Je me rhabille et retourne dans le salon, jai la tête qui explose. Quest-ce que je viens de faire ? Cest ma nièce, elle a vingt-six ans de moins que moi, cest une gamine. Je pense à mon frère et je commence à paniquer. Si jamais il apprend ça, je suis un homme mort.
Mes pensées envahissent mon esprit quand le téléphone sonne. Cest Paul qui me demande comment ça va. Je lui dis que tout va bien. La sonnerie a réveillé Claire, elle me demande qui cest. Quand elle sait que cest son père, elle veut lui parler. Je vais la chercher. Elle est toujours nue sur son lit. Elle me tend les bras pour que je la porte comme dhabitude.
-Tu devrais mettre quelque chose.
-Le téléphone na pas de caméra et papa attend. Portes-moi dans lentrée sil te plait.
Je la reprends comme dhabitude, elle en profite pour me déposer un baiser sur le cou et se coller le plus possible contre moi. Elle sait que je ne peux rien dire, car son père entendrait. Une fois dans lentrée, elle me demande de massoir et reste sur mes cuisses.
-Papa ? Comment vas-tu ?
-Cest à toi quil faut le demander. Jean se débrouille bien ? Tu as tout ce quil te faut ?
— Ça va mieux quhier, je bouge mieux mes bras, mais les jambes sont toujours très lourdes et je ne peux pas les bouger beaucoup. Quant à savoir si jai tout, je peux te dire que jai absolument tout ce que je veux, tonton est adorable, il fait tout ce que je lui demande. Je ne veux plus que lui comme garde malade, plus de ces vielles biques ronchonnes.
-Pas question, je connais ton oncle, il te passe tout, tu deviendrais capricieuse. Bisous ma chérie, passes-moi ton oncle.
-Mon papa veut parler à mon tonton.
Elle me tend le combiné en souriant.
-Je vois que tout va pour le mieux, merci encore. Sil te plait, peux-tu essayer de rester jusquà samedi, nous sommes obligés de rester ici pour voir le notaire. Nous avons réussi à avoir un rendez-vous vendredi à dix-sept heures. Cela me permettrait de ne pas avoir à redescendre dans une semaine. Nous rentrerons le samedi vers midi.
-Je vais faire mon possible, mais je serais obligé de mabsenter au moins une demi-journée demain ou jeudi, jespère que Claire ira mieux.
-Fait au mieux. Merci encore, à plus.
Claire mentoure le cou de ses bras. Elle pose sa tête sur mon épaule.
-Tu vois mon tonton, cest le destin, nous devrons encore rester ensemble.
Elle prend ma main quelle pose sur son sein gauche. Je suis surpris par ce geste, mais je me laisse faire. Inconsciemment, jai envie de ce corps. Elle pose ses lèvres sur les miennes, je me laisse faire encore une fois. Elle descend une main vers mon sexe qui a repris de la vigueur. Elle sent ma bite gonfler sous ses fesses. Je nen peux plus et me soulève pour lui faciliter la tâche.
-Amènes moi dans mon lit.
Je la ramène dans sa chambre, la dépose sur son lit sur le dos.
— Déshabille-toi et viens avec moi.
Je me déshabille et mallonge à côté delle. Elle tend la main pour se saisir de mon sexe et commence à le masturber. Elle sy prend très mal, ce qui fait que je ne ressens rien, aucune excitation. Elle sen rend compte.
-Tonton, je ne fais pas ce quil faut.
-Non, tu nas jamais masturbé tes copains ?
-Non. Tu sais, jétais vierge il y a à peine un an, quelques temps avant que je nai mon malaise. Je nai jamais cherché à me faire dépuceler parce quil fallait le faire, cest venu comme ça parce que jaimais lhomme qui a pris ma virginité. Tu veux bien me montrer ?
-Ok, je vais te montrer.
Je me saisis de sa main et lui montre comment faire. Au bout dun moment je la laisse faire et je constate que ça va beaucoup mieux.
