Après le départ de Fred, je continuais à avoir des relations avec Roger. Des relations dominant/dominée de plus en plus suivies. Dans le même temps, au fur et à mesure que la date de mon accouchement approchait, je me détachais progressivement de Marc mon mari, prétextant fatigue et lourdeurs.

Mon conjoint étant hors course, mes besoins sexuels devenaient de plus en plus impérieux pour le plus grand plaisir de Momo et de Roger. Ce dernier était extrêmement vicieux et à ce stade de ma grossesse je dois dire que j’aimais ça. Parfois, je ne pouvais m’empêcher de repenser à tous ceux qui m’avaient soumise avant lui. Il y avait eu Georges, Fred, Abdou et maintenant Roger que je connaissais depuis longtemps et qui finalement s’avérait être le plus pervers de tous.

D’abord Georges, mon boucher.

Il avait été le premier de la longue série des vieux cochons qui m’avaient eue.

J’ai déjà raconté comment il m’avait prise la première fois. Il s’était bien rendu compte que j’avais apprécié le traitement qu’il m’avait fait subir, alors, les samedis suivants, ce pervers m’avait de nouveau baisée dans sa chambre froide.

J’arrivais toujours aux heures de pointe. Dès qu’il me voyait entrer dans son magasin, soigneusement maquillée et légèrement vêtue, il abandonnait immédiatement pour moi toutes ses clientes. Des clientes, qui, agacées par l’attente, ne cachaient pas leur mécontentement, certaines, du reste, n’hésitant pas à me faire des remarques désobligeantes.

Le scénario était toujours plus ou moins le même. En un clin d’il, nous disparaissions par la porte réservée au personnel. C’était rapide. Commerce oblige. Mais, très intense.

Il me donnait un bon coup, puis, après un bref intermède bien trash dans l’arrière-boutique où il me faisait partager sa passion pour les abats, je passais directement à la caisse.

Là, invariablement il ouvrait son tiroir-caisse pour y glisser ma petite culotte confisquée quelques minutes plus tôt, faisait mine d’encaisser, puis il annonçait d’une voix forte, de manière à ce que tout le monde entende, qu’il m’avait donné son meilleur morceau du cochon ou bien encore que j’allais aimer sa langue.

Ses bigotes de clientes pouvaient bien se douter qu’il se passait quelque chose entre nous.

Elles étaient bien loin d’imaginer de quelle manière, cette belle jeune femme bien classe avait été mise à contribution par leur cher boucher.

Il avait effectivement une manière bien à lui de me faire partager son étrange dévotion pour les bas morceaux.

Dans le premier cas, celui du « meilleur morceau du cochon », après m’avoir brutalement sodomisée, puis mangé le cul dans la réserve, Roger m’avait enfoncé une véritable queue-de-cochon dans le derrière.

Et c’est ainsi qu’il me fallait maintenant terminer mes courses : cul nul avec une authentique queue-de-cochon dans le cul.

Dans le deuxième cas, celui de la « langue de veau », après m’avoir bien bouffé la chatte, me léchant du trou au bouton, ce salaud de boucher m’avait simplement enfilé une belle langue de veau dans le vagin.

Tout cela ne m’empêchait pas, bien sûr, de sortir du magasin en souriant et en tortillant des fesses sous le regard désapprobateur des clientes.

Ensuite, il y avait eu Fred et Abdou.

Fred était vicieux lui aussi, mais dans un style complètement différent.

Georges n’avait pas envie de me partager, tout le contraire de Fred soucieux de me faire tout découvrir.

Je ne reviendrais pas sur l’épisode des chiens avec Abdou. Je suis certaine qu’ils étaient de connivence…

Et puis les ouvriers, cette « carte pass » de libres accès à Marie,…, ces deux-là avaient tout organisé ensemble.

Alors que Fred était excité de me voir jouir et faire la salope, Abdou, lui, avait profité de moi dans tous les sens du terme. Finalement, Abdou s’était fait pas mal de cash avec mon cul.

En y repensant, j’en ai terriblement honte, mais en même temps cela m’excite.

Et puis, j’avais recommencé avec Momo qui pendant toute une période s’était fait de bons mois rien qu’avec mes nichons. Imaginez qu’il gagnait autant que mon mari en me trayant les mamelles deux fois par jour.

