C’est ma première journée de travail, je suis un peu stressée. Mon employeur me semble gentil, au fond j’espère qu’il ne l’est pas trop. Je me suis habillée comme convenu, quelque chose de court et de décolleté. Mon nouvel uniforme. Je ferais bien de m’y habituer. Ça ne me dérange pas trop, au fond de moi j’ai un côté exhibitionniste qui aime se savoir regardée et désirée. J’arrive, un peu à l’avance comme toujours. Ma première tâche consiste à m’agenouiller pour mettre son pénis dans ma bouche, au complet. Je n’ai pas de doutes envers mes capacités, je me demande juste comment cela va se passer. Je naime pas avoir le contrôle. J’espère que mon employeur est prêt à bien me diriger. Je cogne. Il me fait entrer. Sans plus de préambules, j’entreprends ma première tâche. Je défais moi-même la braguette de son pantalon et je sors son membre. Je prends mon temps, je titille son gland du bout de ma langue, je descends le long de sa verge et je poursuis mon chemin jusqu’à ses testicules. Je refais le chemin en sens inverse et décide de terminer ma tâche, j’enfonce son membre au plus profond de ma gorge pour lui faire une fellation. Selon la description de tâche, je dois recevoir une fessée par la suite, j’attends ce moment avec impatience, je mouille à y penser. Je continue ma fellation bien sagement, j’anticipe, j’ai hâte. D’un mouvement busque, il m’attrape par les cheveux pour me relever. Il me retourne et entreprend de relever ma jupe et ma petite culotte. Il passe ses doigts sur ma fente, question de vérifier si je suis bien mouillée. Pas besoin de vérifier longtemps, je suis déjà amplement excitée. D’un même mouvement il me donne une fessée sur la fesse gauche et de l’autre main me doigte. J’échappe un cri de surprise, mais c’est si bon. Il continue son manège. J’essaie de me relever un peu, mais il me maintient penchée sur la table. Je ne peux pas bouger. J’aime ça. J’aime être soumise de la sorte. Je sens que la pression dans mon dos se relâche, je me relève un peu. Il m’enlève violemment ma jupe et ma petite culotte. Me demande de lever les bras et termine de me déshabiller. Me voilà nue et soumise. Il m’invite à me diriger plus loin. Je ne sais pas où je vais. Oh, la chambre. Il me prend et me projette sur le lit. Je ne bouge pas, j’anticipe, je laisse le plaisir couler en moi. J’attends sagement les jambes bien écartées. Il termine lui aussi de se déshabiller. Il est beau, bien membré. Je le veux. Maintenant. En moi. Mais j’attends. Mon excitation n’en sera que plus grande si je laisse le jeu se poursuivre. Il s’approche et s’étend sur moi. Il me mordille le cou, les oreilles. J’halète, j’aime ça. Il me prend les poignets et lève mes bras au-dessus ma tête. Ses mains sont assez grandes pour qu’ils puissent les retenir d’une seule main. De l’autre main il me caresse, partout. Il descend le long de mes bras, de mon épaule, le flanc, les seins, mes mamelons durcis. Je frissonne, ça chatouille. Je mouille, je n’en peux plus. Du mieux que je peux, j’essaie de bouger mes jambes pour attraper ses hanches. Je veux lui faire comprendre que je le veux en moi, maintenant. Mais la torture continue, il me maintient immobile. Il prend le risque de lâcher mes poignets. Je n’esquisse aucun mouvement, j’ai abandonné, j’ai compris. Suite à son exploration manuelle, il a entrepris de me goûter. Sa langue parcourt mon corps. Et moi je mouille de plus en plus. Je me tortille, j’en veux plus. Il continue son chemin jusqu’à ma fente. Mes mains viennent se poser sur sa tête. Je veux qu’il continue. Plus fort, plus vite. Il sait se servir de sa langue, je le sens. C’est bon. J’ai l’impression que je vais hurler. Je me retiens, je ne veux pas que ça se termine tout de suite. Il me doigte en même temps, je n’en peux plus. Mais je résiste. Je respire très vite, la fin n’est pas loin. Il risque un doigt vers mon anus. C’est la goutte qui fait déborder le vase. Je sens la jouissance m’envahir jusqu’au bout de mes orteils. Je me cambre et lâche un cri. Merveilleuse sensation. Il n’arrête pas pour autant. La jouissance s’amplifie et s’étire. Je me sens vidée de toute énergie. Il ralentit. Sa bouche remonte tranquillement par mon ventre, mes seins, mon cou. Je reprends des forces, ma respiration redevient normale. Il me retourne, m’installe sur mes jambes et mes coudes. Et sans rien de plus, me pénètre. Aucun cri de ma part rien. L’onde de plaisir qui me parcourt est trop intense. Je suis muette. Il y va de grands coups de bassin, toujours plus fort, plus vite. Mon cerveau n’est plus capable de penser. Je ne vis que pour le plaisir actuel. Je recommence à respirer bruyamment. Je m’installe sur mes avant-bras et ma main gauche descend dans mon entre-jambe. Je sens que je vais avoir un autre orgasme. Je sens sa jouissance proche. J’essaie de retenir la mienne un peu… juste un peu. Il accélère encore, je me laisse aller à mon plaisir. J’entends qu’il vient lui aussi. Je sens mon cur battre jusque dans mes oreilles. Je suis vidée de toute énergie

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