A ce stade, ce n’était plus une agréable sensation de bien-être qui m’habitait mais bien du plaisir, du vrai à chaque coup de langue.
Je lui ordonnais de se mettre à poil et pendant qu’elle se déshabillait, je m’installais plus confortablement. Je la regardais en train de me sucer, la croupe offerte pour la suite de mon plan puis, j’appelais Démon.
— Démon. Au pied mon chien. Au pied.
Le mastiff déboula dans le salon immédiatement et, regarda sa patronne, le cul à l’air, en train de me sucer la bite.
Avant même que je n’ai le temps de lui ordonner quoi que ce soit, il s’approchait derrière elle, et, sans hésitation plantait sa truffe entre les fesses de Marine, pour commencer à lui lécher la raie.
Marine, qui comprit tout de suite ce que j’avais en tête, me supplia de le faire arrêter.
— Non mon cour s’il te plaît. Pas devant toi. J’ai honte.
— Allez mon amour. Sois gentille. Tu as un tas de trucs à te faire pardonner, alors laisses-toi faire. Je veux voir comment ça se passe avec Démon. Tu me dois bien ça.
— Mais.
— Fais-moi plaisir, laisses-toi aller. Tu m’as dit que tu aimais ça et ça m’a excité. J’ai envie de te voir faire ça avec lui.
Démon n’avait pour sa part pas besoin d’explications. Sa grosse langue parcourait l’arrière-train de ma chérie, qui continuait à protester mollement, se laissait faire malgré tout, tendant imperceptiblement son cul à la langue qui la fouillait.
— Fais le arrêter mon cour. J’ai peur que tu n’aimes pas ce qui va se passer. Fais-le arrêter maintenant, s’il te plaît, il commence à me faire du bien.
— Laisses-toi aller j’te dis. Profites-en. Ça sera notre secret, mon amour.
Marine perdait complètement pieds. Résignée, elle cessa de parler pour ouvrir ses fesses à deux mains et permettre à Démon de mieux la lécher. Des soupirs à peine étouffés, commençaient à s’échapper de sa gorge, me faisant comprendre que la partie était gagnée.
Sûr de son entière participation, je l’invitais à cesser de s’occuper de moi pour s’installer plus confortablement pour la suite des évènements.
— Aussitôt, elle s’installa sur le dos au bord du canapé, les fesses presque dans le vide puis, avant d’attraper ses jambes pour les ramener vers sa poitrine, elle chercha mon regard pour me demander une dernière fois :
— T’es vraiment sûr, mon cour. Tu veux voir ça ?
— Oui mon amour, je sais que tu as envie de partager ça avec moi. Ça m’excite un max.
— Moi aussi, ça m’excite, j’ai tellement envie que j’ai peur de jouir trop vite. Regardes mon cour, regardes ta petite femme ce qu’elle est capable de faire.
— Oh oui, montres-moi.
J’en avais profité pour me dégager et me placer juste à côté d’elle sur le canapé. Je la regardais, au comble de l’excitation, les cuisses largement écartées, la chatte entrouverte, luisante de mouille et de salive, le bouton presqu’entièrement décalotté des ouvres de notre brave mastiff.
— Viens mon chien. Viens lécher mon minou, mon amour.
En deux secondes, Démon se remettait à l’ouvrage. De l’endroit où je me trouvais, je pouvais voir distinctement, la grosse langue passer avec application dans la fente maintenant complètement ouverte. Démon, qui avait l’air d’apprécier le goût du chaton de sa maîtresse, n’hésitait pas à planter sa langue dans l’ouverture béante comme s’il voulait y récupérer tout le jus qui s’en écoulait.
Marine, la bouche grande ouverte, cherchait l’air en poussant des petits cris aigus que je ne lui connaissais pas. De temps en temps, ses magnifiques yeux verts basculaient en arrière dans ses orbites, témoignage involontaire de l’intense plaisir qui lui envahissait les entrailles. Tout à coup, elle se mit à respirer plus fort, aspirant l’air à pleins poumons, les ailes de ses narines ouvertes à leur maximum, les yeux rendus hagards par l’inexplorable montée du plaisir.
Dans un dernier effort, elle chercha mon regard puis, ses yeux plantés dans les miens, s’abandonna à la jouissance qui l’engloutissait.