Et maintenant, il y avait Roger.

Roger, lui, avait bien caché son jeu.

Étant présent lors de la cérémonie religieuse de mon mariage, il avait su, dès le début, que Fred n’était pas mon mari. Ensuite, il avait sur moi tout un tas d’informations et cela même avant de me baiser. J’ignore comment il avait pu les obtenir. Ainsi, il savait que, peu de temps avant mon mariage, je m’étais fait baiser en robe de mariée dans l’église. Il avait même des photos. Beaucoup de photos

Ce qui lui plaisait c’était d’utiliser tous ces clichés de moi pour faire des montages du style « avant-après ».

Sur la photo de gauche, je suis tout habillée, en famille chez moi, ou dans un lieu public, un lieu connu ou identifiable de préférence, et sur celle de droite, je suis exactement au même endroit, mais nue, si possible simplement vêtue de mes escarpins, bas et porte-jarretelles ou guêpière. À gauche, la jeune femme de bonne famille, très comme il faut, croyante, pratiquante, investie dans des bonnes uvres, à droite la salope avec ses dessous de pute s’exhibant seule ou en train de faire des cochonneries avec de parfaits inconnus, des migrants de préférence.

Le clou de sa collection que j’ai découverte avec effroi c’est le montage « mariage de Marie ».

Moi, avec juste mon voile de mariée, mes bas et mes escarpins blancs, nue dans l’église en train de me faire baiser par des étrangers avec en regard des photos me montrant quelques jours plus tard en jeune mariée toute pimpante, communiant aux côtés de mon époux.

Mais il n’y a pas que sa passion pour mes photos de cul. Lui aussi sait me satisfaire. En particulier chaque soir, il commence par me téter. Seul ou en compagnie d’un ou de deux vieux cochons retraités comme lui. Très souvent, il utilise un tire-lait pour compléter la traite. Un double. Tout comme Momo, il est très attentionné, il sait choisir la téterelle adaptée. La double expression est maintenant répétée plusieurs fois quotidiennement, ce qui a pour effet d’augmenter encore ma production de lait.

Je suis une vache dont les mamelles font le bonheur de mes amants.

Je suis une chienne que l’on couvre. Une salope qui aime se faire parfois lécher par son mari avant et après de se faire labourer par d’autres hommes.

Les mois passent et mon troisième trimestre de grossesse est maintenant bien entamé.

Nous sommes dans le bureau de Roger, ou plus exactement dans une sorte de hangar qui donne sur une cour intérieure à l’air libre. Cet espace à l’écart, encombré de meubles divers, lui sert effectivement de bureau.

Roger vient de me présenter une nouvelle venue. Une nouvelle pour lui, mais pas pour moi.

Il s’agit tout simplement de Stéphanie. Cette même Stéphanie qui a couché avec Marc mon mari et qui, en un sens, est à l’origine de tout ce qui m’est arrivé depuis. Cette Stéphanie que je vois tous les jours à mon travail et qui est sous mes ordres.

Je ne comprends pas comment elle peut se retrouver là. Elle est peut-être nouvelle, mais Roger la tient déjà par la taille. Pas de doute, ce porc se l’est faite. Il tend à chacune un document.

Il est important, dit-il, que vous preniez connaissance sous forme contractuelle de la nature de vos futures relations de Maîtresse à soumise.

Sans dire un mot, nous découvrons chacune nos contrats et Stéphanie ne tarde pas à signer le sien. De mon côté, je réfléchis. Comment puis-je devenir la soumise de mon employée ? Je suis totalement prise de court. Jamais je n’avais imaginé qu’une telle situation pourrait se produire.

Stéphanie est à la fois sous ma dépendance hiérarchique dans l’entreprise où nous travaillons mon mari et moi, mais également ici même, au sein de cette association dont je suis la présidente.

Je dois avouer que j’ai curieusement très envie de cette femme par qui tout a commencé.

Pourtant, elle est à l’origine de ma séparation avec Marc. Mais aussi de ma rencontre avec Fred.

Je voyais plutôt les choses dans l’autre sens. Devenir sa maîtresse pour la punir et non pas sa soumise.

