Le lendemain donc, Chloé et moi allions chez Claudine comme elle nous l’avait si gentiment suggérer. Chloé me rappela soudain le récit de Claudine quand celle-ci raconta comment elle s’était masturbée dans sa voiture en sortant de chez nous.
— J’aurai bien envie d’essayer moi aussi, ce doit être excitant de faire cela au risque d’être surprise.
— Essaye si tu veux mais je ne m’arrête pas. A ta place je garderai des forces pour tout à l’heure, ça risque d’être chaud.
Chloé ne suivit pas mon conseil et, les pieds posés sur le tableau de bord, jambes ouvertes, jupe relevée au dessus des hanches, elle passa sa main sous l’élastique de sa culotte et se caressa la chatte tout au long du parcours. Je devais me concentrer sur ma conduite mais de temps en temps je jetais un oil vers elle. C’est vrai que c’était excitant surtout, ayant réduit ma vitesse, nous étions souvent dépassées par d’autre voitures et j’imaginais la tête des passagers s’ils regardaient dans notre habitacle. C’était tellement excitant qu’à un certain moment je faillis m’arrêter pour pouvoir imiter ma fille mais j’eus assez de volonté pour résister et c’est la culotte pleine de mouille que je stoppais devant la maison de Claudine mais, avant de descendre, Chloé accéléra sa masturbation et jouit avec de longs soupirs.
Anne nous fit entrer. Je fus surprise de voir la mère et la fille en peignoir. Voyant mon étonnement et après nous avoir embrassé toutes deux sur la bouche, elle déclara.
— Vous étiez longues à venir alors, Anne et moi, nous languissions aussi n’avons-nous pas pu résister à nous faire une petite gâterie, enfin pas si petite que cela car nous nous sommes retrouvées entièrement nues et, étant donné l’heure où nous avons cessé de nous câliner, il n’était plus nécessaire de nous rhabiller. Et vous, votre voyage s’est bien passé ?
Je lui racontais le comportement de Chloé et pendant que je parlais, ma fille s’était rapprochée de son amie et, lui ayant dénoué la ceinture de son peignoir, elle glissa une main entre ses cuisses.
— Elle a la chatte aussi mouillée que la mienne déclara Chloé.
Du coup, Claudine me prit la main et la fourra entre ses cuisses également.
— Il n’y a pas qu’elle n’est-ce pas Marlène.
Les hostilités étaient déclarées mais nous avons suivi, à la lettre, le vieil adage qui disait : « faites l’amour pas la guerre ». Une bonne heure plus tard, repues, nous devisions en évoquant nos souvenirs de jeunesse et en parlant de fantasme. C’est celui de Claudine qui retint mon attention car il me plaisait beaucoup et qu’il était, je le pense, réalisable.
— Moi, disait Claudine, j’aimerai créer une école de masturbation. D’abord cela aiderai bon nombre de femme à connaître leur corps et imaginez-vous les séances de masturbation collectives. Voir toutes ces femmes accroupies en cercle, exposant leur chatte aux vues de tous, guidant leurs gestes dans un premier temps, puis laissant donner libre cours à leur imagination. Au bout de quelques séances vous verriez celles qui sont prêtes à passer la vitesse supérieure, c’est à dire prêtes à accepter les caresses d’une autre ou à en donner. Imaginez-vous dans un harem où les femmes seraient sans cesse renouvelées. Pouvoir s’occuper de chattes toutes différentes n’est-ce pas le pied ? Changement d’avoine réjouit le baudet comme on dit si bien.
Claudine, en parlant, vivait ce qu’elle racontait surtout que nous étions dans la position qu’elle venait de décrire, c’est à dite assises en bouddha, la chatte bien visible. Elle le vivait si bien qu’elle se branlait sans retenue. Bientôt ses propos devinrent incohérents mais nous avons quand même pu déchiffrer:
— Ah, mes chéries ! Allez-y ! Branlez-vous comme moi. Ah, si vous saviez comme j’aime ça. Tout le monde devrait se branler, ça devrait être enseigné dans les écoles et, s’ils cherchent un professeur, je me porte volontaire.
— Mais Claudine, les classes sont mixtes, ça ne te gênerait pas de voir des garçons la queue raide en route à s’astiquer.
— Vous savez j’ai connu la queue et, si elle ne me manque pas, je ne suis quand même pas hostile à en branler une. D’ailleurs avec feu mon mari nous adorions nous regarder nous branler.
— Et toi maman, demanda Chloé, avec papa comment ça se passe ?
