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Jour d'élection, jour d'érection ! – Chapitre 3




Je suis restée encore de longues minutes dans la salle de bain à repenser à ce que mon coquin de mari, m’avait fait vivre dans notre jardin. Il y a déjà de nombreuses semaines que je suis dans le rôle de la femme soumise, que d’ailleurs j’adore !  Il me vînt soudain l’idée, que le temps était très propice à un changement de situation. De plus demain c’est jour d’élection et il n’est pas question de passer à coté de bons moments bien chauds avec mon homme !

Je me suis déshabillée pour passer sous la douche, l’idée d’être la dominatrice ou plutôt devrais-je dire la maîtresse de mon mari, me redonna un vrai coup de fouet sexuel !

Je n’ai pas pu résister lors de ma toilette intime, de faire passer la pomme de douche entre mes cuisses, je me suis accroupie et j’ai patiemment dirigée le jet vers ma chatounette, qui reprenait vie lorsque je m’attardais sur mon clitoris, qui ne mit pas longtemps à me procurer des sensations, qui waaah…me provoquaient un…… hummmm… agréable orgasme en pensent à ce que je pourrai bien lui faire vivre, en tant que mari soumis !

De belles idées, on parcourues mon imagination d’épouse perverse, un statut que je revendique !

 

Je me suis épilées et manucurée, avant de sortir nue sous mon peignoir, pour préparer le repas de ce samedi soir.

mon homme rentra à son tour et alla prendre sa douche. Lui aussi arriva dans la cuisine, nu sous son peignoir et nous avons dîné et j’ai tentée, à la fin de celui-ci, d’en savoir plus sur ses achats "perso".

-Ma chérie, je ne peu rien te dire maintenant, mais c’est un beau programme que nous allons avoir demain, tu découvrira enfin la raison de mon absence de cet après midi !

-Bon d’accord,  par contre je te demanderai bien de vouloir faire la vaisselle, car j’ai quelque chose pour toi, cela demande que tu m’accordes un peu de temps ?!

-C’est pour une soirée bien chaude, ou une de tes inventions tordues !

-Tu ne crois pas si bien dire, mon chéri, mais active toi quand même, car il faut que je te retrouve allongé dans le salon avec le peignoir ouvert !

-Qu’as tu encore inventé, ma coquine de femme ?!

Je lui fis un clin d’oeil et me dirigea en souriant sans rien dire vers notre chambre.

Cela fait bien longtemps, que nous n’avons pas joués au "docteur"! Nous avons instaurés le jeu du docteur chaque trimestre, avec des règles biens à nous :

Celui ou celle, qui est le docteur est le maitre du jeu, c’est à dire qu’il fait, ce qu’il veut de celui qui est dans le rôle du patient. Le patient lui, est soumis aux ordres du docteur et s’il ne respecte pas un ordre, le docteur le sanctionne d’une semaine sans relation sexuelle et on additionne les refus, ce qui peu conduire à des périodes abstinence sexuelle, difficiles pour mon mari en particulier, il est allé jusqu’à deux semaines sans que sa bitte ne goûte à ma chatounette, et je n’ai rien lâchée !  C’est pour moi un bon moyen de contre carré ses projets pour la journée électorale de demain, je sais que je suis en position de force et ce dans tous les sens du terme !

Je me suis donc préparée en enfilant des bas résille blanc, un porte-jarretelle blanc, une très courte blouse blanche très moulante , des escarpins à talons aiguilles blancs qui ne servent qu’au jeux du docteur, car les talons font presque 12 cm de haut !  j’y ai également préparée une petite chose, qui m’excite rien qu’à la voir et qui va pimentée la suite des évènement, puis enfin pour parfaire la tenue de docteur, une paire de gant en latex, qui me sera bien utile. Le docteur est ni plus ni moins qu’un dominateur et le patient le soumis, ça j’adore aussi être la maîtresse dominatrice, huuuummm……que ça va-t’être bon, je le sens bien !

-Mon chéri es-tu prêt ?