D’un autre côté, je ne peux m’empêcher d’être excitée à l’idée de me soumettre à cette jeune femme qui est doublement ma subalterne. Peut-être un effet de plus à mettre au crédit de ma grossesse ?

J’ai très envie de me donner à elle et je pense que, même en mode soumission, Stéphanie ne sera pas contre cette opportunité qui lui sera offerte de prendre du plaisir avec sa supérieure enceinte de huit mois.

Une femme qui est sa cheffe et qu’elle a faite cocue. Une occasion qui ne se présente pas tous les jours.

Comprenant que je ne risque pas grand-chose je m’empresse de signer mon nouveau contrat avant de le tendre à Roger. Satisfait, ce dernier lève le pouce. Stéphanie entre aussitôt dans son nouveau rôle.

Marie approche, lève ta robe et montre-nous ta chatte de petite salope !

Bien, maîtresse !!

La séance vient seulement de commencer et déjà je ne maîtrise plus rien. Le plaisir me submerge rien que d’imaginer toutes les perversions et toutes les humiliations qu’il va me falloir endurer sous le commandement de Stéphanie.

Je soulève ma robe à deux mains jusqu’à la taille. Je m’approche d’elle sans plus me soucier de ma robe, qui, bloquée par mon gros ventre reste bien en place.

Stéphanie se penche en avant et vient caresser mes lèvres intimes de ses doigts. Lentement, elle glisse un doigt dans mon vagin et le fait coulisser en me regardant droit dans les yeux.

C’est bien ma petite salope. Tu as bien lu ton contrat. On est bien d’accord, à partir de maintenant tu m’appelles Maîtresse et tu me vouvoies.

Puis s’adressant à Roger :

Elle mouille déjà cette salope ! Et tu avais raison, elle ne porte jamais de culotte, c’est plus pratique pour tout le monde.

Il a l’air de te plaire mon doigt, ma petite chienne !! me dit-elle avec un grand sourire.

Oooh, oui, Maîtresse Stéphanie.

Veux-tu que je t’en mette un deuxième ?

Faites de moi tout ce qu’il vous plaira, Maîtresse !! Dis-je en sentant un autre doigt entrer en moi.

Tiens, suce-les maintenant ! me dit-elle après les avoir fait coulisser quelques minutes dans ma chatte.

Oui, oui, Maîtresse ! dis-je en ouvrant grand la bouche.

Elle a bon goût, ta petite chatte ? Me demande-t-elle alors que je suce ses doigts avec empressement.

Hummm, oui !! Dis-je en me délectant de ma propre mouille sur les doigts de mon employée.

Bien, maintenant tu vas commencer à nous prouver que tu es bien ma soumise. Mets-toi à quatre pattes.

Je m’exécute pendant que Roger sort un plug qui se termine par une petite queue en tire-bouchon.

Une queue-de-cochon en plastique, bien longue et toute rose. Stéphanie examine le plug anal, le prend en photo et tout en remerciant Roger, elle me le tend en éclatant de rire.

Merci Roger. Très bon choix ! C’est tout à fait ce qui convient pour cette salope.

Vas-y mets-toi ça dans le cul et fait nous trois fois le tour de la pièce en couinant et en gigotant du cul. On va te filmer. Dès que je m’approcherai avec la caméra tu te présenteras. Je veux t’entendre dire : « je suis une salope, je m’appelle Marie, je ferai tout ce que Stéphanie me demandera, je ferai même la pute pour elle si elle me le demande.

Je m’applique à faire exactement ce qu’elle demande, je couine et répète ce qu’elle m’a demandé de dire. Pour le reste, c’est difficile d’avancer ainsi, avec mon gros ventre qui pèse et traine presque sur le sol.

Je m’arrête enfin. Épuisée je reste à quatre pattes. Je trouve une position plus confortable en prenant appui sur mes avant-bras repliés, le cul en l’air, mon ventre touche le sol. Stéphanie s’approche et recommence à m’insulter.

Roger m’a raconté plein de trucs sur toi et quelle salope tu fais. Je n’en revenais pas, mais maintenant je commence à le croire. Paraît-il que tu aimes te faire pisser dessus ?

