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Tout a commencé par un gâteau – Chapitre 2




Trois jours après le début de ma nouvelle relation avec Martine, j’étais au bureau pour une journée naturellement bien remplie et pleine de réunions du matin au soir. En arrivant le matin, Stéphane, un collègue proche de la trentaine plutôt mignon, me demanda s’il pouvait utiliser mon ordinateur pour la journée.

Salut Sophie, tu es bien en réunion toute la journée ?

Euh oui, malheureusement !

Mon ordi est en panne, est-ce que je peux utiliser le tien ?

Bien sûr, pas de problème, le mot de passe est ********

Merci Sophie, tu es un ange !

Encore un qui me prend pour un ange, me dis-je.

Je pris mon cahier de notes et mon agenda et me dirigeai vers la salle de réunion.

Vers 17h00, ces fichues réunions étaient enfin terminées, je retournais à mon bureau et vis que Stéphane avait regagné le sien, le service informatique avait dû avoir le temps de réparer son ordinateur. Ah, ces PC ! Je commençai par lire mes courriels et comme d’habitude, cela me prit un temps fou, il y en a toujours trop et souvent pas forcément intéressants…

J’avais à retravailler un texte récent et ouvrit donc le menu « mes documents récents ». Quelle ne fut pas ma surprise de ne pas reconnaître le nom de mes fichiers usuels, mais au lieu de cela, des noms de pages web avec des titres plutôt explicites et franchement coquins : Stéphane avait visiblement surfé sans penser à faire le nettoyage qui s’impose. Je regardai – par curiosité cela s’entend – les sites qu’il avait consultés : on y voyait des hommes en lingerie féminine, il y avait aussi des forums consacrés au travestisme et aux hommes qui, dans la vie quotidienne portent, des dessous féminins sous leurs habits « normaux » ! J’étais sidérée et en même temps émoustillée. Je n’imaginais pas que tant d’hommes puissent aimer porter de la lingerie féminine et Stéphane devait être de ceux-là ou du moins, avoir ce genre de fantasme. Je repris mon travail et décidai d’aller voir Stéphane peu de temps après.

Il était dans son bureau en train de ranger des papiers.

Stéphane ?

Ah, Sophie, merci pour ton ordinateur, le service info a finalement réussi à dépanner.

Si seulement cette foutue boîte utilisait des ordis plus performants, il y aurait moins de problèmes, mais je ne suis pas venue pour cela.

Stéphane me regarda d’un air interrogateur :

Quand tu utilises l’ordinateur de quelqu’un d’autre, tâche d’être plus discret !

Il resta silencieux et devint rouge pivoine.

Alors, comme cela, tu t’intéresses à la lingerie féminine ?

Euh, oui…

Et tu en portes souvent ?

Euh, oui…

Là, en ce moment ?

Euh, oui…

Tu peux me montrer ?

Stéphane releva son bas de pantalon jusqu’aux genoux. Au-dessus d’une chaussette qui s’arrêtait à hauteur normale, son mollet apparut gainé de nylon.

Bas ou collant, demandai-je ?

Bas…… avec porte-jarretelles…

Waoh ! La totale !

Sophie, je ne voudrais pas que cela se sache, je tiens à ma place…

Ne t’en fais pas, je ne suis pas une cafteuse et je respecte la vie privée des gens.

Merci Sophie, tu es vraiment une chic fille !

Dis-moi Stéphane, tu es toujours célibataire et tu n’as pas de copine ?

Non…

Tu es homo ?

Non, cela n’a rien à voir, j’aime la douceur des sous-vêtements féminins et puis je trouve que le monde est vraiment trop injuste : vous pouvez vous habiller comme vous voulez, en jupe en pantalon et pas nous ! Les hommes sont coincés dans leurs stéréotypes vestimentaires.

Je pense tout de même qu’en matière d’inégalité hommes-femmes, la balance penche plutôt en défaveur des femmes, tu ne crois pas ?

Tu as certainement raison.

Mon petit Stéphane, es-tu libre ce soir ?

Je n’ai rien de particulier de prévu.

Si je t’invitais ce soir à la maison avec une copine, cela te brancherait ?

Ce serait avec plaisir, Sophie.

Bien, disons 20:30 ?

Ce sera parfait, à tout à l’heure.

J’étais sur le pas de la porte du bureau et ajoutai avant de partir :

Stéphane ?

Oui ?

Viens comme tu es…

Je téléphonai à Martine avant de quitter le bureau.

Allo, Martine ?

Oui ?

C’est Sophie !

Chère Sophie…

Tu es libre pour dîner ce soir ?

Avec plaisir !

Nous aurons un invité.

Je le connais ?

Non, c’est un collègue de bureau, il s’appelle Stéphane, je pense qu’il te plaira…

Quelle heure ?

20:30, ah j’oubliais, ton cadeau est arrivé !