— Mon amour, mon amour, je jouiiiiiis, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis, c’est trop boooonnnnnnn. N’arrêtes pas, n’arrêtes pas…
Le corps secoué de tremblements impressionnants, Marine se laissa retomber à plat dos avant de sombrer dans une semi-léthargie que je ne lui connaissais qu’après une grosse jouissance.
De longues secondes passèrent avant qu’elle ne refasse surface. Démon, étrangement calme, semblait attendre tranquillement en se contentant de lécher doucement l’entrejambe de sa maîtresse.
Marine ouvrit les yeux, un sourire timide lui barrait le visage. Elle se redressa péniblement puis, tendit la main vers Démon pour lui caresser lui flatter le museau.
— Viens mon chien. A toi maintenant. Viens.
En une fraction de secondes, Démon, visiblement habitué à la manouvre, se retrouvait les pattes avant de chaque côté de Marine, presque allongé sur elle. Tout aussi rapidement, Marine s’était remise dans la même position qu’au départ, les jambes complètement repliées sur sa poitrine.
J’eus à peine le temps de voir le bassin du chien s’avancer en deux ou trois mouvements rapides mais je lus sur le visage de ma campagne qu’il venait de la perforer comme je l’aurais fait moi-même après l’avoir fait jouir.
Il n’avait pas perdu de temps, le salaud. Je n’arrivais pas à voir distinctement l’intromission mais, ses coups de reins rapides déclenchèrent immédiatement des encouragements entrecoupés de gloussements de plaisir sans équivoque.
Je n’en croyais pas mes yeux, ma bite me faisait mal de bander si fort et de temps en temps j’étais obligé de la serrer entre mes doigts pour calmer la tension extrême qui la faisait se raidir par spasmes rapprochés.
En peu de temps, Marine m’attrapa la main pour se raidir à son tour en laissant échapper un cri rauque, prise à nouveau de tremblements impressionnants. Elle leva les yeux vers moi pour me souffler :
— Je jouiiiiiis. Pardon mon amour, pardon. Je jouiiiiiiiiis. Je suis une salope mais il me fait trop de bien. C’est trop bon sa grosse langue dans ma chatte.
Je l’embrassais alors à pleine bouche, violant sa bouche, léchant sa langue, la suçant, fou d’excitation. Je ne pus m’empêcher de l’encourager, mettant un terme à cette colère feinte depuis le début.
— Oui mon cour. Laisses-toi aller. Jouis. Profite. Je t’aime.
Puis à l’intention de Démon en lui caressant le poitrail :
— C’est bien le chien, c’est bien.
Contre toute attente, alors que je pensais qu’il allait la secouer jusqu’à ce qu’il jouisse à son tour, Démon, se dégagea pour se lécher la hampe et renifler la chatte restée ouverte de ma campagne. Après deux ou trois coups de langue bien ajustés dans l’ouverture béante, dégoulinante de mouille et de jus de chien mêlé, il voulut reprendre place mais Marine qui avait repris ses esprits quitta le canapé pour me mettre à quatre pattes devant moi :
— Viens mon chien. T’en veux encore, hein ? t’as pas joui, toi.
Là encore, Démon obtempérait immédiatement pour se dresser sur ses pattes arrières et se caler sur le dos de sa patronne qui, le cul bien en évidence, la poitrine plaquée au sol, attendait la saillie avec impatience.
Je me penchais pour voir sa queue énorme complètement sortie de son fourreau, d’un rouge vif, gorgée de sang.
Marine passa sa main entre ses jambes et attrapa la bite gluante entre ses doigts puis la cala à l’entrée de sa vulve. Elle dit à Démon :
— Vas-y mon chien. Viens mon chien. Mets-là moi. Baise-moi fort.
Puis à mon intention :
— J’aime bien sentir sa fourrure me caresser les fesses et le dos quand il me fourre à quatre pattes. Ça me rend dingue d’excitation.
Démon en deux coups de reins se figea dans le con en fusion. Je regardais de près la grosse tige rugueuse coulisser entre les lèvres de ma copine. Elle râlait de bonheur en encourageant notre chien. Elle avait vraiment l’air d’aimer ça la garce. Se faire enfiler par un chien, ça l’excitait comme une folle et ça se voyait. Elle bavait sur la moquette, criant des insanités du genre :
— Tu me fais jouir, salopard. Elle est bonne ta grosse queue. Fourres-là moi bien profond. Baises ta patronne mon chien, fais-la jouir.