Qu’est-ce que tu attends pour répondre ?

Stéphanie s’approche une longue règle plate flexible en main. Je n’ai pas le temps de réagir qu’elle m’en assène un coup sur la fesse gauche.

Oui, maîtresse.

Oui quoi ? Et une autre claque bien sonore arrive, cette fois sur la fesse droite.

Oui, j’aime bien me faire pisser dessus. Je sais que c’est sale et que c’est mal, j’ai honte Maîtresse.

Tu as honte, mais tu aimes non ? Tu es une grosse cochonne et tu viens de nous le montrer en couinant comme une truie avec ta petite queue. Tu sais que je pourrais envoyer la vidéo que je viens de prendre à Marc ton mari ? Tu veux que je te punisse ?

Oui, maîtresse.

Oooh que oui, que je vais te punir, ma salope, et pas que des fessées !

Mais rassure-toi, ça ne va pas m’empêcher d’en profiter pour te faire des gros pipis partout. Roger a tout plein d’idées là-dessus, mais avant je veux que tu me manges le cul. J’ai toujours eu envie de me faire lécher le cul par ma cadre responsable.

Stéphanie se dirige vers un petit canapé qui fait face au grand bureau de Roger. Elle s’assoit et dans le même mouvement elle bascule en arrière soulevant ses deux jambes. Sa robe glisse et remonte très haut dévoilant ses dessous jusqu’à la culotte. Elle porte une paire de bas noirs et de jolies bottines en cuir blanc.

Allez approche Marie. Viens ici à quatre pattes, tu vas commencer par me lécher les bottes.

Eh oui, tu sais que tu dois obéir à tous mes caprices, et mon premier caprice est que tu m’embrasses mes bottes ! J’imaginais déjà la suite. Comment pouvait-elle m’obliger à faire ça ! Quelle salope !

C’était trop, j’avais toujours le plug dans le cul avec la queue-de-cochon, Roger attendait pour prendre des photos. Toujours à quatre pattes, je me mis en versant quelques larmes à embrasser les bottes de Stéphanie. Je la regardais, terriblement humiliée. Elle affichait un sourire dominateur. Fière d’elle, je compris qu’elle n’avait pas l’intention de s’arrêter là. Elle pointa ses bottines vers moi.

Je veux que tu lèches la semelle de mes bottes !

Mais Maîtresse… je ne peux pas faire ça, c’est horriblement sale !!!

Et, Stéphanie de me sourire sournoisement en rajoutant :

Si tu ne le fais pas, je montrerai la vidéo à ton mari.

C’est avec dégoût que je me mets à lécher la semelle des deux bottines de Stéphanie, elles sont assez sales, très poussiéreuses, j’essaye de m’appliquer. Cela ne l’empêche pas de me donner un coup de pied dans la tête.

Quand je te dis de lécher la semelle de mes bottines, ce n’est pas avec le bout de ta langue, je veux que ta langue entière soit toute noire et que mes petites bottines redeviennent toutes neuves et toutes blanches.

Je m’exécute en pleurant de honte, mais sans avoir le choix.

Voilà ! Comme ça ! Lèche salope puis s’adressant à Roger :

Regarde-moi là cette petite pute avec son gros ventre qui traîne jusque parterre. Putain ! Elle va bien me les astiquer mes bottines. Bon Dieu quelle chiennasse, quand je pense qu’elle s’est fait engrosser par le premier venu ! Jamais, j’aurais cru qu’on puisse être aussi salope, avec son air classe et de ne pas y toucher…

Excité par le spectacle et les commentaires de sa nouvelle petite copine, Roger, ce salaud a ouvert sa braguette. Sa queue est à l’air et il a également sorti ses deux grosses couilles poilues.

Eh oui, ta cheffe ne sait même pas qui sont les pères ! Figure-toi qu’elle a des jumeaux et peut-être même des triplés de pères différents. Et vise-moi un peu ses grosses mamelles qui pendent. Tu vas voir comme je vais te les faire balancer en l’enculant.

