Cette histoire s’inspire d’une vraie cochonne que j’ai eu le loisir de faire reluire pendant quelques années, je me suis permis d’y ajouter les fantasmes qui nourrissent encore mon imagination.

Odile est une belle femme d’une cinquantaine d’années grande et plantureuse, Coté visage, des cheveux noirs et frisés mi long , des lunettes , un grand nez aquilin et de fines lèvres entourant une bouche de plus sensuelles.

Odile est assistante commerciale dans une grande entreprise où je travaille. Elle fait partie de ces femmes toujours habillées en bourgeoises, les "salopes" de cantine.

Tous les mâles normalement constitués ne peuvent éviter de mater ces belles jambes gainées de noir et dont les talons font rouler le cul sous le tailleur,

ceux positionnés devant elle profitent de son décolleté mis en évidence par des chemisiers toujours un peu transparent qui recouvrent de gros seins supportés par de belles dentelles.

Souvent, elle traverse la salle rapidement, sortant de son cours de sport, dans les installations situées au sous sol, tout juste douchée, parfumée de frais, les joues parfois rouges, et les cheveux encore mouillés … on pourrait croire qu’elle vient juste de se faire tringler, et bien sur elle porte une alliance,

C’est encore une de ces bourges qui vient juste travailler ses Abdo fessiers et se faire de l’argent poche pour ses dessous, Entretenue par un de ces gros salopards de Directeurs qui l’a épousée jeune secrétaire, il en a fait son trophée pour ses galas et ses diners. Bon en même temps, elle commence vraiment à faire vieille salope avec ses 50ans bien sonnés

Voici pour les apparences, la vie d’Odile n’est pourtant pas celle d’une bourgeoise.

Fille mère à 17 ans, d’un beau métis arabe, elle fit le doublé 15 ans plus tard avec un noir qui lui laissa une jolie petite fille en souvenir. On y reviendra….

Heureusement, son père l’avait fait embauché dans une grande entreprise, ce qui lui permettait grâce à un beau logement social en banlieue parisienne, de s’en sortir correctement.

De son 2eme "mari", Odile avait gardé le gout de la bite noire, et, durant ces longues années de célibats, il lui arriva de céder à quelques pulsions,

comme cette fois où, la jupe relevé sur les hanches, agenouillée dans les toilettes, elle avait "dégusté" le gros chibre de son collègue africain en visite en France. ……

Cela faisait longtemps qu’ils se draguaient au téléphone, et c’était un de ses meilleurs commerciaux, grâce à Odile, il arrivait à éviter de voir ses livraisons bloqués en douane et il était donc très reconnaissant.

En se découvrant tous les 2, ils furent immédiatement attirés l’un vers l’autre,

et c’est ainsi, que , profitant d’un temps mort dans le visite,

ils se retrouvèrent au même moment à aller assouvir un besoin naturel, s’engageant dan le passage menant aux toilettes, il lui lança un regard rempli de désir en entrant chez les hommes, elle le suivi…

Merde, elle m’excite mais j’ai trop envie de pisser se dit-il,

et, soudain, là devant lui, il la vit relever sa jupe,

ses bas étaient tenus par un joli porte jarretelle blanc encadrant une culotte blanche mais transparente et qui était déjà un peu mouillée.

Elle avait ouvert son corsage, 1m75, 63 kg, de gros seins lourds que les années ont affaissé mais toujours bien consistants et dotés de gros mamelons gonflés et bien charnus se montraient sous un soutien gorge blanc et transparent lui aussi.

Un ventre tendre mais encore plat surplombe une toison noire parsemée de quelques touffes grisonnantes…. elle se retourne en cherchant quelque chose. De derrière, 2 grandes jambes surplombées par un cul bien plein mais un peu mou. avec les talons, elle était encore vraiment bonne

elle trouve enfin ce qu’elle cherche, attrape la poubelle et vient la poser juste à côté entre 2 urinoirs. Il n’en croit pas ses yeux, elle écarte sa culotte , se positionne accroupie sur la poubelle et commence à vouloir sortir sa bite,:

"moi, je n’en peux plus, tout ce thé et toutes ces réunions, il faut que je pisse" et elle se mit à uriner dans la poubelle guidant son jet d’une main pour ne pas en mettre sur ses vêtements,

"mais toi aussi tu dois avoir envie de pisser" …

lui: ne sachant que répondre, se laissait faire, elle baissa sa braguette et, fit un grand sourire, il n’avait pas de culotte mais comme tout bon commercial sénégalais était doté d’une bite large et solide mesurant plus de 25 cm, elle se lécha les babines tout en continuant à pisser, elle prit sa bite et la mit au dessus de l’urinoir, il n’arrivait pas à pisser sa queue était en train de gonfler dans sa main, ….

a suivre

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