Il devait être aux alentours de neuf heures du soir, j’étais seule chez moi, dans ma salle de bain, en petite culotte. Je sortais à peine de ma douche et me séchais les cheveux avec une serviette.
Mon copain était au travail, comme tous les soirs, et devait rentrer vers minuit. Voilà pourquoi je fus si surprise quand j’entendis la porte d’entrée s’ouvrir. J’enfilais un débardeur noir à fines bretelles, et me précipitais vers l’entrée.
"Y’a quelqu’un ?" Entendis je. Je reconnu la voix du meilleur ami de mon chéri, qui avait l’habitude de rentrer sans frapper.
"Euh.. oui." Balbutiais-je, légèrement gênée qu’il puisse me trouver dans cette tenue.
"Ah, il me semblait bien avoir vu ta voiture dans la rue, je passais faire un coucou ! Ton homme n’est pas là ? " Dit il en me scrutant de haut en bas.
Il faut dire que je devais donner envie, avec mon mètre quatre vingt, mes jolis seins bien ronds, et mes longues et fines jambes bronzées. Sa copine n’était pas très attirante, nous avions déjà parlé du peu dintérêt physique qu’il lui portait, et de son envie de trouver une compagne plus charmante.
Je l’invitais à passer au salon, et lui ouvrit une bière.
"Eh bien, dit-il, je passerai à l’improviste tous les jours si tu dois maccueillir dans cette tenue à chaque fois..
— Oh arrête, je sors de la douche, j’ai même pas eu le temps de me coiffer.
— Je te trouve très jolie, je n’avais jamais vraiment fais attention à ton corps, tu as tout ce qu’il faut où il faut, ton chéri a beaucoup de chance.
— Merci.." Répondis je en rougissant.
"Tu sais, poursuivit-il, je rêverai de pouvoir toucher des seins comme les tiens, ils ont l’air tellement fermes.
— Hahaha, dans tes rêves !
— Tu ne voudrais pas me les montrer ? Juste pour que je me fasse une idée. Il y a si longtemps que je n’en ai pas vu d’aussi jolis."
Surprise, je mapprêtais à refuser, quand il attrapa une de mes bretelles et la fit glisser sur mon épaule. Il me lança un petit regard coquin, qui invitait au jeu.
"D’accord", finis-je par répondre.
Assis tous les deux sur le canapé, je me tournais vers lui et fit passer ma poitrine par dessus mon débardeur, sans l’enlever.
Je remarquais dans les yeux de mon invité une certaine satisfaction devant ce spectacle, et je commençais donc à me caresser la poitrine du bout des doigts, pour jouer.
"Ahahah, mademoiselle se caresse, dis donc, tu serais pas une petite coquine toi ?
— Tout dépend de quand et où. Ça n’ira pas plus loin, je voulais juste te faire plaisir.
— Oh mais tu ne peux pas me laisser dans cet état ma belle, je sens ma queue devenir toute dure, tu vas bien me faire un peu plus plaisir, non ?
— Non s’il te plait, je ne me sens pas vraiment de.." Mais je n’eut pas le temps de terminer ma phrase. Il m’embrassa goulûment et mattrapa la poitrine qu’il malaxait à pleines mains.
"Hmm, j’adore tes nichons ma belle…"
Mon coeur se mit à battre très fort. Je ne savais pas ce qu’il allait se passer et jusqu’où il voulait aller.
"Enlève moi cette culotte, et caresse toi."
Je fis mine de refuser mais il l’ôta lui même. Je crachais donc sur mes doigts, et commençait à me pénétrer doucement.
"Hmm oui, vas y, je savais que t’étais une vraie chienne."
J’avais tellement honte, jespérais qu’il me dise d’arrêter, et d’un autre côté je trouvais la situation très excitante.
Voyant que je n’y mettais pas beaucoup de bonne volonté, il vint ajouter deux de ses doigts aux miens, et me pénétra à son tour. De son autre main, il me tenait le visage et caressait ma bouche en murmurant des insultes.
"Jolie chienne, t’adores ça hein.."
Il attrapa un déodorant qui se trouvait sur ma table basse et cracha dessus.
"Gode toi avec ça, salope". Je refusais, il me l’enfonça lui même.
Les larmes me montaient aux yeux.