Stéphanie lui embrasse les couilles puis elle les gobe l’une après l’autre. Roger est maintenant tout raide, il passe derrière moi et me pénètre le cul directement, sans ménagement. D’emblée, il me tient par les deux nichons. Il les presse et les allonge tant qu’il peut. Puis, dès qu’il commence à me traire. Mon lait se met à gicler dans tous les sens.

Ça, c’est ma petite découverte… Elle adore se faire traire quand on l’encule.

J’imagine son air satisfait en disant cela. Stéphanie lui répond qu’elle saura s’en souvenir. De mon côté, je continue de lécher minutieusement chaque petit recoin de ses bottines.

Avec Roger, je sais y faire, je serre et desserre mes fesses, j’avance et recule, je le branle avec mon cul.

Je sais faire monter la mayonnaise, mais, dès qu’il se sent venir, il me donne une claque sur les fesses.

C’est le signal convenu, alors, j’arrête mes manuvres, juste le temps que son excitation retombe un peu.

Il s’ensuit une bonne correction agrémentée de toutes sortes d’insultes. Il me traite de perverse et de petite vicieuse.

Dès qu’il arrête de me fesser, c’est le signe pour moi de reprendre les opérations avec mon derrière.

Il se passe ainsi près de 20 minutes avant qu’il ne jouisse en criant à tue-tête qu’il me remplit le cul.

Pendant tout ce temps, je n’ai pas arrêté de lécher les semelles de Stéphanie. Elle m’interrompt en l’entendant jouir.

C’est bon, arrête ! Hummm, ça ira, elles sont propres, montre-moi ta langue, Haaaaaaa !! Berk, ta langue est toute noire, petite cochonne, c’est dégueulasse ! Va te laver la bouche, car tu dois encore t’occuper de mon trou du cul. La prochaine fois je mettrai des ballerines, comme ça je te ferai aussi lécher l’intérieur et ensuite tu pourras me nettoyer le dessous des pieds et sucer les orteils.

Il y avait des lavabos au fond du hangar. Je grattais ma langue avec une vieille brosse à dents utilisée pour nettoyer les ordinateurs poussiéreux puis me gargarisais longuement.

Je m’approchais et entrepris aussitôt de retirer sa robe à Stéphanie tout en l’embrassant.

J’ai très envie de découvrir son corps et c’est les mains tremblantes que je lui retire sa robe. Elle se laisse faire, je la découvre en porte-jarretelles et en bas et, comme moi, elle ne porte aucun sous-vêtement. Elle a de jolis seins tout ronds et fermes, sa taille est fine et ses larges hanches sont un véritable appel au viol. Je me penche sur elle et lui donne un doux baiser avant de laisser mes lèvres et ma langue vagabonder sur son corps. Ma bouche arrive sur ses seins et je m’applique à lui lécher les tétons qui ne tardent pas à réagir à ma caresse. Ses petites pointes se dressent et je l’entends gémir de plaisir. Ma langue descend lentement sur son ventre en prenant la direction de ce que je convoite. J’ai très envie de lui lécher la chatte et ma langue arrive bientôt sur son petit sexe totalement épilé. Stéphanie ouvre largement les cuisses pour me laisser l’accès à son petit abricot. Ma tête glisse entre ses cuisses et ma langue prend rapidement possession de sa vulve. Ses lèvres toutes humides délivrent un doux parfum totalement enivrant. Je lèche toute sa fente et remonte lentement vers son clitoris qui darde déjà de désir. Je l’entends gémir de plus en plus fort et elle se met à m’encourager :

Oui, oui, c’est ça, vas-y Marie, bouffe-moi la chatte, vas-y, lèche bien tout. Astique-moi bien.

Oui Maîtresse Stéphanie, je vais vous lécher le cul maintenant.

Mmmeuh, ah oui, ah oui, je la sens ta langue qui rentre dans mon trou du cul. Ah oui, salope ! Salope ! C’est bon. Depuis le temps que j’en rêve que ma cheffe me lèche le cul. Aaah, j’adore ! Allez, dis-le que tu aimes lécher les culs, dis-le maintenant.

Ah oui, Maîtresse j’aime lécher les culs. Je suis une lèche-cul.

Tu sais quoi, Marie, maintenant que tu m’as bien léché les bottes et le cul, j’ai une grosse envie de t’enculer.