Super ! A ce soir, bisous,

Bisous.

Arrivée chez moi vers 19 heures, je me douchai, mis un ensemble soutien-gorge et porte-jarretelles noirs, des bas et le string assorti. Pour le reste, un chemisier blanc et une jupe sombre conviendraient. Je filais à la cuisine histoire d’improviser un dîner pour trois : heureusement, mon congélateur était plein. Une petite entrée sympa et un plat de poisson à mettre au four, et hop ! Pour le dessert idem.

Je mis la table, 20 heures, et s’il ne venait pas ? Quoi qu’il en soit, Martine viendrait, ça, c’était sûr. Non, il allait forcément venir, certainement encore sous la peur que je dise quelque chose à quelqu’un du bureau.

Martine arriva la première, nous nous fîmes un bisou passionné dans le hall d’entrée.

Alors, c’est qui ce garçon ? me demanda-t-elle.

Cela serait trop long à t’expliquer, il risque d’arriver d’une minute à l’autre.

Avons-nous le temps d’aller voir la commande ?

Oui, c’est dans ma chambre, je ne l’ai pas encore déballée, je voulais le faire avec toi.

Elle me suivit dans la chambre, le paquet était posé sur le lit, bien emballé et de manière discrète.

Imagine que le colis ait été abîmé et que le facteur ait vu le contenu ! me dit Martine.

Je préfère ne pas y penser, après tout, j’ai ma réputation !

Allez, ouvrons ce paquet.

Je défis l’emballage, chaque objet était emballé à part dans un étui. Je sortis d’abord le vibro, puis le double-dong et enfin le gode-ceinture.

Tout est là, m’écriai-je.

Cela donne envie d’être essayé…

Peut-être ce soir qui sait ?

Et ton invité ?

Joker !

La sonnette retentit à cet instant. Je rangeai vite le matériel dans l’armoire de ma chambre et allai ouvrir. Stéphane était devant la porte, un gros bouquet de fleurs à la main.

Bonsoir, me dit-il, je ne suis pas trop en avance ?

Non, lui répondis-je, mon amie Martine est arrivée il y a cinq minutes. Entre.

Les fleurs de Stéphane étaient magnifiques, et il avait eu la délicatesse de faire faire un emballage cellophane contenant l’eau : pas de corvée pour la maîtresse de maison, il suffisait que je trouve un endroit à lui indiquer pour les poser.

Mets-les ici dans le salon.

Stéphane posa le bouquet sur le meuble que je lui montrai. Martine arriva dans le salon à ce moment, venant de la chambre.

Martine, je te présente Stéphane, dis-je alors, pendant qu’elle entrait.

Enchanté, répondit Stéphane.

Moi de même, rétorqua Martine.

Que diriez-vous d’un apéritif ? demandai-je.

Avec plaisir, dirent-ils en même temps.

Je ris, ce qui les fit rire aussi… La soirée commençait bien.

Apéro classique ou pousse-rapière ?

Pousse-rapière !

Oui, oui !

J’ai toujours une bouteille de vin sauvage au frigo, cela peut toujours servir. Quant à la liqueur d’Armagnac, il suffit d’en avoir dans son bar. Stéphane proposa son aide pour aller chercher les olives et les crackers à la cuisine. Décidément, il me plaisait bien. Je servis les verres et nous trinquâmes.

A votre santé ! dit Stéphane.

A nous ! répondis-je.

A nos amours ! s’exclama Martine.

Nous nous présentâmes pour Stéphane qui ne savait bien sûr rien de Martine et pas grand-chose de moi. Nous lui expliquâmes que nous étions des amies de vieille date et divorcées toutes les deux. Il nous raconta qu’à 29 ans, il était toujours célibataire et cherchait toujours l’âme sur, ayant quelques expériences douloureuses. J’observais Martine pendant qu’il nous parlait, elle était assise dans un fauteuil et avait croisé ses jambes, mettant bien en évidence ses genoux gainés de nylon, sa jupe remontant légèrement au-dessus. Stéphane semblait apprécier ce spectacle malgré tout très pudique et je croisai moi aussi mes jambes.

Nous discutions beaucoup et je nous servis un autre pousse-rapière, histoire de ne pas avoir trop de restes dans la bouteille.

Nous passâmes à table quelque temps après, les surgelés étaient à la hauteur et le vin de Martine aussi. Nos discussions portèrent sur des sujets de société, la politique, l’environnement… Stéphane était un homme de conviction, ce que sa discrétion naturelle au bureau ne laissait pas deviner. Nous parlâmes aussi de la vie à la maison et Stéphane nous expliqua qu’il adorait faire la cuisine, que cela le détendait. Moi qui ai horreur de cela, c’était d’ailleurs une des raisons qu’avait mise en avant une de mes amies au sujet de mon divorce : « au début, tu tiens un homme par le sexe, après, c’est par les petits plats ».

