me fait réaliser que cet homme est passif lui aussi, je vais donc devoir le baiser alors que ce nest pas mon truc, mais je veux pouvoir manger a ma faim. Je caresse sa tête pendant que je lui baise lentement la bouche, puis il s’allonge sur mon lit en me disant "prends-moi !", je lui lèche sans vraiment aimer ça le trou du cul en déposant le plus possible de ma salive.

J’approche mon gland de son trou, en poussant fermement mais avec attention, je sens son sphincter s’ouvrir peu à peu, je me dégage, et en visant bien, laisse tomber encore un peu de salive sur son anus. Je recommence ma pénétration, mon gland passe facilement l’entrée, je ne bouge plus puis je reconnais le moment ou son anus se détend, et je pousse pour m’enfoncer en lui jusqu’aux couilles.

Cest une nouveauté pour moi, cest la première fois que je pénètre un homme, et constate que je préfère les formes plus dessinées dune jolie fille, je suis derrière lui qui est à quatre pattes a présent, son corps mince et droit qui se termine sur une paire de fesses peu charnues, dans lesquelles disparait ma queue, ne mexcite guère. Mais, heureusement cela na aucune incidence sur mon érection, je ne dois pas lui montrer ma gène et faire ce pour quoi, il va me payer !

Je pense à moi, quand je suis à sa place, et aussi à la manière dont jencule ma copine, pour lui donner le plus de plaisir possible, je lui enfonce ma queue de façon saccadée, en variant les rythmes. De temps en temps, je mamuse à ne le pénétrer, que du bout de mon sexe, puis je le défonce a grands coups puissants, il râle de jouissance, je sens son plaisir monter.

Bien sur, mécaniquement, je ressens quand même du plaisir malgré moi, son cul étroit, chaud et humide sur ma queue, cest dur de résister ! Jattends avec impatience son orgasme, pour mieux tenir, je regarde son dos masculin pour me rappeler que cest un homme que jencule, je souffle pour faire tomber le plaisir montant, puis il pousse un gémissement long et étouffé, il mords la couverture sous lui, son visage est déformé par lorgasme que lui procure mes violents coups de bite.

De mon coté, je mapplique à ce quil ne regrette pas ce que je vais lui coûter, et ne laisse pas retomber son orgasme en me déchainant profondément en lui, et surtout en me laissant aller au plaisir, il ouvre sa bouche et pousse des « hannn !, hannn, hann ! » à chaque fois que mon gland frappe le son de son cul , il en est au point ou son corps se relâche après lorgasme, remplit de plénitude, il se sent bien et profite jusquau bout de son plaisir anal. Il ne faut guère de temps pour que je lui annonce que moi aussi, je nen peux plus et jexplose en me cambrant en arrière et quelques derniers coups de queue a lintérieur de son anus. Il sécroule sous moi, je le suis, collé dans ses fesses et nous restons un petit moment ainsi à reprendre nos esprits.

Il me dit « Je pense que tu es comme moi, tu es passif ! On sent ses choses là !, mais cest pas grave, tu mas bien baisé ! » Il shabille, dépose largent sur mon lit et disparait. Jai eu du mal à accepter ensuite le fait que je me suis prostitué, ce fut la première et dernière fois ! quand au fait de baiser un autre homme, cela ne m’est arrivé que 4 fois.

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