Oh oui Maîtresse, moi aussi j’ai envie, enculez-moi.

À toi de jouer Stéphanie ! Dit Roger en tapotant la joue de la jeune femme toujours agenouillée sur le canapé les fesses tournées vers moi. Elle a du mal à se dégager tellement elle apprécie ce que je suis en train de faire. Le bout de mon nez collé contre son derrière, j’essaye de le lui faire rentrer dans le trou de son cul. Dans le même temps, je crache et je bave en dessous et, expirant de l’air par les narines et la bouche, je souffle en permanence le froid et le chaud entre ses fesses offertes.

Stéphanie finit par se dégager et se dirige vers son petit sac. Les yeux mi-clos, je la vois en extraire un énorme gode qu’elle se fixe sur les hanches avant de s’approcher de moi. Elle m’attrape par les cheveux et présente l’engin aux belles dimensions devant ma bouche.

Suce le bien Marie pour qu’il puisse entrer dans ta petite chatte ! Me dit Sarah alors que j’ai déjà ouvert la bouche pour avaler le sexe factice.

Humm, hum ! Réponds-je alors que j’ai la bouche emplie par l’énorme engin. Ses dimensions ne laissent pas la moindre place dans ma bouche, il mesure entre 20 et 25 centimètres et son diamètre doit dépasser les six centimètres.

Lorsque Stéphanie estime que je l’ai suffisamment lubrifié, elle se retire de ma bouche et vient se placer derrière moi.

Je suis toujours à quatre pattes, Roger s’est assis sur le canapé et s’est remis à bander en nous regardant. Je lève mon cul et coulant une main par en dessous je saisis le sexe énorme et le guide vers l’entrée de ma chatte. Je pousse en arrière lentement sur l’énorme queue qui me dilate le con à l’extrême. Peu à peu, je me laisse envahir par cet énorme pieu et lorsqu’il est enfin entré en entier je lève la tête pour venir embrasser les couilles de Roger. Stéphanie donne des petits coups de bassin pour remuer en moi et je me cambre pour profiter de cet énorme sexe qui me défonce la chatte.

Mettez-la-moi dans le cul maintenant Maîtresse ! J’en meurs d’envie.

Tu es sûre, Marie ? C’est vraiment gros !!

Oui, vas-y, vas-y.

Roger nous regarde faire. Je penche la tête en avant jusqu’à ce que ma joue gauche soit posée contre le sol, ce qui me place dans une position de totale soumission. Je ne peux plus bouger, mon bassin est encore remonté, le derrière en l’air pointant vers le plafond et je me sens totalement offerte à cette femme qui va me prendre le cul. Le gland de l’énorme matraque se pose sur ma petite rondelle et Stéphanie commence à pousser lentement. C’est vraiment très gros et je dois serrer les dents pour ne pas me mettre à hurler. Le mandrin poursuit sa lente progression et une larme coule sur ma joue au moment où le gland passe la barrière de mon sphincter. Malgré moi, je pousse comme si je voulais éjecter ce corps étranger et, au moment où je me relâche, je sens l’énorme queue m’emplir complètement le cul. Je me sens comme écartelée, mais le plus dur est fait. Stéphanie se maintient tout au fond de moi sans bouger le temps que je m’habitue à la présence de cette énorme queue. Peu à peu, je me détends et elle se met à bouger lentement en moi. Roger se replace derrière Stéphanie et je comprends très vite ce qu’il lui fait.

Oh, oui Maître Roger ! Prenez-moi le cul pendant que j’encule ma soumise !

Hummm ouiiii, Maître !! C’est ça, votre queue… votre doigt… hummm, j’aimeeeee !!

Oui, j’ai envie de te la mettre dans le cul !! Tu veux, Stéphanie ?

Hummm, j’ai envie que vous m’enculiez comme une pute, Maître Roger ! Je veux votre grosse bite dans mon cul de salope, Maître !!

Oui, tu vas avoir ta part, en attendant, mon autre salope de Marie a l’air de bien aimer se faire défoncer le cul par une énorme queue, alors bourre-lui le fion à cette petite pute ! lui répond Roger.

Elle te fait du bien ma grosse queue dans ton cul, Marie ? Me demande Stéphanie.