Alors que la discussion retombait un peu après le dessert, j’intervins :

Martine, il y a une chose que Stéphane ne t’a pas dite.

Stéphane devint rouge (le même qu’au bureau)

Stéphane aime la lingerie féminine, dis-je.

Le rouge virait au carmin. Martine répondit :

je ne vois pas ce qu’il y a de particulier à cela, beaucoup d’hommes aiment voir les femmes dans de la lingerie, et les femmes aussi pour certaines, dit-elle en me regardant.

Ce n’est pas cela, Stéphane aime porter de la lingerie… comme nous !

Non ?

Si !

Stéphane maîtrisa ses émotions et redevint d’un teint plus standard :

Oui, j’aime cela, et si vous saviez le nombre d’hommes qui le font, sans être au passage des travestis ou des homos. Pourquoi seriez-vous les seules à avoir le droit de porter des choses douces et jolies à même le corps ?

Martine osa :

Moi, j’aimerais bien voir…

Stéphane, qui décidément révélait une grande force de caractère répondit :

D’accord, mais on est tous à égalité, vous aussi me montrez !

Tope-là dis-je, honneur aux hommes !

Stéphane se leva, j’allai mettre un peu de musique d’ambiance pour faciliter son strip-tease. Il enleva sa veste, sa cravate, déboutonna sa chemise : il avait dessous un maillot de corps. Martine intervint :

On ne voit rien pour l’instant.

Patience mes belles, répondit-il.

Il enleva son maillot de corps et nous dévoila une poitrine glabre, très androgyne. Sur le ventre, au niveau du nombril, le haut d’un porte-jarretelles noir se révéla à nos yeux. Il défit ses chaussures et commença à ôter son pantalon et nous eûmes une vision fort belle, ma foi, de jambes d’homme gainées de bas soutenus par un porte-jarretelles. Une culotte très féminine, mais de taille visiblement adaptée recouvrait son pubis et à travers la dentelle noire, on pouvait deviner son sexe. Nous fûmes très impressionnées et applaudîmes notre bel étalon. Je remarquai que ses jambes étaient elles aussi sans poils !

Stéphane, tu es magnifique ainsi vêtu, lui dis-je.

Merci, tu es la première femme qui découvre mon secret et je suis heureux que tu apprécies.

Dois-je continuer ?

Il parlait de sa culotte.

Plus tard, lui dis-je, laisse-nous te mettre en excitation !

Je ne sens que cela ne va pas tarder…

Martine, à ton tour. Stéphane, installe-toi dans le fauteuil.

Martine se leva et commença à se déshabiller, elle enleva son pull révélant le haut de sa guêpière que je connaissais bien, la jupe tomba et elle se trouva en bas, guêpière et culotte. Il se passait quelque chose dans la culotte de Stéphane car elle prenait maintenant de l’ampleur. Je me levai et fis mon strip-tease à mon tour. Martine vint s’asseoir sur les genoux de Stéphane et se mit à lui caresser le torse. Très rapidement, ils s’embrassèrent.

Eh oh, attendez-moi, dis-je !

Et je me déshabillai de plus belle, ne gardant bien sûr que ma lingerie. Stéphane me – nous – félicita, disant que nous étions très belles et que c’était le plus beau jour de sa vie ! Son érection traduisait bien son propos, le langage non verbal ne ment jamais !

Je rejoignis les deux amants, me mis à genoux devant le fauteuil, écartai légèrement Martine et laissai mes mains farfouiller vers l’intimité de Stéphane.

Je crois qu’il est temps d’enlever cette culotte, dis-je.

Martine quitta sa position et vint avec moi sur le tapis. Stéphane avait une belle bite, circoncise et de taille honorable, dans un « présentez-armes » remarquable. Après plusieurs mois sans homme, cela me faisait envie, comme le premier cornet de glace de l’année. Nous échangeâmes un regard Martine et moi et nous mîmes à sucer son engin de concert.

Sucer un sexe d’homme entouré de porte-jarretelles et de la lisière des bas était franchement inhabituel, mais très plaisant. De temps à autre, nos bouches cessaient d’embrasser le sexe de Stéphane et nos langues venaient à se mêler. Tantôt, l’une pompait et l’autre caressait le bassin de Stéphane ou les seins de l’autre. Stéphane était visible aux anges et rejetait sa tête en arrière. Il nous avertit qu’il n’allait pas tarder à venir et son sperme sortit, puissant, chaud et crémeux.

On partage ! cria Martine.

Nous léchâmes avec joie la bonne semence. Stéphane savourait la puissance de son orgasme. Je me levai, vint l’embrasser, la bouche encore pleine de son foutre, il appréciait le coquin ! Je laissai la place à Martine qui l’embrassa à son tour.