-Tu apprends vite.
-Jai un bon professeur. Tonton, je ne veux pas te faire jouir avec ma main, je veux que tu me fasses lamour, le vrai, avec ton sexe dans mon sexe.
-Cest bien ce que je redoutais.
-Viens maintenant, viens en moi, je tattends.
Je me redresse légèrement, lui écarte bien les cuisses, bascule sur elle en me maintenant au-dessus delle. Elle pose ses mains sur mes fesses et appuie. Je descends pour positionner mon sexe à lentrée du sien. Quand elle sent mon gland à lentrée de sa vulve, elle essaye de tirer vers elle mais ny arrive pas.
-Viens, sil te plait viens en moi.
Javance lentement mon bassin et mon sexe entre en douceur dans une grotte chaude et humide, ruisselante de cyprine.
-Aaaaaaaahhhhhh oui, jattends ça depuis si longtemps. Quel bonheur.
Je fais des va et vient lents et amples dans ce merveilleux puits damour si serré, jutilise toute la longueur de ma bite. Mes mouvements sont de plus en plus amples jusquà ce que ma bite sorte et entre à chaque fois.
-Oh oui, que cest bon, oh lala, jaime, jaime, continu, mon tonton, continu.
Je me déchaine dans son sexe jusquà ce que, ny tenant plus je me vide en elle par de grands jets de sperme.
-Oui, je te sens, vides toi, vide aaaahhhhh.
Elle na pas pu finir sa phrase, elle jouit en se raidissant, le corps entièrement secoué de frisson. Je narrête mes va et vient que quand je sens quelle sapaise et quelle se détend. Je me dégage pour venir lui lécher le sexe.
-Oui, jaime quand tes lèvres se posent là, plus profond, lèches moi tout le sexe.
Jenfonce ma langue le plus profondément possible, je sens le goût de mon sperme, jen prends dans la bouche quand elle me dit.
-Vient membrasser sil te plait.
Je remonte le long de son corps pour venir poser mes lèvres sur les siennes. Sa langue sinsinue dans ma bouche, elle me prend mon sperme. Elle se détache, imite les mimiques dun gouteur.
-Cest donc ça le goût du sperme, je ny avais jamais gouté mais ce nest pas du tout désagréable, bien au contraire. Je crois que je vais vivre une autre expérience avec toi, tu es daccord ?
-Tu sais maintenant que je ne peux rien te refuser. Reposes toi, je vais préparer le repas.
Je me lève, me rhabille et retourne à la cuisine pour préparer le repas. Vers midi et demi, je vais la récupérer dans sa chambre pour lamener dans la salle à manger. Elle dort sur le dos, sa poitrine ronde monte et descend doucement. Je reste là à la regarder. Mon cur ne sait plus quoi faire. Ma tête est au abonnées absents, je ne sais quoi penser de tout ce qui vient de se passer, dautant que je vais rester là pendant encore quatre jours. Elle doit avoir un sixième sens car elle se réveille au moment où je sors pour la laisser dormir encore un peu, nous ne sommes pas pressés.
-Tonton, tu ne vas pas manger tout seul, quand même jai un peu, voire beaucoup faim.
-Je voulais seulement te laisser dormir un peu plus. Quest-ce que tu veux mettre ?
-Je suis très bien comme ça, il fait chaud, tu devrais faire comme moi.
-Pas question, tu es devenu folle, tu thabille pour manger, quelquun peut venir te voir.
-Ou lala mais tu ténerves. Excuse-moi tonton, mais je suis si bien nue, il fait trop chaud.
Je cherche dans ses affaires et je trouve une djellaba blanche très légère quelle sétait achetée lors dun voyage au Maroc avec ses parents il y a quatre ans.
-Ça devrait aller.
-Parfait.
Je la redresse un peu et lui enfile le vêtement. Une fois debout je me rends compte que ce vêtement est parfaitement transparent, il ne cache pratiquement rien quand on est près.