— Oh, tu sais, avec ton père c’était l’amour classique, le coït pépère. J’aurai bien aimé le voir se caresser et j’aurai apprécié qu’il prenne aussi du plaisir à me voir m’en donner. Mais, ton père n’est pas très porté sur la gaudriole.
— Alors là, tu m’étonnes maman !
— Et pourquoi questionnai-je !
— Parce que, il y a peu de temps, se croyant seul à la maison, il se douchait la porte de la salle de bain ouverte aussi, lorsque je suis passée devant, je n’ai pu m’empêcher de regarder. Il est vrai que Anne et moi, pendant nos ébats, il nous arrivait de parler des hommes et de leur zigounette qui, par ouï-dire, devenait longue et dure quand ils étaient excités. J’étais donc curieuse d’en voir une.
— Bon d’accord mais ton père se douchant n’était pas en érection ?
— Et bien détrompes-toi, elle bandait et la main de papa faisait des va-et-vient sur elle.
— Ton père, mon mari, se branlait ? Qu’as-tu fait ?
— Je l’ai regardé discrètement jusqu’à ce qu’il éjacule et j’ai trouvé cela très beau.
— Vilaine cochonne ! Ainsi tu as vu ton père se branler et éjaculer ?
— J’ai vu, j’ai aimé et je me suis branlée aussi, tout de suite après, lorsque j’eus rejoint ma chambre. Tu te rappelles Anne je t’en ai parlé le lendemain.
— Oh oui que je me souviens répondis Anne, je te l’ai fait raconter trois fois et à chaque fin de récit tu as eu un orgasme.
Cette petite séance de parlote nous avait redonné des forces et c’est en jouissant une énième fois que nous avons finies cette mémorable après-midi.
Ce que Chloé avait raconté au sujet de son père m’obsédait aussi, le soir même, j’essayais d’en avoir le cour net. Nous étions allongés depuis quelques minutes lorsque mon mari voulut avoir un rapport. Je passais ma main sous les draps, en effet, il bandait. Il a du être surpris par mon geste car dés notre première relation physique, il m’a toujours empêché de lui toucher le sexe mais, pour la première fois, il ne dit rien et me laissa le caresser. Je profitais de sa passivité pour lui demander :
— Chéri, nous n’avons guère parlé de nos expériences avant que l’on se soit connu, je dirai même que nous ne les avions jamais évoquées. Comment s’est déroulée ta découverte de la sexualité ?
— Comme tous les adolescents je suppose.
— C’est-à-dire ?
— En parlant avec les autres garçons et en lisant quelques revues érotiques.
— Mais comment assouvissais-tu tes pulsions car tu devais en avoir en consultant ce type de revue ?
— Comme tous mes camarades, en me masturbant.
C’était la première fois que j’entendais mon mari parler de masturbation. Peut-être n’osait-il pas aborder le sujet, qu’il aurait été catalogué comme pervers. Néanmoins je fut contente de constater qu’il était comme tous les autres.
— Tu te masturbais souvent ?
— Une fois par jour en moyenne.
Pendant qu’il parlait je sentais sa bite qui durcissait de plus en plus. J’essayais alors de le faire parler de lui plus encore.
— Même après notre première rencontre ?
— Oui car dans un premier temps nous n’avions aucunes relations sexuelles et, à chaque fois que l’on se quittait, je devais me soulager.
— Mais après ?
— J’ai arrêté jusqu’au jour où, enceinte de plusieurs mois, tu te refusais à moi. Je pensais que cette situation ne serait que provisoire mais après la naissance de notre fille, ta libido est devenue quasi inexistante et bien que tu ne te refusais jamais et laissais me satisfaire sans rechigner, je voyais bien que tu n’en avais pas l’envie.
— Tout ce que tu viens de dire est exact et tu m’en vois désolée. Donc tu as continué à te satisfaire seul ?
— Et si, maintenant, c’était ma main qui agissait comme la tienne ?
En disant cela je commençais un lent va-et-vient sur sa queue. Mon mari grogna un peu mais un grognement de satisfaction en repoussant le drap.
— Tu aimes que je te branle mon chéri ?
— Et toi ma chérie, tu aimes le faire ?
— Oh oui, le faire et le voir. Tu sais que tu as une belle queue ?
— Et toi ma chérie ?
— Moi quoi ?
— Tu ne t’aies jamais caressé, seule.