Nous restâmes quelques minutes à nous caresser mutuellement.

Stéphane nous demanda :

Vous vous caressez et vous embrassez, vous êtes lesbiennes ?

Jusqu’à il y a trois jours, nous étions des femmes ordinaires, hétérosexuelles, répondis-je.

Maintenant, nous sommes plutôt bisexuelles, ajouta Martine.

C’est vraiment le plus beau jour de ma vie, vous réalisez mes plus beaux fantasmes !

C’est un honneur et une joie pour nous de te rendre ce service, dis-je en souriant.

Et si on se faisait un 69 ? demanda Martine.

D’accord, viens, rejoins-moi sur le canapé.

Nous enlevâmes nos culottes. Je jetai la mienne – bien trempée par l’excitation engendrée par la fellation – à Stéphane, qui la renifla pour mieux se pénétrer de mes sécrétions.

Je me levai et me couchai sur le canapé, Martine vint sur moi et nous recommençâmes l’exercice de trois jours auparavant, inversé tout de même puisque j’étais au-dessus la fois précédente. C’était divin, Martine aussi était très excitée et nous pûmes ainsi chacune profiter du jus intime de l’autre, en nous léchant, nous doigtant, nous faisant jouir. Je ne saurais dire combien de temps cela dura. Quand nous émergeâmes de nos orgasmes respectifs, Stéphane avait trouvé le temps nécessaire pour une nouvelle bandaison et s’était approché de nous, le sexe au garde-à-vous, magnifiquement entouré de sa lingerie.

Pourrais-je honorer une de ces dames ? nous demanda-t-il.

Sophie, tu es notre hôte, à toi l’honneur, répondit Martine.

Martine se leva de notre 69 et Stéphane vint s’allonger sur moi. Nous étions cuisses contre cuisses, bas contre bas, ventre contre ventre, porte-jarretelles contre porte-jarretelles. Ses mains parcouraient mon corps, le caressaient. Son engin trouva facilement le chemin de ma grotte et il commença à me limer. C’était trop bon, voilà six mois que je n’avais pas eu de pénétration et j’appréciai. Trop absorbée par mon coït avec Stéphane, je ne prêtai pas plus attention au monde extérieur…

Je tournai un instant la tête et vis que Martine était dans le fauteuil, les cuisses écartées et qu’elle faisait aller et venir le vibro (tout juste livré) dans sa chatte ! La coquine était allée le chercher dans l’armoire de ma chambre ! Elle prenait un plaisir énorme, tout comme moi. J’eus un nouvel orgasme, ne retint pas ma jouissance. Stéphane resta en moi mais ne bougea pas pendant le temps que j’étais au septième ciel. Il reprit ensuite son va-et-vient puis me demanda s’il pouvait jouir en moi, ce que je lui concédai avec grâce.

Je sentis les spasmes de son sexe et il s’écroula sur moi en émettant des sons de plaisir. Martine ne tarda pas elle aussi à jouir de sa masturbation-pénétration. Stéphane resta en moi le temps que son pénis se rétracte puis il se leva. Martine venait de retirer le vibro de sa chatte, il brillait encore de sa mouille…

Stéphane dit :

Je ne suis pas sûr de pouvoir honorer Martine, après deux jouissances, c’est ma limite pour quelques heures !

Ce n’est pas grave, dit Martine, ce sera pour une autre fois, et de toute façon, il faut que je me lève tôt demain matin, je dois rentrer…

Tu es sûre que tu ne veux pas rester ? protestai-je.

Non, Sophie, ce serait avec plaisir, mais cela ne serait pas raisonnable.

Là-dessus, elle vint nous embrasser chacun à notre tour puis se dirigea vers ses vêtements qu’elle commença à enfiler.

Nous nous fîmes une dernière fois la bise puis elle sortit de l’appartement.

Tu ne vas pas me laisser seule toi aussi, demandai-je à Stéphane ?

Eh bien, je n’ai rien pour me raser demain matin, ni de vêtements de rechange…

Et si je te disais qu’il reste du matériel de rasage de mon ex ?

Je pourrais essayer de remettre les mêmes vêtements demain…

Surtout que pour les sous-vêtements, cela peut s’arranger…

Alors je suis obligé de rester !

Voilà qui est bien.

Et nous éclatâmes de rire tous les deux. Nous prîmes une douche tous les deux avant d’aller nous coucher, ce, bien sûr l’occasion de nouvelles caresses et de nouveaux attouchements. Nous dormîmes nus cette nuit-là, quel plaisir pour moi d’avoir de nouveau un homme dans mon lit !

Au réveil, Stéphane me dit à l’oreille :

Je crois que je t’aime.

Je crois que moi aussi…

Nous fîmes l’amour dans le lit avant d’aller prendre notre petit-déjeuner et nous habiller pour aller travailler.

(à suivre)

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