-Tu mas bien eu.
-Oui, mais admet que pour les visiteurs éventuels ça devrait suffire.
-Non, mais cest comme tu veux, je ne dis plus rien.
Nous allons manger sur la table basse. Le repas fini, elle me demande de lamener aux toilettes. Comme le matin, elle me demande de laider à relever sa djellaba, mais cette fois ci elle me demande de lenlever complètement.
-Ecoute Claire, tu ne vas pas te balader à poil dans la maison ?
-Dune part, je fais ce que je veux chez moi, dautre part il fait une chaleur à crever et il ny a pas de clim et qui plus est, je ne peux pas me déplacer sans toi. Donc, tu peux contrôler ce que je fais, dautant quaprès je veux aller me reposer dans mon lit.
Je lui enlève son vêtement et elle sassoie. Je quitte la pièce pendant une ou deux minutes jusquà ce quelle mappelle. Je la porte dans sa chambre, linstalle bien en lui mettant des coussins pour bien la caler.
-Merci tonton, tu es adorable, tu ne veux pas te reposer comme moi.
-Oui, je vais me mettre sur le divan.
-Pas question, tu restes avec moi, jai besoin de toi près de moi.
-Claire, il faut que tu dormes un peu, si je me mets à côté de toi, je nimagine pas ce qui peut se passer.
-Tonton, je te promets que je vais dormir, mais jaimerai tant te sentir contre moi.
Elle me regarde avec un tel regard que je fonds.
-Ok, je viens avec toi, mais nous dormons, daccord ?
-Daccord.
Je me déshabille pour mallonger à côté delle. Je lenjambe pour me mettre contre le mur. Elle se blotti contre moi, me plaque ses seins contre mon dos et pose plusieurs baisers sur mon cou.
-On a dit quon dormait.
-Ok, dors bien mon tonton.
-Dors bien ma chérie.
Nous nous taisons et je fini par mendormir très vite.
Je suis réveillé par des baisers sur le cou. Claire sest réveillée et ne veut pas rester seule éveillée. Il est plus de seize heures.
-Alors tonton tu ne vas pas dormir jusquau repas ?
-Non, dailleurs je dois attaquer le repas, tu aimes le chili con carne je crois.
-Jadore, tu as tout pour le faire.
-Oui, jai vu quil y a tout ce quil fallait au frigo et il y a des haricots rouges en conserve.
Je lenjambe pour sortir du lit, mais au moment où je passe au-dessus delle, elle magrippe et me fais tomber sur elle. Je suis à plat ventre sur elle, elle se saisi de mes fesses et les malaxe.
-Dis donc, elles sont encore bien fermes pour ton âge.
-Merci, sympa comme réflexion, tu sais bien que chez moi, je dois monter quatre-vingt-dix marches plusieurs fois par jour. Ça entretient les cuisses et les fesses.
Elle continu de me caresser les fesses, je sens que je commence à bander, ma queue se redresse petit à petit entre ses cuisses. Je réussi à me dégager.
-Il faut que jaille préparer le repas, je reviens dans une demi-heure.
-Promis ?
-Promis.
Elle me libère, je sors du lit, enfile mon pantalon et mon tee-shirt.
-Il faudrait quand même que tu aies autre chose à te mettre.
-Jirais chercher quelques affaires demain matin. Jespère que tu iras mieux.
-Je sens que mes jambes réagissent un peu mieux que ce matin.
-Tant mieux.
Je vais dans la cuisine et prépare le repas. Une fois le tout lancé à mijoter pendant trois heures, je vais rejoindre Claire. Elle est sur le dos, jambes écartées et se caresse les seins. Quand je rentre dans sa chambre, elle me sourit et me fait un bisou dans le vide. Je mapproche delle, je nai plus aucune volonté. Je magenouille à côté du lit et pose mes lèvres sur son ventre. Elle se saisi de ma tête et pousse vers le bas.
-Oui tonton, tu sais que jaime trop ça.
A suivre