-Oui, je t’attend, comme tu me l’as demandé !

-J’arrive, nous allons joués au docteur, tu veux bien !

-C’est super, ça fait longtemps que nous n’y avons pas joué !

-Tu te souvient des règles, c’est moi qui commande !

-Oui, oui ma chérie, j’ai hâte de te découvrir !

-Je te promets, qu’au moindre refus, tu ne pourra te faire plaisir, qu’avec les yeux dans les semaines qui viennent !

-Ah oui, ça je le sais, aller vient vite, c’est trop dur d’attendre !

J’arrive enfin dans le salon, malgré qu’il soit allongé, mon ancien militaire de mari est au garde à vous, enfin sa belle queue est au garde à vous, bien dressée et décalottée, je comprend que ce soit trop dur pour lui. C’est un vrai bonheur de le voir bandant sans savoir ce qu’il l’attend, ça m’excite encore plus !

je me suis mise debout juste au-dessus de lui, mes pieds de chaque cotés de son visage. Il a une superbe vue sur ma chatounette imberbe. D’un ton autoritaire, je lui ordonne :

-Lèche doucement mes talons aiguilles !

En bon soumis, il s’exécuta avec délectation, car c’est aussi un fétichiste des talons aiguilles, et pendant ce temps là je me caressais le bouton d’amour, qui gonflait rapidement; aux passages de mes doigts.

-Arrête ! Je vais à la cuisine, tu ne te touche pas la bitte en mon absence !

-Oui chérie !

-Non, pas chérie, c’est maîtresse Chipy, que tu m’appellera jusqu’à demain soir !

-Oui, maîtresse Chipy !

Je parti à la cuisine pour y prendre une poche de glace au frigo, nous l’avons en permanence au cas où, pour les contusions.

De retour au salon, mon mari soumis n’avait pas bougé, je me suis mise au-dessus de lui de  manière à ce qu’une fois à genoux, il puisse me lécher la chatounette comme pour un 69, et avec mes jambes je lui immobilisait les bras le long du corps, de cette manière je pouvait "opérée" sur son sexe, à ma guise.

J’ai tout d’abord, de mes mains gainées de latex, palpée, pétrie, malaxée ses deux belles boules gonflées, les passages du latex sur sa peau le faisait gémir de plaisir, je le voyais bien, son beau gland était turgescent, cela virait même sur le violet, tellement il était tendu, au bord de l’explosion et cela lui faisait mal, huuuummmm…ça c’est bon de le voir souffrir à cause de l’érection de je lui procurais. Oui, à partir de ce soir, c’est moi qui le dirige, qui le domine, j’adore !

Je me suis penchée sur son gourdin veineux et rigide pour lui entamer une lente fellation, quel bonheur d’avoir à sa merci une si belle queue dans la bouche, je me délectais de cet engin de plaisir, qui si souvent, remplit mon intimité vaginale, je savourais chacun de mes passages le longs de son membre viril, qui provoquait chez mon soumis de mari des gémissements étouffés, car il était concentré à s’étancher de cyprine à mon puits d’amour, excité d’avoir la tête coincée entre mes cuisses gainées de bas résille blancs.

Ce coquin était sur le point de me faire jouir de plaisir avec sa langue fouilleuse d’intimité féminine, c’est un expert et c’est pour ça que je l’aime tant, il sait y faire pour me faire jouir de mille manières différentes ce bougre, je suis sûre qu’il attend avec impatience, que je le fasse éjaculer dans ma bouche !

Mais au moment où arriva mon orgasme, je me suis retirée de sa queue  et en gémissant de plaisir, je lui ai plaquée la poche de glace sur son sexe et il eut des sortes de spasmes réflex dût au choc thermique et je la maintenait  fermement, tout en plaquant mon sexe sur son visage :

-NE BOUGE PAS, SOUMIS !