"Bah alors ? Tu n’aimes pas ? Tu vas voir je vais te faire aimer."
Il me retourna, de façon à ce que je lui présente mon cul et ma chatte dégoulinant de salive.
Il me claqua les fesses deux ou trois fois d’affilées, et sorti son membre, qu’il vint frotter contre ma vulve.
"Hmmm.. Tu sens comme je suis dur ? Je vais te baiser, ouais, tu vas voir.."
Les larmes coulaient sur mes joues. Je n’osais rien dire.
D’un coup, je le sentis s’enfoncer dans ma petite chatte, son membre devait être d’une belle taille, car la douleur était très vive.
"Aïe.. lâchais-je, tu me fais mal, tu vas trop au fond..
— Mais tu aimes ça, qu’on te baise. Hein ?
Il commença des vas et viens de plus en plus violents. De sa main droite il mattrapa les cheveux et me tira en arrière, je ne put retenir un cri. De sa main gauche, il me malaxait la poitrine, tout en continuant de donner des coups de reins.
D’un coup, il appuya sur mon dos, afin d’enfoncer ma tete dans les coussins, et d’avoir une jolie vue sur mon cul.
Il se retira, laissant ma petite chatte meurtrie et trempée.
Il attrapa le déodorant encore humide qui trainait sur le canapé, et l’enfonça a nouveau dans ma chatte.
"Tu t’es déjà faite baiser par les deux trous ? Non ? Et bien c’est l’occasion."
Je sentis sa verge se balader sur mon petit trou, pendant qu’il me godait la chatte avec le déodorant.
"Non s’il te plait, suppliais-je, la tête enfoncée dans les coussins, s’il te plait…"
Mais il n’écoutait pas. Il cracha sur mon cul, et commença à y enfoncer sa bite. Doucement.
"Ah… j’adore les petits culs.."
Je me sentais salie, baisée. Je ne savais plus où j’étais ni comment nous en étions arrivés là.
Soudain il se mit à donner de gros coups de reins, la douleur me déchira les entrailles. Mais pour ne pas vous mentir, je commençais doucement à ressentir du plaisir.
Je laissais échapper un ""hmm" qui, visiblement, plut à mon partenaire.
"Ah, tu commences à aimer ça, hein salope ? T’en veux encore ?
-…
— Je t’ai posé une question !
— Oui vas y.."
Il se mit à rire et ne se fit pas prier. Il me défonça le cul, en me tirant les cheveux.
"Tiens sale chienne, vas y prends… Hmm"
Il me baisa comme ça pendant quelques minutes, puis se retira, laissant uniquement le déodorant dans ma chatte.
"Retourne toi".
J’obéis, et il me présenta sa queue, face à mon visage.
Elle était, en effet, énorme, je n’en avais jamais vu d’aussi grosse. Rouge, gonflée, appétissante à vrai dire.
"Gobe la."
Je mexécutais mais n’eu pas besoin de faire grand chose. Il me plaqua contre le canapé, et vint enfoncer son énorme bite dans ma gorge.
Je ne pouvais plus respirer, je faisais de mon mieux pour ouvrir grand la gorge et le laisser aller le plus profond possible.
Il donnait de violents coups de reins, ma salive coulait sur mes seins. Ses mains autour de ma tête me donnaient le rythme.
Il me baisait littéralement la bouche.
Je l’entendais râler, comme un ours mâle sur le point de se vider.
Le déodorant toujours enfoncé en moi, je commençais à faire un mouvement de vas et viens avec, pendant que monsieur me baisais la gorge, je me godais. Mais le plaisir fut de courte durée.
D’un seul coup, je sentis son sexe se gonfler, je le regardais dans les yeux, le suppliant d’éviter de jouir, mais il s’enfonçait encore plus profondément dans ma gorge, avec un malin sourire au coin des lèvres.
"Bois, salope, bois…"
Je m’exécutais, et quand je sentis sa semence se déverser dans ma bouche, je me mis à boire. J’avais l’impression qu’il y en avait des litres. J’en recrachais un peu, manquant de m’étouffer avec. Je finis par lécher et nettoyer sa queue, avant qu’il ne la range, et qu’il ne s’en aille comme si de rien n’était.
Nous n’avons jamais reparlé de ce moment, mais je sais qu’à chaque fois qu’il me regarde depuis, il y pense. Et moi aussi.