Hummm, oui !! Bouge plus fort, j’ai très envie que tu me fasses jouir !!

Tu sais quoi Marie ? Tu es une lèche-bottes, une lèche-cul et maintenant je t’encule. Tu es une enculée…

Ah oui, oui, je la sens bien grosse dans mon cul, c’est bon de se faire enculer, mmmh…

C’est ça salope ! Régale-toi bien ! Moi j’adore enculer ma cheffe, je kiffe comme une folle de la lui en mettre une bien grosse dans le cul ! Et maintenant je vais te traire en même temps !

Oh oui, oui Maîtresse, trayez-moi.

Et voilà ! Regardez-moi ça comme elle gicle ! Elle en met partout. Putain Roger prend des photos. Moi, Stéphanie, en train d’enculer et de traire ma cheffe de service.

Excité par les échanges verbaux de ses deux petites salopes, Roger pilonne le cul de Stéphanie et c’est lui qui donne le rythme des deux sodomies. Lorsqu’il pousse entre les fesses de Stéphanie le gode entre encore plus profond en moi m’arrachant gémissements et petits cris. Stéphanie qui subit les assauts de Roger ne tarde pas à me rejoindre dans mes gémissements et le hangar s’emplit très vite de nos vocalises amoureuses. Par chance, la réunion du conseil d’administration que je dois présider ne commence pas avant une bonne heure et les locaux sont actuellement fermés.

Hummm, ouiii Maître !! J’aime votre queue, vous allez me faire jouir. Crie Stéphanie.

Je veux vous entendre jouir ensemble mes petites chiennes en chaleur !! Annonce Roger en accélérant encore le rythme.

Oh… ohhh… je sens que je vais venir !! Hum, je vais jouir !! Dis-je en sentant mon anus palpiter sur l’énorme mandrin qui me remplit le cul.

Hummm !! Votre queue… humm… c’est trop bon… ouiiiii ! Se met à crier Stéphanie.

Nous partons ensemble dans une profonde jouissance et Stéphanie se penche et se contorsionne pour venir plonger sa langue dans ma bouche. Nous nous embrassons avec fougue encore secouées par nos orgasmes respectifs. Roger qui vient de se retirer du cul de la jeune fille et qui n’a pas encore joui approche sa queue bien raide de nos visages. Il saisit Stéphanie par les cheveux pour la contraindre à arrêter notre baiser et il plonge sa queue dans ma bouche encore ouverte. Je resserre mes lèvres sur sa hampe et je remonte une main sur ses fesses tout en le suçant avec passion. Je devrais éprouver du dégoût à sucer cette queue qui sort du cul de ma subalterne, mais il n’en est rien. J’y prends beaucoup de plaisir comme la salope que je suis devenue en peu de temps. Roger se retire de ma bouche et tend sa queue à Stéphanie qui la gobe avec avidité. Il a ses couilles juste au-dessus de mon visage et je les gobe et les suce avec frénésie alors que mon majeur sest posé sur son anus. Je fais tourner lentement mon doigt et peu à peu j’arrive à l’introduire dans son cul lui arrachant un grognement de plaisir. C’est le moment que Roger choisit pour se retirer de la bouche de Stéphanie et lâcher sa semence sur mon visage. J’ouvre la bouche pour tenter de récupérer le précieux liquide, mais un seul jet atterrit entre mes lèvres, le reste se retrouve sur mon cou, mes joues et mon front. Stéphanie se met à lécher le sperme sur mon visage et, le gardant en bouche, m’embrasse pour partager la semence de Roger. Je me délecte de ce baiser plein de sperme. Je retire mon doigt du cul de Roger.

Je suis épuisée.

L’instant d’après, nous nous retrouvons à l’accueil. Les premiers membres du conseil d’administration viennent d’arriver. Je prépare mon discours de présentation. De mon estrade improvisée, je garde un il sur les participants. Roger ne se départit pas d’un sourire béat plein de satisfaction. Ne vient-il pas de s’enculer les deux plus belles femmes de l’assemblée ? Deux jeunes femmes, l’une enceinte de huit mois et l’autre une jeunette de 23 ans.

Je suis bien certaine qu’il pense à nous en imaginant de nouvelles perversions

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