C’était la première fois que je voyais une saillie entre une femme, ma femme, et un chien, notre chien. Lui aussi avait l’air d’aimer ça. Il poussait des petits jappements de satisfaction comme lorsque je le félicitais après qu’il ait fait un exercice correctement. C’était complètement dément. Il me regardait en plus, les yeux attentifs à ce que je faisais, le bassin en avant, accroché au magnifique fessier de ma petite chérie.
Son impressionnante stature de mastiff, contrastait avec la frêle silhouette de Marine, presqu’entièrement couverte par son amant à quatre pattes.
Marine avait le visage déformé par le plaisir et l’excitation d’être saillie comme une chienne. Ses yeux, me fixaient intensément, basculant régulièrement dans ses orbites pour ne laisser apparaître que le blanc, signe d’un plaisir évident.
Elle m’annonça enfin :
— Il va jouir le salaud. Je sens qu’il va jouir à sa queue qui grossit dans ma chatte. Il va gicler dans mon ventre le salaud, oh putain c’est trop bon aaahhhhh, ça commence, je sens qu’il m’envoie la sauce. Aahhhhhh ouiiiiiiiiii. Vas-y mon chien. C’est trop bon de le sentir me remplir la moule. Aaaaahhhhhh.
Complètement abandonnée à son baiseur, les yeux grands ouverts, je la sentais à l’affût de chaque spasme annonciateur d’un nouveau jet dans son ventre.
Epuisée, elle me souffla :
— Nous allons rester « collé » quelques instants, ne t’inquiètes pas. Caresse-le pour qu’il n’essaie pas de se dégager trop tôt. Viens par ici, mon amour.
En attendant, elle m’attrapa la queue pour se l’enfourner dans la bouche en la pompant comme une malade.
Elle me faisait ressortir de temps en temps pour éviter que je ne jouisse trop vite et aussi pour me parler :
— ça t’a plus de voir ta petite femme se faire saillir comme une chienne. J’ai joui encore plus fort que d’habitude. Il en a une grosse tu peux me croire. Je ne sais pas si c’est à cause de la race mais lui, il en a vraiment une grosse et une longue…
J’espère que ça ne t’as pas choqué car moi, j’étais encore plus excitée que tu nous regardes, les yeux écarquillés, la bite dressée et tout et tout… J’ai bien aimé que tu me bouscules un peu ça me faisait mouiller encore plus de te sentir en colère à me donner des ordres.
Tu sais j’ai bien envie d’essayer de le sucer mais j’ai peur que tu ne sois pas d’accord ?
— Au point où nous en sommes, pourquoi pas. Mais n’avale pas d’accord, on ne sait pas si c’est comestible ce qu’il éjacule.
— Ne t’en fais pas d’ailleurs, y en tellement, que je risquerais de m’étouffer en essayant d’avaler.
A ce moment, le couple se désolidarisa. Un flot de sperme sortit de sa chatte, éclaboussant la moquette du salon. Marine sourit en continuant à me sucer tandis que Démon s’assied sur son postérieur pour se nettoyer la queue mais aussi, la chatte dégoulinante de son propre sperme. Elle me dit :
— Je t’avais prévenu. Y-a-la dose quand il jouit ce petit. Il me fait toujours la toilette après. Moi je continue à m’occuper de toi.
J’essayais de me concentrer sur ce que Marine était en train de me faire mais c’était un peu difficile de jouir après tout ça. Marine se rendit compte de mon état et me demanda de la prendre par derrière (dans notre langage amoureux cela voulait dire la sodomiser). Trop heureux, je me plaçais rapidement entre ses fesses et sans attendre, je poussais doucement. La pastille céda et engloutit mon gland. Marine me demanda d’y aller doucement, pour que son oillet s’habitue à ma présence. Je poursuivis plus loin mes investigations, doucement, tout doucement et enfin j’étais enfoncé jusqu’aux couilles entre ses fesses.
Démon nous regardait faire, en se léchant avec application la verge.
C’est ainsi que j’ai joui, sodomisant sans ménagement, ma campagne après qu’elle se soit faite lécher puis fourrer par notre chien.
Je vous raconterais plus tard, comment j’ai assisté à une fellation complète qu’elle a faite à Démon, l’aidant à le maintenir couché pendant qu’elle lui léchait la hampe sur toute sa longueur en prenant entièrement dans sa bouche l’énorme gland de notre chien, jusqu’à ce qu’il éjacule une énorme quantité de foutre dans sa bouche.