— Evidemment que je me suis caressée. Moi aussi, étant ado j’avais des pulsions et comme toi, avant nos premiers rapports, chaque fois que je te quittais, je n’avais qu’une envie c’est de me soulager.
Se sentant en confiance, mon mari m’avoua que non seulement il se masturbait quotidiennement chaque soir dans son lit mais qu’il avait aussi pratiqué la masturbation en groupe avec des copains.
Cet aveu m’excita si fort que naturellement, tout en continuant de branler mon mari, j’enfouissais ma main entre mes cuisses. Ce geste n’échappa pas au regard de mon mari.
— Toi aussi ma chérie, tu aimes te branler ?
— Oui mais moi je n’ai repris cette activité que depuis peu de temps.
Je lui parlais alors de notre fille et tout doucement, je lui ai fait comprendre que sa préférence allait vers les femmes. Du même coup je lui avouais que moi aussi j’avais eu une aventure avec ma meilleure copine et que la découverte de la sexualité de Chloé avait fait renaître certains souvenirs et réveillé mes sens.
— Tu sais Marlène, je me doutais bien qu’entre Chloé et Anne il y avait autre chose que de l’amitié et j’avoue que de les imaginer faisant des choses ensemble, cela me faisait jouir plus rapidement quand je me masturbais. Comme maintenant…
Mon mari se mit à éjaculer. Un flot énorme de sperme gicla sur son ventre et sa poitrine. Je continuais mes va-et-vient plus lentement pour qu’il profite au maximum de sa jouissance. Mon autre main ne resta pas inactive et ce qui venait de se passer m’amena rapidement vers l’orgasme sous l’oil attendri de mon mari.
— Regardes-moi, mon amour dis-je, je jouis aussi et c’est ta jouissance qui m’a fait jouir.
— Merci Mylène chérie. C’est dix fois meilleur que de se branler seul. On recommencera dit ?
— Quand tu veux, j’ai adoré.
Nous nous sommes endormis enlacés. Mais au cours de la nuit, alors que j’étais couché en chien de fusil, je sentis, sur mes fesses, la bite de mon mari qui avait repris de la vigueur. Je passais la main dans mon dos et me saisis de la queue qui bandait prête à recommencer, avec un plaisir certain, ce que nous avions fait quelques heures plus tôt. Mais, toujours endormi, mon mari se mit à geindre et à émettre des paroles qui me laissèrent pantoise. Il disait :
— Chloé oui, comme ça, prends ma queue, branle-moi, c’est divin.
Immédiatement je stoppais mes activités et le réveillais, le sommant de me donner des explications quant aux paroles qu’il venait de dire.
— Ainsi, criais-je, tu te fais branler par ta fille ?
— Une fois Mylène, une seule fois, répondit-il tout penaud.
— Quand, comment insistai-je ?
— Il y a un mois environ, je me croyais seul et je n’ai pas pris la peine de fermer la porte de la salle de bain alors que je me douchais. Sous l’eau chaude qui coulait sur mon corps, j’ai eu soudainement envie de me masturber, ce que je fis. Le plaisir allait arriver quand j’aperçus la tête de Chloé qui me regardait et là, je ne sais pas ce qui m’a pris, au lieu de m’arrêter, j’ai continué jusqu’à l’éjaculation Voilà c’est tout.
— Notre fille ne t’a jamais touché alors ?
— Non, elle n sais même pas que je l’ai vue mais j’ai toujours ce moment en mémoire et de savoir que Chloé m’a vu me branler, cela me fait bander et je pense à elle souvent. Je n’en suis pas fier, tu me pardonnes ma Mylène chérie ?
— Bien-sur puisque vous n’êtes pas passé à l’acte.
Bien entendu je ne lui ai pas dit que j’étais au courant et que le problème de l’inceste n’était pas un problème. Pour lui montrer que je ne lui en voulais pas, je l’ai fait jouir en lui disant :
— Regardes, c’est ta petite Chloé, qui te branles, elle le fait bien n’est-ce pas ?
Ensuite, j’ai bien eu du mal à me rendormir. Je cherchais le moyen d ’amener mon mari à recevoir de Chloé, les caresses dont il rêvait tant. Du côté de ma fille, je pense qu’il n’y aura aucune difficulté, dans le feu de l’action, quand je l’aurai bien excitée, elle sera prête à tout accepter, même de branler une bite au lieu d’une chatte mais pour mon mari ce sera une autre paire de manche. Pour l’heure, rien que d’imaginer la scène, j’avais le clitoris gonflé et quelques aller-retour dur mon bouton me firent jouir instantanément.