Me relevant un peu pour qu’il puisse respiré, je lui imposais de ne rien faire, qui pourrai entravé le bon déroulement du jeu. Docilement il obéit, il supportait douloureusement la rapide baise de volume de sa bitte et de ses boules, qui n’ont malheureusement pas pût se vider. J’aime cette situation où j’ai jouis comme une folle et lui, je lui ai ruiné son orgasme, c’est un bel exemple de l’affirmation de ma position de maîtresse de mon mari !

-Chéri, ça t’as fait du bien de ne pas pouvoir jouir, durant cette soirée bien chaude, que tu me disait à l’instant ?!

-Oui, Maîtresse !

C’était bien évidemment un mensonge flagrant de sa part, mais j’étais satisfaite de sa réponse, car j’étais maintenant conforté dans sa position de maîtresse, et lui dans celle de mari soumis.

-Est-ce que tu sens encore ton sexe, après le glaçage que je lui ai infligé ?!

-Non maîtresse, mes boules et ma bitte sont complètement anesthésiées par le froid !

-Ne bouge pas, j’ai une petite intervention médicale à opérée, sur ton sexe, je ne veux plus rien entendre de ta part, pas même un bruit !

J’ai sorti des poches de ma blouse les différents composants d’une cage de chasteté en plastique transparent;  je lui ai installée sans qu’il ne bronche, puis j’ai verrouillée le tout avec un petit cadenas.

Je me suis relevée en lui disant :

-L’opération est faite, elle c’est bien déroulée, maintenant tu peux  te mettre  à quatre pattes sans ton peignoir !

-Mais maîtresse, c’est une cage de chasteté, je ne peu plus rien faire avec !

-Bien sûr que si tu peux faire des choses comme par exemple : faire encore pipi…mais assis comme les filles, tu peux encore bander, mais très peu dans cinq centimètres ! Tu peux aussi éjaculé, mais il faut que je t’aide, aller suce mes doigts et vite mets toi en position !

Mon soumis chéri se mis à quatre pattes, me lécha les doigts comme le ferait un toutouu, qui reçoit son sucre et je me suis mise derrière lui, le latex de mes gants humidifiés de sa salive, je caressa sa rondelle, puis lorsqu’elle se détendis, je lui introduisis délicatement mon majeur puis l’index de la main gauche, j’ai pris mon temps pour bien dilater son anus et enfin trouvée sa prostate et de ma main droite je lui frottais ses boules qui de nouveau se gonflaient.

Durant de longues minutes, mon soumis de mari gémissait de plaisir en réaction à mes caresses anale, je luis caressais sa petite queue encagée en réponse, puis vînt enfin le moment où sa prostate libéra son liquide dans un lent et continus filet blanchâtre, c’est un vrai plaisir, que procure le pouvoir d’être la maîtresse de son mari chéri.

-C’est bien mon petit soumis, tu as enfin pût te vider et éprouver du plaisir par ton cul !

-Merci maîtresse Chipy !

-Retire moi mes gants et vas te relever car je ne veux pas que le jus de ta toute petite queue salisse les draps cette nuit !

-Je vais me coucher, je veux que tu dormes avec ton combi short en vinyl, comme ça si tu oses te caresser pour avoir un plaisir en solo, j’entendrais tout de suite la fermeture éclair et je te punirais d’une semaine d’abstinence sexuelle, compris !

-Oui maîtresse, je vais vous obéir !

-Continus comme ça tu sera un bon mari soumis !

Mon soumis de mari, alla faire ce que je lui avait demandée et après vérification de ma part il vînt se mettre dans le lit.

Je me suis couchée à mon tour, avec seulement une nuisette de dentelles noire assez courte, mais pour en rajouter une couche, je me suis caressée le minou et les seins à ses cotés jusqu’à l’orgasme , rien que pour le faire enrager et une fois mes cris de plaisir terminés, je lui ai fait sucer mes doigts couvert de ma cyprine, ce jus du fruit de ma jouissance.

Je n’en peux plus de cette fin de journée de folie, je suis crevée, demain il faut être en forme, car  c’est jour d’élection et surtout jour d’érection, enfin pas pour tout le monde…

A suivre…

 

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